n° 22904 | Fiche technique | 18228 caractères | 18228 2999 Temps de lecture estimé : 12 mn |
01/02/25 |
Résumé: Trois amies entre deux âges acceptent par jeu de poser pour un catalogue de lingerie. Sans se douter que le jeu les amènera loin. | ||||
Critères: #adultère #différencedâge #bourgeoise #voyeur fplusag copains grossexe grosseins groscul vacances piscine hotel boitenuit voir exhib miroir noculotte lingerie entreseins facial fellation cunnilingu préservati fsodo partouze | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Un jour, Sandrine téléphona à son amie Véronique pour lui tenir ce langage :
Les deux amies devisèrent encore sur le sujet, envisageant au passage quelques sous-vêtements gratuits, et contactèrent Laurence, une quinquagénaire, qui ne fit pas de manière, d’autant que son corps mince et souple pouvait en remontrer à bien des trentenaires, et même à ses deux amies, du genre plutôt replètes, seins lourds, cuisses larges et croupe joufflue.
Un casting rapide, quelques jours plus tard, les rendit bonnes pour le service. Et la séance photo programmée la semaine suivante.
Ce fut une séance joyeuse face à un photographe, un éclairagiste et quelques comparses, dont le chef de service du catalogue. Elles changèrent plusieurs fois de slip et de soutif, mais aussi de guêpières et de bustiers, en riant de leur mise, prirent la pose sans complexe et visionnèrent les photos avant publication avec intérêt. Sandrine – ses cheveux ultra-courts déjà gris, sa poitrine opulente, débordant du soutien-gorge XXL –, dominait d’une tête Véronique – à la coupe au carré grisonnante, elle aussi, le corps un peu trapu, tendant ses culottes de sa croupe généreuse. Laurence tranchait avec son physique longiligne, sa coiffure à mèches blondes tombant sur ses épaules et ses petits seins parfaits pour célébrer les soutiens-gorge pour poitrines menues.
Lorsqu’il fallut poser pour les maillots de bain, Sandrine et Véronique se virent affubler d’un une-pièce plus conforme à leurs rondeurs, tandis que Laurence posait avec un bikini minimaliste ne cachant que le strict essentiel.
Les trois amies attendirent avec impatience la publication du catalogue. Et leurs maris aussi, inquiets de cette exposition à visage découvert, et pas seulement le visage. Le succès fut considérable et dépassa les espérances de ses promoteurs. « Enfin, des femmes ordinaires osent se montrer telles qu’elles sont », titra un journal à grand tirage. Les ventes suivirent aussitôt, d’autant que les trois « mannequins » avaient été invitées par des talk-shows télévisés pour exposer leurs motivations. Les trois maris furent assez fiers de la notoriété inattendue de leurs épouses, ce qui eut notamment pour effet un regain d’activité sexuelle dans les lits concernés.
Sur les réseaux sociaux, on s’exprima aussi, comme souvent, de manière peu ragoûtante. « Est-ce qu’elles baisent au moins ? », lisait-on par exemple de la part d’un anonyme. Oui, elles baisaient, mais conjugalement, sans le dire publiquement.
Les événements prirent toutefois une tournure que les trois protagonistes étaient encore plus loin d’avoir prévue. Un magazine pour hommes, célèbre pour les photos de pinups déshabillées, les contacta pour qu’elles posent nues, gros contrat à l’appui. Les trois amies se rencontrèrent pour évoquer cette possibilité inattendue liée à leur nouvelle célébrité, quoique ponctuelle.
À la suite de cette discussion, les trois amies convinrent de donner leur accord, sous réserve de voir les photos avant publication, en particulier Véronique qui tenait à masquer son intimité. C’était l’argument massue pour faire accepter les photos par les maris. Qui, de fait, donnèrent leur accord, pas si mécontents au fond de faire des envieux.
Cette fois, il y eut un peu plus de monde sur le plateau pour voir ces dames en tenue d’Eve. Deux photographes au lieu d’un, plusieurs éclairagistes, le directeur artistique et quelques curieux plus ou moins légitimes. Un peu tendues au départ, les trois amies finirent par se détendre grâce au savoir-faire des photographes. Comme prévu, Véronique croisa les jambes dans les différentes postures énoncées tandis que Sandrine étalait sa chair pulpeuse et partiellement velue avec un rien de provocation qui ravit les chevaliers de la pellicule. Mais c’est Laurence qui obtint le plus de succès avec ses poses lascives dignes d’un magazine pornographique.
Dans l’attente de la publication, les trois amies étaient un peu fébriles. N’étaient-elles pas allées trop loin ?
Elles promirent, un peu envieuses de ce coït adultérin. Et, de fait, Laurence fut la vedette du numéro paru quelques jours plus tard, au point d’en faire « la star des quinquagénaires ». Mais la nudité intégrale de Sandrine, « au naturel » selon le magazine, obtint également un franc succès, comme la croupe rebondie de Véronique complaisamment photographiée en gros plan. « Une invitée directe à la sodomie », commenta un internaute sur un réseau social qui avait osé publier les photos… vite censurées.
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Le numéro se vendit à des milliers d’exemplaires, tant et si bien que les trois amies se considérèrent somme toute comme assez mal payées pour les profits réalisés. Elles s’en ouvrirent aux promoteurs de la lingerie qui décidèrent, pour les récompenser de la publicité offerte, de leur offrir une semaine en hôtel club au bord de la Méditerranée, à charge pour elle, puisque l’été commençait, de revêtir plusieurs maillots de bain entassés dans leur valise, histoire de susciter de nouvelles ventes. C’était une contrainte plutôt agréable et elles acceptèrent sans se faire prier. Les maris n’étaient pas invités, ce qui n’était pas pour leur déplaire, au contraire des intéressés, que cette histoire commençait vraiment à agacer.
Elles héritèrent chacune d’une chambre « premium » et ne tardèrent pas à étrenner un de leurs maillots à la piscine de l’hôtel, malgré la présence proche de la mer. Sandrine et Véronique abandonnèrent provisoirement le une-pièce pour le bikini qui contenait difficilement leurs formes généreuses, mais elles n’avaient pas envie de faire « popotes ».
Dans ce genre d’hôtel, on trouve en général des séducteurs patentés qu’on appelait autrefois les play-boys, physiquement attrayants, mais pas toujours très finauds. Ils ne tardèrent pas à repérer les trois vedettes de la lingerie féminine et firent leur siège sur les bains de soleil au bord du bassin. Celles-ci jouaient le jeu avec amusement au départ, flattées que des hommes jeunes, aux abdos et aux pectoraux bien dessinés, s’intéressent à leur « personnalité ». S’apercevant que certaines clientes enlevaient le haut, elles firent de même, exposant sans complexe seins lourds ou menus. Lorsque la soirée arriva, elles se firent accompagner au night-club de l’hôtel dans une tenue qu’auraient déploré leurs conjoints s’ils avaient eu vent de l’affaire. Elles avaient dégoté au magasin de l’hôtel des robes si courtes et si décolletées qu’elles n’auraient même pas osé les porter vingt ans plus tôt.
Car les trois amies, après s’être concertées, s’étaient décidées à « passer à la casserole pour ne pas mourir idiotes », selon le mot de Véronique. « Et motus et bouches cousues au retour ». On voit par là que les multiples séances de photos, leur nouvelle et provisoire célébrité, en dépit ou à cause de leurs corps matures, l’envie de briser la routine conjugale, y compris sexuelle, et l’attirance réelle envers de jeunes hommes bien balancés et au maillot de bain bien rempli les avaient déjà bien conditionnées.
Un peu d’alcool et des danses effrénées sur la piste les préparèrent définitivement à franchir le Rubicon.
Laurence fut la première à quitter les lieux accompagnée, murmurant à l’oreille de ses amies :
Les deux autres tergiversaient encore bien que leurs chevaliers servants se montraient de plus en plus empressés. En fait, Véronique avait le trac, consciente que le basculement dans l’adultère estival ne tombait pas sous le sens. Alors que Sandrine ne cessait de se faire peloter, elle hésitait encore. Sommée par son amie de se décider à aller au lit, elle lui dit :
Surprise de cette invite à ce qui devait être un plan à quatre inédit, Sandrine accepta néanmoins, car elle aussi était maintenant « dans le besoin », la main de son étalon s’étant aventurée sous sa robe et ayant découvert une prometteuse absence de slip et une humidité éloquente. Sur le chemin de la chambre, les deux amies collèrent leur oreille à la porte de Laurence et perçurent clairement des interjections (oh ! ah ! hou !) confirmant que leur copine baisait avec enthousiasme. De quoi les conforter, et c’est donc un quatuor qui franchit la porte de la mature aux cheveux courts couleur de cendre.
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La transition fut brève. Les deux étalons n’étaient pas entrés pour papoter et entendre les deux femmes glousser et faire des manières. Culbutées sur le lit XXL de la chambre premium, elles se laissèrent trousser et peloter en gigotant pour la forme, ne résistant que mollement à leur déshabillage et rapidement aussi nues qu’on peut l’être. Dès que les deux play-boys eurent calé leurs museaux, parfaitement synchrones, entre leurs cuisses dodues, la langue sur leurs clitos et le nez dans leur broussaille, Sandrine et Véronique roucoulèrent, ravies de ce préliminaire buccal qui les préparait autant moralement que physiquement à une pénétration plus concrète et au basculement définitif dans l’adultère, déjà franchi par Laurence.
Lorsque les deux jeunes mâles se relevèrent, elles guettèrent avec une curiosité impatiente ce qu’ils avaient à leur proposer une fois déculottés. L’émergence de deux splendides pénis en position horizontale, plantureux et décalottés, arracha aux deux allongées un petit cri d’admiration. La comparaison n’était pas très flatteuse pour leurs conjoints. Elles les regardèrent avec fébrilité se gainer de latex et elles se positionnèrent côte à côte en travers du lit en se tenant la main, très ouvertes.
Ils les pénétrèrent debout en les prenant par les chevilles, modérément puis résolument, en les faisant piauler assez comiquement. C’est qu’ils visitaient des profondeurs inédites pour les deux épouses, dont les rapports conjugaux n’avaient pas grand-chose à voir avec cette pénétration massive, puissante, tonique et envahissante, assez peu respectueuse de leur âge. Durant le temps inhabituellement prolongé que dura ce coït à demi sauvage, les deux matures, secouées et chahutées, comprirent ce que « baiser » voulait dire. Mais une fois passé le temps de la fouille exploratrice, elles se plièrent avec ferveur aux desiderata de leurs étalons, le vagin assoupli et bien lubrifié, en leur faisant comprendre qu’ils n’auraient pas affaire à de la passivité.
Loin de les inhiber, la présence dans le même lit que l’amie stimula Véronique et Sandrine, comme si de voir l’autre baiser les mettait en confiance. Tout en chevauchant leur étalon face à face, elles se jetèrent des mots crus entre soupirs et gémissements, histoire de confirmer qu’elle prenait un « super pied », le plaisir de l’une se conjuguant avec celui de l’autre, comme par osmose. En les entendant s’exciter mutuellement, les deux étalons se disaient qu’ils avaient bien eu raison de négliger les sylphides de la piscine pour ces plantureuses quadragénaires de plus en plus vicelardes à mesure que se prolongeaient les ébats.
Le summum fut atteint quand l’un des deux émit le souhait de sodomiser le cul majestueux de Véronique. Celle-ci avait abandonné depuis longtemps cette pratique et émit quelques craintes. Sandrine se rua dans sa salle de bain pour en sortir avec un tube de crème de jour, dont elle enduisit l’anus de son amie et le chibre de son amant. Lors de l’introduction, heureusement précautionneuse, Sandrine mit son visage tout contre celui de son amie et accompagna de mots rassurants l’envahissement, avant de se reculer quand les peaux se mirent à claquer et Véronique à piailler, en proie à un orgasme anal tellement mouvementé qu’il arracha l’éjaculation de son enculeur, incapable de résister aux roulements fessiers de la récipiendaire de sa queue.
Dans ce moment intense, que les deux autres protagonistes avaient suivi avec passion, Sandrine était restée en plan, mais toujours disponible. Heureusement, son partenaire n’avait toujours pas giclé et pouvait reprendre l’affaire là où elle avait été interrompue. Il l’entraîna devant un miroir de la chambre, s’assit sur une chaise, queue verticale, la fit s’empaler sur lui face au miroir afin qu’elle se regarde non seulement baiser, mais jouir. Sandrine reconnut à peine la femelle libidineuse qui tressautait sur la queue, jambes à demi fléchies et seins roulant sur le torse, le rictus à la bouche. Mais cette image la fit jouir autant que la vision du pénis entrant et sortant de son antre intime sous elle. À plat ventre sur le lit, encore sous l’effet de son orgasme anal, Véronique assista à celui de son amie, subjuguée par le spectacle et définitivement convaincue que l’expérience de lingerie les avait fait basculer dans un autre monde sexuel.
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La suite fut un peu moins réjouissante. Les trois matures eurent un peu de mal à encaisser physiquement ces introductions massives, notamment anales pour deux d’entre elles, leur anatomie ayant été passablement chahutée sans y avoir été entraînée. Aussitôt, optèrent-elles pour les activités ludiques proposées par le club : excursions, promenades en mer, tennis, karaoké et danse le soir, et couchées pas après minuit. Leurs trois chevaliers servants en furent un peu déçus, mais les femmes seules ou mal accompagnées n’étant pas rares dans le club, ils trouvèrent vite leur consolation.
Des trois, seule Sandrine eut l’opportunité de baiser avant le retour au bercail. Un des serveurs lui faisait les yeux doux parce qu’amateur de fortes poitrines, celle de Sandrine étant toujours largement découverte, voire carrément dénudée au bord de la piscine. Pendant que Laurence et Véronique excursionnaient, le serveur prénommé Rachid fut invité à rejoindre la cliente dans sa chambre après son service. Ce fut à nouveau un coït tumultueux que le serveur fut invité à faire durer, la libido de Sandrine s’étant brutalement réveillée au contact du corps nerveux et bien membré. Celui-ci eut droit à son cul, qui n’avait pas encore été honoré, on l’a vu, mais surtout, en bouquet final promis, à une cravate de notaire entre les deux opulents melons, dont il s’était auparavant gavé de la bouche en la possédant en missionnaire et des mains quand elle le chevauchait. Au terme d’un frottement intramammaire intense, le dénommé Rachid gicla dans la figure de Sandrine qui s’en débarbouilla comme une crème de jour. Ces ébats diurnes furent évidemment l’objet de la curiosité des deux excursionnistes une fois de retour, épatées qu’une tête grisonnante comme celle de Sandrine ait pu exciter à ce point un garçon de moitié moins son âge. En vérité, ce n’était pas tellement la tête qui était en cause…
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Au retour, les trois conjoints trouvèrent leurs épouses embellies par le bronzage, mais aussi une lueur intérieure qu’ils ne leur connaissaient plus. Ils ne se doutaient évidemment pas que le sexe en était à l’origine – et quel sexe ! –, mais ils mirent tous les trois un point d’honneur à récompenser leur moitié de leur queue revigorée par cette bénéfique absence. Ces ébats conjugaux furent naturellement commentés par les trois complices autour d’une tasse de thé.
Mais la célébrité des trois mannequins d’occasion disparut aussi vite qu’elle était arrivée. Ainsi va le monde actuel et le fameux « quart d’heure de célébrité » à la Warhol. Néanmoins, les trois amies n’étaient pas totalement décidées à retourner à la routine conjugale.
Mais les occasions manquées, surtout à un certain âge, ne se rattrapent jamais. Enfin, presque jamais…