n° 22955 | Fiche technique | 24964 caractères | 24964 4532 Temps de lecture estimé : 19 mn |
03/03/25 |
Présentation: Un retour de bâton bien bien dur. | ||||
Résumé: Elle en avait marre que cette fille la fasse se sentir nulle. Une leçon s’imposait. | ||||
Critères: #vengeance #personnages #adultère #masturbation #fellation #fsodoh | ||||
Auteur : lonesloan Envoi mini-message |
J’avoue, j’ai toujours été un peu joueuse, voire un peu salope sur les bords. Mais, dans cette histoire – même si je ne nie en rien ma méchanceté –, je dois insister sur le fait qu’elle l’avait bien cherché !
Nous étions un groupe de camarades de fac, toutes entre 18 et 20 ans. Deuxième année de DEUG, précoce pour les unes, tardive pour les autres. Je n’irai pas jusqu’à dire que nous étions copines. Pas encore. Et en particulier avec Jennyfer ! Prononcez Jénifère. Quelle horreur, ce prénom ! Remarque, la pauvre, elle ne l’avait pas choisi, et c’était déjà un exploit pour elle de s’en être si bien sortie avec un prénom pareil, visiblement des parents pas mieux. Bref, entre elle et moi, ce n’était pas la super entente. Tout au plus, par respect pour nos camarades communes, nous faisions attention à ne pas trop nous parler.
Sauf qu’elle avait un copain, et pas moi.
Et quel copain !
Je vous décrirai le morceau plus loin, mais il valait salement le détour. Toujours est-il qu’elle me faisait trop souvent comprendre qu’elle était belle et bien foutue, et qu’il était légitime qu’elle ait un mec, et au top en plus. Alors que moi… elle me regardait comme la petite un peu boulotte et plutôt quelconque que j’étais malheureusement.
Je ne vais pas m’apitoyer sur mon sort, ce serait stupide. J’ai le corps que j’ai, le visage que j’ai. Je l’assume entièrement. Par ailleurs, j’étais restée avec un garçon pendant deux ans au lycée, et nous avions rompu quand j’étais partie à la fac, alors que lui restait dans notre ville natale pour travailler avec ses parents. Nous n’étions pas vraiment amoureux, juste confortablement en couple. Alors, la rupture s’était faite sans trop de soucis. Tout ça pour dire que, même si j’étais actuellement célibataire, je n’en faisais pas grand cas. Je savais pertinemment que certains garçons me trouvaient à leur goût, et que, le moment venu, je trouverais celui qui me conviendrait.
Toujours est-il que ses allusions récurrentes sur mon célibat, ses regards déplacés sur mes fesses un peu rondes, ses remarques continuelles sur les régimes que je devrais faire pour me trouver hypothétiquement un jules, ses piques incessants sur mes goûts vestimentaires, et toutes ces sortes de sournoiseries qui me donnaient envie de lui refaire le portrait au vitriol finirent par m’énerver sérieusement !
Ayant bien compris que je couvais quelque chose de louche, nos amies communes tentèrent de me réconcilier avec elle, ou en tout cas de me dissuader de faire quelque chose de regrettable. Je gardais donc mes idées vengeresses pour moi, mais ne les oubliait pas pour autant.
La question était maintenant de savoir comment réussir à piquer son mec à cette petite salope !
Je l’avais rencontré plusieurs fois lors de soirées, et le bougre m’avait totalement ignorée ! Ce bel apollon n’avait réellement d’yeux que pour sa copine. Un mec qui ne zyeute que sa copine ! C’est tellement rare que ça mérite d’être signalé. Bref, le pari était de taille. Je le reformulerais en ces termes pour être bien claire : comment le vilain petit canard va pouvoir piquer Roméo à Juliette ? Roméo qui s’appelait en fait Antonio et avait tout du latin-lover (mais n’avait rien de latin, contrairement à ce qui paraissait).
Tout commença à se mettre en place lors d’un intercours, lorsque Jennyfer (Jénifèèèère…) nous proposa une soirée entre filles chez elle à la fin de la semaine prochaine. En effet, son copain allait faire un réseau avec des potes, et l’appartement serait libre pour une folle soirée martinis, chiffons, maquillage… J’appris également que le réseau en question était organisé par une connaissance à moi, un pote de première année avec qui j’avais gardé un assez bon contact.
Je ne me souviens plus du tout du cours qui suivit tant mon cerveau bouillonnait pour tramer un plan machiavélique. J’ourdissais des canevas ténébreux, m’emmenant tous à me faire surprendre avec délectation par Jennyfer, dans son lit, avec son mec.
Un pur régal.
À ce moment-là, mon regard plongé dans le vide devait luire des feux de l’enfer, et mes lèvres devaient dessiner un rictus effrayant à glacer d’effroi toute personne saine d’esprit.
Il se trouve que mon ordinateur portable dépotait grave. Ce que la nature et mes parents ne m’ont pas donné physiquement, ils me l’ont donné en argent. Piètre consolation par moments, joyeuse satisfaction par d’autres. Dans tous les cas, même si je ne savais rien des réseaux, ni des jeux, ni de tous ces trucs de mecs qui me paraissaient futiles à l’époque – et d’ailleurs encore aujourd’hui – je savais que la base de leurs discussions était la puissance de leurs « engins ». Permettez-moi de rire face à ces nouveaux pénis que se sont trouvés les hommes. Ils n’arrêtent d’ailleurs pas. Chaque génération se trouve un nouveau palliatif à sa virilité. Qui les voitures, qui les armes à feu… enfin bon, ce n’est pas le sujet.
Bref, je me suis soudain senti un grand intérêt pour ces jeux de garçons. Il me restait un peu plus d’une semaine pour mettre mes plans à exécution.
Direction Internet, Google, « réseaux » puis découverte de « gamers » « geek » « half-life » « counter strike » « chan » « clan ».
Tout un monde s’ouvrait à moi, dont je n’avais absolument rien à battre d’ailleurs, mais cette cryptoculture bourrée de testostérone allait devoir être mienne pour quelque temps au moins. C’est dingue ce qu’on est prête à faire pour montrer à une sale petite prétentieuse snob et méprisante qu’elle n’est pas la reine du monde juste parce que les mecs la matent sans arrêt.
Le lendemain, enfin prête au point de vue vocabulaire et jeux (je sais le téléchargement, c’est mal, mais c’était un cas d’urgence), je téléphonai à Gus, qui organisait le réseau. Je lui racontai d’abord quelques banalités d’usage eu égard aux longues semaines sans lui donner de nouvelles, puis essayai de pousser la conversation sur lui, son temps libre, ses loisirs…
Et bingo, il me parla de PC, de jeux, et j’en profitai pour glisser que, moi-même, je me débrouillais bien pour une fille sur Counter Strike et sur Worms.
L’étonnement, quelques mots de jargon fraîchement appris, et il n’en fallut pas plus pour qu’il me parle du réseau. J’essayais de garder une voix calme, mais je trépignais sur place d’excitation. Je lui dis que ça devait être cool un réseau, que je n’en avais jamais fait, et il m’invita aussitôt – un de plus, un de moins – il faudrait juste trouver un hub plus gros. Le rendez-vous fut pris, la première partie de mon plan était en marche : entrer dans la vie du bel Antonio.
Ce soir-là, mon excitation était telle que j’avais du mal à m’endormir.
Mon plan était démoniaque : les mecs se plaignent tout le temps que leurs copines ne comprennent rien à leur univers. Moi, j’allais être cette fille qui vit, pense et joue comme eux ! Il fallait bien que je dorme, mais des images du bel apollon commençaient à tourner dans ma tête, des phrases à dire, des gestes à faire, tous ces petits détails qui le feraient craquer.
Puis le sommeil venant, les rêveries se firent coquines…
Le bel éphèbe me couvre du regard, puis de baisers. Rapidement, ma main glisse vers mon entrejambe, lors même que ses baisers s’égarent de plus en plus bas. Son regard attentionné me lance le cœur quand il enlève prudemment ma culotte. Ses mains courent le long de mes jambes, ses baisers remontent lentement l’intérieur de mes cuisses, et mon sexe ne coule pas qu’en rêve. Lorsque sa langue vient goûter mon nectar, mes doigts fouillent déjà frénétiquement entre mes lèvres. Lorsque sa langue touche mon clitoris, mon majeur trouve le chemin de mon cul, et s’y engouffre aussitôt. Lorsque sa langue accélère amoureusement sa cadence autour de mon clitoris, mes doigts le rejoignent et, me foutant bien d’avoir des voisins, je libère bruyamment mon plaisir lorsque enfin cette pute de Jennyfer entre dans la pièce.
Je rêve que ça se passe comme ça, j’aimerais juste rajouter à cette scène les traces manifestes de son plaisir autour de ma bouche, sur mon visage, mes cheveux ! Je veux qu’il ait consommé aussi, et que ça se voie !
Je ne pense pas avoir si bien dormi depuis des années…
Ce week-end-là, je ne suis pas rentrée chez mes parents, j’avais mieux à faire. Une semaine pour apprendre à jouer à Counter Strike et à Worms. Les autres jeux, ce sera tant pis ! Deux, c’est déjà bien. Beaucoup d’Internet aussi : apprendre l’univers des mecs !
La semaine est venue, et je me suis inventé une maladie pour pouvoir faire ma « geek », ou ma « geekette » ? J’en ris encore. Même si ces jeux sont amusants cinq minutes, sur le long terme, c’est plutôt chiant. Les bombes bananes et les supers moutons passent encore, mais les pan-t’es-mort de Counter, naze de chez naze !
Bien sûr, j’ai prétexté de ma maladie pour ne pas aller à la soirée chez Jennyfer, et le vendredi du crime, je me suis dirigé chez Gus, portable en bandoulière, et idées machiavéliques en tête.
Arrêtons-nous un peu sur le décor et l’ambiance de la soirée. D’office, en entrant, deux odeurs m’ont agressée les narines : sueur mâle et cannabis. Les ordinateurs déjà branchés, des cendriers déjà pleins, des cannettes déjà vides, entassées sur une table de cuisine dont ce devait être le seul rôle, la pauvre. La gazinière, qui avait dû être blanche autrefois, était un lieu de stockage de vaisselle sale, à l’exception d’une pleine marmite de pâtes, visiblement mélangées avec du thon et une quelconque forme de gras. Visiblement, le seul repas de la soirée, hormis un plein sac de paquets de chips (n’apporte rien, on s’occupe de tout pour la bouffe, qu’il m’avait dit, le Gus !). Et puis quatre mecs, Gus, Apollon/Antonio, et deux informaticiens. Je ne m’appesantirai pas sur eux, collez-leur tous les préjugés que vous pouvez trouver, ils leur correspondent !
Pas le temps de faire deux pas ni de dire bonjour à tous que mon PC est installé de force, et qu’un bédot se trouve collé à mes lèvres. Une bière et son paquet de chips viennent aussitôt se greffer à mon poste de jeux sans que j’aie rien demandé.
Je n’ai pas le choix, je me mets dans le bain, bière, joint et chips me mettent à l’aise. Je joue. Je ne suis pas mauvaise.
Une semaine de travaux intensifs m’a aidée. Je perds contre les informaticiens, bien sûr, mais Gus et Antonio sont plus ou moins de mon niveau. Je m’acharne d’ailleurs sur ma victime. Il faut que j’entame le contact. La soirée va son cours, et une sorte de rivalité naît entre nous.
Il en oublie presque que je suis une fille.
Bien et mal à la fois.
Je lui rappelle, par le chat intégré au jeu, qu’il se fait battre par une fille… Il ne répond pas, ou peut-être un « lol » que je n’ai pas vu dans l’action. J’insiste alors sur le fait que je viens de l’empêcher (par erreur, pour être honnête) de se faire tuer :
Il réplique enfin que j’ai des couilles pour une meuf. Je lui demande à quoi pourraient bien lui servir les siennes avec moi, alors. Je le vois qui me regarde, in real life, comme ils disent, un regard genre mi-interrogatif mi-gêné.
J’ai fait mouche, la bête fait attention à moi.
Maintenant qu’il a mordu à l’hameçon, la soirée peut se terminer n’importe quand, je m’en fous, le principal est fait. Malgré tout, je lui propose une alliance face aux informaticiens qui dominent grave le jeu. Je nous fais des « souvenirs » communs… Il accepte le pacte et on s’en sort plutôt bien. Rejoint par Gus, on finit même par renverser la vapeur. Les informaticiens perdent. Ils décident alors de changer de jeu. Celui-là, je ne le connais pas. Pas grave, je leur dis que je vais regarder, et leur rouler les bédots. J’en profite pour resservir en chips, bière et pâtes. La bande de mâles a l’air satisfaite ! Tout est rentré dans l’ordre des choses. La femme fait le service et les regarde, émerveillée, s’entretuer virtuellement.
Je reste derrière Antonio un bon bout de temps, pour l’encourager. Comme je n’ai pas la place de mettre une chaise derrière lui et que j’en ai marre d’être debout, je m’accoude sur ses épaules, comme si c’était mon mec.
Je lui prends le bédot de la bouche, tire une latte, et le lui remets entre les lèvres.
J’en ai assez fait pour ce soir. Après, ça deviendrait vraiment louche. Je tente quand même ma chance une dernière fois :
Gagné, il me propose de me déposer et de revenir jouer ensuite. Les autres annoncent qu’ils vont rentrer aussi. Tout le monde est fatigué. Ils rangent les PC, et chacun rentre chez soi, moi dans la voiture d’Antonio… C’est plus un hameçon, c’est un harpon !
On discute de la soirée dans sa voiture. Il est devant chez moi depuis déjà cinq minutes, mais on continue à parler.
Un silence se fait…
Je lui dis que je suis vraiment très fatiguée, et je m’approche pour lui faire la bise. On hésite pour le côté, je fais attention à être près de sa bouche, mais pas trop.
Je m’éclipse.
Rentrée chez moi, je jette mes fringues sur le balcon, et je file sous la douche enlever cette odeur de fumée qui imprègne tout mon corps. J’essaye de me doigter en pensant à lui sous la douche. Mais même le renfort du jet de la douche ne réussit pas à réveiller mon corps anesthésié par le cannabis.
Jamais autant fumé de ma vie ! J’ai dû doubler d’un coup le total de ma consommation annuelle…
Le lendemain, je me réveille toute pâteuse aux alentours de trois heures de l’après-midi.
Texto de Gus :
CT KOI CE FAUX PLAN AC TONIO ?
Pas le courage d’inventer un truc valable, je l’appelle pour tout lui dire. Il se marre, il me demande si j’ai mangé ? Il m’invite au Mac Do, j’accepte.
On discute de Jennyfer, il ne l’aime pas non plus, même s’il la « baiserait » bien. Il me file des tuyaux sur les goûts de ma victime, notamment en musique, fringues, lieux de sortie. Il me donne aussi mieux que ça, des armes décisives même : des confidences de Tonio sur sa vie et ses pratiques amoureuses avec Jennyfer.
Elle ne suce pas, ou très peu, juste pour lui faire plaisir tous les trente-six du mois !!! Et pas question qu’il éjacule dans sa bouche ! Les hommes, on les attrape par la bouffe ou par la queue ! Il est fait : je maîtrise les deux sujets !
Quelques jours passent, et puis le beau apparaît mystérieusement un midi à la cafét aux côtés de sa pétasse. Ils ne mangent pourtant pas ensemble d’habitude le midi… La bande de copines plus lui.
Il prend un steak, je prends un steak.
Moi et Tonio en même temps :
Regard, fou rire.
Le reste du repas, on parle jeux vidéo. Les filles sont larguées, je jubile. Jennyfer n’arrête pas de le regarder, agacée. Je touche son pied sous la table. Il le recule, me regarde, rougit un peu, bafouille un peu aussi. Puis il recommence à parler cours avec sa copine, puis de leur WE tous les deux. Elle me jette un regard hautain en prononçant le « tous les deux ». Pétasse !
Trois semaines se passent, nouvelle soirée réseau. Chez lui, cette fois. Mais deadline vers une heure quand madame rentre de boîte, et appart impec !
Là, les choses se profilent comme je n’osais pas l’imaginer. Je n’avais plus trop de plan pour la suite, mais, quand le destin s’en mêle, il faut laisser aller : le hub est mort, une bière renversée dessus !
Chacun rentre chez soi, les partiels approchent et une nuit de sommeil en plus est bonne à prendre.
Gus s’en va avec un clin d’œil complice. Le destin aurait-il un nom ?
Moi, je tarde tout ce que je peux. Je range mon portable, et puis je décapsule deux bières et lui en tends une. On s’avachit dans le canapé, et on discute. La télé en fond, sur une quelconque série policière. Je trinque en le regardant dans les yeux. Je bois au goulot, j’essaye d’être cochonne en buvant. Je laisse à un moment un peu de bière couler sur mon menton.
Je roule un bédot. Je veux qu’il soit saoul et qu’il perde la notion du temps, voire du lieu.
Je lui propose une soufflette. Nos lèvres s’effleurent. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale, et va s’achever direct dans ma matrice. Excitation de la vengeance, excitation de la découverte, excitation d’impatience : il sera mien ! Vite ! Je veux le sentir en moi, sentir l’amour pour sa gueuse se diluer dans l’eau de mon sexe ! Je veux sentir sa virilité pour moi, de préférence sous ses yeux à elle !
Je lui passe le bédot, nos mains se touchent, nos yeux se croisent, je m’approche de lui, il ne se défend pas.
J’aurais préféré que le premier pas soit de lui, mais bon.
Je l’embrasse.
Ça y est !
Nos langues s’emmêlent, nos lèvres se frottent, nos respirations se font courtes, je m’installe sur lui.
Je sens son sexe dur dans son jeans. J’ai bien fait de mettre une jupe.
Pendant que je l’embrasse, je commence à onduler le bassin. Je frotte mon sexe contre le sien. Le tissu fin de ma culotte s’insère dans ma fente petit à petit. Je le sens s’humidifier aussi…
Ses mains se posent sur mes fesses. Elles sont peut-être plus grosses que celles de sa pétasse, mais c’est sur mes fesses que sont ses mains en ce moment ! Il les pétrit, les malaxe. Il aime les gros culs ? Le pied ! Je n’en attendais pas autant ! Ses mains sont sous ma jupe maintenant. Il malaxe toujours mon cul, mais il cherche à atteindre autre chose. Il atteint mon petit trou. Ce n’est pas ce qu’il cherchait. Moi, je ne m’en plains pas.
Je lui enlève son t-shirt.
Putain, quel corps il a !
Des muscles partout où il faut, juste comme il faut. Encore légèrement halé des vacances. Quelques poils remontent vers le nombril, en provenance du pubis. Le reste de son torse est glabre. Associé à sa barbe de deux jours et à ses cheveux bruns en bataille, il est d’une virilité torride. Il a le corps d’un rital, le nom d’un rital, et pourtant aucune origine italienne connue. Mio Macho !
Il ôte lentement les boutons de mon chemisier. Son regard plongé dans le mien. Mes tétons se durcissent rien qu’à voir ses yeux noir profond. Il enlève mon chemisier. Je suis prête à jouir, alors même qu’il n’a pas touché mon sexe une seule fois ! Il caresse mes seins avec aussi peu de retenue qu’il l’avait fait avec mes fesses peu avant. Je suis une bonne pâte à pétrir… Tu vas voir comment je vais utiliser ton rouleau à pâtisserie tout à l’heure !
Je dégrafe mon soutien-gorge pour accélérer la cadence. Il a vraiment perdu la notion du temps. Sa copine revient dans moins d’une heure ! À cette pensée, un trop-plein d’excitation me crispe le vagin, je vais jouir sous peu, peut-être même me pisser dessus avec toute cette bière. Ai-je lâché un petit jet d’urine ? Je m’en moque ! De toute façon, ce serait trop con maintenant de casser l’ambiance en allant pisser !
Je lui embrase le torse. Je descends lentement sans le lâcher des yeux vers ce qu’il attend, et que sa pouf ne veut pas lui donner.
Un à un, j’enlève les boutons de son jeans. Je masse rapidement son sexe par-dessus son boxer, puis je le sors. Je me jette sur son sexe comme une assoiffée ! Je l’engouffre aussitôt. Je m’en remplis la bouche jusqu’au gosier. J’entame une série de va-et-vient frénétiques avec mes lèvres.
Je m’arrête pour le déshabiller totalement, je lui lèche les couilles, la tige, puis je lui masse les boules pendant que je reprends son sexe dans ma bouche. Je fais courir ma langue autour de son gland, et je sens déjà son sexe se contracter.
Il repousse ma tête en bafouillant un truc… Je le regarde droit dans les yeux, et je reprends son sexe en bouche pour un dernier sprint. Je plonge mon regard dans le sien et je suce et lui, il éjacule dans ma bouche dans un râle du fond des âges.
Je continue mes va-et-vient et ma langue s’agite toujours autant sur son gland qui lâche de longs jets de sperme dans ma gorge. Je garde tout en bouche. Je l’empoigne et finis de le faire éjaculer sur mes cheveux, mon visage, je laisse couler le foutre de ma bouche sur mon menton, mes seins. Au moins huit jets, jamais vu ça !
Je le suce de nouveau, je le vide, je le pompe, je ne m’arrête pas. Il débande à peine qu’il est de nouveau prêt.
Je lui dis que c’est mon tour, c’est à moi de jouir.
On inverse les positions. Il me lèche à genoux devant moi sur la moquette. Moi, affalée dans le canapé de sa copine. Bientôt, une heure du mat d’ailleurs. Cette idée accélère ma jouissance, ses mouvements de langue sont meilleurs que dans mes rêves. Il joue avec mon clito sans jamais le toucher, il tourne autour avec soin, je dégouline sur le canapé. Il met un doigt dans ma chatte, il me masse à l’intérieur. Son pouce vient se placer sur mon anus. Il le lubrifie en le massant et, lorsqu’il l’introduit, j’explose en jouissance, mon corps se contracte, se tétanise, concentré sur la jouissance et rien d’autre. Ma vessie ne tient plus, j’en vide une partie dans sa bouche qui me fouille. Il ne dit rien et ne pourrait rien dire de toute façon : j’emprisonne sa tête dans l’étau de mes cuisses. Je beugle ma jouissance pour que ses voisins sachent bien que sa pétasse est cocue, pour qu’elle m’entende si elle arrive !
Je lui hurle de me prendre, il ne se fait pas prier !
Il me pénètre sans problème, il me pistonne furieusement, tout est devenu bestial, ses cuisses me claquent les fesses à chaque coup de boutoir. Je remue furieusement mon gros derrière malmené.
Une heure et quart, qu’est-ce qu’elle fout ?
Il m’encule sans ménagement, mes doigts s’activent en parallèle sur ma chatte. Sa bite va-et-vient dans mes entrailles, me chauffe à blanc, mon cul claque de plus en plus fort, et moment de grâce, je vois la poignée de la porte bouger, l’orgasme est fulgurant, me déchire le corps, tout mon être se contracte, et précipite son orgasme à lui.
Je jouis comme jamais, je jouis du cul, du con et de la tête.
Mon corps est en transe, elle me regarde, à poil, me faire défoncer le cul par son mec, la gueule pleine de son foutre, et lui me balance la purée, sans se rendre compte de rien, au tréfonds de mes boyaux. Son corps se tend comme un arc, sa tête part en arrière, et soudain entraperçoit l’horreur de la situation.
Jennyfer est figée.
Je la regarde droit dans les yeux et ramasse avec mes doigts le sperme qui macule encore mon visage.
Je porte mes doigts à ma bouche avec délice.
Son regard est perdu.
Elle ne comprend rien à ce qui lui arrive.
Je jouirai presque de nouveau rien qu’à cette idée. Mais il est sorti de moi et se rhabille en quatrième vitesse. Il n’a rien vu venir, et rien entendu. La télé fonctionne encore, bruit de fond, mais la série policière est finie depuis longtemps, maintenant c’est une redif de la Star Académie.
Je me rhabille également, plus lentement.
Je savoure.
Je trouve ma culotte. Elle sent l’urine, la mouille. Comme son canapé d’ailleurs ! Une tache visible le décore ainsi que la moquette. Je garde ma culotte à la main. Je remets tout le reste.
Faisant semblant d’être gênée, je dis que je vais peut-être les laisser. Mais je pense que je n’avais pas espéré mieux dans mes rêves les plus pervers : le canapé c’est encore mieux que le lit, lui au moins il est directement dans l’entrée de l’appart !
Je fais signe à Tonio de m’appeler. Pure provoc, il n’a pas mon numéro. Je me dirige vers la porte. Je m’arrête à côté d’elle, elle n’a toujours pas bougé, pas dit un mot.
Du foutre dégouline le long de mes jambes, directement de mon anus. Je le racle avec mes doigts et l’avale en la regardant.
Je prends mon PC portable près de la porte et m’en vais sans me retourner.
J’ai la sensation d’être la pire des salopes, une pute de la pire espèce, je me suis fait prendre par tous les trous juste pour assouvir ma mesquine vengeance. J’ai le cul cassé, c’était ma première vraie sodomie. Des doigts souvent, un vibro une fois, mais jamais un truc aussi gros et qui bouge comme ça.
Je rentre chez moi avec une sensation de puissance absolue, et surfant sur cette impression, je me branle et rebranle jusqu’à avoir le clito insensible.
La suite est très compliquée, vous pensez. On imagine rarement les conséquences de ses actes. Dans tous les cas, c’est une autre histoire qui n’a malheureusement rien de bien intéressant ou de palpitant, sauf si vous aimez les histoires de filles qui s’engueulent et se crêpent le chignon, sur fond de mec paumé qui ne sait plus à quels « seins » se vouer. Dans tous les cas, et pour conclure, je reste campée sur mes positions du départ : cette salope l’avait bien cherché. Et je l’en remercie, je lui dois certainement la meilleure baise de ma vie !