Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 22929Fiche technique8850 caractères8850
1545
Temps de lecture estimé : 7 mn
18/02/25
Présentation:  Une rencontre à la plage
Résumé:  Une journée bien remplie, qui commence par une rencontre à la plage et finit dans ma bouche.
Critères:  #lesbienne #masturbation #lieupublic fh ff vacances plage caférestau fsoumise voir noculotte
Auteur : sergefra  (Libertin cultivé)            Envoi mini-message
Good girl

Good girl

Il n’y a pas grand monde dans l’eau.

Il fait chaud.

Je suis debout sur la plage.

Je jouis du soleil sur ma peau et du vent qui le rend supportable.

Mes amis m’appellent Flo.

Je suis grande, mince, blonde, les cheveux longs, bien campée sur mes longues jambes.

Bien cambrée, mon petit cul en arrière, comme l’aime mon amoureux.

Je dois être à croquer dans mon petit deux pièces, pas trop ajusté, qui souligne mes petites fesses fermes et mes seins pleins.

Jolie, aventurière, la tête bien faite, mon caractère à moi, bien trempé, j’aime la vie et ses plaisirs, le sexe et j’ose m’aventurer sur des chemins inconnus.



C’est vrai qu’elle est belle la mer bleu turquoise, calme, à peine ridée de vaguelettes qui rafraîchissent et lissent le sable.

Mais cette main qui s’aventure sur mes hanches ne désigne pas la mer. Elle se fraye un chemin sans gêne sous mon petit élastique.

Et me torpille d’une décharge électrique.

J’en tressaille sur mes jambes le souffle coupé.

Cette main chaude et coquine a trouvé sans hésiter ce point qui m’a fait chanceler

Et encore !



Un souffle chaud dans mon oreille…

La mer est calme, la plage tranquille et les quelques baigneurs n’ont pas ressenti cet ouragan des sens qui m’a dévastée.

J’aime le sexe, mais je n’avais jamais ressenti un aussi rapide contrôle sur moi.



Les doigts progressent sous l’étoffe, et se présentent à l’entrée de ma grotte déjà humide, qui ne demande qu’à couler.



Cette sensation exquise des doigts en moi qui traient mon plaisir, je ferme les yeux et me laisse aller.

La main en profite, s’aventure plus loin, me fouille, se plaque sur mon ventre, le petit doigt me fronce le trou du cul.

Je défaille.

Dans l’eau, un baigneur s’ébroue, et se dirige vers la plage, la main m’abandonne à regret, un corps chaud et doux se presse contre moi.

La bouche me mange l’oreille dans un délicieux titillement :



Une brune à la peau mate, toute en formes, une fine chaîne dorée à la taille s’éloigne d’une démarche félinement érotique.

J’ai du mal à reprendre mes esprits, à comprendre comment aussi vite j’ai pu m’abandonner.

Déjà, elle ressort la peau magnifiée de fines gouttes qui laissent des auréoles de sel, elle passe à mes côtés sans un regard.

Je me tourne et la suis des yeux, secouer sa serviette, et s’allonger.

C’est une femme voluptueuse.

D’expérience, et qui sait ce qu’elle veut.

Mes sens exacerbés, mon sexe en veulent plus, il faut que j’éteigne en moi ce désir qui commence à me consumer.

Elle a raison.

Je me dirige vers ma serviette, je la prends, la secoue, rassemble mes affaires et vais m’installer à côté d’elle.

Allongée sur ses coudes, elle me dévisage longuement sous ses lunettes de soleil.

Elle se redresse, passe ses mains dans le dos, dégrafe son haut et laisse apparaître des seins magnifiques, pleins et fermes à la tétine arrogante.

Elle me regarde les détailler, me fixe à me faire comprendre d’en faire autant.

Pendant que mes mains s’activent dans mon dos, les siennes aident mes lobes à se libérer de leurs cachettes. Ses mains douces en soulèvent les contours, les moulent et les soupèsent.



Je la sens se rapprocher contre moi, la chaleur de son corps, son souffle dans le dos, et les doigts de sa main écarter le tissu, mes lèvres.

Ils jouent avec, discrètement, les écartent, les tirent, les entrebâillent, les pénètrent, de plus en plus facilement à mesure que mon plaisir exsude.

Un doigt, deux doigts, un savoir-faire certain.



La chaleur humide de sa bouche dans mon oreille.

Elle me présente son autre main devant ma bouche.



Deux doigts, trois doigts, je ruisselle, et un quatrième qui s’insinue dans mon cul. Elle me tient bien en main, dans la pince de ses doigts.

Elle m’achève de mouvements brusques qui font couler ma source.

Je mords son pouce pour ne pas crier

Et je jouis, je jouis, je jouis, comme jamais auparavant.

Elle se lève, prend ses affaires et s’en va, comme une lionne repue de sa proie.



Sur la plage au sable chaud, je reprends lentement mes esprits. Je suis encore tourneboulée.

Certes, j’aime le sexe et les femmes aussi, mais je ne me suis jamais laissé faire ainsi.

Le soleil se couche à l’horizon, je m’étends comme une chatte, me redresse, j’enfile mon microshort, ma chemise ample, ramasse ma serviette et je rentre.

Fred est déjà là, brun, mince, aux muscles déliés.

C’est mon homme du moment : élégant, cultivé, doux et brutal à la fois, prude et coquin.



Je file vers la douche.

L’eau chaude me détend.

Je me sèche, me parfume.

J’enfile la chemise blanche que Fred a laissé traîner et noue une ceinture autour de la taille.

Je le rejoins dans le salon.

Il siffle son admiration, je me rapproche, mutine, lui ouvre la bouche de ma langue.

Ses mains glissent le long de ma taille, sous la chemise.

Il découvre que je suis nue et de son doigt inquisiteur, déjà excitée.


Je m’en détache.



Et je me dirige vers la rue en me déhanchant pour le chauffer un peu plus.


Assis à nous attendre, un blondinet, chaussures de bateau, blazer, foulard, bermuda très lisse et sa blonde, robe boutonnée par-devant très haut, un nœud noir retient ses cheveux.


Fred me présente, la discussion s’engage, le garçon nous sert.

Je me sens étrangère, je m’ennuie.

Je les observe, lui, aucun intérêt, un blond infatué, sans saveur, sans odeur.

Elle, habillée n’importe comment, sans goût ni sensualité, mais je devine sous sa robe sagement boutonnée des seins de bonne taille, généreux.

Sont-ils réactifs aux caresses, et pointent-ils lorsqu’ils sont pincés ?

Elle se sent observée, me regarde, rougit, balbutie.

Je ferme les yeux, et l’imagine debout devant moi, je déboutonne sa robe lentement et découvre ses seins laiteux, offerts à la caresse, dans un balconnet.

Et dessous, comment est-elle ?

Je n’arrive pas à voir son cul, ses jambes.


Je veux savoir, je me lève, me dirige vers les toilettes.

J’en reviens lentement en prenant mon temps pour l’observer.

Elle a de jolies jambes, fines, semble-t-il, et son cul paraît voluptueux. Il remplit la chaise, sans déborder, bien ferme. Des sandales à talons compensés accentuent le galbe de ses mollets.

Je lui souris. Elle m’excite. J’écarte mes jambes, me glisse un doigt.

Je suis mouillée, je le porte à mes narines pour m’enivrer du parfum de mon entrecuisse.

Elle observe interdite, mon expression béate. Je me prends à imaginer son parfum intime.

Fred discute toujours avec son ami, et me délaisse en face de « sainte nitouche ».

C’en est trop ! Je glisse une main sous la table, je saisis son sexe à travers le tissu, et commence à le caresser en échangeant des banalités avec Victoire.

Sous mes caresses discrètes, Fred grossit.

Je me penche vers son oreille.



Il s’interrompt, me regarde, se redresse sur la chaise et dans le même mouvement, descend sa braguette vers le bas.

Je faufile ma main, et l’empoigne. Cette chaleur qui grossit c’est bon. J’aime le sentir à ma merci.

Je l’astique lentement pendant qu’il parle

De temps en temps, je porte ma main à mon nez et sens son odeur.

Victoire me regarde, interloquée, renifler longuement le creux de ma paume.



Et je lui fourre ma paume sous les narines.



La conversation se poursuit, je continue à le branler discrètement…



Charles se lève, tend la main à Victoire, nous en faisons de même, Fred tire sur sa chemise pour cacher sa braguette toujours ouverte.

Victoire le regarde.



Je me penche vers Victoire pour l’embrasser. Elle sent bon. J’ai posé négligemment ma main sur sa hanche, je sens l’élastique de sa culotte, et presse mes seins contre les siens. Ils semblent bien fermes.


Nous rentrons chez nous.



Je ferme la porte derrière nous, pousse Fred vers le canapé, m’agenouille pour le prendre en bouche.


Et je le suce.

Je sens mon désir couler le long de mes cuisses, pendant qu’il grossit à me remplir la bouche.

J’aime le sentir à ma merci.

Il commence à souffler un peu plus fort, me saisit par les cheveux pour piloter mon rythme, et maîtriser son plaisir.

Il plaque ma tête contre son ventre et explose, remplissant mes yeux d’étoiles.

Je le regarde dans les yeux et j’avale son sperme.