n° 22945 | Fiche technique | 23369 caractères | 23369 4155 Temps de lecture estimé : 17 mn |
26/02/25 |
Résumé: Francine m’avait donné un bon « coup de main » afin de me remercier de l’avoir aidée. Il était maintenant temps de passer à table. Tout cela m’avait franchement ouvert l’appétit. | ||||
Critères: #biographie #coupdefoudre #différencedâge fh fplusag grosseins pénétratio | ||||
Auteur : Diego AM Envoi mini-message |
Rassasiant. Je suis totalement repu après avoir englouti tout ce que Francine a préparé. Elle est une excellente cuisinière et cela me change de la malbouffe que j’ingurgite tout au long de la semaine. Il est bientôt 21 heures. La sonnette de la porte d’entrée retentit. Moi qui pensais passer la soirée tranquillement avec mon hôte, me voilà dérangé dans mes projets. Zut.
Elle quitte brièvement la cuisine pour se rendre dans l’entrée située à quelques mètres de là. La porte s’ouvre et j’entends une voix d’homme. Qui peut bien venir lui rendre visite à une heure aussi tardive ? Quelques secondes s’écoulent. Francine revient dans la cuisine avec un grand sourire aux lèvres. Vêtue de son grand gilet de laine verte fermé à la taille par une ceinture de la même couleur, elle porte un jean moulant bleu marine qui la met parfaitement en valeur. Je peux dire sans me tromper qu’elle fait encore de l’effet chez tout homme normalement constitué. Ses jambes sont encore fines et bien galbées. Si elle présente quelques kilos superflus liés à l’âge, elle reste vraiment désirable. Mais la partie de son anatomie que je préfère reste sa poitrine. Prisonnière d’un soutien-gorge en dentelle bordeaux qui dépasse sur le haut de son chemisier blanc, je la devine ferme et douce. Elle est l’objet de mes fantasmes depuis plusieurs années. Je m’imagine souvent en train de la toucher, la masser, la malaxer, l’embrasser…
Alors que mon esprit divague, je reviens rapidement à la réalité lorsque Philippe entre à son tour dans la cuisine. Dépassant allégrement la soixantaine, c’est une sorte de courtisan, sans cesse à se soucier du bien-être de Francine. Elle m’a maintes fois parlé de lui comme quelqu’un de prévenant, ayant de la conversation. Bref, une sorte de compagnon lui permettant de rompre la solitude dans laquelle elle est plongée depuis maintenant près de six ans. Il a, a priori, des vues sur la belle et son regard lubrique sur ses fesses ne laisse que peu de place au doute. Ont-ils franchi le rubicond ou est-il encore au simple rang de prétendant ?
Après un échange de banalités, je prends congé et les laisse seuls dans la cuisine.
L’ami Philippe en profite pour me jeter un regard noir. Il ne tarde pas à remettre la machine à compliments en route. Quel beau parleur !
Une bonne demi-heure s’écoule. Je téléphone à un vieux cousin en prévision des vacances d’hiver qui approchent. Une fois le problème des vacances réglé, il va falloir que je réfléchisse à comment me débarrasser de notre encombrant visiteur du soir. En fouinant un peu à l’étage supérieur, je me suis rendu compte qu’il devait squatter ici de temps en temps. D’après les dires de mon ex-beau-frère – le fils de Francine – Philippe est une sorte de bohème doté d’un fameux poil dans la main. S’il reconnaît volontiers qu’une présence masculine le rassure vis-à-vis de sa mère, il pense également que ce dernier profite allégrement de la situation.
Je retourne à la cuisine en essayant d’imaginer un plan afin de me retrouver seul avec Francine. La pièce est vide. Un peu de vaisselle traîne encore dans l’évier. Où ont-ils pu bien aller ? Je décide de retourner vers ma chambre située derrière le salon en empruntant un petit couloir mal éclairé.
Je passe devant la salle de bains. La porte est entrouverte. J’entends un peu de bruit. Ils sont là. Je m’approche lentement et aperçois ce bon Philippe en bras de chemise, calé dans le dos de Francine, en train de lui peloter la poitrine. Quel goujat ! Il est là, en train de martyriser sa belle paire de seins encore fermes pour une soixantenaire. Les trois premiers boutons de son chemisier sont ouverts. Son long gilet est toujours sur ses épaules. Ses yeux sont fermés et elle émet de temps à autre de petits gémissements, visiblement de plaisir. Philippe porte alors sa main droite vers la ceinture de son pantalon et le voilà avec celui-ci à mi-cuisses en quelques secondes. Il retourne Francine d’un geste sec et lui murmure un mot à l’oreille. Elle fait alors un geste de la gauche vers la droite avec sa tête et repousse la main de Philippe posée sur son avant-bras. Sans prendre le soin de reboutonner son chemisier, elle rabat les deux pans de son pull comme pour se protéger des assauts du mâle en rut avec lequel elle se trouve. Raté mon Philippe. Il semble comme désemparé lorsque Francine quitte la pièce. Je retourne rapidement dans le salon en faisant mine de lire un magazine.
Elle traverse le petit salon en me souriant et s’enferme rapidement dans sa chambre. Philippe, penaud, me rejoint dans le salon et s’écrase dans le canapé qui me fait face. Mon téléphone se met à vibrer. C’est Francine qui m’envoie un message. Elle est presque gênée que j’ai été témoin de la scène avec Philippe dans la salle de bains. « Viens me voir dans ma chambre en passant par la tienne ».
Je m’exécute rapidement. Philippe semble comater devant la télévision qu’il a allumée il y a quelques instants. Les deux chambres communiquent par une petite porte. Celle-ci est entrouverte.
Tu m’étonnes ! Je ne me vois pas aller me coucher dans cet état-là. Depuis le temps que j’ai envie de découvrir – entre autres – sa délicieuse poitrine, pas question de rebrousser chemin si près du but. Francine ouvre un petit tiroir et me tend un flacon.
Son joli sourire illumine son visage. Même si elle se trouve à plus d’un mètre de moi, je sens son parfum. Elle baisse les yeux et se retourne. Je regagne le salon en prenant soin de passer par ma chambre afin de ne pas éveiller de soupçons chez Philippe. Je me montre sympa, engage la conversation et lui propose un verre, qu’il accepte instantanément. Je vais à la cuisine et reviens avec deux verres de whisky. Ce n’est pas vraiment mon truc, mais là, c’est pour la bonne cause !
Philippe ne met que quelques minutes à finir son verre et l’effet du somnifère ne se fait pas attendre très longtemps.
Moins de trente minutes plus tard, notre ami ronfle dans son fauteuil. Apparemment, il a rejoint les bras de Morphée. Je m’approche lentement de la porte de la chambre de Francine située juste à côté du salon. Je frappe doucement. Elle n’est pas fermée et s’entrouvre légèrement. Seules deux lampes de chevet et une bougie éclairent la pièce. J’avance lentement.
Francine est près de la fenêtre dans une sorte de semi-obscurité. Elle n’a plus du tout la même tenue. Elle porte désormais une nuisette de satin blanche qui lui tombe à mi-cuisse. Une espèce de robe de chambre également en satin sombre complète le tout. On y distingue aisément les excédents de fourrure noire à chacun de ses poignets. Ses pieds sont nus et ses cheveux totalement détachés. Ses seins pointent à travers le fin tissu qui la couvre. Elle s’approche vers moi et attrape mes deux mains qu’elle plaque instantanément sur sa poitrine. Quel plaisir !
Je l’embrasse dans le cou et elle passe ses mains sous mon t-shirt. Je me retrouve torse nu en quelques secondes. Ses caresses parcourent mon dos, mes bras et elle vient maintenant plaquer ses mains sur mes fesses. Je lui ôte sa robe de chambre et sa nuisette. Pas de trace de la moindre culotte. Elle est totalement nue. Sa peau est douce, légèrement ridée à hauteur de son bas ventre et de ses cuisses. Elle déboutonne mon pantalon. Je me retrouve également nu comme un ver. Je bande dur. Elle le voit et attrape mon membre au garde-à-vous. Je passe de l’un à l’autre sein, en prenant soin d’embrasser chaque téton avec ma langue. Cela a pour effet d’accélérer le mouvement de va-et-vient qu’elle imprime à ma queue. Mes mains fouillent son entrejambe humide et gonflé.
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, elle me pousse en arrière sur le lit et vient s’empaler sur mon chibre en érection. Voilà des préliminaires expédiés de façon express. Elle donne le rythme à nos ébats en alternant des mouvements lents et longs à d’autres plus secs et saccadés. Son expérience parle pour elle. Ses deux seins viennent s’écraser sur ma poitrine quand elle décide de se pencher en avant afin de passer ses deux bras autour de mon cou. Je prends alors la direction des opérations et décide de calmer un peu ses ardeurs sous peine de jouir avant d’avoir pu en profiter pleinement. Je l’embrasse tendrement, profitant de l’occasion pour caresser délicatement ses deux belles fesses et le bas de son dos. Je quitte son antre quelques instants afin de faire refroidir un peu le moteur !
Elle quitte sa position à califourchon pour s’allonger à côté de moi sur le dos. Elle a les jambes légèrement repliées. Je pose ma main sur son ventre afin de la caresser. Sa longue tignasse bouclée couvre en partie son visage. Cette petite pause me permet de faire un peu baisser la température. Elle pose sa main sur ma joue et s’assied sur le bord du lit. Elle enfile sa robe de chambre et se lève lentement.
Elle ferme brièvement son vêtement de satin et de fourrure. Je la suis en attrapant rapidement un petit plaid que je noue autour de ma taille. Mais que fait-elle ? Elle sort de la chambre et entre dans le salon. Philippe dort comme un bébé. Il ronfle même par moments. Elle s’assied dans un fauteuil de cuir brun usé situé face au canapé dans lequel notre ami est en train de pioncer. Elle écarte légèrement les cuisses et ouvre la ceinture de sa robe de chambre. Elle pose sa main sur son entrejambe et se caresse très lentement.
Le feu crépite dans la cheminée. Nous sommes à quelques dizaines de centimètres et la chaleur envahit la pièce. Je m’approche d’elle et ôte le petit plaid qui me servait à me couvrir. Je n’ai pas mis longtemps à retrouver une certaine vigueur. Les minutes qui suivent sont torrides. J’ai rarement pris mon pied comme ce soir-là. Je n’ose imaginer ce dont Francine était capable vingt ans en arrière. Je me laisse tomber dans le fauteuil situé près du sien. Nous sommes encore nus, profitant du moment que nous venons de vivre. Elle est quand même drôlement culottée d’avoir voulu faire ça à quelques mètres de Philippe, alors que celui-ci était à moitié shooté.
Je me rhabille après quelques minutes.
La sonnette de l’entrée retentit de nouveau. Ma parole, c’est un moulin ce soir ! Francine me fait signe de la tête, me demandant d’aller ouvrir. J’enfile un pull et me dirige vers l’entrée.
J’ouvre et l’air glacé de l’extérieur me fait légèrement reculer. Une jeune fille d’une trentaine d’années me fait face. Cachée sous un bonnet de laine rose, elle semble transie de froid. Elle se présente comme la fille de Philippe. Je la fais entrer dans le petit vestibule. Elle ôte son bonnet et défait les boutons de son manteau. Elle n’est pas très grande, bien en chair et je devine deux énormes seins sous son pull de laine gris à col roulé. Elle a des cheveux noirs coupés court. Des lunettes à bords noirs épais habillent son joli minois. Elle me suit dans le salon où son père s’est visiblement réveillé. Francine n’est plus là. J’entends l’eau couler dans la salle de bains.
À cet instant, Francine nous rejoint dans le salon, emmitouflée dans un peignoir de bain, une serviette vissée sur la tête.
J’observe la scène avec attention. Il y a là Philippe, le courtisan, à moitié vaseux et qui peine à émerger. Francine, pimpante, sortant de la douche et qui vient de prendre son pied. Puis Camille, la dernière arrivée. Plus je la regarde, plus je lui trouve un certain charme. Et quelle paire de lolos elle semble avoir ! Cela ne me laisse pas insensible, c’est le moins que l’on puisse dire.
Nous passons à la cuisine et Francine nous prépare du café. Cela a le mérite de redonner vie à l’ami Philippe. Il semble revigoré et de nouveau à l’offensive. Francine n’a qu’à bien se tenir ! Camille me fait face. Elle a des yeux clairs qui donnent une certaine douceur à son visage. Nous devisons tous les quatre pendant quelques minutes. Puis Francine prend place derrière Philippe et pose ses deux mains sur ses épaules.
J’ai appris plus tard qu’ils avaient effectivement une liaison depuis plusieurs mois et que Francine appréciait le calme et la douceur de Philippe. La solitude lui pèse depuis maintenant de nombreuses années. Les voilà qui quittent la pièce me laissant seul avec Camille, que je ne connaissais pas il y a encore moins d’une heure. De mon côté, la soirée n’a pas manqué de piment. Quand je pense qu’elle ne semble pas encore rassasiée. Quelle santé !
Mon esprit divague un moment. Je m’imagine caler entre les deux seins de Camille, ce petit bout de femme à la chair ferme et blanchâtre. Le calme règne dans la pièce. Elle a dix ans de moins que moi et ce n’est pas forcément une fille sur qui j’aurais flashé instantanément. Nous échangeons quelques banalités. J’apprends qu’elle sort d’une liaison qui a duré trois ans et qui n’a pas été simple, elle a visiblement du mal à se remettre de sa récente rupture. Je lui propose de continuer à papoter dans le salon. Elle se lève et je ne peux m’empêcher de mater son joli derrière. Elle a un vrai charme et ses courbes avantageuses la rendent désirable. Visiblement, le célibat commence à me peser.
Au cours de la conversation, je lui propose d’occuper ma chambre. Le canapé me fera l’affaire pour une nuit. La météo est trop exécrable pour tenter un retour à la maison. Elle est soulagée de savoir qu’elle ne va pas devoir rentrer avec ce temps.
Il est temps d’aller dormir. Nous nous levons.
C’est à ce moment-là que du bruit se fait entendre depuis la chambre de Francine.
J’emboîte le pas de Camille qui entre dans la chambre en courant. J’entre à mon tour et allume la pièce qui était plongée dans l’obscurité. La scène qui se trouve sous nos yeux n’est pas banale. Il y a là Philippe, nu comme un ver et encore avec une belle érection, en train de faire ce qui semble être un malaise. À ses côtés se trouve Francine qui a juste eu le temps d’attraper un morceau de drap afin de cacher sa nudité. Elle est totalement paniquée par la situation. Camille ne perd pas de temps et tourne son père sur le côté afin d’éviter qu’il ne s’étouffe. Je m’approche d’elle en prenant mon téléphone.
Tout en discutant avec le pompier afin de lui expliquer la situation, je remarque plusieurs pilules sur la table près du lit. Je fais un signe de la tête à Camille pour les lui montrer. Il y a du viagra et d’autres comprimés dont j’ignore la provenance.
J’ai appris plus tard que c’était un dérivé de cocaïne et que le mélange avec le viagra avait entraîné une surchauffe du moteur chez Philippe.
Les pompiers interviennent rapidement et le transportent vers l’hôpital voisin où il reste la nuit en observation. Francine l’accompagne après avoir enfilé une tenue adéquate. Je reste seule avec Camille. Nous prenons quelques minutes pour nettoyer le chantier de Philippe et Francine. Cela ne semble pas émouvoir outre mesure Camille.
Camille s’approche de moi et vient m’embrasser sur la joue. Sentir le contact de sa poitrine au niveau de mon ventre n’est pas désagréable du tout. Elle prend congé et je m’installe sur mon lit de fortune. La pendule indique minuit. Je m’imagine un instant blotti dans les bras de Camille. Je m’endors comme un bébé.
L’odeur du café, quelle merveille ! C’est ainsi que je suis tiré de mon sommeil en ce samedi matin de novembre. Il neige encore faiblement à l’extérieur. J’espère ne pas avoir à passer plusieurs nuits sur le canapé du salon, car le confort y est sommaire. Je me lève et enfile un t-shirt au-dessus de mon caleçon. La pièce est silencieuse et je file vers la cuisine. Camille est là et c’est elle qui prépare le café et le reste du petit déjeuner. Elle est simplement vêtue d’un mini-short et d’un t-shirt noir, mon t-shirt noir, celui qui devait traîner dans la chambre. Même dans un vêtement ample, sa généreuse poitrine prend de la place. Je suis troublé de bon matin. Décidément, cette nana a un truc et pas simplement une grosse paire de lolos.
Je balance cette phrase presque machinalement. Elle s’arrête et me fixe quelques instants. Elle s’approche ensuite de moi avec une tasse de café à la main. Un grand sourire illumine son visage. Elle a des traits fins et des pommettes saillantes. On devine un tatouage à l’arrière de son cou. Sans ses lunettes, son visage a un aspect vraiment différent.
Elle me tend la tasse de café et m’embrasse sur la joue. Son baiser est plus long et plus tendre que celui de la veille au soir. Elle pose même sa main sur mon avant-bras. Elle est plus petite que moi et a dû se mettre sur la pointe des pieds pour atteindre ma joue. Nous nous asseyons côte à côte sur l’un des bancs de la grande table en bois de la cuisine. Elle se positionne à califourchon à quelques centimètres de moi. Je préfère, de mon côté, la position de face. L’excroissance qui commence à poindre dans mon boxer mérite un peu de discrétion. Je sens que son regard se fait plus insistant. Je plonge le nez dans ma tasse de café.
Après quelques secondes d’hésitation, je sors le nez de ma tasse. Je sens qu’elle ne me quitte pas des yeux. Je tente une pirouette.
Elle joint le geste à la parole en posant l’une de ses mains sur son sein droit.
Elle fait un mouvement vers l’avant pour se retrouver à quelques centimètres de moi. Sa main vient se poser sur ma cuisse. On dirait qu’elle passe à l’attaque !
Un bruit sourd se fait entendre dans la pièce voisine. C’est la porte d’entrée qui vient de s’ouvrir. Quelle poisse ! Camille ôte sa main, se recule et se retrouve en quelques secondes debout près de l’évier à quelques mètres de là.
Francine fait son entrée dans la cuisine. Elle semble fatiguée, mais souriante.
Son monologue dure une trentaine de secondes et elle disparaît aussi vite qu’elle est apparue. Son sac et son manteau traînent négligemment sur le coin de la table. Camille se retourne vers moi. C’est vrai qu’elle est jolie, et que oui, on ne peut pas passer à côté de sa généreuse poitrine. Mais force est de constater que plus le temps passe, et plus je suis sensible à autre chose chez elle. Elle avance pour se retrouver face à moi de l’autre côté de la table. Ses deux mains sont posées sur le rebord de celle-ci et elle s’avance un peu. Ses deux seins tendent son t-shirt pourtant un peu grand au départ. Difficile de la regarder dans les yeux, et elle le remarque. La force de l’habitude certainement.
Je me lève et quitte la cuisine pour aller me changer dans la chambre. En entrant dans celle-ci, je remarque les sous-vêtements de Camille. Une culotte en dentelle blanche et un soutien-gorge assorti de grande taille. Un bonnet E minimum, je dirais. J’ose le prendre dans ma main et le porte à mon nez. J’ai envie de m’imprégner de son odeur. Quelle drôle d’idée ! Cela ne dure que quelques secondes, mais j’en ai encore le souvenir aujourd’hui. Camille m’avouera plus tard avoir assisté à la scène. Elle avait trouvé cela romantique.
Je m’habille rapidement et sors de la chambre. Je rejoins Camille, installée dans un fauteuil du salon qui file à son tour se préparer. Elle me sourit de nouveau en quittant la pièce. Moins de dix minutes plus tard, nous sommes dans la voiture, direction l’hôpital. Une fois Philippe récupéré puis déposé chez Francine, nous filons vers l’appartement de Camille situé à une demi-heure de route de là. Elle nous prépare un encas que nous avalons rapidement. Nous passons la suite de l’après-midi à flâner, à flirter et ce qui devait arriver arriva.
Depuis maintenant deux ans, Camille partage ma vie. Nous sommes à la fois fusionnels et très différents. C’est sûrement l’une des clés de la longévité de notre couple. Je ne pensais jamais me remettre aussi rapidement avec quelqu’un. J’ai retrouvé une seconde jeunesse sur certains aspects et notamment en ce qui concerne les galipettes. Camille est tendre et gourmande de ce côté-là.
Avec le recul, j’étais allé chez Francine ce week-end de novembre afin de lui donner un coup de main, mais aussi dans l’espoir de passer un bon moment et je ne fus pas déçu. J’en suis reparti avec un cadeau inespéré.