n° 22993 | Fiche technique | 14939 caractères | 14939 2473 Temps de lecture estimé : 10 mn |
31/03/25 |
Résumé: Mathilde avait promis à son mari prénommé Ulysse qu’elle serait sa Pénélope pendant sa période d’expatrié au Japon. Mais les tentations étaient grandes... pour les deux. | ||||
Critères: #couple #groupe #voyeur #exhibitionniste #masturbation #fellation #internet f h collègues grossexe boitenuit voir fellation cunnilingu fgode préservati coprolalie partouze | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
Son père était prof de grec ancien, sa mère native d’Athènes, lettrée et passionnée d’Homère, si bien qu’ils décidèrent d’appeler leur seul fils Ulysse. Un prénom un peu encombrant auquel il finit par s’habituer et qui ne l’empêcha pas en tout cas de réussir de brillantes études.
Après avoir intégré HEC, il fut embauché par une multinationale qui l’envoya se faire les dents dans sa filiale japonaise. Nouvellement marié à Mathilde, une pharmacienne salariée dans une grande officine, cette séparation prolongée constituait un inconvénient majeur pour leur vie de couple, car Mathilde tenait à travailler en France au lieu de jouer les femmes expatriées sans emploi dans un pays dont elle ne connaissait pas la langue. Elle le consola en lui disant :
Dès lors, Ulysse n’appela plus sa femme que Pénélope, car c’était pour lui un gage de fidélité. Elle l’accepta de bon cœur.
Les premiers temps, tout se passa bien. Le jeune couple échangeait régulièrement par internet. Ils avaient même mis au point des petites scènes érotiques. Nus tous les deux, ils se masturbaient en se disant les mots de l’amour, lui la main sur la queue raidie, elle sur un gode acheté par correspondance. Plus l’acte avançait et plus leur langage était cru, car le sexe était pour eux deux une grande affaire. Malgré leur jouissance manuelle, visuelle et auditive à la fois, l’acte n’en demeurait pas moins un peu frustrant et tous deux avaient hâte de se retrouver une fois que la multinationale accorderait à Ulysse le droit de retourner chez lui pour des vacances. Mais ce temps n’était pas encore venu.
Mathilde avait lu dans un journal féminin que les femmes japonaises étaient particulièrement friandes d’Européens. Elles essayaient souvent de les séduire pour qu’elles puissent quitter en leur compagnie un pays où les femmes étaient réduites à une condition subalterne. Certes, son homme était marié, mais Mathilde-Pénélope se méfiait terriblement des capacités de séduction de ces Asiatiques, surtout connaissant l’appétit sexuel d’Ulysse, forcément frustré par leur séparation. Elle s’en ouvrit à son mari qui lui dit :
Et de lui parler de son corps, pulpeux, busté, fessu, bien en cuisses, tout le contraire des crevettes japonaises. Mais il lui dit aussi :
Elle le rassura aussi, mais sans trop entrer dans les détails. Car de fait, à la pharmacie, le deuxième pharmacien salarié, Jean-Marc et le préparateur Jean-Baptiste, tous deux célibataires, se montraient de plus empressés et l’avaient plusieurs fois invitée à diner, en vain. Plus grave : sa patronne, Blandine, une jolie blonde quadragénaire récemment divorcée, et la préparatrice Fanny, une petite brune de trente ans libertine assumée, s’échangeaient régulièrement des « bons coups » et commentaient leurs ébats devant elle avec l’intention manifeste de la sortir de sa chasteté forcée.
De ces échanges, Mathilde ne disait rien à son mari expatrié, pour ne pas l’inquiéter. Elle serait vraiment sa Pénélope.
Néanmoins, dans leurs conversations, un prénom revenait souvent : Saya. C’était la proche collègue japonaise d’Ulysse. Saya par-ci, Saya par-là. Mathilde commençait à s’en agacer. Quels étaient les vrais rapports entre cette fille et son homme ? Allait-elle lui mettre le grappin dessus comme c’était suggéré dans le fameux article sur les femmes japonaises ? Elle imaginait une longue liane aux yeux bridés, aussi mince qu’elle-même était rondelette.
Et Mathilde-Pénélope de se retourner, nue, présentant son copieux fessier à l’écran et y fourrant son gode en ondulant de la croupe. Elle savait qu’Ulysse adorait la sodomiser. La vue du gode pénétrant l’anus bien ouvert de sa femme mit Ulysse en transe et il se masturba frénétiquement, tandis qu’elle tournait son visage vers l’écran, l’œil lubrique, tout en activant le gode. Au bout d’une séquence anale prolongée, elle poussa un petit cri et il gicla dans sa main, aspergeant une partie de son clavier d’ordinateur. À la fin, elle gloussa :
Mathilde se garda évidemment de raconter l’épisode à Fanny, sa collègue à la pharmacie. Cette masturbation réciproque à 10 000 km de distance l’aurait plus navrée que réjouie. Pour l’heure, la patronne Blandine envisageait une « soirée entre filles » avec ses collaboratrices. Elle l’organisait une fois par an et Mathilde, parce qu’elle était mariée, n’avait jamais donné suite à cette réunion de femmes seules qui commençait par un dîner et s’achevait dans un night-club avec prolongation dans un plumard, à en croire ce qu’elles racontaient le lendemain. Blandine et Fanny entraînaient à leur suite de jeunes stagiaires pharmaciennes et une femme de ménage mûre prénommée Lucie, mais pas l’autre pharmacienne salariée, Julie, une trentenaire également mariée, plutôt BCBG, qui adoptait la même attitude que Mathilde.
Cette fois-là pourtant, celle-ci eut du mal à résister à la proposition insistante de sa patronne.
L’argument fit plier Mathilde, qui n’en serait pas moins Pénélope, qu’on se le dise. C’est vrai que les soirées en solitaire pendant qu’Ulysse était au boulot, c’était pas jojo. Autour de la table, deux élèves préparatrices plutôt délurées, une grande asperge à cheveux courts et une petite boulotte teinte en blond accompagnaient les professionnelles de l’officine. Elles n’arrêtaient pas de rire aux plaisanteries de Lucie, la femme de ménage, une quinquagénaire à gros seins, un peu vulgaire, mais débonnaire, qui avait viré son mari depuis dix ans. Prise dans l’ambiance, Mathilde et Julie acceptèrent d’accompagner les autres dans la boîte de nuit. Danser leur ferait du bien, après tout.
Mathilde sentit monter au cours de la soirée une espèce de griserie due pour l’essentiel au vin bu à table et surtout au cocktail du night-club, si bien qu’elle se montrait désinhibée sur la piste de danse, à l’instar de ses collègues. Une équipe masculine de handball, qui fêtait sa victoire toute fraîche, entreprit de courtiser ces femmes à l’évidence disponibles, puisque non accompagnées d’hommes. D’autant qu’ils comprirent vite qu’elles étaient « open » et pas du tout farouches, plutôt flattées même d’être draguées par de beaux mecs jeunes à l’exception de deux d’entre eux aux cheveux prématurément gris.
L’affaire prit une tournure favorable, tant sur la piste qu’autour des tables, si bien que Blandine proposa de finir la soirée dans sa grande maison. À ce moment-là, Mathilde envisagea de rentrer chez elle, sentant venir le piège. Mais la deuxième épouse Julie insista pour qu’elle reste à ses côtés et l’épouse d’Ulysse finit par céder en se disant qu’elle s’échapperait dès qu’elle le pourrait. La moitié de l’équipe de handball suivait la troupe féminine en voiture dans une proportion hommes-femmes inégale, l’élément féminin étant majoritaire d’une unité, ce que ne remarqua pas d’emblée Mathilde.
À l’intérieur, Blandine sortit les bouteilles d’alcool pour une collectivité déjà bien chaude, répartie sur fauteuils et canapés. La patronne donna le signal des turpitudes en embrassant un superbe mulâtre de vingt ans de moins qu’elle, puis en le prenant par la main et en l’entraînant dans l’escalier menant aux chambres. Mathilde découvrit avec stupeur que Fanny était penchée sur le bas-ventre de l’un des joueurs assis à ses côtés pour une fellation à visage découvert, cheveux ramenés en queue de cheval.
Elle voulut alors se retourner vers Julie pour lui signifier son intention de vider les lieux tant qu’il était encore temps. Mais la seconde épouse se faisait peloter sans réagir par un des joueurs grisonnants, le capitaine de l’équipe. Mathilde fila alors vers la cuisine pour se servir un verre d’eau, car l’alcool ingurgité et les scènes vues lui avaient mis la bouche très sèche. Une des deux stagiaires, la boulotte, était assise sur la table, un handballeur sur une chaise en train de lui lécher l’entrecuisse découverte tandis que la grande perche, à genoux sur une autre chaise, nue et seins pendants, se faisait défoncer en levrette par un métis tatoué. Le premier coït, sûrement pas le dernier.
Mathilde ne but même pas son verre d’eau tant elle était figée par le spectacle. Elle fut alors attrapée par Julie qui la supplia non pas de sortir de la maison avec elle, mais de l’accompagner à l’étage où l’entraînait le capitaine grisonnant.
Mathilde et Julie avaient suivi leurs études ensemble, elles avaient assisté à leur mariage réciproque, elles étaient vraiment amies. La logique aurait voulu que l’épouse d’Ulysse dissuade l’autre de sombrer dans l’adultère, mais on n’était plus du tout dans la logique de comportement après ce qui avait été vu dans la cuisine. D’autant que dans le salon, la robuste quinquagénaire Lucie chevauchait allègrement sur un canapé, tous nichons dehors, le gardien de but de l’équipe, et Fanny faisait de même sur un fauteuil, montrant son petit cul nerveux et enthousiaste en cavalant sur la queue tendue de l’autre joueur grisonnant. Mathilde suivit donc Julie et le capitaine à l’étage, entendant au passage devant une porte fermée les cris de plaisir de leur patronne.
Avant d’entrer dans la chambre vide, Mathilde tenta une dernière fois de dissuader Julie, avec l’idée de s’enfuir vite fait :
Mathilde se laissa convaincre. Jouer les voyeuses l’horripilait, mais trahir la confiance de son amie aussi. L’homme grisonnant était tout sourire :
Encore embrumée par l’alcool ingurgité pendant la soirée, elle assista assise sur une chaise au déshabillage réciproque des deux protagonistes. C’était la première fois qu’elle voyait Julie nue, entièrement nue. Son corps gracile tranchait avec ses propres rondeurs. Mathilde la découvrait dans une attitude inimaginable. Ses longs cheveux ramenés en chignon, elle engloutissait avec appétit, presque voracité, la queue tendue du handballeur qui lui caressait sa nuque délicate.
Mathilde attendait le moment idoine pour s’éclipser. Elle crut le moment venu lorsque l’homme coiffa son volumineux pénis d’un préservatif extrait de la poche de son pantalon. Prévoyant, le mec. Allongé, il laissa venir Julie sur lui et elle s’empala en poussant un râle de plaisir. Mathilde se leva le plus discrètement possible, mais Julie l’arrêta :
Si Mathilde voulait s’enfuir, c’est qu’elle n’était évidemment pas insensible devant ces ébats tumultueux et surtout au plaisir manifeste que prenait sa chaste, ou supposée telle, amie. Son bas-ventre bouillonnait, une pénible sensation de vide s’en était emparé. Et quand l’homme culbuta Julie pour la pilonner entre ses cuisses menues, la vision de son cul de mâle en rut, nerveux et musclé, conjugué avec les entrées et sorties rapides de son gros sexe de l’antre de Julie dans un claquement de peaux évocateur, firent comprendre à Mathilde que, si elle ne sortait pas illico, elle bousculerait son amie pour prendre sa place, subir le même traitement et soulager son bas-ventre. Julie clamait sa joie, pieds en l’air, elle était bien trop occupée pour s’inquiéter de la présence de son amie et celle-ci se précipita vers la sortie, terriblement frustrée, mais en même temps soulagée d’avoir été Pénélope.
Au passage dans le salon, elle croisa le regard de Fanny prise en levrette sur un des deux canapés, l’autre étant occupé par Lucie allongée un pied sur le dossier, l’autre autour des reins du gardien de but. Surtout ne pas regarder. Et ne pas entendre les râles et les gémissements de plaisir sortis des deux bouches féminines.
Heureusement, elle était venue avec sa voiture. Elle s’y engouffra la tête en feu, rejoignit son domicile en vitesse, prit une douche et n’eut plus qu’une idée en tête : appeler Ulysse. Le décalage horaire le trouverait peut-être disponible, il devait se lever maintenant. Il fallait absolument qu’il la baise à distance. Elle alluma son ordinateur, nue. Heureusement, il était encore chez lui, toujours en pyjama.
Le spectacle de son épouse offerte nue, son gode à la main, face à son écran, stimula d’emblée Ulysse. La main sur son membre érigé, il la bombarda de mots crus :
Mathilde joua tellement bien le jeu qu’elle arriva vite à l’orgasme, ou plutôt au « godo-orgasme ». Et Ulysse à la « masturbo-éjaculation ». Ils en furent soulagés sur le moment, mais en même temps frustrés.
Mathilde raconta alors sa soirée, le piège qu’elle avait su éviter « par amour », évitant de donner trop de détails, en particulier l’assistance à Julie. Mais Ulysse comprit qu’il jouait avec le feu en demeurant expatrié. Mathilde ne serait pas toujours Pénélope. Trop sensuelle, trop appétissante.
Ulysse se contenta de sourire. Un mois, ce serait dur aussi pour lui de ne pas répondre aux appels de plus en plus pressants de la sirène japonaise…