n° 22875 | Fiche technique | 39435 caractères | 39435 7004 Temps de lecture estimé : 29 mn |
15/01/25 |
Présentation: Pourquoi lire une looongue histoire si on peut en lire dix plutôt courtes ? | ||||
Résumé: 10 histoires entre 2 couples et d’autres personnes... | ||||
Critères: #recueil #personnages #libertinage fh fhhh hplusag extracon | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Collection : Histoires plutôt courtes |
Pourquoi lire une looongue histoire si on peut en lire dix courtes ?
Bonne lecture :)
Afin d’harmoniser l’ensemble, toutes les très courtes histoires (qui se suivent ici chronologiquement) ont les mêmes acteurs, mais pas forcément présents conjointement à chaque fois.
Shania : la principale protagoniste, très libertine à ses heures.
Gert : son mari très permissif et participant souvent aux débauches de sa femme.
Murielle : la très bonne copine (blonde) de Shania (brune) et aussi de pas mal d’autres hommes que son mari.
Pierre : son mari plus âgé, mais très alerte.
Mickaël : un amant fort assidu, une bête de course, littéralement.
Maxime : un autre amant néophyte, mais qui apprend vite.
Shania et Gert se sont rencontrés durant la trentaine, chacun ayant vécu en couple plus d’une fois. Entre eux, ce fut un coup de foudre immédiat. Ce qui n’empêche pas parfois les à-côtés, d’un commun accord…
Quand elle a eu la mi-vingtaine, Murielle a rencontré Pierre, son aîné de presque vingt ans. Elle n’a pas trop réfléchi à cette différence d’âge. Deux ans plus tard, naissait le premier des deux enfants que ce couple a eu. Ce qui n’empêche pas non plus parfois les à-côtés…
Shania et Mickaël se connaissent depuis un certain temps, depuis l’Université. Ce dernier est carrément l’archétype du Black dans toute sa splendeur, ce qui l’amuse beaucoup et dont il joue souvent. Shania a eu le temps de s’acclimater à son amant, même si celui-ci part souvent à l’étranger pour quelques mois, voire quelques années (deux ans maxi).
Pour respecter une contrainte de départ, ces divers textes sont tous inspirés plus ou moins lointainement d’une photo personnelle, sans forcément respecter le contexte de celle-ci.
Uniquement habillée d’une vieille nuisette à moitié opaque, debout à côté d’un seau rempli d’eau sale, serpillière en main, Murielle contemple le sol mouillé :
Assez embêté, Pierre (son mari) se tient debout dans un coin de la pièce :
Serpillière toujours en main, Murielle le toise :
Ses seins bien en évidence malgré la nuisette usée, Murielle regarde son mari :
Quelques instants plus tard, le couple est parti dans une levrette d’enfer, une cavalcade épique, le mari pourtant barbon se révélant plus ardent et efficace que bon nombre de coquins ayant parfois le tiers de son âge.
Ite missa est…
Comme il est bientôt l’heure d’aller se coucher, Shania est vêtue d’une nuisette bleu et noir qui ne cache pas grand-chose de son anatomie, d’autant que le décolleté est très ouvert. À se demander à quoi sert exactement ce vêtement, si ce n’est à exacerber le désir masculin !
Elle part rejoindre son époux, déjà présent dans la chambre à coucher où elle entre à présent, un livre en main.
Shania se fige sur place, manquant de lâcher son livre. Maxime est en effet présent, juste à côté de la porte. Gert intervient :
Maxime participe à la conversation :
L’homme s’approche d’elle et commence à caresser le décolleté offert à ses mains. Reprenant pied, Shania se tourne vers son mari :
La jeune femme sourit. Elle se place exactement au milieu du lit, mettant un oreiller sous sa tête. Gert prend un coussin posé sur une chaise et s’approche à son tour du sommier. Maxime en fait autant. Peu après, Shania est encadrée par deux hommes qui ont ôté leurs vêtements, un à droite et un à gauche.
Les regardant tour à tour, elle fait remarquer :
De son propre chef, elle saisit à pleine main les deux verges tendues, elle commence à les branler doucement. Elle sourit :
Un peu plus tard, la brune est en train de sucer l’un des deux hommes, tandis qu’elle offre sa croupe aux caresses et aux baisers de l’autre. Une fois que le premier a rendu les armes dans sa bouche, Shania échange les rôles, bien décidée à vider l’autre homme, son popotin à nouveau caressé et embrassé.
Ne jamais favoriser un homme plus qu’un autre en pareil cas !
Après cette mise en bouche, commence le vrai trio, une pratique que ne déteste pas la brune, à condition que les hommes sachent se synchroniser et qu’ils s’appliquent correctement. Tous les jours, ça deviendrait banalement lassant, mais une fois de temps à autre, c’est très bien et aussi très bon.
Après cette petite mise au point, sans rentrer dans le détail, elle jouit plusieurs fois, solidement encastrée par les deux hommes qui s’amusent à explorer diverses combinaisons pour la plus grande joie de chaque personne du trio. Puis vient l’heure où tout ce petit monde est épuisé.
C’est ainsi que Shania passe la nuit encadrée par deux hommes, un à droite et un à gauche.
Le réveil au petit matin n’est pas non plus de tout repos pour la jeune femme, car les deux hommes entendent bien profiter de la gaule qu’ils ont en bas du ventre. C’est donc reparti pour un mini-festival avant de reprendre des forces lors du petit déjeuner.
Ite missa est…
Des soumis, on en trouve vingt à la douzaine. Mais en revanche, les Dominas se font nettement plus rares. Pour parler plus marketing, la demande est totalement excédentaire par rapport à l’offre. Surtout que beaucoup de Dominas sont en réalité vénales et/ou intéressées, ce qui n’aide pas pour améliorer le ratio.
De ce fait, quand un soumis, qui a conscience des réalités, réussit à trouver une vraie Domina, il essaye de se l’attacher au mieux, même s’il doit faire une croix sur une éventuelle jalousie ou un sentiment d’exclusivité. C’est ainsi qu’un bon paquet de Dominas gèrent carrément des harems d’hommes prosternés à leurs pieds.
Murielle n’est pas une Domina au sens pur et dur du terme. Pour elle, c’est juste un jeu, pas un mode de vie. Elle ne se prend pas la tête, mais quand elle joue, elle s’applique au mieux, et la partie adverse et soumise s’en réjouit.
Pour mieux jouer le jeu, chaque soumis qui passe dans ses mains récupère un numéro qui est un savant calcul entre l’année de naissance et les initiales du nom et du prénom, ce qui donne un nombre à trois chiffres (de 100 à 999). Pour l’instant, il n’y a pas eu de doublon. Donc, pas question de Pierre, Paul ou Jacques, c’est numéro 123 par exemple.
Murielle entretient un petit calepin qui contient les fiches de tous ses soumis (avec des tas de commentaires et informations diverses et intimes), elle seule en connaît le nombre exact. En quinze ans d’activité, elle a vu du monde défiler, la plupart ont été de passage, mais d’autres ont été fidélisés, et il n’est pas toujours facile de contenter ses fidèles, dont certains voudraient carrément vivre sous le même toit qu’elle.
Or, quand on a des enfants, ce n’est guère envisageable…
Mais Murielle y songe pour plus tard, de façon très mesurée. En attendant, il faut qu’elle jongle avec pas mal de paramètres, et ce n’est pas toujours évident, même si son mari l’aide souvent pour réussir à coordonner le tout.
Aujourd’hui, elle reçoit le numéro 486, un homme mature, assez grand, chef d’entreprise. C’est fou le nombre de décideurs ou de responsables qui aiment devenir soumis pour quelques heures. On trouve aussi ce même parallèle chez les soumises, mais à moins forte intensité.
Elle aime jouer les Dominas, constater son pouvoir sur ces hommes qui s’avilissent, qui rampent à ses pieds. Ça lui procure une sourde jouissance un peu étrange, mais valorisante. Peu après l’homme se tient au garde-à-vous devant elle.
Impériale, elle tend sa botte, la pointe venant soupeser les testicules bien gonflés. Son soumis est tellement excité qu’il éjacule aussitôt sur le cuir noir qui contraste avec le blanc du sperme qui dégouline.
Oui, 486 sait très bien quoi faire…
La séance ne fait que commencer…
Ite missa est…
Ce soir, Pierre et Gert s’occupent tous les deux de Shania, Murielle étant restée à sa maison avec ses enfants. Comme Pierre avait franchi lestement le pas d’une façon assez unilatérale, Gert (avec l’accord de Shania) lui avait proposé de continuer sur sa lancée, à condition que Murielle soit d’accord.
Tandis que Shania se prépare dans la chambre conjugale, les hommes sont restés dans le salon à discuter. Gert remet la fameuse anecdote sur le tapis :
L’interjection est due au fait que Shania vient d’apparaître dans le salon. Elle est vêtue d’une façon classique, comme en pareil cas, c’est-à-dire un serre-taille qui laisse la poitrine libre et qui s’arrête au-dessus du pubis, le dévoilant sans complexe. Pour la facilité, pas de porte-jarretelles, mais des bas autofixants. À ses pieds, des talons aiguilles qui chaloupent sa démarche.
Tout ce petit monde a pris place sur le canapé qui a été recouvert d’une sorte de drap épais noir luisant, du simililatex, afin d’éviter certains soucis de salissure liés aux fluides. Celui-ci a fait plusieurs fois ses preuves, avec sa texture douce et non froide. Un tour dans la machine à laver, et hop, comme neuf !
Une main posée sur la fesse droite de son hôtesse, Pierre écarte posément le sillon fessier afin de mieux révéler l’œil rouge d’un rosebud déjà bien en place :
Comme Shania est en train de sucer Pierre, sa joue sur la cuisse de son amant, elle ne prend pas part à la conversation. Celui-ci continue :
Deux doigts plongés dans l’intimité largement ouverte de sa femme, le mari sourit :
Gert se contente de sourire :
Les deux hommes se positionnent au mieux, la soirée ne fait que commencer…
Ite missa est…
Depuis quelques jours, les défis journaliers sont réduits, Gert s’étant rendu compte que ce n’était pas toujours évident à mettre en place. De ce fait, la fréquence est tombée à un tous les deux jours. En contrepartie, ils sont parfois un peu plus élaborés ou épicés.
Sans oublier la sucette matinale évoquée par Pierre…
À quatre pattes dans le couloir, pantoufles entre les dents, Shania accueille son mari dans les règles de l’art. Toute nue, exception faite de ses bas en laine noire qui remontent à mi-cuisses, un collier canin au cou, avec une paire postiche d’oreilles sur ses cheveux qui la font un peu plus ressembler à une chatte qu’à une chienne, la brune excelle dans cette bienvenue.
Shania dépose les pantoufles devant son Seigneur et Maître :
Ce faisant, Gert constate très vite que sa femme a mis en elle un plug doté d’une queue plutôt chevaline que canine, cependant l’effort est méritoire et fort louable, il apprécie le geste et l’initiative, alors qu’il n’avait rien demandé de la sorte. Ce bel accueil lui donne illico des idées pour les jours à venir.
Gert ôte ses chaussures pour enfiler ensuite ses pantoufles. Les pieds maintenant au chaud, il décide de mettre une autre partie de son anatomie dans les mêmes conditions de chaleur. De ce fait, il déboutonne sa braguette. Quelques instants plus tard, sa verge bien raide est choyée par sa petite chienne domestique.
Il pourrait se laisser aller, ce ne serait certainement pas la première fois, mais Gert a une autre idée en tête et, comme sa femme semble en très bonne disposition, autant y aller de bon cœur, sachant qu’il faut savoir assouvir certains fantasmes, mais pas tous.
Il repousse délicatement la tête :
La suite se passe dans le salon, à quatre pattes, sur le tapis épais qui a déjà vu bien des choses. Si celui-ci pouvait parler, il raconterait de quoi remplir allégrement un roman…
Oui, c’est un peu étrange de baiser une femme-chienne munie d’une queue, même factice. Mais un peu de piment ne fait pas de mal, surtout si ça booste la libido ! Gert savait qu’il avait un penchant pour une certaine perversité, mais là, on dirait qu’une nouvelle porte s’est ouverte, non sur un cagibi, mais carrément sur un vaste jardin.
Mais pour l’instant, il y a plus urgent, comme se déverser dans cette belle chienne soumise…
Ite missa est…
Une grosse voiture trône au milieu d’un hangar. Assise sur une aile avant, vêtue de noir de la tête aux pieds, Shania se laisse peloter par Maxime. Elle est habillée et maquillée outrageusement d’une façon particulièrement pute (n’ayons pas peur des mots). Son haut est une sorte de veste courte et noire en vinyle, largement ouverte sur sa poitrine, ses jambes sont chaussées de cuissardes de la même matière et de la même couleur. Le bas du haut dévoile impudiquement une chatte glabre, si on excepte un tout petit triangle soyeux.
Maxime pose sa main sur le sein dénudé de Shania.
Shania est dubitative :
La brune s’exclame :
Maxime apostrophe son beau-frère :
Peu après, Shania contemple une vidéo qu’elle reconnaît, puisqu’elle est dessus. En effet, le traitement « Manga-Toon » dénature les traits, ou plutôt les embellit. Le résultat flotte entre l’animé et l’image de synthèse. Elle remarque quelque chose :
Bernard confirme d’un geste de la tête. Maxime reprend :
Une bonne semaine plus tard, le web et la collection personnelle de Shania s’enrichissent d’une nouvelle vidéo assez hard, qui recueille beaucoup d’avis élogieux, tant par sa qualité que ce qu’on peut y voir.
Ite missa est…
L’auteur pourrait faire très court en expliquant que la Saint-Jean fut une redite de l’Épiphanie, avec un coup de pouce supplémentaire, et clôturer cet épisode ainsi, laissant l’imagination des lectrices et lecteurs travailler.
Mais il convient d’en dire un peu plus, n’est-ce pas ?
Comme durant l’Épiphanie, les deux femmes se retrouvèrent très vite dans le plus simple appareil, c’est-à-dire quasiment entièrement nues, si on excepte leurs talons aiguilles et leurs bijoux. Murielle est toujours aussi glabre et Shania possède toujours un petit triangle pubien soyeux, mis à part qu’il semble avoir un peu rétréci.
Malgré la chaleur ambiante, elles ne se privèrent pas de se presser l’une contre l’autre, de se câliner, et même de se bisouter. Le tout sous l’œil très intéressé des deux hommes, qui n’en perdaient pas une seule miette, armés de leurs différents appareils photo, capables aussi de prendre des vidéos.
Chacun sentait bien que, cette fois-ci, ça n’allait pas en rester là et qu’une certaine étape risquait d’être franchie.
Ce qui est très rapidement le cas…
Assises toutes les deux sur leur mari respectif, les deux femmes se font face, cuisses largement écartées, offrant une vue imprenable sur leur chatte entrouverte, spectacle dont profite aussi l’homme d’en face qui sert de siège et de coussin. Gert se dit que c’est bien la première fois qu’il voit Martine si impudique, ce qui lui permet de continuer à rester raide sans effort. Pierre pense exactement la même chose en termes plus crus :
Ce double spectacle de l’intimité de l’autre femme ainsi révélée est fort utile pour maintenir les deux érections actuellement enfichées dans un conduit fort étroit. Bien que ce supplément d’aide n’est pas du tout indispensable, les deux hommes sachant fort bien se montrer rigides quand il le faut.
Tout a commencé de façon ludique, quand Gert a capturé sa femme pour l’asseoir sur lui. Celle-ci a aussitôt protesté en riant :
À la grande stupéfaction des trois autres personnes, Gert enlève prestement son pantalon et son caleçon, et l’instant d’après, aidée par un peu de beurre, Shania se retrouve empalée sur une verge dont elle connaît les moindres détails. Ne voulant pas être à la traîne, Pierre fait illico de même. C’est ainsi que naquit cette double scène…
Excitées par cette double enfilade, les deux femmes s’amusent avec le levier de vitesse qu’elles ont en elles, passant de la première à la seconde, puis la troisième et ainsi de suite. Quand elles arrivent à la dernière encoche, elles sont récompensées toutes les deux par une explosion liquide qui s’éparpille sauvagement dans leur intimité.
Une fois leurs maris vidés et épuisés, elles disparaissent en même temps dans la salle de bain pour se refaire une beauté, laissant les hommes en plan. Essoufflés, ceux-ci échangent quelques mots lapidaires :
Dix minutes plus tard, les deux femmes daignent exhiber leurs corps toujours nus dans la grande salle de vie.
Tandis que les hommes s’affairent en cuisine (ce qui change un peu de la routine), restée dans la salle à manger, Martine s’adresse à Shania :
Shania devient songeuse :
Shania se souvient alors de la première fois avec Pierre. Effectivement, c’est directement par là qu’il avait été se soulager. Sans parler de beaucoup d’hommes avec qui elle a baisé ; oui, baisé, car souvent, ce n’était pas faire l’amour. Contrairement à Gert. Elle pousse un gros soupir :
Puis elle se reprend très vite :
Le repas continue sans anicroche, l’ambiance étant à la fois détendue et électrique, les deux femmes nues y étant pour quelque chose.
Un peu avant le dessert, un petit trou normand est décrété. Pierre fait admirer dans son bureau divers ouvrages anciens à Shania. Celle-ci coupe court :
Sans complexe, Shania s’agenouille devant Pierre et déboutonne le haut du pantalon. Peu après, une verge bien raide et chaude occupe la bouche de la brune. Ravi de cette initiative, le barbu n’en demandait pas tant, mais il n’oppose aucune résistance.
Tandis que Shania est en train de soulager Pierre de sa haute tension, Murielle et Gert sont dans la cuisine. Le mari de sa copine à deux mètres derrière elle, la blonde s’affaire devant le plan de travail, ce qui fait vibrer son popotin, spectacle que Gert apprécie. Il se demande si ce mini-show est involontaire ou pas.
Ne cherchant pas trop à comprendre, Gert vient se plaque contre le dos de Murielle qui est toujours nue de la tête aux mollets, car il faut excepter ses chaussures à talons aiguilles. La blonde semble trouver naturel ce collé-collée. Enhardi, l’homme pose ses mains sur les hanches dénudées, puis les fait glisser sur le ventre de la femme afin que les doigts s’entremêlent au-dessous du nombril.
Gert décroise aussitôt ses doigts et fait glisser ses mains vers le haut, afin de capturer deux seins libres d’entrave :
Remuant du popotin, Murielle sourit :
Cette réponse fait glousser Murielle :
Gert se fait alors un plaisir de démontrer à sa partenaire cette maxime. Il n’est pas le seul, car un peu plus loin, Pierre a adopté la même démarche…
Inutile de s’étendre sur le sujet et retirons-nous à pas de loup…
Ite missa est…
Lors d’une levrette à quatre pattes sur le lit, Mickaël est en train d’entreprendre copieusement Shania. Comme jeu de rôle du jour, il a décidé de jouer les gros machos abrutis, tandis que sa partenaire joue les nunuches :
Ses coups de reins deviennent de plus en plus intenses :
Mickaël rigole :
Subissant toujours la grosse verge qui coulisse en elle, Shania réplique :
Toujours agrippé aux hanches de sa Blanche préférée, Mickaël demande :
Mickaël approuve sans réserve :
Les pistonnages deviennent de plus en plus puissants. Encore heureux que Shania commence à avoir l’habitude. Il est vrai que son amant l’a accoutumée progressivement, allant toujours un peu plus loin à chaque séance. Elle se demande encore comment toute cette longueur peut disparaître ainsi en elle. Ça tient du miracle ou de la magie !
Troublant ses cogitations, Mickaël demande :
La besognant toujours avec application, Mickaël reprend la parole :
Le beau Black continue de besogner la brune alanguie. Celle-ci demande :
Tout en continuant son pistonnage, après une brève réflexion, Mickaël demande :
Ralentissant un peu, Mickaël râle pour la forme :
Puis il s’active à nouveau dans les profondeurs de la brune. Quelques instants plus tard, à fond dans le scénario du jeu de rôle du jour, il déclame :
Secouée comme un prunier, Shania songe à tout le chemin parcouru. Jamais elle n’aurait cru aller si loin dans le libertinage et la débauche, mais c’est si bon ! Comme Gert n’est pas contre qu’elle aille voir un peu ailleurs, autant profiter des bonnes choses de la vie, non ?
Ite missa est
Comme Pierre est parti s’amuser chez une maîtresse, Murielle décide de passer à l’improviste chez sa copine. Gert lui ouvre la porte, vêtu d’un peignoir. Malheureusement pour elle, Shania n’est pas présente, elle est en train de s’amuser avec Mickaël. Quand elle l’apprend, la blonde constate :
Entendant ce prénom, Gert s’étonne :
Jouant son rôle d’hôte, Gert remplit les verres qu’il vient de poser sur la table. Saisissant le sien, Murielle demande :
Reposant son verre à moitié bu, Gert soupire :
Murielle scrute son interlocuteur :
La blonde se montre assez intéressée :
Quelques instants plus tard, Murielle et Gert sont tous les deux nus dans le Jacuzzi. La blonde soupire d’aise :
Ses deux bras sur le rebord du Jacuzzi, Gert sourit :
Coquine, Murielle glisse son pied entre les jambes de Gert pour venir taquiner son service trois-pièces. Restant flegmatique, le mari de Shania demande :
Tout en regardant fixement Gert, Murielle s’amuse à branler du pied la verge déjà dressée :
Pour toute réponse, Gert se lève et vient présenter sa verge toute raide et mouillée à la hauteur des lèvres de Murielle. Celle-ci n’hésite pas une seule seconde. Quelques instants plus tard, Gert a confirmation que Murielle n’est pas une débutante.
Shania n’est pas mauvaise dans cette partie, mais Gert doit reconnaître que Murielle semble être un cran au-dessus. Sans doute les gâteries qu’elle procure chaque matin à son mari, s’il faut en croire celui-ci.
En tout cas, Gert sent qu’il va avoir la joie de se vider dans une aussi bonne bouche et qu’il va se laisser aller sans complexe jusqu’à la dernière goutte !
Et ce n’est qu’un commencement…
Car après un, il y a deux.
Et que jamais deux sans trois…
Et caetera…
Gert est assis au fond du Jacuzzi. Lui faisant face, Murielle le chevauche, déjà empalée sur une verge bien enfouie dans son vagin, ses seins mouillés pressés sur le torse, dans les bras l’un de l’autre, enlacés dans un grand câlin. Entre deux paroles, ils s’embrassent un peu partout, sur le bout du nez, sur les joues, dans le cou, sans oublier bien sûr les lèvres.
Leur conversation roule sur divers sujets assez coquins :
Serrant toujours Murielle contre lui, Gert se met à rire :
Gert n’étant pas sourd, il ne faut pas le lui répéter deux fois !
Ite missa est…
Personne ne se rappelle plus bien qui a lancé le commencement du début de l’idée. À prime vue, après reconstitution par Gert qui possède une bonne mémoire, il semble que l’impulsion de départ soit due à Shania et que la balle ait rebondi entre les différents participants.
L’idée était néanmoins dans l’air, la Saint-Jean étant passée par là.
Résultat, pour cette sortie, les deux couples ont permuté, Shania avec Pierre et Murielle avec Gert, la mission étant que personne d’autre ne se doute de quoi que ce soit. Le choix s’est donc porté sur un restaurant dansant assez éloigné des deux foyers dans lequel aucune des quatre personnes n’a mis le pied. Il est vrai que cet établissement est assez récent.
Avant d’y mettre les talons aiguilles, Murielle affiche un petit sourire crispé :
Visiblement, les quatre nouveaux arrivants ne découvrent aucune tête connue. Cependant, ils s’installent sur une table un peu à l’écart, afin de minimiser les risques. Une fois posés, ils se comportent comme deux couples normaux restés intimes, mis à part que Shania est avec Pierre et que Murielle est avec Gert.
Le plus singulier est que ça se passe sans anicroche, sans jalousie, comme s’il en avait toujours été ainsi depuis des années. Constatant ce fait, Gert songe pour lui-même :
Quand vient le moment d’aller sur la piste de danse pour profiter des slows, les deux faux couples se laissent joyeusement aller. Avide, Pierre n’hésite pas à mettre la main aux fesses de sa partenaire, tandis qu’ils ondulent en mode collé serré. Gert est plus mesuré, mais Murielle comprend très vite que c’est surfacique. En effet, leurs deux corps s’épousent dans leurs moindres reliefs, et la blonde n’ignore absolument pas un certain indicateur bien dur contre son bas-ventre.
Au sein de chaque couple, les propos murmurés à l’oreille ne sont pas tout à fait identiques. Du côté de Shania et de Pierre, le ton est plus direct. En témoigne cet extrait relativement sage :
Quant à Murielle et Gert, le dialogue plus imagé, mais peut-être finalement plus pervers.
Les couples alternent les séjours autour de la table et ceux sur la piste de danse. Personne n’a remarqué quoi que ce soit concernant la permutation, les serveurs sont dupes. Tout se passe très bien, les pessimistes par nature diront que ça se passe trop bien.
Plus tard dans la soirée, Shania repart avec Pierre, tandis que Murielle repart avec Gert. Il est certain que la nuit n’est pas finie pour chacun des deux couples qui ont encore beaucoup de choses à découvrir…
Ite missa est…