n° 22878 | Fiche technique | 20491 caractères | 20491 3436 Temps de lecture estimé : 14 mn |
16/01/25 |
Résumé: Divorcées ou délaissées, des femmes combattent la déception amoureuse par une sexualité débridée. | ||||
Critères: #rupture #personnages #libertinage #bourgeoise #fellation fh 2couples fplusag couleurs inconnu collègues grossexe groscul vacances hotel boitenuit danser fête vengeance nudisme noculotte fellation pénétratio fsodo hdanus échange | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Sophia
Sophia venait d’atteindre la quarantaine et, à son grand désespoir, elle était toujours célibataire. Ou du moins, sans liaison sérieuse et durable. Cette beurette au visage lisse et avenant, aux rondeurs maîtrisées par une activité physique dans les salles de sport (un peu trop épisodique), hôtesse d’accueil de profession, s’était longtemps contentée d’une vie libre et légèrement dissolue, ne crachant ni sur l’alcool ni sur les parties de jambes en l’air avec divers partenaires amateurs de peaux ambrées et de chevelures sombres.
Sa seule liaison avouée était celle avec Max, plus âgé qu’elle, un libertin qui la sautait quand elle était en manque de sexe, rançon de son célibat assumé. Il n’était pas question pour Sophia de vivre avec lui, mais il n’en avait pas moins une certaine emprise sur elle, car il connaissait ses points faibles. Formidablement sensuelle comme souvent les beurettes, il suffisait qu’il prenne de ses nouvelles de temps en temps, à des fins intéressées, pour qu’elle accoure vers lui, d’autant qu’il était doté d’un membre viril hors norme qui la conduisait à tous les coups vers l’orgasme.
Mais Max adorait aussi la voir baiser avec d’autres. C’est pourquoi il l’avait entraînée à plusieurs reprises dans un club échangiste où elle avait pu donner libre cours à son tempérament de feu pour l’enchantement de ses partenaires d’occasion. Nympho, Sophia ? « Pas du tout, j’aime la bite, c’est tout » répondait-elle lorsqu’on la titillait sur le sujet. Et de fait, contrairement aux nymphomanes, elle jouissait vraiment, sans simuler. Et faisait jouir.
Mais le temps avait passé et si son corps restait attrayant, quoique légèrement plus enveloppé, sa mentalité avait changé. Elle ne cherchait plus le mâle, mais l’homme. Elle s’inscrivit sur un site de rencontre supposé sérieux pour trouver le compagnon idéal. Elle crut le trouver à deux reprises. Le premier sortait d’une liaison ratée et il tapa dans l’œil de Sophia pour son physique sec et musclé ainsi que pour sa volonté de trouver l’âme sœur. Éloigné, il correspondait avec elle par internet en lui promettant un rendez-vous qui néanmoins se faisait attendre.
Ces échanges ne tardèrent pas à tourner aux promesses érotiques. Son amant virtuel lui montra en photo sa queue en érection, Sophia son cul et ses seins charnus, juste ce qu’il faut. C’était tellement chaud qu’ils finirent par se masturber en s’écoutant au téléphone. Quand enfin, après plusieurs semaines, ils se retrouvèrent physiquement dans un hôtel, ils allèrent directement au lit pour savoir s’ils étaient vraiment faits l’un pour l’autre.
Sophia se montra égale à elle-même, sensuelle et vicieuse à la fois, mais l’homme se révéla nettement moins viril que ses promesses iconographiques. Un peu déçue, mais compréhensive, Sophia lui arracha la promesse d’un nouveau rendez-vous plus convaincant. Mais il n’arriva jamais. Le type la congédia d’un texto, la laissant désemparée et très pessimiste sur ses possibilités de séduction future.
Après une période de déprime, elle se remit à la tâche, non sans être passée entre temps avec Max au club échangiste pour assouvir ses pulsions érotiques, demeurées intactes, pour le plaisir du voyeur qui l’accompagnait.
La nouvelle conquête se disait Américaine, également en recherche de liaison durable. Même scénario, mêmes échanges très chauds, mêmes nudités exposées et même rendez-vous. Le gars s’y était tellement bien pris que Sophia en était devenue follement amoureuse, alors que leurs rencontres n’étaient que virtuelles. Ils avaient même programmé des vacances ensemble. Quand enfin ils finirent par se retrouver, ils baisèrent avec ardeur. Sophia se donna à fond comme une femme amoureuse et, cette fois, l’homme fut à la hauteur. À l’évidence, il goûtait le corps pulpeux de la beurette au point qu’ils firent largement le tour de la question lors d’une nuit où ils dormirent peu. Ils se quittèrent au petit matin avec promesses de retrouvailles. Mais celles-ci n’en finissaient pas d’arriver et l’Américain se faisait de plus en plus silencieux. Puis carrément absent. Sophia avait compris. Elle s’était fait rouler dans la farine par un mec qui en voulait uniquement à son cul si chaud. Un prédateur de site de rencontre.
Max l’avait pourtant prévenue. « Ne t’emballe pas pour un inconnu », lui avait-il répété. Et de lui proposer à nouveau l’exutoire du club échangiste. Mais cette fois, elle refusa tout net. « Tout cela ne m’intéresse plus. Je veux un mec pour la vie. Et si je dois la finir seule, tant pis ! »
En d’autres temps, l’hôtesse d’accueil à la cuisse dodue et légère aurait peut-être fini au couvent. Mais son vœu de chasteté en faisait une nonne séculière. Tout en espérant, au fond d’elle-même, qu’un jour un homme, un vrai, saurait la conduire, pourquoi pas à l’autel.
Maud
À 45 ans, Maud pouvait encore être considérée comme une jolie femme. Vraie blonde, visage poupin, grande, mince et souple comme la volleyeuse de compétition qu’elle avait été dans sa jeunesse, personne de sensé n’aurait pu imaginer qu’elle avait été larguée par son médecin de mari, même pour une fille de vingt ans. Cette mère de trois enfants, typiquement bourgeoise, dont deux volaient désormais de leurs propres ailes, prit donc un coup terrible sur la tête quand l’évidence du divorce se fit jour.
Bénévole dans une association humanitaire, elle reçut aussitôt le soutien de ses amis, en particulier de Caroline, une femme de son âge, aussi brune que Maud était blonde. Elle l’engagea à réagir au plus vite, à ne pas se morfondre dans son nouveau statut de femme trompée et délaissée et de profiter de sa séduction intacte pour repartir du bon pied. Maud devait toutefois compter avec la présence à ses côtés de sa fille Lucie, encore mineure, dont elle avait la charge en accord avec son ex-mari.
Mais quand celui-ci la prit avec lui pour son temps de père durant des vacances scolaires, Maud décida d’acheter un billet d’avion pour Ibiza. Son but était clair : s’amuser, se défouler, danser et, si possible, baiser, dans un lieu connu pour être très permissif. Le fait que son mari l’ait quittée pour une fille plus jeune et supposée plus ardente au lit avait constitué sa véritable humiliation. Car le sexe, elle avait toujours aimé ça et s’était parfaitement accordée sur ce plan avec son ex, du moins le croyait-elle. Elle voulait vérifier qu’elle était encore capable de prendre et donner du plaisir en étant « open ». Caroline, très portée pour sa part sur le sexe conjugal, l’encouragea malgré tout dans ce sens. « Baise, ma chérie, baise et reviens-moi comme avant ! ».
Les premiers jours à Ibiza, elle se sentit un peu décalée dans cet univers de jeunesse insouciante. Elle fit tout pour se rajeunir en découvrant son corps dont elle n’avait pas honte, avec ses seins encore fermes et ses jambes fuselées. Débardeurs et mini-shorts devinrent ses tenues fétiches lorsqu’elle dansait au milieu de filles qui n’étaient pas toutes, loin de là, aussi gâtées par la nature. Et ce qui devait arriva : elle se fit draguer.
C’était un Allemand blond aux yeux bleus, prénommé Klaus, d’à peine trente ans. Ils se parlèrent en anglais, dansèrent puis dînèrent ensemble et finirent logiquement par coucher ensemble. En entrant avec lui dans sa chambre d’hôtel, Maud avait le trac. Serait-elle à la hauteur ? Elle n’avait pas eu de rapport sexuel depuis plusieurs semaines, peu de temps avant sa rupture que l’ex-mari avait tenté de camoufler dans le lit conjugal.
Mais le jeune homme savait y faire. Il était à Ibiza pour baiser et Maud n’était pas la première conquête de son séjour. Alors qu’elle voulait éteindre la lumière, il insista pour la laisser allumée. Il lui dit qu’il aimait son corps, « I like your body », ce qui mit Maud en confiance.
Ce fut un coït endiablé comme Maud n’en avait pas connu depuis longtemps. Il la pilonna, elle le chevaucha, il la prit par derrière et, manifestant son désir pour ses fesses plates, l’encula, lui offrant une sensation qu’elle avait oubliée depuis que son entraîneur de volley l’avait sodomisée au temps où il était son amant initiateur. Elle dormit peu cette nuit-là, trop heureuse de retrouver la sensation de l’orgasme avec un authentique baiseur qui la comblait de sa grosse bite.
Elle dormit jusqu’à midi, un peu mâchée de l’intérieur, mais heureuse d’avoir joui et fait jouir. Et bien décidée à recommencer pendant le reste de son séjour. Y compris avec un autre que Klaus, tant qu’à faire.
Son amant suivant fut de fait un bel Andalou prénommé Juan, rencontré sur la piste de danse, aussi brun que Klaus était blond, mais tout aussi membré. Libérée, Maud fut encore plus cochonne, léchant couilles et anus, ce qui eut le don de survolter l’andalou, trop heureux d’être tombé sur une « femme qui baise », remuant bien plus son cul que sa dernière conquête. En dehors du lit, il la promena dans l’île, se baigna avec elle sur une plage naturiste où il la baisa au clair de lune, la veille de son départ, tant et si bien qu’à l’heure du retour, Maud eut la sensation d’avoir été gavée de sexe.
Caroline la retrouva transformée, rayonnante, presque nonchalante, l’œil vif et une petite moue satisfaite, loin du rictus de dépit d’avant son séjour.
Elle répondit par un gloussement, avant de confier à son amie les détails qu’elle attendait.
Quelque temps plus tard, après deux nouvelles expériences sexuelles sans lendemain, elle se lia avec un homme de cinquante ans, divorcé lui aussi, qui lui offrit le sentiment de sécurité dont elle avait besoin tout en lui donnant le plaisir auquel elle aspirait aussi. Une nouvelle vie commençait.
Sandy
Elle s’appelait Sandrine, mais se faisait appeler Sandy pour faire plus jeune et plus branchée. Car à 54 ans, son âge la tracassait, d’autant plus que sa fille de vingt ans, Laura, vivait avec elle et l’avait préférée à son père. C’est pourtant Sandy qui avait rompu en raison des infidélités répétées de Patrick, son mari. Décision difficile qui lui avait beaucoup coûté moralement, sinon financièrement, car fort heureusement, son travail dans un magasin d’optique lui accordait une certaine indépendance économique.
Et pourtant, Sandy avait tout fait pour conserver son couple en l’état. Elle aimait vraiment son mari. Elle avait cédé aux caprices sexuels de Patrick qui l’avait entraînée dans des clubs échangistes ou des saunas libertins, voire des plans à quatre chez l’habitant « pour sortir de la routine », justifiait-il, ce qu’elle acceptait. Au moins avait-elle développé sa « culture de sexe » dans ces ébats à plusieurs, mais cela lui faisait une belle jambe à 54 balais, un âge où on n’attire plus vraiment les hommes, sauf des imbaisables.
D’autant que Sandy avait pour beaucoup un handicap : elle mesurait 1 m 78. Le paradoxe est qu’elle attirait les types de petite taille, « verticalement contrariés », rigolait-elle. Sa tête blonde coupée au carré culminait trop haut pour les hommes cherchant à dominer, même si ses longues jambes fines attiraient leur regard. Trop grande, trop maigre, trop indépendante, elle en avait pris son parti et se serait résignée à sa situation si… quelque chose dans sa nature s’était révélé qu’elle n’attendait pas.
Ce quelque chose l’assaillait en particulier au printemps avec la montée de sève. C’était l’envie de baiser, tout crûment. Pas de faire l’amour, non. De baiser. L’envie d’une bonne partie de cul bien crue, bien cochonne, histoire de faire péter ses hormones une bonne fois et de passer à autre chose. Un temps où elle s’habillait très court pour mettre ses gambettes en valeur, un temps où elle se passait de soutif pour laisser ses petits seins pointer sous ses corsages, un temps où elle regardait les hommes dans son magasin d’un drôle d’air, trouble et aguichante, mais ils étaient rarement comestibles, à sa taille, et ceux qui l’étaient se trouvaient accompagnés.
Le printemps était aussi celui de la fête pour Laura, copie conforme de sa mère au physique. Elle accumulait les « copains » et trouvait le temps de les inviter chez elle, avec l’accord de sa mère. En l’entendant faire l’amour dans sa chambre, Sandy sentait son bas-ventre en fusion. Laura avait fini par comprendre que sa mère était aussi une femme. Elle organisa une fiesta à domicile avec plusieurs gars d’une vingtaine d’années, rigolards, décontractés et un tantinet lubriques, plus ou moins accompagnés de leur dulcinée du moment.
Mini-jupée, Sandy se multiplia en tant qu’hôtesse et restauratrice. Elle enregistra l’intérêt qu’elle suscitait auprès d’un des potes de Laura, un dénommé Mike, un brun ossu de 1 m 85, visiblement fasciné par ses jambes. Ils se rapprochèrent durant la soirée, se livrèrent à des conversations en aparté, rirent ensemble, tant et si bien qu’au cœur de la nuit, il ne restait plus que deux couples en présence : celui de Laura avec Jordan, son copain du moment, Sandy et Mike.
Laura et Jordan ne tardèrent pas à aller au lit et les premiers bruits de leur accouplement arrivèrent aux oreilles des deux autres. Mike embrassa Sandy sur le canapé et glissa sa main sous la mini-jupe tandis que les cuisses longues s’écartaient comme par réflexe. Débraguetté par l’hôtesse, le jeune homme se retrouva englouti par une bouche vorace d’affamée de sexe. La queue à l’horizontale, il se laissa entraîner dans la chambre de Sandy, la découvrit à poil, longiligne et ouverte en grand. Il la pénétra d’un coup de toute sa longueur, proportionnelle à sa taille, encerclé par ses jambes comme par des tentacules.
C’était un gars de vingt-cinq ans, dur et endurant. Sandy n’eut pas besoin de crier « encore, encore », comme souvent les femmes qui baisent et craignent une éjaculation précoce. Il la baisa pendant près d’une heure, trop heureux de trouver une belle salope qui lui mettait le doigt dans le trou du cul, lui léchait les couilles et lui tendait sa croupe pour qu’il l’encule.
Laura et Jordan en avaient terminé alors que la mère et son jeune amant baisaient encore, ce qui excita la curiosité du jeune couple. Sur le pas de la porte, la fille croisa le regard de Sandy en train de se faire prendre en travers du lit en levrette, le sourire aux lèvres entre deux onomatopées de plaisir, et en fut rassurée. Car c’était son plan. Que sa mère redevienne femme.
Cette soirée marqua un tournant dans la vie de divorcée de Sandy. Il fut vite acquis, dans le milieu estudiantin de Laura, que sa mère était « une femme qui baise ». Mike ne fut pas exclusif. Il eut des successeurs tout aussi membrés et endurants, car Sandy éprouvait désormais un goût prononcé pour les jeunes queues. Ces garçons lui apportaient ce qu’elle voulait. Non pas une autre vie de couple, dont elle s’était définitivement exemptée, mais une vie sexuelle ardente, intense, qui la faisait redevenir jeune dans son esprit et embellissait sa peau.
L’amusant de l’histoire est que son ex-mari en conçut une vive amertume. Lassé de sa « fiancée », il tenta de renouer avec son épouse trompée. Et il s’entendit répondre, à son grand désappointement :
Marjorie et compagnie
À l’âge de 37 ans et près de dix ans de vie de couple, Marjorie avait décidé, en commun accord avec son compagnon, de reprendre sa liberté. « Nous n’avions plus rien à nous dire », expliquait-elle à sa collègue et amie Marie ; légèrement plus âgée, mais également en phase de rupture. La difficulté pour elles était désormais de concilier cette nouvelle liberté avec une vie de mère à temps partiel, période de garde au père oblige. Mais quand celui-ci prenait la fille de Marjorie en charge, tout comme l’ex de Marie, les deux amies en profitaient pour « faire la fête ». Elles avaient leurs habitudes dans un bar dansant où elles débarquaient court vêtues et décolletées, badigeonnées de « trompe couillon », histoire de préciser à la gent masculine présente qu’elles étaient « open ».
Brunes toutes les deux, elles affichaient une certaine ressemblance, Marjorie étant cependant plus fessue que Marie, au corps filiforme. Plutôt jolies, la première présentant un type espagnol prononcé, elles ne tardaient pas à se faire courtiser, à se faire offrir des mojitos, et in fine à se faire raccompagner un peu pompettes dans l’un des domiciles, libéré de progéniture. Marjorie et Marie se faisaient baiser dans deux chambres séparées, n’étant pas assez coquines pour un véritable plan à quatre. N’empêche que l’une et l’autre pouvaient entendre les cris de plaisir poussés par la collègue dans la chambre voisine, étant du genre à vocaliser leurs orgasmes, ce qui augmentait leur complicité et leurs plaisanteries une fois revenues à leur célibat. Elles évoquaient alors en détail leurs ébats, comparaient les capacités de leur amant d’un soir et ce qu’elles leur avaient offert, Marjorie s’obstinant à refuser la sodomie malgré l’attrait de son cul « parce que ça me fait un mal de chien », alors que Marie « faisait tout ».
Elles se trouvaient donc dans une phase classique où deux jeunes femmes récemment divorcées ou séparées éprouvent le besoin de multiplier les expériences sexuelles, comme si elles voulaient rattraper le temps perdu dans la conjugalité. Elles ne se posaient pas de question et baisaient, encore en capacité de choisir leur partenaire d’un soir. Aussi, quand une autre collègue, prénommée Coralie, leur annonça en pleurant que son compagnon venait de la quitter « pour réfléchir », elles l’incitèrent à les accompagner dans leur chasse mensuelle.
Solidement charpentée, Coralie, également trentenaire, ne regardait que les hommes baraqués. Loin de chercher à se concurrencer, les trois collègues s’encourageaient à se faire emballer, ce qui finit par décoincer Coralie. Le discours de Marjorie était simple quand un type entreprenant lui proposait, après plusieurs danses et mojitos, « d’aller chez elle » :
L’homme n’avait pas trop de difficultés pour trouver de l’aide. C’est ainsi que, dès sa première sortie, Coralie hérita chez Marjorie du canapé avec son chevalier servant, un gars au gabarit de videur, tandis que Marjorie et Marie se faisaient mettre dans les deux chambres habituelles. En manque de sexe depuis sa rupture, Coralie oublia complètement son ex pour offrir au gaillard toute la gamme de son savoir-faire avec un vice qui l’aida à recharger, à tel point qu’on baisait encore sur le canapé quand on roupillait dans les deux chambres.
C’est donc une Coralie redevenue radieuse et enjouée que ses collègues emmenaient déjeuner les jours suivants à la cafétéria de l’entreprise. On gloussait devant le plateau-repas en envisageant déjà la prochaine soirée.
Delphine, une rouquine qui venait également de rompre, s’associa au trio, mais avec une différence de taille. Dégoûtée « des mecs », elle visait désormais les femmes et, cette fois, fit bande à part en pistant une beurette dans le bar dansant tandis que les trois autres se faisaient raccompagner pour de nouvelles parties de jambes en l’air.
Une nuit, Marie se retrouva dans le même lit que Marjorie avec leur serviteur du soir, ce qui permit aux deux collègues de s’observer dans le plaisir et même, dans le feu de l’action, d’échanger leur partenaire. D’où de nouveaux commentaires post-coïtum qui ne firent qu’ajouter à leur intimité réciproque.
Mais cette sexualité débridée ne pouvait pas durer éternellement. Il arriva un moment où toutes les trois éprouvèrent le besoin d’une liaison plus durable. La première à y céder fut Coralie, avec un amant d’un soir qu’elle voulut retrouver en privé parce qu’il avait fait mieux que la faire jouir.
Puis Marie s’amouracha d’un collègue également divorcé, si bien que Marjorie se retrouva seule dans le bar dansant. L’esprit n’y était plus. Elle avait l’impression d’être devenue une pute cherchant le client. Elle se défoula dans une salle de sport et finit par trouver chaussure à son pied. Les assiduités d’un motard tatoué brisèrent son vernis libertin. Il la promena sur sa moto, elle y prit goût et, comme il la baisait bien (sans la sodomiser), elle finit par l’accepter dans son antre, y compris en présence de son adolescente de fille.
Combien de temps cette liaison dura, l’histoire ne le dira pas. Mais quand la quarantaine approche, une certaine raison se fait jour. Jusqu’au jour où le sexe l’emporte sur elle.