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n° 22925Fiche technique14815 caractères14815
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Temps de lecture estimé : 11 mn
15/02/25
Résumé:  Un coup de main amical en entraîne parfois un autre.
Critères:  #héros #chronique #volupté #occasion #différencedâge #masturbation fh fplusag grosseins fdomine voir nopéné
Auteur : Diego AM      Envoi mini-message
Un bon coup de main

Harassante. Ainsi pourrait-on résumer cette journée qui m’a vu couper, transporter puis empiler une dizaine de stères de bois pour l’hiver.


En ce vendredi d’octobre pluvieux, j’avais consacré une journée de RTT à préparer l’hiver. Il faut savoir anticiper et prévoir. C’est aussi à ce prix que l’on peut profiter des longues soirées d’hiver au coin du feu.


J’étais célibataire depuis plusieurs mois. Mon ex-compagne et moi avions décidé de nous séparer d’un « commun » accord. Nous nous étions éloignés progressivement jusqu’à ne plus rien partager. Après trois enfants – aujourd’hui de jeunes adultes – et vingt-cinq ans de vie commune, il était temps de découvrir de nouveaux horizons. Tout cela s’était fait, à ma grande surprise, intelligemment et sans heurts.


Je n’étais absolument pas matérialiste et lui avais laissé la maison familiale. J’avais pris un petit appartement non loin de là et ma vie était rythmée désormais par le boulot et un peu de temps pour moi. Une grande découverte !


Malgré tout, j’étais resté proche de ma belle famille et il n’était pas rare de se voir ou de se rendre service mutuellement. C’est ainsi que j’avais répondu favorablement à l’appel au secours de Francine pour l’aider à s’occuper de son bois.


Francine était la belle-mère de mon ex-compagne, la troisième épouse de son défunt père. Celui-ci avait eu une vie bien remplie de ce côté-là. Cinq enfants de trois femmes différentes, dont la dernière, Francine, de près de quinze ans sa cadette. Celle-ci avait aujourd’hui soixante-cinq ans et était veuve depuis maintenant trois ans. En effet, mon ex-beau-père avait succombé à de multiples problèmes cardiaques à l’aube de ses quatre-vingts printemps.


Francine s’était alors retrouvée seule dans une très grande maison qui avait la particularité d’être perpétuellement en travaux. Impossible de dresser une liste de ce qui était encore à faire. C’était une imposante bâtisse du début du vingtième siècle érigée sur trois étages, dont seuls les deux premiers étaient habitables et occupés. Deux grandes chambres entouraient un salon cosy. Une grande salle à manger était contiguë à une cuisine qui aurait mérité un vrai rafraîchissement et dans laquelle trônait une cheminée comme il était de coutume à cette époque. La maison avait un potentiel incroyable et l’on aurait pu y adjoindre d’autres pièces ou même y créer un, voire deux studios, totalement indépendants.


Elle avait décidé de garder la maison contre l’avis de son fils unique – le demi-frère de mon ex. Trop de souvenirs, trop de bons moments passés, trop de tout en fait.


Au fil du temps, elle avait dû se résoudre à faire appel aux amis ou à la famille afin de lui venir en aide sur certaines tâches. C’est ainsi que je venais deux à trois fois par an m’occuper du jardin ou du bois. J’aimais sa compagnie et cela me permettait de garder une certaine activité physique à des périodes où mon travail ne m’offrait que peu de répit. Malgré la séparation, je continuais à rendre service.


En ce vendredi d’automne, je n’ai donc pas lésiné sur les efforts pour mener à bien la tâche qui m’avait été confiée et j’étais mort de faim en fin journée.


Elle me savait gourmand et avait préparé de quoi rassasier un homme qui avait donné de sa personne toute la journée sous une pluie battante par moments. Mais avant de passer à table, une bonne douche s’imposait. J’étais totalement frigorifié et les quinze minutes passées sous l’eau chaude m’avaient fait le plus grand bien. Je suis passé dans la chambre d’amis pour m’habiller, les cheveux et le dos encore humides. Je fredonnais un air connu d’une chanson des années 80 quand, en me retournant, j’ai croisé le regard de mon hôte dans l’entrebâillement de la porte. Impossible de dire sur l’instant depuis combien de temps elle se tenait là, silencieuse.


De taille moyenne, sa longue chevelure frisée aux reflets roux recouvrait son long gilet vert foncé tricoté d’une laine très épaisse. Il lui descendait à mi-cuisses et n’était fermé que par un seul bouton situé au niveau de son ventre. Celui-ci cachait une longue jupe à motifs fleuris sombres qui lui tombait à hauteur des genoux. Ses jambes étaient nues et elle portait une paire de pantoufles blanches ornées d’un liseré de fourrure épaisse qui lui recouvrait le haut des chevilles. Alors que sa main droite était enfouie dans la poche de son gilet, sa main gauche était posée sur le cadre de la porte à hauteur de hanches.


Le temps était comme suspendu un instant. J’étais de côté et avais remarqué sa présence en tournant la tête sur ma gauche. La pièce était seulement éclairée par une lampe de bureau située sur une table de chevet. La lumière jaune diffusée par celle-ci emplissait la chambre d’un jeu d’ombres. J’étais seulement vêtu d’un t-shirt blanc avec un col en V très échancré. À presque quarante-cinq ans, sportif dans l’âme, j’étais plutôt encore bien conservé. Mes cuisses étaient musclées – fruit de longues heures de course à pied notamment – et j’avais toujours pris soin, à minima, de mon apparence physique. Mes cheveux longs et bouclés tombaient sur mon t-shirt.


J’étais presque entièrement nu et mon caleçon se trouvait à environ un mètre cinquante sur le lit. Le reste de mes vêtements étaient, eux, sur le bureau situé un peu plus loin. J’ai fait un quart de tour sur ma droite afin d’attraper mon caleçon. J’étais à la fois surpris et légèrement décontenancé par la situation. Une fois le caleçon dans ma main gauche, je me suis lentement reculé afin de l’enfiler. Impossible. Au moment d’effectuer ce mouvement, j’ai senti poindre sur l’arrière de ma cuisse gauche découverte la douceur du long gilet de Francine. Elle avait parcouru silencieusement, en moins de deux secondes, la distance qui nous séparait. J’étais comme tétanisé.


Doux et fleuri. C’est ainsi que je qualifierais le parfum qui se dégageait de sa longue chevelure que je savais proche de mon dos. Quelle attitude devais-je adopter ? Je n’ai pas eu le loisir d’y réfléchir bien longtemps. J’ai alors senti sa main se poser délicatement sur le côté de ma cuisse droite. Elle était dans mon dos, hors de mon champ de vision. D’un mouvement doux et régulier, elle remonta celle-ci vers ma hanche pour venir ensuite stopper son mouvement juste en dessous de mon nombril. Sa peau était douce et la chaleur de sa main me procurait une sensation exquise. De cette façon, elle venait de se coller presque entièrement dans mon dos. J’ai bandé en moins de dix secondes.


Il faut dire que la situation l’imposait. Qui plus est, les derniers mois avaient été plutôt calmes – pour ne pas dire plus – de ce côté-là. Ni mon ex, ni les quelques moments passés en solitaire n’avaient suffi à me contenter.


J’étais donc là, au milieu d’une pièce semi-éclairée, au garde-à-vous, totalement à la merci de Francine. Elle a alors entrepris un léger mouvement de sa main droite, située quasiment sur mon nombril. La paume de celle-ci est venue légèrement en contact avec mon gland dur et gonflé. J’ai eu comme un spasme sur l’instant. Sa main a alors glissé lentement vers mon entrecuisse. Sa main gauche passée sous mon t-shirt remontait lentement de ma hanche vers ma poitrine. L’instant était empli de sensualité. La douceur de sa peau mêlée à son parfum me procurait une sensation folle. J’étais comme prisonnier de cette femme sur laquelle j’avais parfois fantasmé.


Je me suis retourné lentement et ses deux mains vinrent prendre place de part et d’autre de mon bassin. J’étais face à elle avec une trique du tonnerre. Ma queue n’était même pas couverte par le bas de mon t-shirt qu’elle avait cru bon de remonter légèrement lorsque j’ai opéré un demi-tour. Elle s’approcha de quelques centimètres. Mon gland dur et ultra-sensible entra en contact avec la laine épaisse de son gilet. Quelle sensation !


Francine était à peine plus petite que moi et nos regards se faisaient face désormais. Ses cheveux longs et bouclés étaient de surcroît très épais et entouraient ainsi une grande partie de son visage. Une mèche imposante lui cachait en partie l’œil gauche. D’un geste précis, elle repoussa cette mèche vers l’arrière pour ensuite venir apposer un baiser long et chaud dans le creux de mon cou.


J’étais immobile et offert entièrement au désir de Francine. Elle me sourit en reculant légèrement la tête. Son visage était peu ridé et ses traits encore fins malgré les années.



Devais-je répondre ou me laisser porter par la sensualité de l’instant présent ?



Je n’ai pas eu le temps de répondre que sa main droite me poussa légèrement en arrière, m’invitant ainsi à m’asseoir au bord du lit situé derrière moi. Francine se colla à moi en s’asseyant également. Sa main droite vient ôter le bouton de son long gilet de laine. Sa robe laissait entrevoir ses seins lourds. Visiblement, le soutien-gorge n’était pas de rigueur ce soir ! Ses seins étaient gros et semblaient encore fermes. J’ai entrepris de les caresser sans pour autant plonger ma main à l’intérieur de sa robe. Elle avait les tétons durs et longs. Je les sentais grossir à mesure que je les caressais.


J’ai passé ma droite autour de sa taille afin de sentir près de moi la chaleur de son corps. Elle en fit de même avec sa main gauche qu’elle plaça sous mon t-shirt pour me caresser le bas du dos.



Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase que sa main droite vint couvrir ma bouche quelques secondes. Le message était clair. On se tait et on en profite !


Pour passer de la parole aux actes, sa main droite quitta rapidement ma bouche pour venir enserrer délicatement le bas de ma verge tendue comme un arc. Elle commença lentement un mouvement de va-et-vient, me masturbant avec une délicatesse que je n’avais jamais connue avec aucune femme.


J’ai ôté ma main de sa poitrine en la positionnant légèrement en arrière de mon buste afin d’offrir à Francine un champ d’action libre de tout obstacle.


Elle me branlait en fixant mon regard comme pour me faire comprendre que j’étais tout à elle. Et elle avait raison. J’aurais aimé que cet instant dure des heures.


Elle entreprit de me masser les bourses, se servant de son index et de son pouce pour les encercler délicatement.


Elle alternait ensuite les mouvements lents et amples et d’autres beaucoup plus secs et saccadés au niveau de mon membre. J’étais littéralement au 7e ciel et j’avais du mal, par moments, à rester calmes tant mon corps était mis à contribution. On aurait dit qu’elle avait fait ça toute sa vie.


Elle m’avoua plus tard qu’un amant rencontré quelques mois après le début de son veuvage l’avait initié à diverses pratiques auxquelles elle avait pris goût. Elle m’expliqua également qu’elle avait eu une vie conjugale plutôt morne sur cet aspect avec son mari. Celui-ci mettait peu d’entrain à la chose et la laissait souvent sur sa faim.


Alors que j’étais sur le point venir, elle dut sentir la chose, car elle fit une pause. Ouf ! Elle retira son bras gauche qui encerclait ma taille et fit un très léger mouvement de corps sur la droite. Elle en profita pour remonter sa robe et écarta ses deux cuisses encore fermes dans un lent mouvement extrêmement sensuel.



Je m’étais un peu redressé et elle attrapa délicatement ma main gauche pour venir la positionner sur le haut de sa cuisse droite. Le contact avec sa peau était divin. J’ai commencé à la caresser lentement, passant de l’intérieur d’une cuisse à l’autre. Ma main était dissimulée par sa robe. Elle semblait apprécier, car elle ferma lentement les yeux comme pour profiter pleinement de l’instant.


Après quelques longues secondes, ma main entra délicatement en contact avec son pubis totalement enserré dans une culotte en coton ornée de contours visiblement en dentelles. Son pubis semblait touffu et ses deux grandes lèvres paraissaient un peu à l’étroit sous l’étoffe. Son sous-vêtement était humide, signe qu’elle semblait elle aussi apprécier le moment. Alors que je tentais de glisser deux doigts à l’intérieur de sa culotte, elle décida de retirer lentement ma main de sous sa jupe.



Ces paroles eurent pour effet de redonner un surcroît de vigueur – si c’était encore possible ! – à mon érection. En un instant, je repris ma position de « travail » et Francine, après avoir passé son bras gauche autour de mes épaules, reprit de plus belle sa majestueuse branlette. J’en frissonne encore rien qu’en repensant au doux parfum de sa crinière de lionne en rut. Alors qu’elle continuait ses mouvements de va-et-vient, elle approcha lentement son visage du mien.



Bingo ! Ces simples paroles eurent pour effet de me faire éjaculer sans aucune autre forme de procès. J’ai dû serrer les dents et contracter mes abdominaux pour ne pas hurler de plaisir. Les deux premiers jets terminèrent sur le dossier d’une chaise située à quelques dizaines de centimètres face à moi. D’un mouvement rapide et précis, sa main gauche quitta le haut de mon dos et attrapa ma queue chaude en train de déverser des jets de sperme chaud et abondant. Sa main droite vient se positionner à proximité de mon gland violacé de manière à collecter les derniers jets de sperme qui s’accumulèrent ainsi dans le creux de sa main.


Tout en continuant à me branler très lentement, afin d’extraire les dernières gouttes de mon jus, elle approcha sa main droite pleine de sperme de son entrejambe et entreprit de caresser ainsi l’intérieur de ses deux cuisses. Tout cela ajouta de la sensualité à une situation qui n’en manquait pas au départ. Après quelques secondes, elle lâcha ma queue et attrapa un mouchoir dans la poche gauche de son gilet. Elle s’essuya avec délicatesse les deux mains, puis entreprit d’en faire de même avec ma queue. Je n’avais pas débandé. Elle savait y faire.



Elle prononça ses quelques mots en se levant du bord du lit. Elle remit son mouchoir dans la poche de son gilet et reboutonna celui-ci. Elle marcha lentement vers la porte de la chambre.



Elle disparut dans la pénombre du couloir, me laissant seul sur le lit. J’ai mis de longues secondes à reprendre mes esprits. Je venais de me voir prodiguer la plus divine des branlettes. J’ai dû faire attention de ne pas glisser dans mon propre foutre en me relevant. Elle n’avait pas fait semblant et le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle savait s’y prendre.


J’espérais de tout cœur que la suite de la soirée allait me permettre de lui rendre la pareille…