n° 22866 | Fiche technique | 22928 caractères | 22928 4088 Temps de lecture estimé : 17 mn |
11/01/25 |
Résumé: Ils se connaissent bien, ils switchent souvent. Ce soir, elle lui a demandé de la rejoindre. Il s’exécute. | ||||
Critères: #héros #érotisme #domination #fellation ffh fmast | ||||
Auteur : LaLouve Envoi mini-message |
Rejoins-moi à cette adresse à 20 h 30 précise, à 20 h 31, ce sera fermé. Prends une douche et habille-toi bien, j’aime beaucoup te voir avec une cravate…
Il lit le message avec une vague d’excitation qui déferle dans son ventre. Il est encore au travail, il sait qu’il n’aura pas le temps de terminer et d’être à l’heure. Tant pis, il annule les derniers rendez-vous, prétextant un empêchement (et quel empêchement…) et rentre chez lui. Il prend rapidement mais soigneusement sa douche, il enfile ses vêtements, se parfume, passe la main dans ses cheveux humides et enfile sa cravate prénouée avant de partir en trombe à l’adresse indiquée.
20 h 29, soulagement, il est à l’heure, il sait que je ne l’aurais pas attendu. C’est le deal : j’appelle, il vient.
20 h 30, la porte s’ouvre sur ma personne, habillée fraîchement, mais la pièce est très bien tempérée. Il voit des talons, des bas noirs, puis une petite jupe en simili cuir de la même couleur. Un body très dentelé enrobe mon torse et laisse apparaître beaucoup de détails, un collier ras de cou et quelques bracelets agrémentent l’ensemble. J’ai un maquillage un peu sombre et des lèvres rouge écarlate.
Après avoir fini de me détailler, ses yeux se plantent dans les miens. J’ai hâte d’en faire mon repas de ce soir…
La pièce est sombre, ses yeux ont du mal à s’habituer, puis il distingue un grand lit moelleux, un fauteuil, une chaise et un petit meuble. Le mobilier annonce le thème. Il est impatient, son rythme cardiaque est un peu trop rapide et ses mains légèrement moites. Il aimerait desserrer un peu sa cravate. Non, mon cher, je vais te déshabiller, mais la cravate restera…
Je pose mes lèvres sur les siennes, je l’embrasse très sensuellement, collant mon corps au sien, glissant mes mains dans son dos, retirant doucement sa chemise de son pantalon.
La soirée est lancée, il sent bien que je n’ai pas envie de perdre mon temps. De sentir le tissu glisser sur le bas de son ventre, il se tend déjà. Je déboutonne sa chemise et chaque effleurement sur sa peau, l’électrise. Il a du mal à contenir son excitation, il a chaud, le déshabillage va lui faire du bien et je le fais avec beaucoup de délicatesse.
Sa chemise est ouverte, mais je préfère passer à sa ceinture, je la retire, et viens la poser derrière son dos pour plaquer son bassin au mien. Tiens, il semble déjà apprécier le moment…
Je déboutonne son pantalon et le laisse glisser à ses pieds. Je lui demande de le retirer, avec ses chaussures et ses chaussettes, et de les déposer sur le meuble. Il s’exécute et revient vers moi en boxer, chemise et cravate. Il sent bon… Je lui retire la chemise et lui demande de prendre la chaise, de la poser face au lit et de s’asseoir dessus.
À ce moment-là, je vois son regard s’embraser, il se mord la lèvre, respire fort en fermant les yeux, puis obéit. Des souvenirs peut-être ?
Je viens me poster devant lui et lui demande de retirer ma jupe. Il fait donc glisser la fermeture éclair, et la laisse glisser à mes pieds. Je fais un pas de côté et lui demande de la ramasser. Il se penche, son visage effleurant ma cuisse puis mon genou. Il ramasse ma jupe puis remonte en caressant ma jambe de sa joue, je le vois fermer les yeux et respirer ma peau. Ses lèvres s’attardent sur le tissu de mon body. Je me racle la gorge, il lève son regard vers moi.
Il se lève, non sans prendre le temps de détailler mes bas et mon body string. Son sourire en dit long. Il dépose ma jupe puis revient vers moi.
Il prend le temps de me regarder, et je sens que son action est volontairement lente. Il a envie de jouer. Je me retourne pour aller chercher une corde dans mon sac, il est toujours debout avec un petit sourire en coin, celui qui signifie : « Je t’ai bien matée, merci pour le spectacle, et je ne compte pas te rendre la tâche trop facile… »
Très bien, mon cher Jouet… Un nœud se serre immédiatement sur son poignet droit pendant que je lui fais perdre l’équilibre sur la chaise. Il est assis et je me retrouve derrière lui en prenant son autre poignet et en l’attachant à l’autre.
Il n’a presque pas été surpris, mais son sourire a changé et ses yeux ont pris une teinte de brasier.
Je me mets à califourchon sur lui, mes avant-bras sur ses épaules, mes cuisses bien serrées autour des siennes et je viens coller mes lèvres à son oreille.
Dans un souffle, il laisse échapper un petit « Oui, Madame ». Je sens bien que la posture l’enflamme un peu trop. Il se contient, mais il laisserait bien échapper un petit gémissement. Mon bassin ondulant sur ses cuisses est de plus en plus près du sien. Mon pubis se met à effleurer sa verge tendue sous son boxer. Ses souffles sont très appuyés, j’entends les cordes qui grincent derrière la chaise.
Soudain, je me lève. Le laissant là quelques instants, je pars chercher mon sac que je pose derrière lui, puis je reviens me mettre à genoux sur le lit, face à lui.
Je vois sa mâchoire se contracter imperceptiblement. Il déglutit et me transperce de ses yeux de feu.
Je prends le gode que j’ai dans la main et commence à le lécher avec application. Concentrée, toute à ma tâche, je le vois défaillir quelque peu dans un coin de mon regard. Je m’assois sur le bord du lit, me rapproche de la chaise et pose un escarpin sur cette dernière, juste entre ses cuisses ouvertes. Je plante mes yeux dans les siens en continuant de lécher et sucer le gode.
Sans attendre sa réponse, je viens le poser sur ses lèvres, qu’il entrouvre. Je le glisse sur sa langue et je le vois sucer l’objet sans me quitter du regard. Il sait comment me faire plaisir.
Je pose une main sur sa gorge pendant que j’imprime quelques va-et-vient avec mon jouet. Je le retire brusquement, retourne sur le lit et m’allonge de profil à lui. Je commence à me caresser le sexe sous le body, il est déjà humide et mes doigts glissent sur mes petites lèvres sans aucun problème. Je le vois se mordre la lèvre, inspirer fort et attendre un « cadeau » de ma part.
Il va en avoir un encore mieux. Je glisse le gode entre mes petites lèvres et me pénètre avec. Un gémissement s’échappe de ma bouche. Je me baise doucement avec, en laissant s’exprimer mon plaisir. Je perds un peu la notion du temps, le gode qui fait ses allers-retours, mon autre main qui va de mon clitoris à mes tétons, j’en oublie mon spectateur quelques minutes. C’est un léger grognement de retenue qui me rappelle au moment présent.
Je me caresse encore quelques minutes, profite de cette torpeur puis retire le gode, me redresse, m’approche de lui et lui demande d’ouvrir la bouche.
Je vois à ses yeux qui se ferment qu’il anticipe. Il a raison, je glisse le jouet trempé de ma sève sur sa lèvre inférieure, sa langue vient à sa rencontre. Alors, je lui pénètre la bouche avec.
Il s’exécute avec un plaisir non dissimulé, mais quelque peu retenu, pour ne pas laisser échapper un autre son.
Il est mon Jouet, il réalise le moindre de mes souhaits, il me donne du plaisir et je prends ce que je veux, je l’exploite et je jouis.
Lorsque le gode est luisant, je pose une main sur sa joue, l’embrasse délicatement, lui glisse un « gentil garçon » à l’oreille, puis me lève. Je le contourne, et vais chercher quelque chose dans le sac.
J’en sors un bandeau. Je vais me priver de ses regards enflammés, mais lui va devoir aiguiser ses autres sens. Je le pose délicatement sur ses yeux, en effleurant son visage du bout des doigts, en faisant glisser mes lèvres dans son cou, sur sa peau.
Je me mets à genoux entre ses jambes, pose mes mains sur ses chevilles, et glisse mes doigts le long de ses jambes. Je remonte sur l’extérieur puis l’intérieur de ses cuisses. Il tressaille. Enfin, je saisis son boxer de part et d’autre de son bassin et lui demande de lever les fesses. Je le lui retire doucement, son sexe s’érigeant hors du tissu, enfin libéré.
Alors, je le laisse comme ça quelques minutes.
Je caresse son corps, son cou, son torse, ses cuisses. Je prends soin de ne pas effleurer sa queue, je veux qu’il expérimente un peu plus la frustration. Il va avoir de quoi se rassasier plus tard…
Je me glisse dans son dos, fouille dans le sac, en sors quelques objets, dont un bâillon que j’installe sur sa bouche. Puis je détache ses poignets pour n’en garder qu’un seul entravé dans son dos. Je prends l’autre, pose le dos de sa main sur sa cuisse et commence un encordage bien précis. Ses doigts sont repliés sauf le pouce et l’index. Ce dernier bien dressé vers le plafond.
Finalement, j’entrave ses chevilles aux pieds de la chaise.
Je me sens terriblement excitée, j’ai envie de le lui montrer. Je glisse un doigt sous mon body, récolte un peu de cyprine et viens le glisser sur sa lèvre inférieure… Il grogne, il aime beaucoup trop y goûter.
J’essuie rapidement ma sève de sa lèvre. Il se tend. Je pose deux doigts autour d’un téton, pince et tire dessus. Il serre le bâillon entre ses dents, retient son gémissement et sa respiration.
Je le lâche au bout de quelques secondes. Il souffle fort et se remet à respirer, de manière un peu plus saccadée.
Je saisis la cravate, me mets à califourchon sur lui, entre son ventre et sa main, et tire la cravate en arrière, exposant son cou à ma bouche. Je me fais un plaisir de lécher sa gorge, frotter mon pubis à sa queue et ma fesse à sa main.
Mon clitoris déjà bien gonflé se délecte de ces pressions. Les petits gémissements qui sortent de ma bouche viennent caresser ses tympans. Je sens que l’excitation s’empare lentement de lui, mais il se retient de faire le moindre bruit. Quel Jouet obéissant !
Mes tétons durcis frottent contre son torse et il les sent. Je le lâche, me relève et retourne derrière lui.
En reprenant une respiration plus sereine, il teste les cordes, celles-ci grincent gentiment, il est bien attaché. Cela lui plaît, il est à ma merci. Mais il se demande bien ce que je lui réserve, mis à part quelques sévices et beaucoup de plaisir.
Il entend divers bruits, s’interroge. Le bâillon le gêne et il aimerait que le masque disparaisse pour pouvoir m’observer. Il me sent revenir dans son dos, caresser son torse de mes deux mains et glisser ma bouche tout contre son oreille.
Je lui chuchote :
Il sent du mouvement devant lui, entre ses cuisses, son cerveau s’emballe, je suis dans son dos, cela ne signifie qu’une chose…
Avant d’avoir terminé sa pensée, il sent une langue chaude et humide glisser de ses bourses à son gland.
Il sent la bouche le gober, la langue s’enrouler, les sensations sont intenses, le masque l’empêche de se concentrer sur autre chose que ses ressentis. L’excitation monte trop vite, il essaie de contrôler sa respiration, mais j’effleure son sternum, ses tétons, ma bouche lèche son oreille, son cou…
Il gémit, il ne va pas pouvoir tenir le coup, je me dis que c’est un mal pour un bien, la punition le calmera assez pour que je puisse le prendre…
La bouche se retire, mes mains aussi, je viens me placer face à lui, il attend la sentence, presque avec soulagement. Je pose mes ongles sur ses cuisses, les enfonce puis les retire. Il sait que la punition pour sa jouissance aurait été bien pire, mais je me montre un peu trop gentille…
Je mets mes cuisses de chaque côté de la chaise, et m’empale tout doucement sur son érection encore présente. Sa respiration se suspend, il se délecte de la sensation autant que moi.
Je fais deux ou trois allers-retours doux et profonds de la sorte, recouvrant son membre de ma sève, gémissant contre sa bouche entrouverte par le bâillon. Puis je me retire.
Il entend le lit s’affaisser, il entend des baisers, des souffles… Il sait maintenant qu’il devra profiter du spectacle seulement à l’oreille, voilà comment je le punis cette fois-ci, c’était évidemment trop simple.
Il entend les gémissements se répondre, cela lui confirme une autre présence féminine. La texture des lèvres et des doigts sur sa queue lui ayant déjà donné un bon indice.
Son imagination s’emballe, les doigts de ma partenaire me donnent du plaisir, il m’entend, nous nous embrassons avec fougue, l’excitation des dernières minutes augmente d’autant plus avec nos contacts respectifs.
Au bout d’un instant, je m’approche doucement et m’installe dos à lui, mon sexe trempé et gonflé s’empalant sur son index, je bouge lentement, j’ondule du bassin pendant qu’avec ma partenaire nous nous caressons la poitrine, son clitoris, les mains dans nos cheveux, nos langues qui dansent ensemble.
Il ne s’attendait pas à ce contact, la brûlure sur son doigt le saisit, mes fesses s’écrasant sur sa main, mes cuisses autour de la sienne, mon clitoris qui cherche un contact, les bruits de bouche. Tout cela lui fait monter le sang à la tête, il soupire, fort.
Il se rappelle la consigne. Il étouffe un gémissement lorsque mon amie saisit son sexe dressé juste après avoir caressé ma fesse. Il sent sa caresse et mon sexe sur son index, ma cyprine coule dans sa paume et je l’imagine parfaitement avoir une terrible envie de se lécher les doigts…
Son excitation est telle que quelques gouttes de sperme coulent de son sexe. Je prends mon plaisir entre les caresses de mon amie et le corps de mon amant. Elle feule de contentement sous mes doigts et cela me donne envie de l’entendre un peu plus.
Je me redresse, me soustrayant à mon Jouet vivant avec quelques réticences, et me retourne pour lui enlever le bâillon et le masque :
Mon body a disparu, je suis seulement en bas. Ma partenaire est allongée sur le lit face à nous, rehaussée par les nombreux et moelleux oreillers.
Je m’approche d’elle à quatre pattes et commence par lui embrasser les chevilles, puis je remonte doucement, par baisers, par caresses de mes lèvres, jusqu’entre ses cuisses…
La vue est imprenable, il est enchanté, cela lui fait du bien de pouvoir calmer le feu qui le rongeait à chaque masturbation. Je me suis légèrement décalée pour qu’il puisse me voir déguster mon amie, mais il peut mater pleinement mes fesses, ma vulve mouillée, mon petit trou…
Il me regarde lécher mon invitée, mes mains parcourant ses cuisses, mes doigts s’aventurant dans son antre brûlant. Elle gémit fort et cela nous ravit tous les deux. Il la voit s’accrocher aux draps, cambrer son corps, renverser la tête.
Je remonte doucement contre son corps, l’embrasse sensuellement et viens lui glisser quelque chose à l’oreille, elle se mord la lèvre et me sourit.
Je viens donc m’installer, ma vulve proche de sa bouche, nos poitrines frôlant nos ventres respectifs et je recommence à lui donner du plaisir tandis qu’elle fait de même.
Je l’entends se tortiller sur sa chaise, je le vois lever les yeux au ciel et se mordre la lèvre, je l’aperçois jeter un œil gourmand à ses doigts…
Après un certain long moment à nous donner du plaisir, je remonte vers sa bouche pour l’embrasser. Tout haut, je lui dis :
Son regard étincelle. Je m’adresse alors à lui en m’approchant :
Et alors, je m’exécute avec volupté pendant que mon amie nous regarde en se caressant doucement.
Tout d’abord, je m’agenouille entre ses cuisses pour détacher ses chevilles, mes doigts glissant sur ses adducteurs et ses mollets. Puis je détache la main de sa cuisse et viens la poser sur ses lèvres. Il la lèche avec avidité, même si ma substance est déjà sèche.
Ma poitrine frôle son corps, mes bras l’enveloppent et ma bouche le caresse pendant que j’enlève les derniers liens dans son dos.
Il m’obéit en passant très proche de ma partenaire.
Il voit que c’est à elle que je parle. Et elle, une fois qu’il est allongé, touche son torse, son ventre, son sexe : elle le connaît déjà et ne s’y attarde pas, puis elle remonte vers sa gorge qu’elle empoigne, elle tire doucement sur la cravate. Il se tend, mais n’a pas le droit de réagir. Puis elle plonge ses doigts dans sa bouche et joue avec sa langue.
Pendant ce temps, j’ai attaché ses quatre membres aux quatre coins du lit avec du matériel qu’il connaît bien.
Elle ne l’embrasse pas, elle ne le lèche pas, elle le caresse seulement pour s’imprégner de son corps, pour le sentir, elle aussi, à sa merci.
Puis, suite à un regard vers moi, elle va prendre place sur son visage, face à sa queue et à moi.
Il s’autorise un gémissement quelque peu étouffé.
J’empoigne sa queue et entreprends de me caresser avec. Mes lèvres laissant couler mon nectar, les caresses sont rapidement très glissantes et cela semble lui faire plaisir puisque je commence à l’entendre.
Je lui assène cela en m’empalant doucement et profondément sur son sexe durci par mes caresses. Son chant ne se fait pas attendre. Qu’est-ce que c’est bon de l’entendre et de le sentir !
La bouche occupée entre les cuisses de cette fille, il essaie de rester focus, mais la multitude de sensations est assez compliquée à gérer. Il ne sait pas comment il va réussir à ne pas exploser alors qu’il sent une chatte mouillée et bouillante entamer des allers-retours sur son sexe, alors qu’une autre ondule sur sa bouche. Il a le goût de sa sève et la sent mouiller ses lèvres.
Il ne peut gérer le cunnilingus qu’avec sa bouche et il compte bien relever le défi qu’on lui a donné. Je lui fais confiance, il saura s’en montrer digne.
Et pendant qu’il s’applique sur sa vulve, sa langue parfois pointée pour lui permettre de s’empaler dessus, je me pénètre avec sa queue, mes doigts jouant sur mon clitoris. Cela lui arrache quelques gémissements qui font tressauter mon invitée. Elle répond par d’autres sonorités, parfois étouffées par ma bouche.
Nous nous caressons mutuellement avec mon amie. J’adore particulièrement lécher ses tétons durcis par le plaisir, embrasser son cou, lécher ses lèvres entrouvertes lors de ses gémissements.
Et lui, je le vois se concentrer, précis sur son objectif. Il défaille parfois selon mes mouvements de bassin, mais sa persévérance est palpable.
J’utilise son sexe, elle profite de sa bouche, je savoure le fait qu’il nous soit entièrement offert. Je l’oblige néanmoins à ne pas bouger le bassin, j’adore le contraindre à accueillir et profiter de mes mouvements.
Ses gémissements et sa langue, mes mains et ma bouche sur elle : elle finit par jouir, fort, elle crie et ses cuisses se resserrent autour de son visage. Il sent l’asphyxie arriver doucement, mais au moment où il ne peut que reprendre son souffle, elle relâche ses jambes. Le son de son orgasme, son squirt coulant sur son menton et son cou, son étouffement, tout cela décuple son excitation. C’est puissant, presque violent !
Il doit se retenir d’exploser à son tour. Mais il y parvient. Ses longues soirées à frôler le seuil sans jamais jouir portent leurs fruits.
Les voir dans un tel état d’excitation me fait monter extrêmement fort, je ralentis mes caresses, respirant profondément. Lorsqu’elle reprend ses esprits, elle vient se placer derrière moi pour caresser mon corps et m’embrasser. Ses doigts sont habiles sur ma poitrine, ses dents qui mordillent mon cou, mes doigts qui pianotent, sa verge gonflée en moi…
Je ne tiens pas très longtemps avant d’exploser à mon tour ! L’orgasme arrive progressivement telle une immense vague, et lorsque celle-ci se fracasse, je me contracte fort et hurle mon plaisir. Lui, je l’enserre de mes cuisses et elle me plaque contre son torse. Je le vois se cambrer, tirer sur les cordes, se retenir fort encore, ça en devient presque douloureux de ne pouvoir exploser.
Les vagues, moins puissantes, se succèdent. Je m’allonge contre lui, épuisée. Il est toujours en moi quand je me redresse. Je fais glisser sa verge en moi quelques fois, doucement, pour le sentir de nouveau contre mes parois, puis je me retire et viens placer mon bassin au-dessus de son visage.
Je lui demande de me lécher, juste pour prolonger le plaisir, sans objectif particulier. Et puis je me retrouve contre son thorax, ma bouche posée sur son membre, j’entreprends une fellation passionnée.
Mon amie prend un malin plaisir à m’accompagner, il sent des mains, des caresses, des bouches, des langues. Il ne sait plus qui lui assène les sensations qu’il ressent sur son sexe, ses bourses, ses cuisses, ses fesses.
Il m’entend juste l’autoriser à jouir, pile au moment où un doigt joueur vient glisser entre ses fesses. Sa queue dans ma bouche, la décharge est intense et particulièrement longue. Son gémissement est étouffé sur ma vulve, mais il est puissant et cela me ravive une sorte d’orgasme. Les sensations nous submergent…
Lorsque l’apaisement vient, je le détache et nous nous blottissons toutes les deux contre lui, le caressant, l’enveloppant… Le sommeil nous saisit rapidement, Morphée nous prenant contre lui pour retrouver l’énergie nécessaire à la suite de la nuit.