n° 22919 | Fiche technique | 7141 caractères | 7141 1198 Temps de lecture estimé : 5 mn |
10/02/25 |
Résumé: Sophie s’est bêtement enfermée dans la réserve de son entreprise. En essayant de se libérer, elle se retrouve dans une posture pour le moins incongrue. | ||||
Critères: #humour #pastiche #occasion #travail fhh collègues travail cérébral | ||||
Auteur : bisedelaquarantaine (Je passe ma crise de la quarantaine en caressant mon clavier) Envoi mini-message |
Allez savoir comment ils s’étaient retrouvés dans cette situation… Sophie et son chef de service, Stéphane, se retrouvaient coincés dans le local à fournitures de leur entreprise.
La porte avait claqué, impossible de l’ouvrir de l’intérieur. Ballot.
Ils allaient crever, c’est sûr…
Sophie pensa qu’elle rejoindrait l’au-delà bien accompagnée, c’était déjà ça.
Mais quand même…
Elle avait économisé toute l’année pour s’offrir des vacances à l’île Maurice et la perspective de les rater l’agaçait royalement.
À force de se triturer les méninges, elle eut une idée de génie : agrandir le petit trou qu’on distinguait à peine au centre de la porte.
Stéphane qui n’avait pas la réputation d’être très manuel (sauf à en croire ce qu’en disait Maria Koushtouala, la nouvelle de la compta, le lendemain de la soirée de Noël), s’y employa et réussit à élargir le trou jusqu’à ce que Sophie puisse y passer la tête, puis la taille, espérant trouver enfin secours à l’extérieur.
Mais, en guise de secours, elle ne fit qu’aggraver sa situation déjà bien précaire en se retrouvant coincée au niveau de la taille. Coincée. Le haut du corps d’un côté de la porte, le bas, de l’autre.
Quelle cruche je fais, se dit-elle en se rappelant qu’elle avait mis une jupe ce jour-là. Stéphane devait bien profiter de la vue.
Mais pas queue.
À ce stade du récit, on pourrait croire qu’il en profita odieusement. Mais non, chèr·e·s lect·eurs·rices. Le fieffé coquin était aussi un gentilhomme.
Avant d’accomplir son forfait, il demanda et obtint le consentement de notre Sophie. Il dut d’ailleurs lui faire répéter, car c’était une porte coupe-feu et insonorisée.
Ou peut-être était-ce juste pour le plaisir de l’entendre céder à la tentation à voix haute.
Côté pile la vision était, ma foi, très plaisante.
Le cul de Sophie offert, cambré, moulé dans une jupe d’été avec un motif de cerises. Prédestiné, pensa-t-il, en troussant la fine étoffe sur les hanches de sa N-1.
La culotte ne résista pas bien longtemps. À vrai dire, Sophie pourrait même la mettre directement à la poubelle, si un jour elle s’en sortait, car Stéphane l’avait purement et simplement déchirée d’un mouvement sec.
Elle sourit intérieurement en se remémorant les soirées entières passées à se toucher en regardant des pornos pseudo-comiques répertoriés sous le tag #Stuck, où des belles-mères se retrouvaient coincées, on ne sait comment, sous une table basse, un clic-clac, voire dans le hublot d’une machine à laver, avant qu’un gendre serviable ne vienne les tirer… d’affaire.
Stéphane n’en perdait pas une miette non plus. Au final, cette Maria de la compta n’avait pas grand-chose de plus à offrir qu’un regard lubrique.
Non, ce qu’il avait sous les doigts était d’un tout autre calibre. Et… particulièrement mouillé, constata-t-il.
Un doigt, puis deux, puis trois frayèrent leur chemin dans la chatte de Sophie. Elle ruisselait.
Il l’entendait gémir de l’autre côté de la porte. Comme quoi elle n’était pas si insonorisée que ça, cette porte, hein…
En gentilhomme averti, il interpréta ces miaulements comme une incitation à poursuivre et sortit son sexe d’un pantalon de costume dont la braguette allait bientôt exploser, tant il bandait.
Il prit son temps pour l’enfiler. Sophie sentit tout passer. L’excroissance de son gland, chaque veine gonflée et saillante, la rigidité de cette tige de chair chaude. Elle pouvait presque compter les centimètres la pénétrer un à un.
10, 11, 12, tiens, 12 cm, c’était la taille de son mari. Tout ce qui viendrait après, c’était l’inconnu.
À 17, elle se sentait pleine, remplie, fourrée. Le contact des couilles contre sa peau lui signifia la fin de ce premier chapitre.
Le grossier personnage qui s’adressait à elle n’était autre que Luc Sorg, le responsable de la sécurité et de la vidéo surveillance.
Luc allait faire une pause clope et ne s’attendait pas à tomber sur pareille scène dans le couloir de la réserve.
Sophie balbutia une vague explication, mais ce bon vieux Luc n’était pas assez futé pour solutionner son problème. En revanche, il lui proposa une clope.
Sophie accepta. Il la lui glissa entre les lèvres et l’alluma.
De l’autre côté de la cloison, c’est le moment que choisit Stéphane pour commencer à baiser Sophie. Il tenait ses hanches bien serrées de telle manière que ses pouces pouvaient presque se toucher.
Commença alors un lent va-et-vient. Lent, mais puissant. Comme des coups de boutoir faisant avancer Sophie malgré la porte.
Sorg s’en rendit compte, et s’il ne comprit pas tout de suite ce qui se tramait, son cerveau reptilien stimula une érection.
Sophie, pendant ce temps, ne pouvait dissimuler son plaisir sous les coups de reins de plus en plus puissants. Les yeux mi-clos, les lèvres entrouvertes, elle fit tomber sa cigarette sur le sol. Cet idiot de Luc tenta de la ramasser, mais elle l’arrêta dans un souffle :
Il sortit ce qui relevait plus du cigarillo que du Cohiba et le glissa là où se trouvait la cigarette quelques instants plus tôt.
Une bite dans la bouche, une autre dans la chatte, Sophie était aux anges. Les deux hommes la malmenaient pour son plus grand plaisir. Ils avaient accéléré le rythme et, en quelque sorte, se la renvoyaient de part et d’autre de la paroi comme des joueurs de tennis.
Le fait de ne pas voir son corps en entier décuplait leur plaisir.
En levant les yeux, Stéphane découvrit, épinglé sur la porte, un trombinoscope avec le portrait de Sophie qui venait d’être élue employée du mois.
L’affichette mettait un visage sur le cul qu’il était en train de défoncer sans vergogne.
Luc n’ayant quant à lui pas accès aux lèvres du bas de Sophie, décida de baiser joyeusement celles du haut à la place. Pragmatique, le responsable de la sécu.
Pragmatique, mais esthète tout de même, puisqu’il avait pris soin de dégrafer le chemisier de Sophie pour profiter du plaisir simple, mais foncièrement érotique et réconfortant de voir sa belle poitrine ballotter librement d’avant en arrière.
Sophie fut la première à jouir. C’en était trop. Deux mecs, deux queues bien dures, c’était plus qu’elle ne pouvait supporter. Elle se sentait salope, chienne, mise à disposition comme ces filles quand elle s’enfermait dans son bureau et tapait le tag #CzechGloryhole.
Entendant son gémissement, les deux hommes donnèrent leurs derniers coups de reins et jouirent en elle. Sa bouche était un champ de bataille, sa chatte était en ruine. Les deux dégoulinaient d’un sperme épais et abondant, preuve de l’effet qu’elle leur faisait. Deux tartes à la crème au lait entier.
Étonnamment, la porte s’ouvrit à cet instant, libérant miraculeusement Sophie. Incroyable !
Les deux hommes firent comme si de rien n’était, échangeant même une poignée de main.
Quelques jours après, Sophie fit le tour des bureaux pour dire au revoir avant son départ en vacances. Subrepticement, Luc glissa quelque chose dans la poche de son manteau.
Ce n’est qu’à l’aéroport, au moment de passer les rayons X qu’elle découvrit la clé USB.
Son mari, qui était juste derrière elle, lui demanda ce que c’était.
Ils avaient dix jours devant eux pour regarder le film ensemble.