n° 22891 | Fiche technique | 49465 caractères | 49465 8643 Temps de lecture estimé : 35 mn |
24/01/25 |
Résumé: Une femme fait un point sur sa vie | ||||
Critères: #chronique #psychologie #initiatique #initiation #rencontre #couplea3 #bourgeoise #lesbienne #bisexuel #domination #masturbation fh ffh couple vacances piscine noculotte fellation cunnilingu anulingus 69 | ||||
Auteur : BVT Envoi mini-message |
« Bon, voilà, il fallait bien que cela arrive, j’ai cinquante ans. »
Juliette ne peut s’empêcher de se faire cette réflexion, elle est pourtant occupée à faire une douce fellation à son compagnon de nuit.
« Qu’est-ce qui me prend de penser à ça maintenant, alors que je fais passer un bon moment à ce mec ? Comment s’appelle-t-il déjà ? »
Pour fêter son anniversaire aujourd’hui, elle s’est fait un petit plaisir hier soir. Elle est rentrée dans un bar sympa pour se trouver un mec capable de lui faire passer un bon moment. Elle avait mis tous les atouts de son côté, petite jupette courte, mais pas trop, chemisier transparent, mais raisonnablement, maquillage léger, juste ce qu’il faut, talons aiguilles, mais pas trop haut.
Installée au bar devant un Martini blanc, elle n’aura attendu que quelques minutes pour qu’un premier gars l’aborde. Bien fait de sa personne, le premier contact a été positif, mais, quand il a commencé à la draguer, il a fait chou blanc. Une espèce de macho, certain de la faire jouir comme elle n’a jamais joui avec sa « queue à faire pâlir la plupart des acteurs pornos du monde », enfin, selon lui. Par contre, dans la salle, elle repère un grand baraqué qui semblait être bien à son goût. Bon, il est certainement un peu trop jeune pour elle, mais elle n’en a cure, elle va tenter sa chance. Quelques petits regards appuyés, un petit sourire provocateur ; et voilà notre bonhomme ferré. Il l’a rejointe au bar, lui a offert un autre verre, et quelques discussions plus tard, elle lui a proposé de venir finir la soirée chez elle.
Son flair lui a une nouvelle fois permis de tirer un bon numéro. Il a été parfait. Il a su prendre son temps pour la faire monter progressivement. Après de longs préliminaires qui l’ont fait jouir deux fois, il a fini par s’équiper pour la prendre avec juste ce qu’il fallait de bestialité pour l’envoyer une nouvelle fois dans un état secondaire.
Après ce premier round, il ne lui a fallu qu’un verre d’eau et une douche pour retrouver la forme, l’emmenant encore plus loin dans la luxure.
Alors, ce matin, il a bien mérité sa petite gâterie. Elle l’achève en lui titillant l’anus tout en l’avalant profondément. Elle réussit à le mettre dehors non sans lui avoir, éventuellement, laissé une chance de revenir.
« Finalement, je dois bien admettre que j’ai une belle vie ! OK, j’ai cinquante ans, mais de toute façon, je ne peux rien y faire, alors, regarde ce qui est bien et laisse le reste, ma cocotte. »
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Née dans une famille modeste, mais unie, Juliette a toujours eu pour ambition de se sortir de ce milieu social, certes sympathique, mais pas très glamour. Son papa, ouvrier dans les travaux publics, et sa maman, femme de ménage, lui ont toujours donné envie de travailler à l’école pour réussir. Et, contrairement à beaucoup, elle a toujours appliqué leurs conseils. Tous les niveaux scolaires ont été franchis avec réussite.
Même au lycée, à quinze ans, quand elle a connu ses premières pulsions, aucune n’a réussi à la faire sortir de son programme.
Sur les conseils de sa cousine, elle a voulu savoir faire de belles fellations afin d’éviter de passer à la trappe. Elle a appris avec son premier petit copain, mais, une fois qu’elle maîtrisait parfaitement la technique, elle a multiplié les rencontres. Rapidement, elle a eu une sacrée réputation et tous les mecs ou presque voulaient passer entre ses mains, ou plutôt entre ses lèvres.
Quelques jours avant la soirée qui marquait la fin de la première année, elle a enfin décidé de perdre sa virginité. Bien que son partenaire avait de l’expérience et a été attentionné, elle n’en a pas tiré un grand plaisir, sauf quand elle l’a sucé pour le remettre en forme. Elle a bien tenté de renouveler l’expérience avec lui ou d’autres, elle est toujours restée sur sa faim. Elle jouit plus seule qu’avec un partenaire. Elle ne connaît pas l’orgasme comme le décrivent certaines de ses copines.
Après en avoir discuté avec une bonne amie, celle-ci lui a conseillé de tester les filles en commençant par elle, tant qu’à faire. Bien qu’agréable, elle n’en a pas forcément tiré de conclusion définitive. Cela ne l’a pas empêchée de retenter l’expérience avec d’autres compagnes, mais toujours avec la même conclusion.
Bac en poche avec mention, elle a été acceptée en première année de médecine. Il a fallu louer un studio, alors, pour soulager ses parents, elle a pris un boulot de caissière dans la supérette du coin, mais ce n’était pas suffisant pour s’en sortir correctement. Quelque temps plus tard, une troisième année de DE (diplôme d’état) de kiné, lui a proposé de la rejoindre dans le salon de massage dans lequel elle officie depuis deux ans. Après plusieurs jours de réflexion, elle a fini par accepter de venir voir.
La patronne était super exigeante, mais très protectrice avec ses employés. Les rapports sexuels avec pénétration sont strictement interdits, la seule chose qu’elle tolère, c’est une finition manuelle, mais uniquement avec le consentement de la masseuse ou du masseur, aucune obligation.
Après une semaine de formation en binôme, elle a pris de l’aisance et a donné toute satisfaction à ses premiers clients et clientes. Elle s’est rapidement fait une belle clientèle faisant le bonheur de sa patronne, mais aussi de son portefeuille.
Première année validée, elle n’a eu aucun mal à être acceptée dans la formation de son choix, kinésithérapeute. Grâce à son travail de caissière, elle a la possibilité de remplir son frigidaire à moindre coup, les employés étant prioritaires pour les produits à dates courtes. Mais aussi, la supérette lui permet de faire de belles rencontres, dont celle d’un vieux monsieur très gentil. Pour lui faire plaisir, elle a accepté de passer une soirée avec lui « en tout bien, tout honneur ». Ils se sont rencontrés plusieurs fois. Un jour, pour le remercier pour sa gentillesse, elle lui a proposé une petite gâterie à la fin du repas, qu’il s’est empressé de refuser.
Elle a utilisé son regard de biche le plus tendre pour faire sa demande. Bien entendu, le vieux monsieur a tenté de résister, mais, quand elle s’est approchée et a commencé à le caresser, il a craqué et l’a laissée faire. Il a bien eu raison, elle a été fantastique. Jamais de sa vie, il n’avait passé un tel moment, surtout qu’elle l’a gardé en bouche bien qu’il l’ait prévenu qu’il n’arrivait plus à résister. Juliette a joui en recevant le précieux liquide sur sa langue, mais ça, elle seule le sait.
Non seulement elle l’a revu à plusieurs reprises, mais, en plus, elle a fait la connaissance de quelques-uns de ses amis. Aucun d’eux n’a eu l’incorrection de lui proposer de l’argent ou de demander plus que ce qu’elle leur offrait. Par contre, ils ont pris l’habitude de lui faire, régulièrement, un petit cadeau : vêtements, sous-vêtement, chaussures, bon pour un coiffeur, esthéticienne.
Son boulot de masseuse lui a permis de se perfectionner à un point tel que sa patronne, un jour, lui a proposé de faire des massages peau sur peau. Grâce à cette nouvelle compétence, elle a encore augmenté ses revenus.
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Au cours de sa première année de kiné, elle devait faire un stage professionnalisant. Elle a fait une demande auprès du club de rugby de la grande ville voisine. Ils ne sont pas dans l’élite, mais quand même semi-professionnel. Pourtant, lors de l’entretien, les dirigeants ont été plutôt sceptiques, « comment un bout de bonne femme comme ça peut-il s’occuper de grands bonhommes comme eux ? » Mais ils ont décidé de lui donner sa chance.
Le stage lui a beaucoup apporté. Elle a donné toute satisfaction aux masseurs titulaires au point de se voir proposer une place lors d’un stage hautes performances de quinze jours fin août en montagne pour préparer la saison suivante. La belle aubaine, elle sera payée pour partir en vacances et masser des beaux gosses deux fois par jour.
Les premiers jours se sont déroulés normalement, elle faisait mine de ne pas voir les bosses sous les serviettes lors des manipulations, mais elle doit bien reconnaître que certaines l’ont tentée. Elle était tellement excitée le soir qu’elle devait se soulager pour pouvoir s’endormir. Elle en a discuté avec le responsable du stage, qui lui a dit qu’elle était suffisamment grande et expérimentée pour savoir ce qu’elle avait à faire ou pas.
Le lendemain, elle devait manipuler un trois-quarts de mêlée. Il avait à peine vingt-cinq ans, une montagne de muscles avec une gueule d’ange. C’est la première fois qu’elle le massait, d’habitude, elle s’occupe plus des « petits », les ailiers, demi d’ouverture.
Après le massage de la face arrière, il s’est retourné. Elle a été impressionnée par le chapiteau fait par la serviette. En faisant les jambes, elle est remontée de plus en plus haut sous le linge, jusqu’à finir par frôler un premier testicule. Il a bien eu une réaction due à la surprise, mais n’a rien dit ni fait pour la dissuader de continuer. Alors, elle a viré la serviette et l’a branlé en utilisant tout son savoir. Il n’a pas tenu longtemps. Sans un mot, elle a tout nettoyé et a repris son travail sur le haut du corps. Puis elle s’est positionnée au bout de la table, côté tête, pour terminer par le cou. Mais elle ne résiste pas, elle finit par plus le caresser que le masser. Finissant par presque lui poser sa poitrine sur le visage pour atteindre son ventre. Trop petite, elle monte sur sa chaise, ensuite sur la table, pour venir poser son string sur le visage du sportif. C’est là que tout est parti en vrille. Il lui a ouvert sa blouse avant de la mettre totalement nue. Après un bon moment en soixante-neuf, elle a joui. Une fois remise, elle avait trop envie de s’empaler sur ce sexe qui la narguait fièrement. Elle est descendue sur son corps jusqu’à positionner le beau gland à l’entrée de son intimité et, lentement, elle est descendue. Quand il a voulu bouger, elle lui a intimé l’ordre de ne rien faire. C’est elle qui s’est fait jouir, à son rythme, comme elle avait envie. C’est à ce moment qu’elle a enfin connu son premier vrai orgasme avec un partenaire.
Rapidement, ses « qualités » ont fait le tour de l’équipe et quelques autres coéquipiers ont souhaité profiter de ses faveurs. Elle a bien tenté de revivre l’expérience avec certains, mais sans la même réussite. Elle a donc réservé son corps à son athlète préféré, se contentant de branler et de sucer ceux qui en avaient envie et seulement si elle le souhaitait.
Elle s’est même surprise à prendre énormément de plaisirs avec un « gros ». Le talonneur titulaire, un monstre de plus de cent vingt kilos de muscles, avec un sexe de taille correct, mais le plus gros gland qu’elle ait jamais vu jusqu’à ce jour. Quand elle l’avait en bouche, elle avait l’impression d’avoir une balle entre les lèvres.
De retour aux études, toujours aussi sérieuse et travailleuse, elle a validé sa deuxième et troisième année malgré ses deux boulots. Elle serait bien incapable de dire combien d’hommes elle a branlés, ou sucés. Par contre, elle n’a offert son corps qu’à très peu depuis son premier orgasme. Elle a fait quelques tentatives, mais n’atteint l’extase que quand elle leur grimpe dessus et qu’ils se laissent faire.
Toutes les autres positions ne lui permettent jamais d’arriver au sommet. Elles sont parfois agréables, plaisantes ou même dérangeantes. Mais généralement, elle prend plus de plaisirs à les branler et à les sucer.
Sa dernière année fut une simple formalité. À vingt-trois ans tout juste, elle est convoitée par un grand nombre de cabinets, de clubs de sport et même de fédérations.
Dix ans plus tard, des corps, hommes et femmes confondus, elle en a vu, elle en a touché, manipulé, massé, caressé, léché et sucé, mais rarement baisé. Elle tire énormément de plaisir à les faire jouir, mais elle n’atteint le nirvana que dans une seule condition, et toujours la même : elle a besoin de dominer sa monture pour atteindre l’orgasme.
Elle a rapidement compris qu’elle ne voulait en aucun cas fonder de famille, même juste vivre en couple lui semble impossible. Alors, elle a continué son petit bout de chemin, profitant de la vie et des opportunités pour son développement personnel.
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Sa vie sexuelle a basculé de façon totalement inattendue pour elle. Elle venait d’ouvrir son propre cabinet. Ses premiers patients ont été ravis de trouver un kiné proche de chez eux, mais surtout d’un très grand professionnalisme.
Un beau jour, alors qu’elle venait de finir sa journée, elle a vu arriver une très belle femme boitant bas. Elle était en tenue de sport moulante qui mettait en valeur ses atouts. Juliette s’est surprise à être troublée, voire attirée par cette femme malgré sa démarche chaotique.
Cinq minutes plus tard, la « boitante » se retrouve sur la table et la kiné commence son intervention. Comme d’habitude, elle fait des miracles, et en moins de vingt minutes, la patiente peut se tenir debout sans douleur ou presque. Pour autant, hors de question de reprendre son footing, mais au moins, elle peut marcher sans trop de gêne.
Claudie veut appeler un taxi pour rentrer chez elle, mais Juliette, toujours attirée par sa patiente, ne l’entend pas ainsi et veut la reconduire elle-même. Elle explique que la douleur peut revenir, mais surtout que cela risque de tirer dans toute la jambe, voire les deux, car elle n’a pas fait d’étirements et, comme elle ne marche pas naturellement, elle risque même de ressentir une gêne jusque dans les hanches. Elle souhaite lui faire un massage tonique de détoxification après sa douche. Bien que surprise par cette proposition, Claudie qui commence à sentir des contractures accepte finalement.
En route, les deux femmes échangent sur leurs vies, leurs boulots, leurs familles. Juliette apprend donc que Claudie est mariée à un banquier spécialisé dans la sauvegarde d’entreprises. Elle est médecin généraliste et médecin du sport. La kiné l’interrompt :
Une fois arrivée chez Claudie, Juliette est impressionnée par la bâtisse. Elle aide sa patiente à sortir et la soulage jusque dans la maison.
Cette fois-ci, elle est ébahie par ce qu’elle découvre : une grande terrasse aménagée, une belle piscine, le tout est couvert par une immense véranda, donc le toit semble mobile. À gauche, elle découvre un coin cuisine, et sur la droite : spa, jacuzzi et, effectivement, une table de massage. Elle finit par retrouver son souffle et ne peut retenir un :
Allez, la salle de bain est par là, je te rejoins dans la véranda dès que je suis lavée, c’est comme ça que l’on appelle ce petit paradis.
Juliette est vite prête, son huile de massage chauffe lentement. En attendant, elle fait le tour de ladite véranda. Tout est magnifique, l’eau est attirante. Elle s’imagine passer une bonne journée de repos ici quand Claudie arrive… nue. La propriétaire voit bien le trouble de la femme. Elle lui explique qu’ils ont l’habitude de vivre nus dans la véranda, même souvent dans la maison. Ils sont adeptes du nudisme. Professionnellement parlant, la kiné doit lui proposer un string à usage unique, qu’elle a dans son sac, mais, bêtement, elle oublie. Le massage durera longtemps et la professionnelle est tellement efficace que la patiente s’endort. Juliette range ses affaires et file en douce en laissant sa carte professionnelle, après avoir couvert sa patiente avec une grande serviette.
Les deux femmes se reverront souvent durant plusieurs mois, aussi bien professionnellement qu’amicalement. Elles se rendent compte qu’elles ont beaucoup de points communs et qu’elles sont curieuses l’une de l’autre. Juliette a fréquemment besoin de se caresser quand elle quitte son amie.
De confidence en confidence, Claudie lui avoue qu’avec son mari, de temps en temps, ils s’amusent avec d’autres. De son côté, Juliette lui expliquera son besoin de domination avec les hommes ou les femmes pour prendre son pied, mais qu’elle n’a que très peu d’orgasmes.
La médecin fait faire un tas d’examens à sa patiente. Conclusion, tout est normal, alors elle arrive à la convaincre d’aller voir une consœur sexologue. Il ne lui faudra que trois séances pour comprendre ce qui bloque sa patiente.
Les deux femmes finissent par en rigoler. Elles s’amusent à tour de rôle à se faire différentes demandes de plus en plus crues. Juliette repart toute confiante. Elle mettra une semaine à lire le compte rendu. Elle a pris quelques notes et prend un nouveau rendez-vous pour finaliser sa thérapie. Cette dernière discussion la mettra dans tous ces états et elle aura tout de suite une envie. Elle va tester la prescription avec son amie Claudie.
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Il ne lui faudra pas beaucoup de temps pour trouver une occasion. En cette fin du mois de juin, Claudie l’appelle un samedi soir pour lui demander ce qu’elle fait le lendemain. Comme elle n’a rien de prévu, hormis du ménage et de la lessive, alors, elle s’empresse d’accepter l’invitation. Elle sait que, pour la première fois, ils ne seront que tous les trois. Elle a déjà rencontré le mari de sa copine lors de soirées entre amis, sorties au restaurant, et même une fois en boîte, mais jamais que le couple et elle. La météo prévoit un temps exceptionnel, elle se doute qu’ils vont passer la journée dans la fameuse « véranda ». Elle sait comment elle va s’y prendre pour tenter de mettre en application les conseils de sa sexologue. Alors, elle n’hésite pas plus de deux secondes ; demain, elle ira chez eux, nue sous une petite robe blanche à fleurs et boutonnage sur l’avant, elle emportera aussi ses huiles de massage.
Arrivée sur place, elle constate qu’elle ne s’est pas trompée, elle est accueillie par sa copine qui l’invite à rejoindre son mari dans la véranda. En suivant sa copine, elle se rend compte que celle-ci ne porte qu’un paréo légèrement transparent et un string de bain en dessous. Olivier, lui, est en chemisette de couleurs sur un short de bain.
Le premier verre commencé, l’homme part préparer le repas ; les deux filles en profitent pour échanger quelques banalités, puis rapidement Claudie s’intéresse à la thérapie de son amie, sans toutefois être trop intrusive. Juliette répond franchement sans pour autant tout lui dire. Elles en rigolent, l’ambiance est très sympathique. Le repas léger est très bon. Quelques légumes grillés accompagnent de belles crevettes servies avec une petite sauce très savoureuse. Une salade de fruits fera office de dessert.
Pendant qu’Olivier débarrasse les restes du repas, les filles s’installent dans le salon de jardin. Juliette décide de se lancer.
Comme elle a l’accord de ses amies, elle fait sauter deux fermoirs, puis rapidement deux autres. Ainsi, ses seins sont presque à l’air, sauf si elle reste parfaitement droite. En bas, elle doit garder les jambes bien serrées pour ne pas dévoiler ses trésors. Finalement, l’opération a eu l’effet inverse, la température est montée d’un cran. Quand l’homme a terminé sa tâche, Claudie interpelle sa kiné préférée :
Elle ne peut contenir un joli sourire provocateur que le couple ne peut ignorer. Sans plus attendre, l’homme se retrouve torse nu, allongé sur le ventre, la tête dans le trou de la table. Juliette commence par un pied et Claudie tente de faire pareil sur l’autre. Après quelques échanges et différentes tentatives, elle arrive à maîtriser la technique. Les jambes terminées, elles attaquent la colonne vertébrale. Impossible de travailler en miroir, donc, la kiné montre et la médecin répète les gestes. Quand elles invitent le patient à se retourner, elles ne peuvent ignorer la déformation du maillot de bain. Elles en sourient, mais ne disent rien. Olivier, lui, est totalement à l’aise avec ce phénomène, le massage est efficace. Les deux masseuses reprennent leurs ouvrages : chevilles, genoux, un peu les hanches, le thorax, les bras et la nuque. Cela dure plus de vingt minutes et le chapiteau ne faiblit pas.
Tout ce petit monde rit de bon cœur, ce qui a pour effet de faire baisser la tension. Claudie attrape un côté de la ceinture et invite sa partenaire à en faire autant. Le tissu commence à descendre, mais rapidement, la manœuvre est impossible, une tige très rigide bloque la descente. Claudie n’hésite pas une seconde, elle passe son autre main sous le short pour débloquer la situation. Maintenant totalement nu, le sexe collé sur le ventre, Olivier savoure l’admiration qu’il pense lire dans les yeux des femmes. Après quelques secondes d’égarement, Juliette retrouve ses esprits et entreprend de montrer la manœuvre à sa collègue. Autant le pliage de la jambe ne pose pas de problème, mais, pour finir, elle doit poser une de ses mains dans l’aine du patient et donc la paume de la main presque en contact avec les testicules et l’appendice. Elle tente de rester professionnelle, mais elle a de plus en plus chaud. Claudie a beaucoup moins de retenue, elle pose amplement sa main sur les organes de son homme. La technique reproduite plusieurs fois accentue l’écartement à chaque fois et, enfin, elles rallongent les jambes, tenant toujours l’articulation de la hanche, et appuient sur les genoux.
L’érection d’Olivier est maintenant magistrale. Claudie le prend en main en fixant droit dans les yeux son amie. Juliette se lâche.
Juliette vient derrière son amie et défait le nœud et jette l’étoffe au bout de la table.
Elle a répondu rapidement, la voix tremblante. Juliette commence par les épaules, puis le dos jusqu’à la limite du string, elle se colle ensuite contre son amie et passe ses mains devant à l’attaque du ventre et ensuite des seins. Elle demande à son amie de branler lentement le pénis de son mari pendant qu’elle joue longuement avec ses tétons. Claudie ne peut contenir ses gémissements. Olivier profite du spectacle. Après de longues minutes, Juliette propose :
Pour toute réponse, Olivier tire la ficelle qui libère le nœud de son côté. Juliette en fait autant de l’autre côté. Mais maintenant, sa nature dominante reprend le dessus. En posant une de ses mains sur le ventre de sa complice, elle appuie sur le haut de son dos pour qu’elle se penche en avant.
Claudie s’exécute. S’agenouillant en tenant les hanches devant elle pour ne pas perdre l’équilibre, elle commence doucement à passer sa langue sur le sexe de sa complice. Celle-ci réagit en écartant un peu plus ses jambes pour lui laisser le maximum de place. Elle gémit tout en gardant le gland de son homme en bouche. La lécheuse traîne maintenant régulièrement sa langue du clitoris à l’anus et accélère. La suceuse augmente aussi la cadence. Tout d’un coup, Olivier se met à gémir, se libérant dans la bouche qui l’enveloppe profondément. Cela provoque une mise en transe de Claudie qui se met à vibrer de tout son corps. Elle libère un flot de cyprine qui déclenche l’orgasme de Juliette, alors qu’aucune partie de son corps n’est entreprise. Les deux filles s’écroulent au sol, tant l’extase est immense. Il leur faudra de très longues minutes pour retrouver leurs esprits.
Elles se mettent debout difficilement et Claudie propose à son amie pour la mettre nue à son tour. Avec son accord, elle enlève les rares boutons qui tenaient encore pour découvrir qu’elle ne porte rien en dessous. Tout en posant ses lèvres sur celles de son amie :
Tout ce petit monde plonge dans la piscine, s’amuse, profite. Les deux filles se liguent contre le seul homme qui ne met pas beaucoup d’énergie pour résister.
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Pour continuer de vérifier les théories de sa sexologue, Juliette décide de s’en prendre à Jérôme, un beau quinquagénaire qui est bénévole dans le club de nage synchronisée qui l’emploie régulièrement. Cet homme la drague gentiment depuis de longues semaines, mais il reste toujours correct. Pour mettre toutes les chances de son côté, en ce début de septembre, alors qu’elle va suivre ses nageuses pour leur séance de reprise, elle met sa fameuse robe blanche à boutons sur le devant sans rien en dessous une nouvelle fois. Les filles sont un peu rouillées en ce début de saison, elles ne sont pas très courageuses. Avec la coach, Juliette prépare un planning pour voir chacune des nageuses à tour de rôle au cours du mois de septembre. À la fin de l’entraînement, Olivier fait son apparition pour donner un coup de main pour ranger le matériel. Comme d’habitude, il « dragouille » gentiment la kiné. Cette fois, elle rentre dans son jeu. Alors, il tente une nouvelle fois sa chance et elle accepte d’aller manger une pizza avec lui, juste après. L’ambiance est très sympathique, la bouteille de rosé aide les deux amis à se confier. Ils finissent par se découvrir beaucoup de points communs. À la fin du repas, Jérôme propose de venir prendre un dernier verre chez lui.
La femme se lève, fait le tour de la table, se penche et l’embrasse. Elle reste là droite à côté de lui et le fixe.
Jérôme en reste la bouche ouverte. Il lui faut plusieurs secondes pour comprendre ce qu’elle vient de dire.
Gloup ! Jérôme a une nouvelle fois besoin d’un peu de temps pour avaler sa salive et tenter de voir à travers le tissu.
Gloup ! L’homme a très chaud tout d’un coup, mais il refuse d’abandonner, depuis le temps qu’il rêve de la mettre dans son lit, il n’a jamais été si proche.
Elle a un léger sourire, mais ne dit rien. Elle fait un signe de tête vers la main masculine qui est à côté d’elle. Il regarde partout pour voir si personne ne peut les surprendre, puis laisse descendre sa main jusqu’à l’arrière du genou et remonte sous la jupe. Il caresse lentement la cuisse, ensuite la fesse, il ne sent rien, pas de dentelle. Il sourit, pensant avoir gagné. Alors qu’il commence à enlever sa main, elle le bloque.
Il s’exécute et ouvre grand les yeux quand son index rentre en contact avec la vulve humide de sa complice.
Et elle éclate de rire devant sa tête de chien battu. Elle se penche pour lui faire un petit baiser sur la bouche et elle s’approche de son oreille et avec une voix suave lui dit :
Puis avec une fois ferme.
Le trajet se fait presque sans un mot. Une fois au pied de l’immeuble, il compose le code et s’efface pour la laisser passer devant. L’ascenseur est déjà là. Ils entrent, il sélectionne son étage. Elle le plaque et l’embrasse fougueusement en plaquant une main sur son sexe. C’est le signal d’arrivée qui met fin à leur étreinte, mais elle ne lâche pas sa prise pour autant. Ils marchent en crabe jusqu’à l’appartement. Elle ne le lâche qu’une fois dans le petit couloir.
Elle ne peut s’empêcher de lui gifler une fesse quand il se retourne. Une fois dans le salon, elle l’installe au centre du canapé, sort un préservatif de son sac, et l’enfile sans attendre sur le sexe en pleine érection. Elle lève sa petite robe, le chevauche et s’embroche rapidement dans un grand râle.
Elle entame une danse langoureuse sur son partenaire jusqu’à une première jouissance. Elle se bloque pour bien profiter de son plaisir. Après quelques secondes, elle se redresse.
Elle se lève, se retourne, tout en continuant de le fixer.
Elle se recule, lui ordonne de la tenir par les hanches et de la laisser faire. Elle attrape le sexe encore plus congestionné qu’avant et elle s’assoit en le dirigeant en elle. Cette fois-ci, il a droit à une grande chevauchée. Il est sur le point de craquer quand elle se met à trembler de tout son corps terrassé par un énorme orgasme. Elle est agonisante sur le corps de son partenaire, en sueur, des gouttes perlent sur tout son corps. Il tente de lui caresser les seins, mais il reçoit rapidement une tape sur la main baladeuse.
Elle se lève à nouveau, se met à genoux entre ses cuisses, enlève la protection et le lèche tout en le branlant et en lui malaxant les testicules. Il la prévient, mais elle continue.
Il ne le sait pas, mais elle a joui au moment où il s’est déversé dans sa bouche. Après une bonne douche, elle le laisse prendre l’initiative dans le lit. Il est très attentionné, très expérimenté, il s’attarde longuement avant de la pénétrer. Elle aime, passe un bon moment, mais ne jouit pas. Fidèle à elle-même, le lendemain matin, il aura droit à une bonne gâterie en remerciement.
Ils se verront plusieurs fois, jouant différents rôles, Claudie et Olivier sont régulièrement informés de ses péripéties. Et puis, un jour, Jérôme lui a annoncé qu’il mettait fin à leur arrangement, non pas qu’il n’avait plus envie, mais il a fait une rencontre récemment et il souhaite approfondir de ce côté-là. Ne voulant pas la trahir et souhaitant être loyal avec les deux, il refuse de vivre dans le mensonge. Juliette apprécie la démarche, même si elle est un peu vexée d’être poussée par une autre.
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Cette fois-ci, elle est invitée par ses amis à venir passer le week-end chez eux. Elle s’empresse d’accepter sans poser plus de questions. Bien qu’il ne fasse pas bien chaud dehors, elle sait que la véranda sera bien accueillante. Alors, elle ne s’embarrasse pas beaucoup avec son sac de voyage. Surprise en arrivant, elle trouve plusieurs voitures dans la cour de la maison. Elle commence à paniquer, elle ne sera pas seule avec ses amis. Et comme une conne, elle n’a pas de sous-vêtements et encore moins de maillot de bain. Bon à la guerre comme à la guerre, elle rejoint tout ce beau monde au bord de la piscine. Deuxième surprise, tout le monde est à poils, même si des poils, il n’y en a pas beaucoup. Après avoir été présentée à tout ce beau monde, elle est déjà en sueur, il fait vraiment chaud dans cette verrière. Elle n’hésite pas une seconde, elle se déshabille dans le salon dans lequel des chaises ont été prévues pour recevoir les vêtements des invités. Comme elle est seule, elle zieute un peu sur les différents tas, elle ne voit que de rares sous-vêtements, hommes et femmes confondus.
Après une douche, elle plonge dans la piscine, nage, s’amuse, retrouve sa copine. Elles se câlinent discrètement en échangeant sur la soirée. Elle est contente d’apprendre que tout le monde repart au plus tard, demain matin, sauf elle. Durant la soirée, elle est attirée par un grand monsieur, d’une soixantaine d’années, il a un charisme impressionnant. Malgré son âge, il a une magnifique posture, des muscles bien marqués, peu de graisse, des cuisses puissantes, et même des fesses bien marquées. Son sexe est glabre et proportionné à la carrure de l’homme. Claudie qui a remarqué l’intérêt de son amie pour son coach sportif l’interpelle :
Sans lui laisser le temps de répondre, elle l’attrape par le bras et la traîne jusqu’au petit groupe. Claudie attire l’attention de Jacques qui s’excuse auprès de ses interlocuteurs avant de rejoindre les deux filles.
Ne laissant pas de place aux doutes, elle entraîne ses deux amis vers le coin massage, déplace deux paravents.
Et elle file sans attendre leurs réponses. Le couple discute un moment pour se mettre d’accord. Juliette veut bien le manipuler, mais elle ne veut pas rester nue durant l’opération, elle ne se sent à l’aise. Pendant que Jacques prend une douche, se sèche et s’installe sur la table sur le ventre avec une serviette sur les fesses, Juliette va récupérer sa robe, elle fouille dans son sac pour récupérer un tanga qu’elle emporte toujours, « au cas où ». Puis elle revient avec sa sacoche de travail. Étonnamment, elle est fébrile, cet homme l’impressionne autant qu’il l’attire. Quand elle le rejoint, il est en place. Elle lui explique ce qui va se passer et elle commence. Elle comprend rapidement ce qui se passe dans le bas du dos de son patient.
Jacques est impressionné par la précision des informations qu’elle a découvertes. Juliette continue ses manipulations tout en lui expliquant son problème. Il comprend que, si elle a raison, il va devoir encore changer de voiture pour une à la position plus « assise ». Tout d’un coup, elle le prévient que ça risque de faire bizarre et effectivement un crac résonne du dos de l’homme. Il est surpris pour ne pas dire apeuré par l’évènement, mais, tout de suite, il sent un relâchement dans tout le bas de son dos jusque dans son ventre. Les gestes de la femme se font maintenant très doux, elle caresse plus qu’elle ne masse en lui expliquant que son but est de libérer toutes les tensions trop longtemps contraintes. Effectivement, cela lui fait un bien fou, mais il n’arrive pas à contenir un début de bandaison et c’est au même moment qu’elle lui demande de se retourner. Embarrassé, il obtempère quand même en utilisant la serviette pour tenter de masquer son « problème ».
Elle n’ignore pas ce qui se passe sous le linge, mais fait comme si de rien n’était. Elle reprend son travail et ses explications, jusqu’au moment de la manipulation des hanches. Elle lui demande de positionner la serviette entre ses cuisses pour libérer les hanches. Dès que possible, elle pose une main dans l’aine et avec l’autre, elle plie le genou et bascule l’ensemble sur le côté. À la deuxième manipulation, elle devient joueuse, il est à sa merci, alors elle appuie la paume de sa main sur la serviette, forçant légèrement sur les testicules. Quatre ou cinq manipulations d’un côté, puis elle passe à l’autre. La serviette ne peut plus cacher le phénomène naturel qui se développe en dessous. Avec un sourire narquois, elle passe une main sous la serviette et l’empoigne fermement. Sans le quitter des yeux, elle le branle. La serviette s’écarte, elle regarde maintenant le gland apparaître et ensuite disparaître dans sa main. Il se crispe, elle accélère, elle varie la pression de ses doigts. Il se tend et se vide, lâchant un grognement animal. Puis il détend et se relâche en gémissant. Elle profite de son abandon pour le nettoyer avec ses lingettes. Elle l’aide à se relever et l’invite à s’asseoir sur le bord de la table. Tout en restant devant lui, elle lui demande comment il se sent.
Sa voix est devenue plus grave et plus lente. Elle a envie de jouer avec lui et une idée lui vient :
Elle se recule, attrape le bas de sa robe vers l’arrière, la remonte lentement, attrape la ceinture de son tanga et le fait descendre en tentant d’en montrer le moins possible. Elle se relève, tendant la lingerie devant elle :
Et elle rigole de bon cœur. Il lui arrache presque l’étoffe des mains et la dépose à côté de lui. D’un geste du doigt, il lui indique d’avancer vers lui.
Elle est autant paralysée par son regard que par sa voix. Elle prend quelques secondes, mais s’exécute lentement. Dès que son sexe est visible, il lui commande d’écarter les jambes, puis une des mains de l’homme, empoigne le fruit qu’elle expose. Un doigt la pénètre facilement tellement elle coule. Il presse ses chairs au bord de la douleur, mais elle n’a pas mal. De son doigt crocheté dans la femme, il l’oblige à avancer vers lui. Tétanisée, elle a gardé ses mains sur le bord de son vêtement. Elle respire de plus en plus fort. Quand il bouge son doigt, elle se met à gémir. Elle va jouir, mais le salop arrête et retire sa main pour pouvoir la mettre nue en faisant passer la robe par-dessus. Puis, il l’a fait tourner en lui prenant les épaules et la plaque contre lui le dos contre son torse. Sans lui laisser le temps de cogiter, il empoigne ses seins de ses deux mains. Il malaxe puissamment les deux globes, tire juste ce qu’il faut sur les tétons, les pinces, elle en jouit tellement elle se sent emprisonnée, utilisée. Elle ne s’oppose pas plus quand une des mains descend sur son pubis, puis sur sa vulve. Des doigts s’imprègnent de fluide et remontent pour tourner autour du clitoris. Il appuie fort, mais elle n’a pas mal, bien au contraire, son plaisir remonte. Elle voudrait qu’il s’aventure sur sa perle, mais il continue de tourner autour, sans toucher la partie la plus sensible. Son autre main tire et malaxe les tétons de plus en plus fort, mais toujours du bon côté de la limite. Leurs plaisirs montent, elle peut sentir une verge durcir lentement dans la raie de ses fesses, il peut ressentir le corps de sa kiné vibrer de plus en plus. Elle est au bord de l’explosion. Il pense qu’elle est prête, alors, il plonge deux doigts dans le sexe de la femme pour imprégner ses phalanges, remonte pour s’attaquer directement au clitoris. La femme explosera rapidement dans un magnifique orgasme.
Ils finissent par retrouver les autres invités qui n’ont aucun doute sur ce qui s’est passé derrière les brise-vue. À la fin de l’apéro dînatoire, le maître des lieux demande aux invités de se couvrir légèrement pour pouvoir danser décemment. En fin de soirée, alors que beaucoup de monde est soit parti, soit déjà au lit, Jacques passe son bras dans le dos de sa complice et l’emmène dans sa chambre. Il la met nue et la passe sous la douche d’autorité. Ils se lavent mutuellement. Il la sèche rapidement, la prend dans ses bras et la dépose fermement sur le lit, lui écarte les cuisses et plonge sur son abricot luisant. Elle se laisse faire, adorant même la situation. Elle jouit une nouvelle fois. Elle ne sait comment il a fait, mais elle voit qu’il s’est équipé avant de la pénétrer fermement. Elle jouit. Il la retourne et la prend encore plus fermement par-derrière, elle jouit. Il accumulera un nombre de positons impressionnants avant de se libérer enfin. Après une courte douche, ils s’endorment rapidement dans les bras l’un de l’autre.
Au matin, elle devra longuement s’investir pour réussir à le faire jouir. Et oui, soixante ans, deux éjaculations la veille durant une longue soirée de débauche, difficile de tenir la route pour Jacques.
Ils se reverront quelques fois, chez lui, chez elle, lors d’un week-end à la mer, mais jamais il n’a réussi à la faire jouir aussi fort et encore moins à atteindre l’orgasme fabuleux qu’elle a connu sous ses caresses. Ils ont mis fin à leurs relations quand il est devenu son patient. Finalement, les manipulations sont plus agréables et moins chères que son véhicule sportif haut de gamme allemand grâce à la Sécurité sociale.
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Elle a enfin compris ce que sa sexologue lui avait expliqué. Après l’avoir revu une fois pour faire le point, elle a mis fin à sa thérapie.
Depuis ce jour, elle vit comme elle veut, ne fait que ce qu’elle veut et ne se prive de rien. Parfois, elle domine, parfois, elle se livre. Sa seule limite, c’est le respect. Elle s’est même laissée draguer par deux petits jeunes de vingt et vingt-deux ans, convaincus d’être des bêtes de sexe grâce aux vidéos et « tutos » qu’ils regardent à longueur de soirées. Elle en a fait des petits esclaves au service de son seul plaisir. Ensuite, elle leur a appris à être à l’écoute des femmes, de temps en temps à leur service, d’autres les dirigeant.
Grâce à son amie Claudie et ses rencontres, elle a maintenant une excellente clientèle. Elle embauche deux kinés qui font tourner la maison pendant qu’elle se concentre sur les clients VIP.
Elle sait qu’aujourd’hui, elle aura une surprise. Elle ne sait pas encore laquelle, mais ses amies ne laisseront jamais passer un jour comme celui-ci, surtout qu’on est samedi. Elle se doute qu’elle va vivre un week-end d’exception et certainement sexuellement comblé.