n° 23062 | Fiche technique | 16397 caractères | 16397 2878 Temps de lecture estimé : 12 mn |
15/05/25 |
Résumé: Julie vit maintenant chez ses nouveaux employeurs. Son regard sur le monde de la domination et de la soumission va peut-être évoluer. | ||||
Critères: #domination #voyeur soubrette | ||||
Auteur : susurrements_poetiques Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Nouvelle vie, nouvelle ville, nouvelle Julie Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé des épisodes précédents :
Julie se promène dans sa nouvelle ville. Elle va découvrir plus que de nouveaux lieux.
J’émergeais doucement de ma nuit de sommeil en entendant la porte de ma chambre s’ouvrir. La jeune domestique entra délicatement, comme tous les matins. Et, comme elle le faisait depuis mon emménagement, elle retira les couvertures posées sur mon corps nu. Ses mains à la paume tendre se posèrent sur mon dos pour me délasser d’un massage. Je ronronnais sous ses gestes, c’était une jeune femme remplie de tendresse. Depuis quelque temps, j’essayais de la questionner sur sa vie ici, mais je n’avais pour l’instant pas eu de réponse.
Ce matin, je crus voir une ouverture. En me retournant, je me rendis compte qu’un bouton de son chemisier de soubrette avait sauté, et je pouvais voir sa dentelle complètement absente. À la place, une pince à dents était posée sur son téton. Je tendis la main, agrippai la chaîne et tirai d’un coup sec. Elle émit un petit cri de surprise mêlé de plaisir.
Mon esprit s’emballa.
Je continuais à tirer sur la chaîne, son corps se mit à trembler en même temps que ses gémissements s’accéléraient.
Des larmes coulèrent sur ses joues. J’allais arrêter quand je compris que c’étaient des larmes de plaisir.
Serait-elle leur chose ? Une sorte de dessin très excitant se matérialisait dans mon esprit.
Je lâchai la chaîne, et aussitôt, Émilie s’effondra sur mon lit en criant de plaisir. Ses jambes tremblaient de jouissance. Elle avait les yeux fermés, elle pleurait et répétait en boucle :
Je lui caressai les cheveux en la réconfortant pendant une dizaine de minutes. Puis je lui dis :
Il était 14 h, j’avais mangé avec Élodie et Marc. Pendant ce repas, je n’avais cessé de penser à l’épisode du matin. Émilie nous avait servi le repas sans qu’il n’y ait la moindre différence avec les autres jours. Je prenais l’escalier qui montait à mon bureau quand la voix d’Élodie me parvint de la bibliothèque.
Je pénétrai dans la pièce pleine d’ouvrages anciens, et quelle ne fut pas ma surprise de voir Émilie habillée seulement de ses pinces à tétons. Sa peau blanche était magnifique, mais ce qui me marqua au plus haut point, c’est que ses mains étaient attachées à une chaîne qui pendait d’un anneau fixé au plafond.
Mon intimité se mit à ruisseler aussitôt !
Je me sentais comme prise avec les doigts dans le pot de confiture. Une confiture extrêmement excitante, d’ailleurs.
À ces mots, Émilie poussa un gémissement et se trémoussa aussitôt.
Les soupirs d’Émilie se firent de plus en plus rapides et saccadés.
Comme elle voyait que j’hésitais, elle me demanda :
J’acquiesçai de la tête.
Je posai ma main entre les cuisses d’Émilie. Elle était dans un état d’excitation impressionnant. Elle poussa son sexe vers ma main pour que j’appuie encore plus. Mais, une claque s’abattit sur sa fesse avec puissance. Émilie cria de plaisir aussitôt.
Des larmes coulaient de ses magnifiques yeux. J’eus aussitôt envie de l’embrasser, mais je me doutais qu’Élodie en serait courroucée. Elle dut lire en moi, car elle me dit aussitôt :
L’excitation me parcourait ! C’était une demande ou un avertissement ? La tentation était trop forte, je me penchai vers ses lèvres. Et par réflexe, elle sortit sa langue pour que je l’attrape. Je la suçai pendant que des gémissements sortaient difficilement de sa bouche encombrée. Mes doigts commencèrent à parcourir son corps. Ils partirent de son cou pour descendre vers ses seins. Ses tétons étaient toujours parés de ses magnifiques chaînes. Je les saisis et tirai doucement dessus. Je sentis son corps se tendre doucement pendant que je suçai toujours sa langue. Elle allait jouir !
C’était Marc, je ne l’avais pas entendu entrer dans la pièce.
Je cessai à l’instant ! Émilie se mit à crier de frustration, et des sanglots sortirent de sa gorge. Il s’approcha d’elle, de son index, il traça un chemin sur sa peau en prenant soin d’éviter ses zones érogènes. Émilie continuait de pleurer alors que Marc lui passait un bandeau. Puis, il lui susurra à l’oreille :
Puis il se tourna vers moi :
J’étais dans un état d’excitation tellement important que je ne pouvais pas refuser. Je lâchai dans un souffle :
Émilie poussa un hurlement de frustration, pendant qu’elle frottait ses cuisses pour obtenir du plaisir. Je me sentais mal pour elle. Élodie dut le voir encore une fois, car elle me murmura :
Puis elle s’assit sur un fauteuil et écarta les jambes pour que Marc puisse passer sa tête sous sa robe. Moi, de mon côté, je me mis face à Élodie pour la regarder avoir du plaisir. Je ne pouvais pas voir ses lèvres, mais nos yeux s’accrochèrent. Ma main partit toute seule vers mon entrejambe, et je pus commencer à jouer avec mon clitoris dont la sensibilité était à son paroxysme. Élodie ne me lâchait pas des yeux, malgré ses gémissements de plus en plus importants. Il ne lui fallut pas longtemps pour arriver à l’extase. Elle jouit en me regardant me masturber.
Marc se retourna et me dit aussitôt :
Je retirai aussitôt ma main de ma culotte. Je sentis une énorme frustration me traverser.
Puis une vague de plaisir !
Cette sensation d’être un jouet me faisait mouiller à chaque fois que je la ressentais. Mes tétons étaient devenus tellement sensibles que leurs frottements sur mon haut étaient durs à gérer. Marc me regarda dans les yeux et me dit :
Une lueur carnassière s’alluma dans les yeux du dominant qui me faisait face.
À leur court échange, je compris qu’ils étaient entièrement connectés. Je me dis aussitôt que j’allais passer de bons moments. Élodie me regarda et me dit avec une joie non masquée :
Mon intimité, déjà trempée à cause de ma masturbation, recommença à ruisseler sous ses ordres. Je me mis aussitôt nue, alors qu’Émilie continuait à gémir de frustration.
Les gémissements d’Émilie se firent plus forts aux mots de sa maîtresse. Elle continuait à se frotter les cuisses pour trouver du plaisir physique en plus du plaisir cérébral qu’elle éprouvait.
Elle se retourna vers la soubrette pour lui dire :
Émilie ne put retenir sa frustration plus longtemps. Elle hurla :
Puis, entre les sanglots :
Il me fit signe de patienter, se leva, fouilla dans un coffre et sortit un gode d’environ 15 cm de long. Il le posa sur les lèvres de sa soumise, qui ouvrit la bouche aussitôt. Il fit doucement glisser le membre jusqu’à la garde. Émilie commença à se tortiller de plus en plus. Il retira le toy et, de l’index de l’autre main, essuya une goutte qui coulait le long de la cuisse d’Émilie. Il se retourna vers moi et posa son index sur mes lèvres.
J’étais excitée comme jamais !
Émilie, elle, hurla de désir !
J’avais envie de lécher, mon corps le demandait, le goût de la jouissance et du désir me manquait. Mais c’était un ordre de Marc, et je ne souhaitais pas lui céder si facilement ma soumission. Je lui lançai donc un regard interrogatif, saupoudré d’une touche de consternation, mêlé de surprise. Une lumière de jeu s’alluma dans son regard. Ce phare dans la nuit de mes envies voulait dire « Tu souhaites me résister ? J’accepte ton défi. » Il se retourna vers sa femme et n’eut pas besoin de prononcer un mot. Élodie n’avait rien loupé de l’échange, je dirais même qu’elle l’avait apprécié.
En regardant Marc dans les yeux, je posai ma langue sur le bout de son index. Je fis doucement glisser l’extrémité durcie de mon organe gustatif sur toute la longueur de son doigt. Puis, d’un coup, j’ouvris la bouche pour m’empaler dessus, comme si c’était un sexe dressé. Marc ne bougea pas d’un millimètre, et son regard voulait dire « Je ferai tout pour te soumettre ». Je sentis mon intimité ruisseler. Je retirai ma bouche en embrassant doucement sa dernière phalange. Je me levai et pendant que j’allais vers Émilie, Élodie m’interpella.
Un petit fourmillement de plaisir s’installa en moi. Avant de me diriger vers l’oreille d’Émilie, je m’approchai de son joli petit nez retroussé, sortis ma langue et déposai sa propre saveur sur sa marque de l’ange, ses sanglots de frustration reprirent. Je me dirigeai enfin vers son oreille.
Entre ses sanglots, un oui me parvint. Un oui teinté de désir. Un oui plein d’envie. Un oui qui ne pouvait pas émaner d’une autre voix que celle d’une soumise. Une supplique de cette puissance. Il me fit l’effet d’une claque. Je ne m’attendais pas à ce que cette jeune femme attachée souhaite goûter mon envie. À cet instant, le plaisir du pouvoir m’assaillit, un uppercut sous le menton de ma soumission.
Bien évidemment, Élodie s’en aperçut aussitôt.
Elle regarda Marc et d’un signe de tête convenu, ils se dirigèrent vers la sortie de la pièce. Avant de sortir, Marc me regarda en souriant et me désigna un coin de la pièce.
Sur ce, il s’éclipsa. Je me sentais tiraillée entre deux sentiments bien distincts. D’un côté, le bonheur de pouvoir donner de la jouissance à une soumise selon mon bon plaisir. Et de l’autre, le doute de réussir à y arriver. Mais j’étais tellement excitée par cette situation que je décidai d’en profiter le plus possible.
Je lui enlevai le bandeau. Aussitôt, elle dirigea son regard vers le sol.
Émilie réorienta aussitôt son regard. Ma main prit doucement la direction de mon sexe tout trempé. Je fis passer mon index et mon majeur sur mes lèvres. Je portai mes doigts luisants de cyprine devant son nez, les laissant de longues secondes.
Émilie se tortillait sur place.
Avec un sourire carnassier, je les nettoyai.
Elle se contenait, je sentais la frustration émaner de son corps. Je le pris pour l’envie de bien faire, d’être une bonne soumise, d’être digne de ses maîtres. Alors, je pris la décision de la récompenser. J’approchai de sa bouche et avant de sortir ma langue, je lui dis.
Elle sauta sur l’occasion et commença un va-et-vient rapide. Elle était dans un tel état d’excitation qu’elle gémissait comme si je m’occupais de son clitoris. Je finis par retirer ma langue, et aussitôt, elle baissa les yeux et me dit :
Je lui caressai la joue de mon doigt :
Elle fondit en larmes. J’étais interloquée.
Elle répondit, entrecoupée de sanglots :
Je compris que sa gestion des émotions était chaotique.
Je posai ma main sur son bouton pendant qu’elle pleurait toujours, pour dessiner de petits ronds dessus. Elle se mit à gémir et à trembler. Elle était vraiment sensible, je devrais faire attention. Je pris la décision de la détacher, et pendant que son corps se calmait, elle allait s’occuper de moi. Je m’assis sur un fauteuil et j’écartai les jambes.
Elle se jeta à genoux et commença doucement à lécher mes lèvres de sa langue. La chaleur s’empara de la zone, l’humidité de mon intimité se mélangea à sa salive. Elle prit tout son temps pour me faire monter en température. Puis sa bouche prit enfin possession de mon clitoris, de petits picotements firent leur délicieuse apparition. Je voulais jouir !
Elle gémit aussitôt à ce mot. Elle aimait vraiment être traitée de cette manière.
J’eus un plaisir immense sous la langue d’Émilie, et ses magnifiques doigts vernis donnèrent à mes tétons un voyage plein de chaleur.
Je me redressai et, tout en reprenant mes esprits, je montrai le canapé assez large pour se coucher comme dans un lit.
Je fouillai dans un coffre qui était sur le côté. Sa décoration riche et très osée ne laissait que peu de place à l’imagination en ce qui concernait son contenu. C’était une caverne coquine d’Ali Baba. Un nombre incalculable de jouets et d’accessoires. Une petite lumière coulante de cyprine se fit dans mon esprit.
Un womanizer et du scotch !
Le rêve !
Je m’approchai d’Émilie, et posai le jouet sur son clitoris, elle eut un mouvement de surprise. Je lui mis une claque sur le sein droit. Elle cria de surprise.
Je repositionnai le jouet, et le scotchai. Son sexe était entièrement épilé, ce qui aidait à la fixation. Puis je me mis en recherche de tout ce qui me permettrait d’attacher cette petite effrontée. Il ne me fallut pas longtemps pour trouver mon bonheur. Des menottes et des cordes. Et par bonheur, le canapé était entièrement entouré d’anneaux prévus à cet effet. J’attachai d’abord ses mains croisées au-dessus de sa tête. En redescendant, je passai ma langue sur ses lèvres, et lui mordis violemment le cou. Elle frissonna puis gémit de plaisir. Enfin, j’arrivai à ses pieds. Ils étaient magnifiques, bien entretenus, bien vernis, avec des bagues et des bracelets. Je fis attention aux bracelets pour poser les sangles, puis attachai les cordes. Elle ne pouvait pas refermer ses cuisses.
D’une petite pression, le womanizer se mit en route. Elle se cambra aussitôt. Je passai deux vitesses d’un coup. Un long gémissement sortit de sa gorge. Puis elle commença à crier à un rythme saccadé. Elle ne pouvait rien gérer, j’augmentai l’intensité. Émilie criait de plaisir.
Ma phrase n’était pas finie, qu’elle hurla son plaisir et inonda le canapé d’une flaque de liquide intime.
Elle resta complètement ailleurs pendant quelques minutes. Je m’approchai de sa bouche pour l’embrasser. Mes lèvres se posèrent doucement sur les siennes.
Nos lèvres se joignirent une nouvelle fois en guise de fin de séance.