n° 22980 | Fiche technique | 21507 caractères | 21507 3724 Temps de lecture estimé : 15 mn |
23/03/25 |
Résumé: La rencontre avec mon ancienne Maîtresse ouvrait tout le champ des possibles. | ||||
Critères: #héros #chronique #volupté #différencedâge #fellation fh 2couples fplusag gros(ses) hotel fdomine cunnilingu préservati pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Diego AM Envoi mini-message |
Excitante. Parfaitement pomponnée, Catherine avait quelques kilos superflus, mais restait très attirante. Toujours bien coiffée. Nos ébats dominicaux – très rarement un autre jour – se résumaient la plupart du temps en une simple levrette dans le salon ou la chambre, les deux pieds solidement ancrés dans l’épaisse moquette, car elle ne voulait pas risquer de mettre en péril son brushing, la tête enfoncée dans l’oreiller. Elle mettait de l’ardeur à la tâche et je me devais d’être à la hauteur de ses attentes.
Ah oui, il faut quand même que je vous plante le décor.
J’ai fait la connaissance de Catherine, il y a plus de quarante ans ! En effet, toute jeune diplômée, elle officiait en tant que maîtresse remplaçante en moyenne section de maternelle dans le village où mes parents avaient élu domicile quelques années auparavant. C’est donc elle qui s’est occupée de moi durant toute cette année scolaire dans les années quatre-vingt. Les aléas de la vie – personnelle et professionnelle – ont fait que mes parents sont partis un peu plus tard à plusieurs centaines de kilomètres. Je suis revenu m’installer dans la région il y a maintenant deux ans à la suite d’une peine de cœur. Célibataire et sans enfant, j’avais envie de renouer avec mes racines.
D’un naturel dégourdi, je m’étais inscrit sur un site d’échanges où des particuliers pouvaient solliciter l’aide de bricoleurs pour des petits travaux du quotidien. C’est ainsi que j’ai revu Catherine sans savoir au départ qui elle était. Ce n’est qu’au fil de notre discussion que nous avons fait l’un et l’autre le rapprochement avec les années passées. Veuve d’un ex-chef d’entreprise depuis trois ans et avec une fille vivant en Asie, elle était revenue s’installer dans la région pour profiter des derniers mois de sa mère aujourd’hui disparue. Le monde est petit comme on a coutume de dire !
Avec le temps, Catherine était restée une belle femme – elle l’était vraiment étant jeune. Toujours parfaitement coiffée, bien habillée, tantôt chic, tantôt plus classique, elle mettait un point d’honneur à soigner son apparence en se maquillant sans excès et en arborant souvent de belles boucles d’oreille, des bagues et colliers brillants. De taille moyenne, elle présentait l’apparence d’une femme mûre dans la force de l’âge. Ses épaules fines et son visage peu ridé lui donnaient moins que les soixante ans de sa carte d’identité. Elle avait de l’humour malgré une certaine retenue qui pouvait passer pour de la timidité. Je suis venu plusieurs fois chez elle, dans un petit appartement joliment décoré qu’elle partage avec ses deux chats. Au fil du temps, nos échanges ont été plus nombreux et cela a été au-delà des simples travaux de bricolage. Et ce qui devait arriver arriva. Elle était devenue l’objet de mes fantasmes et nous avons franchi le Rubicon un soir d’été.
C’est ainsi qu’une relation s’est progressivement installée entre nous. J’ai ensuite craint qu’une certaine routine ne s’installe, mais il n’en fut rien !
Tout a « basculé » il y a quelques semaines, où, en arrivant un dimanche soir chez Catherine, je n’avais qu’une envie : me poser et me reposer. J’avais couru le matin même le semi-marathon de notre ville et j’étais plutôt content de ma performance, mais éreinté. J’avais hésité à venir, mais Catherine avait insisté.
Elle m’a tendu une feuille sur laquelle il était écrit :
1-0 Mamie, à toi de jouer ! Signé, ta voisine qui te veut du bien.
Elle était déterminée et je ne vois pas bien ce qui aurait pu la faire changer d’avis.
Elle a ainsi disparu dans la chambre pour en ressortir quelques minutes après seulement vêtue d’une nuisette blanche transparente. Les tétons de ses seins fermes étaient dressés et elle avait même poussé le vice à mettre des porte-jarretelles de la même couleur. Même si elle était extrêmement bandante, mon réservoir ne semblait plus avoir beaucoup d’essence !
J’étais au pied du mur comme on dit.
Elle s’est approchée du fauteuil où j’avais pris place. Son attitude laissait peu de doutes sur ses intentions. Elle a ôté mon bermuda, mon caleçon et mon t-shirt. J’étais nu comme un ver à la merci de Catherine. Je ne bandais pas totalement. Elle a entrepris une fellation délicieuse après s’être agenouillée face à moi. C’était seulement la deuxième ou troisième fois que j’avais droit à ce traitement de faveur, car ce n’était pas une adepte de la chose habituellement. Ma queue a pris rapidement du volume et mon gland violacé était arrivé à température sous les assauts répétés de sa douce langue. Et dire qu’elle semblait faire tout ça uniquement pour montrer à sa jeune voisine qu’elle pouvait encore baiser à son âge ! Peu importe, autant en profiter.
Nous sommes ensuite allés dans la chambre. La fenêtre était grande ouverte, la température extérieure de cette fin d’après-midi allait apporter un peu de fraîcheur à ce moment particulièrement chaud. Elle m’a avoué le lendemain que toute cette mise en scène était destinée à « impressionner » sa jeune rivale. Elle a retiré sa nuisette et c’est la première fois que je la voyais – exception faite de ses porte-jarretelles – totalement nue pour notre coït hebdomadaire. Son ventre rebondi et ses larges hanches lui donnaient l’allure d’une sculpture de l’Antiquité. Son entrejambe était bien fourni, mais méticuleusement taillé. Elle s’est allongée sur le dos, au milieu du lit, les cuisses largement ouvertes comme une invitation à la pénétrer sans plus attendre. Elle avait installé deux larges oreillers sous sa nuque. Je me suis agenouillé entre ses deux cuisses en prenant soin de positionner ma queue juste à l’entrée de son antre. Ses deux jambes sont venues se positionner de part et d’autre de mon bassin et je me suis introduit en elle d’un seul coup sous la pression de ses talons sur mes fesses. Elle était trempée et a émis un petit cri d’approbation. J’ai profité de cette position pour lécher ses deux tétons qui devenaient de plus en plus durs sous l’effet du traitement. Ses yeux étaient mi-clos. J’ai choisi ce moment pour commencer à lui asséner plusieurs coups de reins secs. Nos peaux claquaient et Catherine a commencé à émettre de petits cris de plus en plus stridents. C’était nouveau, car elle avait plutôt pour habitude d’être sur la retenue, tout en contrôle, telle la femme respectable qu’elle était.
Elle s’est alors totalement laissé aller, tant dans son attitude que dans le verbe employé. J’ai eu droit à des « baise-moi », « enfonce-moi-la jusqu’au fond », « plus vite, plus fort », une véritable furie. Je ne pensais jamais la voir dans cet état. Je faisais un maximum d’efforts pour me retenir et j’ai dû faire une pause afin de ne pas exploser. Je sentais tous les muscles de mon corps, et en particulier ceux de mes jambes, se tendre irrémédiablement. Les crampes n’étaient pas loin et il me fallait impérativement de l’eau afin d’éviter toute défaillance.
J’ai filé à la cuisine, non sans essuyer une remarque de sa part.
Moins de cinq minutes plus tard, je suis revenu dans la chambre. Catherine avait remis sa nuisette et se trouvait debout face à la fenêtre ouverte sur la rue. Du deuxième étage, on pouvait voir et entendre tout ou presque de ce qui se passait en bas. J’avais besoin d’étirer mes muscles avant de poursuivre. Allais-je en être capable ? Je l’ai ensuite rejointe près de la fenêtre et elle a redonné de la vigueur à ma queue grâce à une branlette de ses mains expertes. La levrette qui a suivi rendait notre rapport plus conventionnel et conforme à ce que nous faisions chaque dimanche soir. Elle se tenait au rebord de la fenêtre et les passants les plus curieux pouvaient même apercevoir son visage alors que nous nous activions à la chose. Mes mains posées sur ses deux hanches, je faisais varier le rythme des mouvements. J’ai même attrapé ses deux épaules afin de donner plus de vigueur à la chose.
Après quelques minutes, elle a souhaité changer. Elle a fermé la fenêtre puis est retournée sur le lit. S’en est suivi un déchaînement de sa part alors que je la pénétrais avec toujours plus de vigueur. Elle avait positionné ses bras autour de mon cou et mon visage était enfoui dans l’oreiller positionné sous sa tête. Elle a visiblement réussi son coup, car quelqu’un a tapé à la cloison au moment même où nous terminions notre affaire !
Une rapide douche m’a permis de récupérer tant bien que mal. J’avais vraiment besoin de dormir. Exceptionnellement, Catherine a accepté ma présence pour la nuit, ce qui n’était jamais le cas d’habitude. Je suis reparti au petit matin alors qu’elle dormait encore. L’appartement était calme, cela contrastait avec les événements de la veille.
J’ai bien eu du mal à récupérer de ce dimanche « sportif ». Alors qu’habituellement, nous ne communiquons que rarement en semaine, j’ai reçu un message de Catherine dès le mercredi soir suivant.
Passe ce soir si tu es disponible, j’ai quelque chose à te montrer. Bises.
Que pouvait-elle avoir de si important à me montrer ?
Il était tout juste dix-neuf heures quand je suis entré dans le hall de son petit immeuble. J’avais prévu un petit encas pour le dîner. Après avoir salué une vieille dame sur le palier du premier étage, je suis tombé nez à nez avec la jeune voisine en arrivant devant la porte de l’appartement de Catherine au second. Blonde, cheveux courts, de taille et de corpulence moyenne, elle avait un sourire espiègle.
Elle me fit un clin d’œil en se mordant la lèvre inférieure et descendit les marches d’escalier quatre à quatre. En entrant chez Catherine, celle-ci m’attendait dans le sofa.
J’ai pris place dans le sofa. Catherine a posé sa main sur ma cuisse pendant que j’ouvrais l’enveloppe.
Bravo Mamie, contente qu’un mec te donne encore du plaisir. Un partout, balle au centre.
Elle ne manquait pas de toupet la petite effrontée du palier. Et maintenant ?
En effet, elle a joint la parole aux actes. Ce fut un véritable feu d’artifice, ça changeait de la levrette du dimanche. Elle n’a d’ailleurs rien trouvé à redire – bien au contraire – lorsque j’ai commencé à lui dévorer son antre humide et chaud. Jamais elle ne m’avait autorisé une telle « fantaisie », arguant que le cunnilingus était quelque chose de réservé aux jeunes filles. Elle a même joui bruyamment deux fois sous les assauts répétés de ma langue et de mes doigts. La suite fut tout aussi enjouée et sonore.
La réponse n’a pas tardé. Moins de vingt minutes plus tard, on sonnait à la porte. Je suis allé ouvrir seulement vêtu d’un t-shirt et d’un caleçon. C’était la jeune voisine bien évidemment, le sourire aux lèvres et une bouteille de champagne à la main. Sans même que j’ai pu dire un mot, elle est entrée dans l’appartement et a filé dans le salon. Catherine sortait tout juste de la chambre et ne portait qu’une simple robe de chambre. Les cheveux en bataille et les traits légèrement tirés, elle prit soin d’accueillir son hôte avec un large et franc sourire.
La jeune voisine – Marina – posa la bouteille sur la table basse et se mit assise dans l’un des fauteuils en cuir du salon. Elle était vêtue d’un short en jean moulant, d’un débardeur blanc et d’une chemisette à carreaux non boutonnée. Regard perçant, cheveux courts, elle avait la peau blanchâtre, les jambes fines et une jolie petite paire de seins fermes et tendus qui surplombait un petit ventre rebondi. Son sourire charmeur ne quittait pas son visage.
Voilà que Catherine parlait comme une jeune et me considérait même comme « son mec » ! Mais qu’avait-elle donc en tête ?
Incroyable ! Voilà que j’étais l’objet, bien malgré moi, de tractations entre ces deux tentatrices. Elle aurait évoqué l’échange ou la vente d’un meuble ou d’une bagnole qu’elles ne s’y seraient pas prise autrement. Visiblement, le concept de la femme-objet avait trouvé son alter ego.
Assises toutes les deux dans des fauteuils qui se faisaient face, elles ont commencé à parler d’organisation, de règles du jeu, de dates et de plein d’autres choses. Bien que présent dans la pièce, j’avais l’impression d’être totalement invisible. Elles devisaient comme le font deux vieilles amies qui ne se seraient pas vues depuis belle lurette. Tout cela a bien duré une bonne demi-heure. Catherine griffonnait tout ce qu’elles se racontaient sur un petit calepin. Face à elle, Marina était un vrai moulin à paroles. Une fois terminé, elles ont convenu de la nécessité de se voir tous les quatre afin de préparer tout cela au mieux. Rendez-vous était pris pour le lendemain en fin d’après-midi au café situé au bout de la rue.
Le rendez-vous fut l’occasion de faire la connaissance de Jérémie, le copain de Marina. Je me demande encore, avec le recul, comment Catherine a pu accepter, par simple défi, de coucher avec un garçon qu’elle ne connaissait pas et qui aurait presque l’âge d’être son petit-fils ! Décidément, la gent féminine me surprendra toujours.
Grand et sec, les cheveux très courts, Jérémie semblait être un garçon timide, plutôt bien élevé et qui, au premier abord, semblait se demander ce qu’il était venu faire là. Marina était accrochée à son bras en arrivant. Ses cheveux blonds coupés courts donnaient une certaine clarté aux traits fins de son visage. Catherine a pris l’initiative de planter le décor et d’expliquer son rôle à chacun. Si je n’ai pas été très réticent au départ, c’est que je pensais surtout qu’elle n’oserait pas aller au bout de la démarche et renoncerait en cours de route. Bien mal m’en a pris !
Les règles étaient simples. Je devais baiser Marina et Jérémie devait en faire autant avec Catherine. Tout cela devait se faire concomitamment dans une seule et unique chambre avec deux lits. Il nous fallait donc trouver un endroit adapté pour ce faire. Catherine avait opté pour deux chambres communicantes dans un hôtel de la périphérie. Cela devait permettre à chaque couple de conserver une certaine intimité ! Rapports protégés obligatoires, pas de musique, de vidéos ou d’objets extérieurs. Tenues au choix de ces dames. Celles-ci ont également la possibilité de refuser deux pratiques que pourrait proposer leur amant de circonstance. La première des deux qui émettrait plus de deux cris de plaisir aurait perdu la partie. « Rendez-vous après-demain – vingt heures – dans le hall de l’hôtel ». Ainsi se concluait notre premier rendez-vous.
J’étais un peu déstabilisé en rentrant seul dans mon appartement. Catherine voulait se reposer et être en forme pour le jour J. Marina était mignonne, mais c’est l’idée de voir et savoir Catherine se faire prendre par un autre juste à côté qui ne me plaisait guère. J’étais jaloux !
Nous nous sommes retrouvés tous les quatre dans le hall de l’hôtel à l’heure prévue. J’avais opté pour un bermuda en toile et une chemisette. Catherine était vêtue d’un pantalon de lin blanc presque transparent et d’un ample chemisier à fleurs. Jérémie avait opté pour un pantalon de survêtement gris et un t-shirt moulant mettant en avant sa musculature sèche et longiligne. Marina, elle, était vêtue de son petit short en jean moulant et d’une brassière rouge vif qui mettait en avant ses deux mamelons en forme de poire.
Catherine m’avait longuement briefé l’après-midi même et promis un tas de choses si je parvenais à faire jouir Marina le premier. De son côté, elle craignait visiblement la jeunesse de Jérémie et sa propension à la faire grimper aux rideaux. Elle était en mode compétition et bien décidée à repartir avec le trophée. Ah, tiens, en parlant de trophée, la perdante promettait de ne plus jamais faire parler d’elle pendant ses ébats et devait également un restaurant étoilé à la « gagnante », rien que ça !
Les chambres étaient simples et spartiates. Lit double blanc, bureau, fauteuil et salle de bains individuelle, rien qui, a priori, ne pourrait favoriser l’une ou l’autre des concurrentes. La porte située entre les deux chambres devait rester grande ouverte. Avant de démarrer, Catherine rappela brièvement les règles du jeu et posa sur le bureau de chaque chambre, préservatifs et gel lubrifiant à côté des serviettes de toilette.
Le top départ était donné à vingt et une heures précises.
Deux semaines plus tard, alors que j’étais tranquillement assis devant une série, la sonnette de la porte d’entrée a retenti. C’était Jérémie.
Jérémie semblait presque gêné par l’invitation et entra lentement dans la pièce à vivre de mon deux-pièces. Je me suis installé face à lui. Le silence a régné un long moment dans la pièce.
J’ai vite compris pourquoi il était venu. Il faut dire que notre escapade à quatre à l’hôtel n’a pas vraiment été couronnée de succès pour ma part.
Alors que tout avait plutôt bien commencé, les choses se sont progressivement gâtées. En effet, alors que je m’occupais de l’entrejambe de Marina avec ma langue et mes doigts, j’ai été « refroidi » par les bruits venant de la pièce d’à côté. Cela faisait à peine quinze minutes que le coup d’envoi avait été donné que Catherine émettait un premier râle de plaisir alors que je n’avais même pas encore présenté ma queue à Marina. Un second, puis un troisième cri vinrent clore notre affaire dans les deux minutes qui ont suivi. Clap de fin et victoire par K. -O. de la jeunesse. Marina s’est immédiatement relevée avec un large sourire et nous nous sommes retrouvés nus tous les deux sur le seuil de la chambre voisine.
Jérémie était positionné derrière Catherine, en train de lui asséner de grands coups de reins en l’agrippant fermement par les hanches. Elle avait les yeux mi-clos et ses deux mains étaient fermement agrippées au pied du lit. Son visage nous faisait face, tout comme celui de son amant, tout dévoué qu’il était à sa tâche. J’ai mis quelques instants à comprendre que nous n’assistions pas à une levrette conventionnelle, mais que Jérémie était bien passé par l’entrée de service pour mettre Catherine dans cet état-là ! Et dire qu’elle s’était toujours refusée à cette fantaisie avec moi. À l’inverse, Marina semblait apprécier le moment, car elle avait – m’a-t-elle dit plus tard – une grande expérience en la matière. Ils ont poursuivi quelques minutes faisant comme si nous n’étions pas là. Jérémie s’est retiré et a ôté sa protection de latex pour venir s’épandre en de longs jets sur le dos humide de Catherine. Elle s’est ensuite affalée de tout son long sur le lit en tournant la tête sur le côté, évitant ainsi de croiser mon regard hagard.
Voir celle que j’étais le seul à satisfaire il y a encore moins d’une heure dans cet état-là m’avait totalement fait perdre mes moyens et, même si Marina a souhaité poursuivre « pour le fun », j’ai préféré mettre un terme à tout cela en quittant rapidement les lieux. J’ai laissé par la suite sans réponse les nombreux messages envoyés par Catherine. Je considérais qu’elle avait voulu jouer avec le feu et s’était brûlée. Jérémie m’a même avoué qu’elle l’avait recontacté deux ou trois jours après. S’il n’a pas donné suite, les deux filles continuent de se côtoyer. Jérémie est presque soulagé de m’annoncer qu’il doit poursuivre ses études à plusieurs centaines de kilomètres d’ici dans quelques semaines, loin de ses deux « maîtresses » dont personne ne sait ce dont elles sont réellement capables pour assouvir leurs envies. Il a mis de la distance entre lui et Marina.
Je suis reparti à ma vie de célibataire endurci et je ne rends désormais plus service qu’à des hommes retraités ou à de jeunes couples dans le besoin.