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n° 22864Fiche technique24402 caractères24402
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Temps de lecture estimé : 17 mn
10/01/25
Résumé:  J’avais besoin que l’on me secoue un peu et que l’on m’aide à franchir le pas, je crois que j’aurais difficilement pu trouver meilleure initiatrice.
Critères:  #initiation #différencedâge fh gros(ses) amour
Auteur : Foretdorient      Envoi mini-message
Une initiatrice inespérée

J’ai toujours été un grand nigaud, mal dans sa peau et complexé. Je l’étais encore plus dans ma jeunesse. À l’âge où les garçons commencent à s’intéresser aux filles, moi, j’en avais la frousse. Je me réfugiais dans la solitude et dans les bouquins. Les rares demoiselles qui m’avaient fait un appel du pied m’avaient traumatisé, je les avais évitées comme le dernier des lâches, sous les prétextes les plus futiles, mais tous aussi bidon.


En terminale, j’avais une sale réputation. Mes rares potes étaient convaincus que j’étais un homosexuel refoulé, et leurs allusions grivoises ne faisaient que me torturer un peu plus le cœur et l’esprit. Je me souviens d’un intercours où un lycéen avait lâché : « Ça lui ferait du bien de sucer une bite » et un autre de répondre : « Tu veux y goûter ? Je suis sûr qu’il pense parfois à toi en se doigtant le cul. ». Et l’auditoire de s’esclaffer : quelle honte ! J’étais à quelques mètres d’eux, j’avais tout entendu. J’avais blêmi, la larme à l’œil, avant de m’enfuir à triples enjambées, sous la pression des quolibets.


Cette année-là, j’avais imaginé en finir avec la vie, mais j’étais décidément trop craintif pour mettre ce plan à exécution.


Par la suite, à la fac, j’avais consolidé mon isolement. Immédiatement après les cours, je rentrais directement chez moi, en rasant les murs, et me réfugiais dans ma petite piaule que je ne quittais plus jusqu’au lendemain. Je faisais tout mon possible pour ne fréquenter personne, bien enfermé dans mon mutisme. J’étais à mi-chemin entre la dépression et la schizophrénie.


Je n’ai malheureusement jamais été attiré par les hommes, ç’aurait sûrement été plus simple pour moi. J’aurais été pris en charge par un gars d’expérience qui m’aurait guidé vers le plaisir et qui m’aurait libéré de mes complexes et de mon mal-être. Mais, d’aussi loin que je me souvienne, mes fantasmes ont toujours été exclusivement féminins. Je me masturbais abondamment en soirée, presque tous les jours que Dieu fait, sauf peut-être quand j’étais malade ou contrarié. Mais invariablement en pensant à des femmes croisées dans la journée, la plupart du temps de parfaites inconnues, de tous âges et de tous physiques.


Je n’étais pas difficile en matière de profils féminins, car tellement frustré et tellement en manque, j’étais prêt à m’associer avec n’importe qui, même avec une sorcière pleine de verrues. Un véritable obsédé, je vous dis ! Alors, pourquoi pas un homme ? À la limite, peut-être un transsexuel, mais aux allures très féminines, certainement pas un travesti caricatural, la féminité a toujours été l’élément essentiel de mes désirs.



*– *– *



Pour payer mes études et me faire un peu d’argent de poche, j’enchaînais les petits boulots, en particulier pendant les vacances scolaires. Par chance, à l’époque, un ami de la famille avait une bonne place dans ce qui s’appelait alors l’ANPE. Sollicité par le paternel, le type en question n’avait jamais trop de mal à me trouver des emplois, parfois de simples jobs saisonniers, la cueillette, les vendanges, et plus souvent des travaux de manutentionnaire, en entrepôt ou dans les magasins, rien de bien palpitant, mais le salaire était appréciable et me permettait d’améliorer mon ordinaire.


J’avais déjà vingt-trois ans, bientôt vingt-quatre, j’étais toujours puceau et tout le contraire de déluré, je n’imaginais aucune solution à ce problème majeur qui hantait jour et nuit mes pensées. Ma timidité maladive était pour moi rédhibitoire.


Cette année-là, le divin Serge m’avait trouvé un job dans une laiterie pendant les vacances d’été, j’avais préféré ça à un travail de caissier qui m’aurait exposé à un contact avec le public.


C’est dans cette coopérative que j’avais rencontré Anne-Marie. C’était mon binôme de travail et mon coach. Cette vieille femme aux longs cheveux gris filasse, proche de la retraite, était franchement laide, avec un visage bouffi parsemé de microkystes, un double menton ou un goitre, et de grandes lunettes aux montures noires et aux verres très épais. Manifestement obèse, avec des seins tombants et un ventre de buveur de bière, elle avait tout pour plaire, ma collègue. Et le reste était à l’avenant. Du point de vue physique, elle me faisait un peu penser à cette mégère qui sévissait dans mon village lorsque j’étais gamin, celle qui braillait lorsqu’elle nourrissait ses poules et qui courrait dans la rue pour vilipender les garnements qui faisaient exploser des pétards dans sa boîte aux lettres. Mais la comparaison s’arrêtait là, ma partenaire de travail était nettement plus réservée et plus discrète que la susdite rombière, effacée, timide et fort peu souriante. Elle faisait son taf et on se parlait peu, juste quelques conseils qu’elle me prodiguait d’une voix mal assurée lorsqu’il m’arrivait de faire des conneries ; mais le reste du temps, elle me foutait une paix royale et nous nous parlions peu. À mon image, c’était une taiseuse qui cachait, par son mutisme, une fragilité intérieure. Qui plus est, elle ne souriait jamais, son visage restait fermé, impénétrable.


Tout ceci ne m’empêcha pas de fantasmer sur elle. Après tout, elle faisait partie de mon quotidien, nous passions une bonne partie de la journée ensemble et avions relativement peu de contacts avec les autres binômes. Je me masturbais parfois le soir en pensant à sa figure ravagée et à ses formes obèses. Sa longue chevelure poivre et sel, jamais peignée, toujours hirsute, m’excitait au plus haut point.


Les jours où elle ne travaillait pas me semblaient bien fades ; les autres femmes de l’entreprise, pourtant plus jeunes et plus jolies, n’avaient pas autant d’attrait, elles restaient surtout pour moi inaccessibles. En tant que monstre hideux, je n’avais droit au mieux qu’à la pire des femmes, et sans doute n’avais-je droit à rien ! J’en avais accepté les augures depuis fort longtemps.


Pour autant, je ne savais presque rien d’Anne-Marie et, de son côté, elle ne s’intéressait pas plus à moi.


Il me fallut attendre une pause-café, un jour où elle était absente, pour en apprendre un peu plus à son sujet.



La première acquiesça.



Ces révélations ravivèrent l’intérêt que je portais à Anne-Marie. Elle avait dû souffrir, la pauvre, j’en avais presque la larme à l’œil. J’aurais bien aimé en savoir plus, mais les deux femmes étaient parties à discuter d’un autre sujet.


Bizarrement, je me dis qu’avec moi, elle aurait été plus heureuse, j’étais un pauvre mec, mais quand même pas tant que ça, j’avais un bon fond, une certaine gentillesse. Quelle curieuse pensée ! C’était sûrement la première fois que j’envisageais quelque chose d’un peu tangible avec une femme.


Le lendemain, lorsque je la vis à son retour, mon cœur s’emballa jusqu’à battre la chamade. J’étais comme qui dirait « amoureux ». Je ne la voyais plus de la même façon, je la trouvais désormais belle et désirable.



Et pour cause, j’avais la tête ailleurs, les fromages défilaient, telles des entités fantomatiques devant mes yeux, et ils m’hypnotisaient. Il fallait absolument que je me ressaisisse.



La question qui tue !



Elle semblait presque amusée par cette curiosité soudaine. C’était une des premières fois que je la voyais esquisser un sourire !



Quelle révélation ! J’en suis resté comme deux ronds de frites, incapable d’enchaîner. Je n’aurais jamais dû poser cette question, le surplus d’information qu’elle venait de me donner me traumatisait.


Mais au beau milieu de l’après-midi, alors que nous allions bientôt débaucher, c’est elle qui enfonça le clou :



Je crois que je rougis jusqu’aux deux oreilles. En tout cas, je me mis à bafouiller en regardant ailleurs :



Je ne savais plus où me mettre, tous mes complexes étaient remontés d’un coup. J’ai préféré éluder la question, jouer la montre, je fus soulagé lorsque je la vis enfin s’éloigner lourdement vers le vestiaire, mais ne pus m’empêcher de reluquer ses belles grosses fesses, que je voyais dodeliner devant moi comme un appel au plaisir. Quelle journée ! J’étais comme dans un rêve. Qu’allait-il se passer maintenant ? Probablement pas grand-chose. M’avait-elle fait un appel du pied ou était-ce simple curiosité ? J’étais dans l’expectative. À mon grand désespoir, je n’aurais jamais eu le courage de l’inviter, ne serait-ce que pour boire un verre.


Pourtant, le soir, en rentrant dans ma piaule : « Putain, je l’aime… je suis fou amoureux d’elle ! ». J’étais complètement perturbé, excité comme une puce. « Fou », je l’étais avec certitude.



*– *– *



Il ne se passa rien de plus pendant plus d’une semaine. Je n’osais plus lui poser aucune question et elle, de son côté, me laissa tranquillement ruminer dans mon coin.


Jusqu’au jour où… C’était l’heure de débaucher, nous étions en train de ranger le matériel.



J’en suis resté baba… trouver une échappatoire pour décliner cette invitation incongrue fut mon premier réflexe. Mais, pris de court, je m’emmêlai les pinceaux dans une histoire de livres que je devais absolument rendre à la bibliothèque.



Quelle galère ! J’osai lever les yeux vers elle, elle avait un regard gentil et bienveillant, dénué de toute malice, ce qui me rassura un peu. Tel un zombie, je me retrouvai, quelque temps plus tard, assis dans sa voiture, sanglé à la place du mort. Et j’avais la nette impression d’aller à l’abattoir. À l’arrêt devant la médiathèque, il me fallut encore expliquer que, tête de linotte que j’étais, j’avais finalement oublié le bouquin chez un pote, ce qui me rendit d’autant moins crédible. Elle me laissa m’enfoncer dans mes mensonges, mais ne fit aucun commentaire.


Elle habitait une vieille baraque qui ne payait pas de mine, vétuste et délabrée, un bâtiment du XIXe siècle pas encore rénové. Elle s’arrêta juste devant et m’entraîna dans sa cambuse. L’entrée à peine ouverte, nous fûmes assaillis par une bande de félins hargneux, ils étaient au moins cinq ou six à ronronner d’aise en s’enroulant autour de nos jambes. Mais l’atmosphère sentait vaguement la pisse, ce qui m’incommodait.



Bon prince, je me proposai pour y jeter un œil pendant qu’elle s’occupait de sa smala. Je n’avais jamais été bricoleur, mais ne pus que constater que le bas de la porte de derrière avait été arraché et rafistolé avec de vieilles planches. Changer tout ça allait coûter un paquet de fric et je savais qu’elle ne roulait pas sur l’or.


Le temps de libérer les minous, de changer la litière sale et d’aérer un peu, nous nous retrouvâmes tous les deux dans la cuisine, moi sagement assis en bout de table et elle en train de préparer ses crêpes.



Mais pourquoi donc me relançait-elle avec ça, pourquoi insister sur le fait qu’elle n’avait personne ? Lorsqu’elle se retourna vers moi et commença à disposer les sucreries sur la table, je me sentis rougir jusqu’aux deux oreilles. Toujours aussi peu souriante, elle avait un regard perçant que je n’avais jamais remarqué à la laiterie, elle semblait lire dans mes pensées comme dans un livre ouvert. Elle me tendit une bouteille de cidre pour que je la débouche, ce que je fis maladroitement en renversant un peu du précieux liquide sur la table. Mon malaise ne fit qu’empirer.



Comment pouvait-elle être aussi perspicace ? Nous avions si peu échangé pendant toutes ces semaines…



Oh que si, elles étaient excellentes !



C’était un tribunal ! Et qu’avais-je à dire pour ma défense ? Je sentais de plus en plus les choses m’échapper, elle maîtrisait la situation. Assise près de moi, sa proximité me rendait fébrile.



Sur ce, elle me proposa un autre verre de cidre. J’aurais préféré quelque chose de beaucoup plus corsé. Enfermé dans mon mutisme, je ne trouvai rien à répondre. En plus, répondre quoi ? C’était tellement vrai, elle avait la clairvoyance d’une psychologue.



Je n’avais d’ailleurs pas d’ami du tout.



Elle se releva et proposa de nous faire un café, puis elle enchaîna :



J’ai failli recracher mon café. Je crois que j’ai calculé la distance qui me séparait de la porte d’entrée. Ensuite, je me suis calmé, il n’y avait aucun danger en perspective. Au moins, c’était clair, limpide, j’avais les cartes en main. Elle était tout à fait disposée à ce que je prenne des initiatives, mais je m’en sentais tout à fait incapable !



Au moins, cela faisait plaisir de la voir sourire, elle qui semblait d’ordinaire si guindée !


Quoi qu’il en soit, j’en étais au même point que d’habitude, une femme me faisait des avances et j’étais incapable de concrétiser, ne sachant que faire ou ne pouvant rien faire, paralysé par la peur. C’était probablement mon opportunité la plus flagrante et j’allais une fois de plus la laisser filer. Rien que d’y penser, cela me rendait malade.




*– *– *



Et nous voilà partis acheter du matériel, bras dessus, bras dessous, si je peux dire, mais en fait non, car nous conservions une bonne distance entre nos corps fébriles !


Bien conseillés par le vendeur, la réparation ne fut pas si compliquée. Dès le retour, on s’y mit à deux, s’encourageant l’un l’autre, et l’on termina de retaper cette foutue porte juste avant la nuit. Ce n’était peut-être pas très esthétique, mais la chatière était bien fixée et fonctionnait dans les deux sens et il n’y avait désormais plus de trou. Durant toute cette intervention, nos mains se frôlaient, nos bras se frôlaient, il y avait une sacrée dose d’électricité dans l’air, je crois que c’est ce qui fit voler en éclats les dernières barrières, le contact de sa peau n’était nullement désagréable, bien au contraire.


De retour dans la cuisine, j’osai enfin lui prendre la main, elle releva la tête vers moi :



Nos visages étaient tout proches.



J’approchai enfin mes lèvres des siennes, les effleurant presque. Mais, finalement, c’est elle qui vint vers moi. Je crois qu’elle n’en pouvait vraiment plus de mes hésitations. Nos bouches s’unirent, nos langues s’unirent. Je me mis à bander presque instantanément. Nous étions contre la cuisinière, un long baiser qui n’en finissait plus, presque un baiser d’adolescent, empreint de fièvre et de maladresse.


Je me décidai enfin à caresser sa poitrine, d’abord avec légèreté, effleurant ses pointes avec mes doigts, puis avec de plus en plus de fougue, pétrissant sans vergogne les lourds appâts. Elle vint bientôt à mon secours, m’aidant à déboutonner son chemisier, puis dégrafant son soutien-gorge, libérant des seins laiteux, lourds et tombants, parsemés çà et là de grains de beauté disgracieux, mais qui contribuaient à son charme. Ils me rendaient comme fou, mon sexe désormais à l’étroit dans mon slip en était presque douloureux.



Je me laissai entraîner le long du grand couloir jusqu’à l’endroit sacré. Une fois dans la pièce, elle prit les choses en main, s’agenouilla devant moi et défit prestement culotte et pantalon. Puis, sans hésiter, elle entreprit de lécher mon mat de chair comme elle l’aurait fait avec une sucette avant de l’emboucher enfin avec dextérité. J’étais tellement excité que je ne pus tenir bien longtemps. Au bout de quelques minutes, quelques secondes peut-être, une première giclée s’écoula dans sa bouche, suivie de quelques autres qui aspergèrent son visage. Elle recracha le sperme avec dégoût :



Ensuite, elle se releva et m’embrassa à nouveau dans un élan torride.



Son corps n’était pas beau, il était splendide, avec ses rondeurs et ses bourrelets. À l’instar de ses longs cheveux gris, ses poils pubiens plutôt touffus étaient également légèrement argentés. Tandis que j’achevai de retirer mes vêtements en reluquant cette femme superbe, un doute horrible revint à la charge : « Et si je ne bandais pas, et si je n’arrivais pas à la satisfaire. ». Mais, une fois de plus, elle sembla lire dans mes pensées. Une fois nu, elle me prit par la main et m’entraîna toute guillerette vers le minuscule cabinet de toilette qui jouxtait sa chambre à coucher. En plus des WC et d’un petit lavabo, il y avait quand même une douche, mais pas bien grande, elle m’attira dedans. Il y avait tellement peu de place que nous étions collés l’un à l’autre, peau contre peau. Elle fit couler l’eau et m’éclaboussa d’un jet tiédasse, tandis que son autre main saisissait ma queue pour la branler à nouveau. J’étais comme fou, complètement offert à ses caresses, surtout quand je la sentis soupeser mes couilles.


Mais je me sentis tout d’un coup égoïste, elle s’occupait de moi et moi très peu d’elle. Alors, je glissai une main sous son ventre, cherchant maladroitement sa chatte. Mais mon manque d’expérience était flagrant, alors elle vint à mon secours et guida mes doigts vers son antre qui était bien chaud et très humide. Quelques allers-retours plus loin, elle me fit remonter lentement le long de sa fente vers son bouton turgescent que je n’imaginais pas si gros et charnu. Au bout de quelques caresses, elle posa sa tête sur ma poitrine et se laissa aller, manifestement, mes caresses sur son clito lui faisaient le plus grand bien. Elle me guida à nouveau vers son trou juteux pour lubrifier mes doigts avant de revenir vers son bourgeon. Cette fois-ci, je l’entendis râler et gémir à chaque passage. Puis elle se cabra un peu en grognant d’aise. Venait-elle de jouir ? Était-ce ainsi la jouissance des femmes ? Je me posais dix mille questions, j’avais encore beaucoup à apprendre.


On se sécha mutuellement sans oublier de s’embrasser, puis elle m’entraîna vers son grand lit en bois, théâtre pour moi de la découverte du plaisir.





*– *– *



Peut-être que cette première fois ne fut pas exceptionnelle. Au moins, après quelques déboires, réussis-je à la pénétrer et à jouir en elle, ce qui ne fut pas une mince affaire. Mais « peut mieux faire », c’est certain.


Notre union dura quand même quelques années, toute la durée de mes études. Nous nous voyions une ou deux fois par semaine, rarement plus, car pour elle c’était déjà bien. Chacun chez soi, mais j’étais quand même son amant officiel, son ami, son amour. Passé la phase de découverte, sexuellement, nous nous entendions bien.


Par la suite, je trouvai du travail ailleurs et nos rencontres se firent plus rares, même si elle était désormais à la retraite et venait chez moi de temps. Mais les douleurs articulaires et les rhumatismes eurent finalement raison de ses envies sexuelles :



Mais j’avoue que je n’ai jamais été doué pour ça. À l’heure actuelle, je vis encore comme un vieux célibataire aigri. Et j’avoue qu’il m’arrive encore de repenser à Anne-Marie, dont je garde un excellent souvenir.