n° 22857 | Fiche technique | 10184 caractères | 10184 1761 Temps de lecture estimé : 8 mn |
03/01/25 |
Présentation: Petit texte pour le fun et les souvenirs. | ||||
Résumé: Certains esprits chagrins diront qu’on ne doit pas parler de fêtes de Noël mais plutôt de fêtes d’hiver ou de fin d’année, au nom d’une équité laïque, ou vertueuse et respectueuse des autres religions. | ||||
Critères: #chronique #exercice #volupté fh couple fête | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Petit texte pour le fun et les souvenirs. Bonne lecture :)
Certains esprits chagrins diront qu’on ne doit pas parler de fêtes de Noël mais plutôt de fêtes d’hiver ou de fin d’année, au nom d’une équité laïque, ou vertueuse et respectueuse des autres religions.
Personnellement, je suis athée pratiquant, mais ça ne me dérange absolument pas de parler de Noël, la dite-naissance de Jésus de Nazareth, fondateur (à l’insu de son plein gré) des diverses religions chrétiennes. Il y aurait beaucoup à dire sur cette fête qui est en réalité le recyclage d’une plus ancienne consacrée à la renaissance de la Lumière, car on ne connaît pas le jour exact, ni même l’année de la naissance de Jésus, Yeshua en v. o. [yéchoua].
La France est de culture judéo-chrétienne avec un gros fond païen, je ne vois pas pourquoi il faudrait jeter aux oubliettes tout ce passé qui façonne encore durablement l’Hexagone et aussi ses voisins. Je n’affirmerai pas que ce passé fut toujours très glorieux et angélique, loin s’en faut, mais aux dernières nouvelles, il n’est pas possible de revenir en arrière pour tenter d’améliorer les choses. La première personne à inventer une machine à remonter le temps (qui fonctionne) est priée de me contacter.
Revenons à nos moutons en ténue tenue…
Ce petit texte blablate sur diverses tenues (assez ténues, je précise) que ma chère épouse adorée a pu revêtir pour ma plus grande satisfaction lors de certaines veillées de Noël que nous avons fêtées en tête à tête, sans la famille.
Commençons par un classique absolu : la Mère Noëlle, tout de rouge vêtue, exception faite de liserés en fourrure blanche, du côté du décolleté, des encolures de bras et aussi du bas de la robe feutrée assez moulante.
Les mimines sont au chaud avec des gants ouverts et cramoisis bordés de blanc (le contraire eut été étonnant), les ongles sont bien entendu laqués dans la même couleur, les détails ont leur importance.
Descendons un peu : les gambettes sont enveloppées de cuissardes rouges (à talons-aiguilles, naturellement) qui remontent très haut sur les cuisses, ce qui ne dispense pas de mettre des bas rouges, eux aussi, vous l’aurez deviné.
J’oubliais : il convient que le tout soit assorti avec un rouge à lèvre carmin vif.
Oui, la passion du détail est l’une des grandes qualités de ma chère femme qui sert souvent de mentor en la matière à certaines de ses copines qui sollicitent parfois au téléphone ou par webcam les bons conseils de ma Mère Noëlle à moi.
Le plus difficile est de reste zen devant pareil spectacle !
Il y a une énorme volupté à recevoir un petit cadeau de Noël sous la forme d’une verge (la mienne) captive de deux lèvres rouges (les siennes), les testicules choyés par des doigts aux extrémités tout aussi rouges. C’est un peu fétichiste (beaucoup même), mais l’homme qui n’a jamais connu ce genre d’offrande ne peut pas se permettre de faire la fine bouche !
Et celui qui y a eu droit en redemande…
Restons dans le rouge mais échangeons le blanc par son opposé, le noir, toujours avec ma femme, cette fois-ci attablée devant son assiette lors de notre repas à deux.
De face, on ne peut pas louper les deux magnifiques seins lourds qui s’évadent de son body noir au pourtour rouge, avec un gros nœud de la même couleur vive qui séparent les deux belles masses blanches ; un body spécial, mini-robe très ajourée et fort translucide, qui descend jusqu’à mi-cuisse.
De profil, nous en découvrons un peu plus, surtout le bas et ses bas rouges style filet de pécheur. Sans oublier les rituels talons-aiguilles qui complètent la panoplie de ma Mère Noëlle new-look, chaussures sexy qui allongent plus encore ses fines jambes.
Je la contemple toujours de profil, toutes ses courbes si suaves bien révélées, tandis qu’elle porte à sa bouche gourmande un toast bien chanceux. Moi aussi, un peu plus tard, je serai aussi chanceux…
Cravate ou rivière, c’est fort proche. Ce bijou accroché au cou de ma femme dégouline carrément entre ses seins compressés pour ressortir en dessous de ceux-ci. La lumière des bougies fait scintiller les faux diamants, ce qui offre un spectacle très réjouissant.
Pour un peu, on ne regarderait plus que cette cravate étincelante, en lieu et place d’un magnifique décolleté qui l’encadre !
N’ayons pas peur des mots, la tenue de ma compagne fait très pute, avec ce bustier noir assez luisant retenu par de fines bretelles, un décolleté ultra échancré qui enserre des seins rebondis et serrés l’un sur l’autre, puis des bas noir légèrement brillant, et pour finir des talons-aiguilles qui chaloupent la démarche.
Sans oublier la rivière de diamants qui dégouline…
Comme déjà mentionné, les grosses bougies blanches apportent un éclairage tamisé et oscillant à la scène. Les peintres du Clair-Obscur auraient adoré peindre ce que je vois. Le Caravage aurait sans doute été assez licencieux, contrairement à Georges de La Tour plus conventionnel, du moins, je le suppose, mais il n’est pas rare d’être surpris.
J’adore les jeux de lumière à la fois sur le bustier noir, sur la rivière et aussi sur sa peau. Un festival admirable à contempler. J’adorerais être une cravate pour me nicher entre ses deux doux monts très moelleux.
Je crois que je serai bientôt exaucé à la mode espagnole…
Des toasts sur la table basse du salon, ma femme, vêtue d’un bustier gris ourlé de blanc et de bas noirs attachés au justaucorps, saisit l’un d’eux pour le porter à sa bouche gourmande. Sur le plateau disposé face à elle, il y a le choix concernant les saveurs. Sur le côté, des coupelles remplies d’apéritifs divers. Plus loin, des verres et de quoi boire.
Ceux qui possèdent le bon angle de vue (et les yeux baladeurs) auront constaté entre le bas du haut et le haut des bas, il n’y a rien, sauf un fruit pêchu bien fendu et lisse. Un grand classique chez ma coquine de femme qui ne déteste pas déambuler, le popotin au grand air, idem pour son abricot fort juteux.
Moi, je sais que j’aurais le plaisir de croquer tout ceci, après avoir dégusté quelques toasts pour me roder. Ensuite, je goûterai à toutes les saveurs de ma coquine de femme, en songeant très fort à une histoire de petit Jésus à mettre dans la crèche…
Parfois, c’est une symphonie en rouge que mes yeux ont le plaisir de voir. Dois-je inclure cette tenue qui a été portée bien des fois, au-dedans comme au-dehors ? Oui, indéniablement, car ma chère femme fait très Mère Noëlle, version un tantinet adulte, j’en conviens.
Une petite robe fort simple en latex rouge accroche la lumière avec divers chatoiements, bas vermillon et des cuissardes couleur sang qui remontent très haut. Le décolleté de cette robe est très ouvert ne laissant rien ignorer des courbes plantureuses situées sous le cou. Le bas de cette même robe écarlate est largement échancré, laissant échapper une gambette bien mise en valeur.
Une mention spéciale pour les talons-aiguilles qui sont parmi les plus fins et les plus hauts que ma femme possède dans sa collection assez fournie. Je suis toujours admiratif du fait qu’elle ne se torde pas la cheville, perchée sur ces deux pointes, surtout quand elle déambule au dehors sur des surfaces pas forcément bien plates et horizontales, enveloppée de cliquetis métalliques. Je salue l’exploit !
Un vrai petit Chaperon Rouge très aguichant et appétissant pour le loup que je suis.
En bon loup vorace, je me ferai un plaisir de dévorer ce tendron tout vermillon sans laisser aucune miette. Le seul problème auquel je serai confronté sera de savoir par quel bout commencer, car tout est bon chez ma chérie, il n’y a rien de rien à jeter. Je n’ai que l’embarras du choix que je délègue parfois à un dé à six faces.
Avec tout plein d’espoir auprès du sapin blanc enguirlandé en rouge chatoyant, avec son étoile rouge nichée au sommet, mon aimée se tient debout, vêtue de noir, mode BDSM, un martinet en latex entre les dents.
Avouez que, comme image de Noël pour adultes, ça le fait très bien, non ?
Attendez, je ne vous ai pas tout décrit. Donc, ma maîtresse se tient débout à côté du beau sapin blanc. Son haut est un bustier noir très échancré sur sa poitrine, vêtement qui s’arrête légèrement au-dessus du nombril. La matière délicatement luisante accroche la lumière et souligne indéniablement diverses courbes.
Les jambes de ma chérie sont gainées dans des cuissardes noires très serrées et moulantes qui s’arrêtent un peu plus haut qu’à mi-cuisses. Celles-ci accrochent aussi très bien la lumière, magnifiant les gambettes perchées sur des aiguilles dont on se demande si elles ne percent pas le plancher à chaque pas…
Entre le bustier et les cuissardes, uniquement la peau nue et glabre qui contraste fortement avec le noir luisant, la rendant encore plus attractive, devant comme derrière. Ses belles fesses sont mises en valeur, ses cuisses et ses lombes aussi, un petit ventre rondouillet comme il se faut, sans oublier un pubis tout lisse devant lequel je me suis agenouillé bien des fois pour le chérir suavement à ma façon.
Sans oublier la face côté pile que j’adore explorer…
J’en ai fini avec ces diverses ténues tenues. J’aurais pu en ajouter d’autres, mais c’aurait été des variantes divergeant par quelques détails. Et puis six comme le nombre de jours qu’il a fallu au Dieu de la Bible pour créer le Monde, c’est un bon nombre, ni trop peu, ni pas assez.
Plus tard, si nous migrons très loin vers le sud du Sud, là où les saisons sont inversées, ma chère femme sera peut-être en bikini ou en monokini pour fêter Noël. Pour l’instant, nous habitons une région où, en décembre, le thermomètre gravite autour du zéro, par-dessus ou par-dessous, selon les caprices de la météo. Comme en plus du chauffage central, nous possédons une cheminée « feu de bois », il est donc parfaitement possible pour ma chérie d’être assez légèrement vêtue, tandis que la neige tombe drue au-dehors.
Et tant pis si ce n’est pas très écologique…
Joyeux prochains Noëls avec plein de ténues tenues !