n° 23068 | Fiche technique | 21284 caractères | 21284 3630 Temps de lecture estimé : 15 mn |
17/05/25 |
Présentation: Pourquoi un mode d’emploi pour ma Paulette ? C’est vrai qu’à première vue, ça peut paraître bizarre. Mais les fioritures et les hypocrisies, moi, ça m’agace... | ||||
Résumé: Je suis raide dingue de ma Paulette. Alors tous les moyens sont bons pour qu’elle reste accro à sa bombasse badass, comme elle dit. | ||||
Critères: #humour ff fgode humour | ||||
Auteur : EdenPlaisirs Envoi mini-message |
Note
C’est vrai qu’à première vue, un mode d’emploi pour sa compagne peut paraître bizarre. Ça peut être mal perçu, c’est sûr. Mais moi, fioriture et hypocrisie, ce n’est pas ma tasse de thé. Ma « cup of tea », comme nous le disons, nous, les Rosbifs. Parce que les English, eux, ils ne pigent pas l’humour de cette expression.
En tout cas, je suis raide dingue de ma Paulette. Alors, tous les moyens sont bons pour qu’elle reste accro à sa bombasse badass, comme elle dit.
Peut-être qu’un mode d’emploi, ça fait notice pour poupée gonflable, ou mémo technique pas vraiment érotique, mais en vrai, je m’en tamponne. C’est un moyen bien pratique pour moi de faire en sorte que ma chérie baigne dans la joie et la bonne humeur, chaque jour que l’autre gros con1 fait.
J’ai dit qu’elle baigne oui… Qu’elle baigne, qu’elle trempe ou qu’elle patauge, peu importe, mais que ce soit dans un petit bonheur de tous les jours. Et dans le cas qui nous intéresse… Qu’elle nage dans la cyprine ! J’aimerais tout de même qu’elle ne se noie pas. Au pire, elle pourrait boire la tasse, ce n’est pas que ce soit bien savoureux, mais ce n’est pas si dégueulasse. C’est un peu comme si tu n’aimais pas le thé salé, mais que tu sois forcé d’en boire, pour goûter à d’autres sources de plaisirs. Et après, j’arrête avec mes histoires de tasses à thé, c’est promis.
Alors pour ça, il y a nos petites expéditions de pêches et de chasses2, mais ce n’est pas pour tous les jours. Si vous avez lu le manuel, vous aurez compris que nos excursions nécessitent une organisation bien orchestrée, comme beaucoup de temps et de préparation.
Du coup, j’ai eu une idée. Oh, je sais bien que ce ne sera pas la panacée, mais qu’est-ce que j’ai à risquer ? Le ridicule certainement, si ma Paulette n’est pas dans un bon jour, mais ça, ce sera à moi de ne pas me planter. Alors…
Alors un matin, après avoir préparé un petit-déjeuner, spécial ogresse affamée, j’ai réveillé ma chérie. J’avoue que j’étais un peu stressée, tout bêtement, parce que la veille au soir, j’avais bien compris que Paulette avait une grosse envie de bite. OK, je sais qu’écrire ça, ça fait un peu vulgaire, mais que voulez-vous que je vous dise…
La veille, nous étions tranquillement à jouer à la bataille navale, quand ma compagne m’a soudain collé un sacré touché coulé.
Alors que voulez-vous que j’écrive d’autre moi ? Je peux vous préciser ses propos, mais mentir, ça, non.
C’est vrai que quand on connaît Paulette, on ne s’attend pas à ce genre de langage. Une jolie blonde aux doux yeux azur, ça fait un brin angélique. Et elle l’est, angélique, ma chérie. Tout le monde s’accorde à le dire. En plus, elle donne dans le genre bourgeoise un rien coincée du cul. Enfin bon, vous voyez le style hein. Alors on pourrait s’étonner c’est sûr… Mais ma chérie c’est aussi une femme. Alors oui, elle a parfois envie d’une bite, ou d’un beau chibre bien dur, ou d’une belle grosse queue, comme elle dit. Et en plus, elle fantasme sur de la zigounette toute douce, sans un poil sur le caillou. Comme sa jolie petite chatte l’est depuis des années, ou comme la mienne le redevient souvent. Parce que contrairement à Paulette, moi j’aime le changement.
Je disais donc, préparation et installation sur un plateau large comme une autoroute, d’un petit-déjeuner pantagruélique. P’tit-déj à l’anglaise, puisque nous sommes londoniennes pour un temps.
Depuis plus d’un an d’absence, alors que j’étais rentrée en France, j’avais oublié la fameuse blague de mes chers collègues de travail d’outre-Atlantique.
Il n’y a que des Français pour oser apporter une bombe dans un consulat. That’s a compliment, my dear.
Compliment mon cul, oui. La plupart d’entre eux ne me supportent pas. Du coup, il ne manquerait plus que je présente ma chérie au boulot. Et là, ça ferait jaser toute la boutique. La plupart de ces petits bureaucrates se font mousser, en se prenant pour des diplomates modernes, mais ce ne sont que des petits fonctionnaires, bien coincés aux entournures. Ce serait la danse des balais dans le cul cette histoire. Deux Françaises pas trop moches et gouines dans leur fief… Rien à voir avec cette vieille pub pour le chocolat. Les réceptions de l’ambassadeur sont toujours de bon goût, et gnagnagna. Ce serait de l’incident diplomatique à coup sûr.
Décidément… Où j’en étais moi… Ah oui !
Un petit-déjeuner composé de six œufs brouillés, de quatre saucisses, de café brésilien très fort pour madame, et de thé indien pour mézigue. Je n’avais pas oublié une baguette campagne, bien française, of course. Alors, forcément, ma Paulette me sourit à peine mon plateau posé sur le plumard.
Bien sûr, histoire de bien préparer le terrain, je m’étais apprêtée au mieux pour satisfaire ma Paulette. En fait, c’était une préparation assez simpliste, mais ma chérie à toujours envie de moi au réveil, alors je me devais de faire un petit effort, pour lui donner un peu d’allant. Je lui avais donc servi son petit-déjeuner anglais totalement nue. Du coup, vu sa frimousse, je devinais aussitôt que si je lui avais donné un bout de pain rassis et du beurre rance, elle n’aurait pas dit « ouf ».
Woualavache ! Quand elle prend son air timide comme ça… C’est dingue, mais je mouille recta, moi.
Les deux mains prises par le plateau à débarrasser, je frissonne quand deux longs doigts pincent doucement mon téton droit.
Elle a un de ces regards ma Paulette quand elle me dit ça… Primo elle le pense vraiment, et secundo elle a réellement envie de me bouffer toute crue. Alors j’adore, c’est sûr, mais il ne faudrait pas qu’elle n’ait plus que l’envie de me bouffer la chatte. Je tiens beaucoup à mon idée de la satisfaire d’une autre manière.
Revenir vite ? Il faudrait déjà que je puisse partir. Les mains de ma femme ont d’abord englobé mes seins.
Ensuite, pendant qu’elle me parlait de mes effluves de femme excitée, contrariés par les odeurs d’œufs frits et de saucisses grillées (faut pas vomir hein… j’explique la vérité sans enjoliver, et c’est pas un poème non plus quoi), ses doigts ont pincé mes tétons et les ont étirés.
Elle dit ça avec l’air le plus sérieux du monde, ses yeux bleus braqués sur mes nichons devenus durs comme du marbre. Woualavache ! Elle se collerait une main sous le menton que je me verrais en statue de bronze. Encore que je ne pense plus là. Je suis bien incapable de faire fonctionner mes méninges et je me tape du sieur Rodin et de sa Camille.
Je jouis en gémissant, le corps courbé en avant, et les mains crispées sur ce satané plateau qui pèse subitement le poids d’un âne mort.
C’est bien Internet. Amazon aussi c’est top, même si beaucoup critiquent le père Bezos. C’est certain, on peut être Crésus et bête à bouffer du foin, mais quand tu es dans l’urgence comme je le suis, tu n’as pas envie de sauver le monde. Et le Jeff, tu l’enrichis et tu l’oublies.
En priorité, tu dois apaiser l’envie pressante de ta Paulette. Elle veut de la queue, alors elle en aura. Et si tu veux te coller au jardinage après ta partie de fesses, tu peux acheter une bêche, en plus du cadeau pour ta chérie. Du coup on peut se brouter le gazon et se rouler des pelles. Ah… je vais remplacer la bêche de mon panier alors. C’est bien Amazon.
Si ça n’avait tenu qu’à moi, nous en aurions un depuis longtemps. Mais Paulette ne voulait pas entendre parler de ce gadget. D’un côté, elle n’a pas tort. Il faut avouer que si le ridicule ne tue pas, il faut pouvoir se lancer dans ce genre de jeu, sans penser au côté un peu comique de la situation. Et d’un autre côté…
Nous étions tombées tout à fait par hasard… Ouais d’accord. Nous avions un peu papoté avec un couple de filles sur un site pour adultes. Deux coquines très sympathiques venues d’Albanie pour des études parisiennes. C’est dingue, mais ces jeunettes en connaissaient un sacré rayon sur les joies du sexe, et elles n’avaient aucune pudeur pour en parler. Moi, je n’aurais jamais osé parler aussi librement de cul avec des inconnues3. Bref, nous finissions par nous laisser convaincre et nous nous retrouvions dans un dial camtocam.
C’est là que Paulette reconsidérait sa position. Enfin, elle revoyait ses positions. D’abord elle retirait son string, puis écartait plus largement ses cuisses, à la demande de la jolie petite brune de l’écran. Ensuite, elle murmurait un « ça doit être bon finalement », tout en observant attentivement la grande blondasse ressemblant à Kim Basinger, avant sa plastification. Iren, la blonde domina du couple, prenait durement Marta, la mignonne petite brune. Si Marta prenait son pied, miss Basinger était elle aussi proche de la jouissance, et nous savions pourquoi.
Avant de se plonger dans l’action, la superbe blonde nous avait détaillé les caractéristiques techniques de son double gode-ceinture. Des descriptions érotico-techniques, débitées en anglais, que je traduisais à ma Paulette, toujours totalement réfractaire à l’apprentissage d’une langue étrangère. Encore que, se faire bouffer le minou par l’une ou l’autre de ces Albanaises…
En tout cas, croyez-moi sur parole, vu la fébrilité de mes doigts pesant sur mon clitoris et explorant ma fente, cette Iren n’avait rien de ridicule en baisant sa Marta. Quant à Paulette, vu ses soupirs de plaisir, comme sa petite chatte, béante et détrempée, elle devait être maintenant du même avis que moi. Ceci dit, sans oublier le gargantuesque orgasme qui finit par dévorer toute crue la mignonne Marta, tandis que sa domina la pilonnait avec encore plus de vigueur.
Ah bin, tu m’étonnes aussi. Du coup, pas contrariante pour un sou, je jouissais illico presto. Parce que je n’en pouvais plus, et pour accompagner la malheureuse Marta, maintenant effondrée sous le grand corps de sa chérie, et chevrotant une douce mélopée des Balkans. Puis, la voix grave et légèrement enrouée de Paulette me faisait doucement gémir.
La nuit fut assez longue pour que nous puissions constater que Marta, elle aussi, savait parfaitement s’y prendre avec cet outillage, faisant crier son Iren plusieurs fois.
Et enfin, ses lèvres pinçant mon clitoris devenu très curieux, Paulette avouait qu’elle crevait d’envie de me baiser comme sa petite salope, avec un double gode-ceinture. Évidemment, être traitée de salope par ma chérie devant les filles me fit instantanément jouir, et ce, même si elles n’avaient pas compris un mot de ce qu’avait dit ma femme.
Un orgasme ponctué par une petite giclée drue, qui aspergea le visage de ma compagne. Ce qui fit rire d’abord, et applaudir ensuite, les deux Albanaises, toutes deux aussi surprises que Paulette.
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1000 combinaisons d’utilisation différentes
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Tant qu’à écrire un manuel, autant l’enrichir de véritables caractéristiques techniques. Ça peut aider les lecteurs. Et puis c’est culturel autant que surprenant. Qui aurait pu se douter que ce genre de jouet avait un système ABS4 ? Je n’ai jamais songé à freiner dans ces moments turbulents, moi.
Combien de fois nous étions-nous amusées à sucer nos sex-toys ? Et chacune de nos tentatives se terminait en rire ou en fou rire. Paulette y allant d’une chansonnette que je ne connaissais pas. Elmer Food Beat et son tube faramineux. Le plastique c’est fantastique.
Et maintenant que nous avions vu Iren et Marta à l’œuvre, notre vision de la chose avait changé. La jolie brunette était plutôt excitante quand elle prenait sa domina. Mais Iren, elle, nous avait presque hypnotisées. Elle avait baisé sa chérie d’une manière si naturelle, que j’avais été proche de l’orgasme en la regardant. Ce clone de Kim Basinger m’avait donné envie d’être à la place de sa copine.
Il fallait également avouer que le gode ceinture qui les faisait jouir à tour de rôle ne méritait plus son nom. Il n’y avait plus aucune ceinture ni aucune sangle. La femme qui portait ce jouet sur elle n’avait plus rien à voir avec une jument attelée. Et sans avoir essayé l’objet, j’avais bien compris ce qui le maintenait en place chez l’utilisatrice. J’en étais à être devenue très curieuse et impatiente de me retrouver ainsi harnachée, encore que ce mot n’avait plus le même sens.
Bien évidemment, j’avais étudié la notice d’utilisation. Mon impatience était encore montée d’un cran à cette lecture. Trois moteurs permettaient de faire vibrer et bouger cet incroyable engin. La queue vibrait, la langue qui prenait la privilégiée qui se collait ce truc sur le corps vibrait également, et elle pouvait même onduler dans le sexe qu’elle possédait. On pouvait utiliser ces fonctions séparément ou les faire fonctionner toutes les trois en chœur. Une sacrée chorale en perspective. Je n’avais ni le temps ni l’envie de prospecter le fascicule explicatif plus avant, et me contentai pour l’instant de l’utilité la plus simpliste.
Toutefois, une petite chose m’avait interpellée. L’appareillage était exclusivement dédié aux lesbiennes. Et pourquoi donc ? Des images m’avaient traversé l’esprit. Paulette suçant une superbe queue, tandis que je prenais son propriétaire, le bousculant doucement de mon outil siliconé. Voilà donc de quoi exacerber plus encore, la libido parfois débridée de ma compagne. C’était une idée à creuser. Ceci dit sans jeu de mots coquin.
En tout cas, voici le cadeau pour ma Paulette. Une surprise que j’ai gardée par-devers moi un long moment. Et aujourd’hui, je vais lui jouer le grand jeu à ma chérie.
Je revois encore la frimousse de ma chérie à mon retour dans la chambre. D’ailleurs, je sais que je ne l’oublierai jamais.
Bouche bée qu’elle était ma Paulette. Subjuguée ! Effarée ! Estomaquée ! Vous choisissez le terme si vous voulez, mais sa bouille exprimait bien des choses, et elle avait dépassé le simple stade de la surprise.
Puis, à peine agenouillée, c’était à moi d’être scotchée sur le lit. Ou clouée, si vous préférez. Mais une Chloé, clouée, c’est pas tellement folichon à écrire. Toujours est-il que Paulette s’était penchée en avant sans prononcer un mot et…
Olala ! Je n’avais jamais vu ma femme sucer un mec jusqu’ici, ayant même souvent fantasmé sur le sujet, mais aujourd’hui, j’ai cette image gravée en tête. Je ne sais plus combien de temps elle m’avait gardée en bouche. Mais si le temps est subjectif dans bien des cas, moi, je ne pouvais plus détacher mon regard de sa bouche, engloutissant ma queue avec une gourmandise consommée. Je regardais ses lèvres qui montaient et descendaient, enserrant mon membre. J’observais sa langue qui léchait mon gland avec douceur. Subitement, l’idée que nous n’avions aucune envie de nous fendre la poire m’interpellait.
Paulette m’excitait et je supposais qu’elle l’était tout autant que moi. Sa longue main branlant doucement mon sexe tendu, ma chérie levait les yeux vers moi et me souriait.
Mon air totalement égaré avait fait s’élargir le sourire de ma femme et elle baissait les yeux sur mon bas-ventre.
J’avais doucement poussé sur les épaules de ma compagne qui n’avait pas terminé sa phrase, se laissant gentiment allonger sur le lit.
J’avais parlé alors que mon gland était posé sur la fente délicate de son ventre, et ma chère et tendre laissait filer un petit cri.
Alors que dire de mon cadeau ? Olala ! Et en plus, la plus gâtée des deux n’avait pas été celle que je pensais combler. Oh ! Elle avait joui ma Paulette. Trois orgasmes bousculaient son corps en sueur. Chaque jouissance l’avait fait crier. Alors oui, on peut dire que mon cadeau lui avait beaucoup plu.
Mais moi… Comment vous dire ? Cette putain de langue qui me fouillait le bide pendant que je prenais ma femme. Ses coups de reins à elle, se mêlant aux miens… C’était parfois proche de la torture. Cinq ? Ou plutôt six orgasmes m’avaient collée à la peau trempée de sueur de Paulette. J’avais crié plus d’une fois sans pouvoir m’en empêcher, faisant rire ma chérie.
Le rire grave de ma compagne m’avait fait rire moi aussi.
Là encore c’est une chanson que je ne connaissais pas. Une certaine Patricia Kaas et une sacrée voix que je découvrais en titillant mon ami Google.
Très doucement, je m’enfonçais dans la petite chatte béante et toujours mouillée de Paulette, et elle n’avait pas pu contenir un gémissement. (Pas sa chatte hein ! Paulette ! Quand je disais que j’écrivais comme une patate, moi).
C’est cette petite phrase de ma compagne qui avait déclenché certaines choses.
Un long soupir de Paulette, et pour moi, un énorme orgasme instantané, aussi surprenant, que tapageur. La télécommande remplissait parfaitement son office. Je sentais ma queue vibrer dans le ventre de ma femme qui ondulait doucement sous moi. Paulette, en pleine euphorie jouissive, pinçait mes tétons en soupirant, tout en balbutiant des mots sans suite.
Quant à moi, je vivais dans l’inconnu. Cet orgasme imprévu ne cessait pas. Ou c’était simplement une impression. Mais la vérité, c’est que je jouissais sans arrêt. Ou c’était autre chose. Je n’y comprenais rien, mais je n’aurais pas échangé ma place pour un empire. Cette langue et les poussées du corps de Paulette contre moi me ravageaient le bide, et ma chatte dégoulinait littéralement.
L’idée qu’une athée pure et dure comme Paulette puisse prononcer une telle connerie, ne me sortait pourtant pas de cette étrange jouissance.
Et là… Nageant dans une extase inconnue, allongée sur le corps en nage de ma chérie, mon visage si proche du sien, mes lèvres effleurant les siennes… J’avais éprouvé une furieuse envie de l’embrasser.
Alors, allez savoir ce qui m’avait pris. Mes doigts attrapaient une longue mèche de mes cheveux et l’avaient posée au-dessus de ma bouche. Après quoi, il ne me restait plus qu’à faire une grimace pour remonter mes lèvres et coincer cette mèche épaisse et soyeuse sous mon nez.
Alors vous, je ne sais pas, mais pour Paulette et moi, ce fut une première fois mémorable.
Avez-vous déjà connu ça ? Un orgasme alors que vous êtes en pleine crise de fou rire ? Nous c’était fait… Et ce n’était même pas dans le manuel !
Ou alors c’était une des mille fonctions que ce truc en silicone pouvait offrir ? Va falloir que j’approfondisse mes recherches.
Mais merde, c’est écrit tout petit ces saletés de mode d’emploi…
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__________________
1. ↑ Bin quoi ? Je ne l’aime pas.
2. ↑ Petit manuel pour chasses et pêches
3. ↑ Là, j’écris et c’est totalement différent. Non ?