n° 23162 | Fiche technique | 21260 caractères | 21260 3614 Temps de lecture estimé : 15 mn |
29/06/25 |
Résumé: Magali et Martine ont l’idée d’organiser leur traditionnelle fête des voisins d’une manière totalement différente. Tout le monde se présentera nu. Sans imaginer les dérapages qui suivront. | ||||
Critères: #adultère #libertinage #différencedâge #bourgeoise fh 2couples hplusag fplusag jeunes couple voisins grossexe grosseins groscul plage voir exhib nudisme intermast fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus coprolalie échange partouze humour | ||||
Auteur : Jacquou Envoi mini-message |
C’est au cours d’une virée sur leur plage naturiste habituelle, à 50 km de chez elles, que Magali et Martine, jeunes retraitées, évoquèrent la traditionnelle fête des voisins dans leur quartier résidentiel composé de maisons individuelles.
Et les deux sexagénaires de remuer leur petit cul bronzé en direction des vagues.
Sondés par téléphone, les voisins manifestèrent un intérêt certain à la proposition. Virginie et Paul, un couple de quadragénaires, Isou et Pascal, de dix ans plus âgés, crurent d’abord à une blague avant de la considérer avec sérieux, une proposition à laquelle ils finirent par adhérer pour ne pas paraître ringards. Ce fut plus compliqué pour Corinne et Chris. Si elle n’était pas opposée par principe, rappelant au passage qu’elle avait été naturiste dans sa jeunesse, Chris trouva l’idée à la fois saugrenue et indécente. Laurent, le mari de Martine, que l’idée enchantait, se fit fort de convaincre son pote, arguant que sa plastique impeccable grâce à la musculation sortirait gagnante des comparaisons.
Mais la surprise vint de Samia, la quadra beurette, seule locataire du groupe. Elle trouva l’idée géniale, au rebours de stéréotypes considérant les femmes d’origine maghrébine coincées de la tête aux pieds. Sa réaction décida définitivement les indécis. Quant à Gérard, la perspective de découvrir toutes ces voisines en costume d’Ève lui parut de nature à réveiller ses sens endormis, en tout bien tout honneur évidemment. Kévin, son fils, aurait préféré qu’il y eût dans le lot une bimbo plutôt que des quadras, des quinquas et des sexas la plupart « en main », mais il se dit qu’il y avait peut-être de quoi se marrer dans cette assemblée à poil et dit : « Je suis avec toi papa ».
Le grand soir arrivé, tout ce petit monde prit la direction de la maison de Magali, la plus grande du quartier résidentiel avec ses quatre chambres, son grand salon et sa piscine. Histoire de bien situer la soirée, l’hôtesse accueillit les voisins dans le plus simple appareil, exposant sans complexe ses seins en pommes, son pubis rasé et son cul bombé, seulement vêtue de ses tongs.
Et c’est ainsi que les voisins se découvrirent un par un tels que la nature les a faits, avec leurs défauts physiques et parfois des avantages certains. Le mieux doté était évidemment le plus jeune, Kévin, avec son damier et ses pectoraux saillants ainsi qu’un abondant costume trois-pièces qui suscita d’emblée l’intérêt des dames et le ressentiment des messieurs.
Ancienne reine de beauté, la grande Corinne, fausse blonde avec ses longues jambes, ses seins larges et son fessier bien fendu, sortit glorieusement de ses vêtements, une petite moue satisfaite aux lèvres, l’air de dire « voyez comme je suis bien conservée ». Laurent, qui avait toujours rêvé de la baiser sans pour autant oser lui manifester son désir par égard à la fois à son épouse et son ami Chris, considéra que la soirée était déjà réussie. Il avait enfin vu Coco à poil.
Si Virginie, du genre trapu avec gros seins, grosses cuisses et grosses fesses, Martine avec au contraire ses œufs sur le plat en guise de poitrine, Isou plus remarquable par son abondante chevelure prématurément blanche que par son corps mince et, bien sûr, Gérard avec son embonpoint de sexagénaire et son importante pilosité ne suscitaient entre eux aucune curiosité particulière et rassuraient les uns et les autres plutôt pour leur banalité, tel ne fut pas le cas de Samia. Lorsqu’elle apparut au grand jour, la beurette quadragénaire provoqua un choc visuel d’autant plus inattendu qu’elle avait toujours paru plutôt asexuée avec ses longues et amples robes, et en dépit d’une abondante chevelure de jais encadrant un visage lisse et avenant.
Elle dévoilait une paire de roberts à rendre jalouses Karin Viard, Audrey Fleurot et Laura Linney réunies, un abondant pubis brun genre béret basque et un fessier mouvant véritable appel à la sodomie. Les hommes la découvrirent bouche ouverte et les femmes lèvres pincées. Incontestablement, la vedette de cette fête des voisins sans apprêt, c’était elle. Elle en eut aussitôt conscience et se mit à gazouiller et se demandant ce qu’on attendait pour plonger dans la piscine par cette soirée caniculaire. Elle montra le chemin en descendant par l’escalier, dandinant de la croupe, seins hauts et se glissant dans l’onde avec volupté, son glorieux fessier émergeant légèrement de l’onde. Tous les hommes présents, même Chris, même Gérard, se mirent à bander de manière plus ou moins effective, l’érection la plus spectaculaire étant celle de Kévin, si bien que les autres femmes se sentirent contraintes d’en rajouter dans la parade sexuelle en entrant à leur tour dans l’eau, chacune avec ses moyens.
À partir de ce moment, il flotta dans cette fête un parfum d’érotisme que les deux organisatrices n’avaient pas prévu, mais dont elles seraient partie prenante comme les autres. Les plats furent avalés dans une atmosphère un peu lourde, comme si Samia, par son comportement résolument sexuel et son corps voluptueux, avait donné le ton de la soirée. Magali se rappela qu’elle n’avait pas été baisée depuis un bon moment, hélas, et Martine, constatant l’érection de Laurent, jugea que cet honneur ne lui avait pas été rendu à ce point depuis un sacré bail. Il fallait que ça cesse. Isou et Pascal se rappelèrent leur visite fréquente à un sauna libertin sur leur lieu de vacances et l’occasion de remettre ça pourrait bien apparaître dans les heures à venir. Quant à Virginie et Paul, seule la décence minimum les retint de grimper les escaliers quatre à quatre pour rejoindre une chambre afin de copuler avec ardeur, elle pour combler le grand vide qui était né dans son bas-ventre, lui pour purger une trique qui était apparue dès qu’il avait vu le cul de Samia. Gérard et son fils ressentirent une grande solitude sexuelle, lorgnant déjà les deux seules femmes libres de la soirée, l’hôtesse Magali et l’inévitable Samia, sans être le moins du monde certains que tout ne se terminera pas par une branlette solitaire une fois revenus au bercail.
La raison l’emporta, provisoirement. Après le bain, où les corps luisants ajoutèrent encore à l’ambiance électrique, Magali prit les devants en incitant tout le monde à se mettre à table afin de déguster les spécialités de chacun comme il en avait été convenu. C’était un peu dur pour les hommes de manger en voyant tous ces nichons au-dessus des assiettes, en particulier ceux de la beurette, mais aussi ceux de Virginie et Corinne, fort bien pourvues, qui semblaient leur faire la nique. Si les femmes faisaient semblant de ne pas s’en apercevoir, elles n’en pensaient pas moins aux queues rigidifiées qu’elles avaient découvertes avec les couilles pendantes des messieurs présents. Pour le dire clairement et sans ambages, l’envie de baiser était générale, bien que sous-jacente. La chaleur, la nudité, quelques plats épicés, le rosé de Provence et la volupté ostentatoire de Samia avaient stimulé les libidos, tous âges confondus. Il ne restait que l’étincelle pour que le sexe s’exprime sans retenue.
Magali considéra qu’en tant que puissance invitante, elle bénéficiait d’une priorité et de l’initiative. Fixant le jeune Kévin, elle agita son index comme pour lui dire « viens par là, mon petit », le prit par la main et l’attira vers un bain de soleil bien en vue de toute la table. Se taper un petit jeune, voilà beau temps que ça ne lui était pas arrivé et il ne s’agissait pas de se faire couper l’herbe sous le pied, si on peut dire, par les autres femmes, que le volume du jeune homme intéressait tout autant a priori.
Celui-ci s’avança un peu circonspect, se laissa asseoir sur le bain de soleil et vit Magali se mettre à califourchon devant lui, saisir sa queue pendante et l’emboucher avec gourmandise. Elle accompagna sa succion par un massage de couilles et un doigt dans le trou du cul, direction la prostate. On ne lui avait jamais fait ça, à Kévin, et il se mit à bander comme un cheval, si bien que Magali en avait vraiment plein la bouche. Les autres convives assistaient fascinés par cette fellation d’experte, mais Kévin ne pouvait plus tenir et explosa dans la gorge de Magali, manquant de l’étouffer et lui barbouillant son visage du reste de son sperme épais. La suceuse était un peu déçue, elle aurait bien escaladé cette queue majuscule en suivant, mais ce n’était que partie remise, se promit-elle. Et elle entreprit de la ranimer sans transition.
Aussitôt, le couple Virginie-Paul se rua à l’étage pour occuper une chambre afin d’assouvir enfin des pulsions poussées à leur paroxysme au spectacle de la pipe en direct live de Magali. Isou, qui s’était masturbée cuisses ouvertes en observant la suceuse, fila un coup de coude à Pascal, son mari :
Pascal ne pouvait pas nier l’évidence. Le choc visuel provoqué par le contraste d’âge entre la suceuse nue et le sucé en érection l’avait pris aux bourses. Mieux que dans n’importe quelle vidéo porno. Rejoindre le couple Virginie-Paul lui parut une excellente idée, avec la perspective d’un plan à quatre qui lui permettrait une belle cravate de notaire entre les nichons plantureux de sa voisine, nettement plus volumineux que ceux d’Isou. Il prit la main de celle-ci qui l’entraînait dans les escaliers, visiblement impatiente de recevoir sa queue.
Pendant ce temps, sur les chaises face à la piscine et au bain de soleil interâge, les choses évoluaient aussi. Laurent, le mari de Martine, avait constaté que la belle Corinne se caressait les seins en regardant la pipe. Mais il avait vu aussi que son mari, Chris, supposé pudibond, ne voyait aucun inconvénient à ce que la pulpeuse Samia parcoure son torse musclé d’un doigt appréciateur, des pectoraux saillants à son damier et se rapprochant de plus en plus de son pubis. Chris bandait, mais pas pour son épouse. Et celle-ci l’avait forcément vu. Elle n’en continuait pas moins à se caresser les seins sans rappeler son mari à l’ordre. Laurent vit une occasion unique de tenter sa chance auprès de sa belle voisine qui l’avait tant fait fantasmer depuis plusieurs années. Tout allait se jouer dans les minutes suivantes.
Quittant sa chaise, il se glissa à genoux entre les jambes de Corinne assise, parcourut ses belles cuisses de sa langue sans qu’elles se resserrent et posa sa bouche sur sa vulve, enregistrant un léger mouvement de bassin qui valait accord. La grande blonde posa une main sur sa nuque pour l’inciter à poursuivre et se mit à roucouler. Encouragé, Laurent accompagna sa langue de son doigt, ouvrant un espace de plus en plus humide en prévision d’une introduction pénienne qui devenait de moins en moins fictive.
Tout près, Martine, la femme de Laurent, ne manquait rien de ces approches de plus en plus concrètes concernant non seulement son mari, mais aussi Chris et Samia. Son corps de sexagénaire connaissait une ébullition qu’elle n’avait pas connue depuis un épisode secret sur sa plage naturiste habituelle, où elle s’était fait draguer, puis sauter par un quadra bien monté amateur de femmes mûres mouillées d’eau de mer. Comme elle avait culpabilisé par la suite, de voir Laurent entreprendre Corinne justifiait quelque part son infidélité passée. Mais elle ne voyait pas pourquoi elle serait la seule femme du lot à ne pas passer à la casserole dans cette fête des voisins virant au lupanar. Le show de son amie Magali démontrait que rien n’est impossible à une femme de soixante ans à la libido intacte. L’essentiel est d’être bien salope pour montrer la différence avec la jeune génération.
Précisément, elle voyait Magali astiquer avec ardeur le jeune Kévin pour le ranimer et elle l’entendait clairement lui parler de sa queue « magnifique », lui dire qu’il allait lui la mettre « bien profond, là où tu veux, car je fais tout, vraiment tout », langage que Kévin n’avait jamais entendu dans la bouche des filles de vingt ans qu’il avait réussi non sans effort à sauter. Tant et si bien qu’il ne voyait plus dans Magali une femme qui aurait pu être sa grand-mère, mais un coup en or qu’il allait défoncer, nom de dieu. Et de fait, sa bite prit une allure verticale que Magali escalada aussi sec sur le bain de soleil en faisant danser sa petite croupe tout en caressant les couilles de l’allongé, une main derrière son dos bronzé.
Martine n’avait rien manqué du scénario et le seul homme disponible qui restait, le veuf Gérard, non plus. Lui regardait aussi son fils et admirait sa capacité à recharger aussi vite après avoir expulsé quelques minutes plus tôt un baquet de sperme. Il aurait bien pris sa place, car cette Magali était vraiment bandante.
Le veuf sourit sa répondre. Il posa juste sa main entre les cuisses ouvertes de Martine, tant et si bien que tous deux se masturbèrent mutuellement en regardant les ébats sur le bain de soleil. Mais pas seulement là.
Car, dans le même temps, Samia avait entraîné Chris dans la piscine. Il pétrissait sa nudité somptueuse, elle l’astiquait d’une main sous-marine, ils s’étaient posés contre le mur, elle l’encerclait de ses jambes, il l’enfilait pieds au sol pour un coït aquatique si énergique que l’eau en débordait sur le bord. Les exclamations de plaisir de Samia se mêlaient à celles qui sortaient de la fenêtre de la chambre où les deux couples légitimes s’adonnaient bruyamment à une copulation dont on ne savait pas si elle était devenue mélangiste. On entendait juste Isou clamer « Ah qu’elle est bonne, ta bite », ce qui supposait une découverte, celle de Paul.
Dans ce contexte, comment Corinne aurait-elle pu résister à s’accoupler avec son voisin Laurent, ce qu’elle n’avait jamais vraiment envisagé auparavant ? Toutes les femmes baiseraient, sauf elle ? Y compris la sexa Martine qui était déjà en train de sucer Gérard ? D’autant que Laurent l’avait bien chauffée avec sa langue et son doigt, qu’il avait réussi à mettre dans son trou du cul, la zone érogène cachée de l’ancienne reine de beauté, mais trop souvent négligée. Aussi, quand Laurent la prit par la main pour l’entraîner dans le salon vide d’occupants et la fit mettre à genoux sur le canapé pour la prendre par-derrière afin de profiter d’un fessier qui l’avait toujours fait rêver lorsqu’elle marchait en ondulant, elle n’opposa aucune résistance et dit même : « Vas-y, tu peux y aller, je suis anale ». Et dès qu’il fut entré dans son cul, elle alla même le chercher à grands coups de fesses, savourant une bite épaisse qu’elle faisait raboter tour à tour contre son vagin et son rectum.
Elle retourna sa tête à la chevelure blonde agitée, révélant son visage fendu d’un large sourire :
Le projet de Laurent d’entrer dans ce cul somptueux était donc atteint. Il n’en revenait pas de l’ardeur de l’ex-reine de beauté à se faire enculer, peut-être parce qu’elle entendait en même temps ce qui se passait dans la piscine voisine, Chris faisant gazouiller Samia dans l’eau.
Au même moment, Martine s’allongeait sur un matelas pneumatique tiré de l’eau au bord du bassin et attendait l’hommage de Gérard, à la virilité retrouvée, à la fois par la bouche de Martine et le spectacle torride que lui offraient Samia et Chris à quelques mètres. Dès qu’elle fut pénétrée, Martine encercla les reins du veuf et le stimula de la croupe et du verbe, exprimant un langage cru que Gérard n’aurait jamais soupçonné de sa voisine quand il la voyait sortir sa poubelle devant chez elle. « Vas-y, baise, baise, défonce-moi » répétait-elle en lui talonnant les reins et en griffant ses épaules. Exactement le comportement qu’elle avait eu dans les dunes de la plage naturiste quand l’inconnu l’avait écartelée au soleil. Tout en besognant, suant et soufflant, le père jeta un œil sur le fils qui enfilait désormais Magali par-derrière en menaçant de faire craquer la chaise longue tellement ses coups de queue étaient virulents, ce qui faisait brailler la récipiendaire.
Bref, on l’a compris, tout le monde baisait dans cette fête des voisins, légitimement ou non, peu importait, l’essentiel était de baiser. Les premiers à être assouvis furent les deux couples de l’étage, qui se retrouvèrent dans l’eau de la piscine pour assister à l’orgasme de Samia et l’éjaculation de Chris, dont le sperme flotta à la surface avec ses traînées blanches. Puis ce fut le tour de Gérard, à l’endurance limitée, de faire jouir Martine, tous deux basculant dans l’eau pour rafraîchir leur corps en fusion. Le spectacle était désormais sur le bain de soleil où Kevin sodomisait Magali qui clamait « Jouis dans mon cul ! », visiblement épuisée par son inlassable amant de circonstance. Enfin, Corinne et Laurent apparurent, main dans la main, lui queue pendante et elle une petite moue satisfaite en arrondissant les hanches, révélant à la cantonade non seulement qu’ils avaient baisé, mais surtout bien baisé. Laurent était encore éberlué par sa chance. La piscine, remplie des voisins nus et repus, fut éclaboussée de rires, comme si tous venaient de comprendre qu’ils avaient totalement transgressé les usages de la fête et que rien ne serait tout à fait comme avant.
En fait, la morale est ainsi faite que les couples comme les isolés retrouvèrent assez vite leur existence habituelle, soucieux de préserver un équilibre conjugal pour les uns sexuel, pour les autres, que la fête avait mis à mal. Le principe d’une fête est en effet de faire sortir tout un chacun de sa routine domestique en lui permettant de « s’éclater », voire de transgresser. Quelques stéréotypes avaient cependant vécu dans l’affaire. Kévin ne voyait plus les femmes mûres du même œil et rendrait visite de temps en temps à Magali pour une révision des bases et une remise à niveau. Laurent considérait désormais son épouse Martine comme une belle salope et s’emploierait davantage à la satisfaire. Corinne ne tombait plus dans le panneau d’un Chris pudibond et l’exhiberait désormais sur les plages naturistes comme un trophée à sa rayonnante féminité de quinquagénaire, avec prolongation au lit et peut-être même, pourquoi pas, dans les dunes. Les deux couples Virginie-Paul et Isou-Pascal reviendraient deux fois par an à un plan à quatre expérimenté à la fête des voisins. Quant à Gérard, il réclamerait une prescription de Viagra à son médecin traitant pour honorer Samia, avec laquelle il avait noué des liens de veuf à divorcer, après l’avoir vue nue et l’avoir entendue gazouiller dans l’orgasme. Bref, un voisinage somme toute harmonieux, ce qui est loin d’être le cas de tous les voisinages.