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n° 23172Fiche technique9467 caractères9467
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Temps de lecture estimé : 7 mn
05/07/25
Résumé:  Julie dispense des soins spéciaux à Maxence
Critères:  #vengeance #adultère #sexetarifé #masturbation fh fplusag extracon médical handicap vengeance pied fmast massage caresses fdanus
Auteur : Jaehaerys            Envoi mini-message
Dessert pour monsieur

Julie achève de masser Maxence après deux heures de séance. Une dernière caresse autour du nombril, en débordant sur le pubis. Et une main qui s’aventure entre les cuisses pour flatter, à bout de doigts, les testicules et effleurer la verge à demi-gonflée. Une fois, deux fois…



Maxence lui répond d’un simple regard gourmand. Une goutte perle déjà sur son gland. Avec délicatesse, Julie enlace alors son sexe et amorce un doux mouvement oscillant.

Tout est si simple avec Maxence. Avec Hadrien, par exemple, elle se serait allongée à plat ventre en repliant les jambes pour lui exhiber ses plantes de pieds. Tout aussi amusant, mais plus fatigant.

Maxence lui flatte le flanc, puis le sein. De la main, puis des lèvres. Sur le dessous, puis le téton.

Julie ferme les yeux et continue sa caresse au rythme saccadé de ses halètements. Relâche les testicules de Maxence pour lui caresser les cheveux et retenir sa tête contre son sein.

En quelques instants, elle le mène à une érection pleine et puissante, qu’elle prend soin de maintenir. Il ne s’agirait pas d’aller trop vite ! Le sentant parfaitement à point, elle lui sourit sans équivoque.



Elle hoche la tête, masquant à quel point elle en a envie aussi. Maxence est aussi beau que doué.

Sans cesser sa caresse, elle ouvre d’un geste précis le tiroir de la table de chevet.



Julie ouvre l’emballage et déroule d’un geste tendre le préservatif sur le phallus de Maxence. Elle le flatte encore, pour s’assurer qu’il est toujours à point, puis se redresse.



Elle s’installe à cheval sur son visage, et sent immédiatement la langue de Maxence lui faire du bien. Beaucoup de bien. D’abord douce et caressante, elle se fait peu à peu taquine et gourmande. Vorace.

En haletant, Julie ferme les yeux et lance sa tête en arrière, comme pour mieux offrir ses tétons dardés aux doigts danseurs de son amant. Il est vraiment doué. Julie est rapidement prête à le prendre.

Alors, elle se laisse glisser sur son corps encore huilé. Glisse son entrejambe contre le sien. Et enfin le glisse en elle.


Oh, quelle différence avec la première fois ! Julie sent Maxence bien vivant entre ses cuisses. Ils gémissent ensemble, synchrones et unis. Julie se redresse, s’accroupit, se tend en arrière pour mieux savourer leur union.

Il s’empare de ses seins, de ses reins, danse en cadence avec elle autant que ses jambes le lui permettent.



Julie change de position tout en le maintenant en elle. Elle repère la bouche de Maxence en embuscade. La pare d’un sein.

Elle gémit bruyamment sous la tétée avide. Il s’y prend exactement comme elle en a envie. Les dents de Maxence s’emparent du mamelon et tirent dessus, arrachant un cri d’extase à Julie. Elle se pince et triture l’autre téton.


Maxence la relâche et la regarde, les yeux brûlants. Il lui offre ses bras. Elle vient s’y enlacer. Leurs bouches, leurs langues s’étreignent.

Les mains de Maxence empoignent ses fesses, les malaxent, s’insinuent entre elles. Un majeur rôde autour de son anus. D’un mouvement du bassin, elle l’invite à continuer. Maxence la double-pénètre. Elle sait ô combien il aime ça. Lui montre bruyamment qu’elle aussi.

Elle sent bientôt une contraction entre ses lèvres intimes. Accélère ses coups de reins. Maxence jouit en étouffant ses gémissements contre sa bouche.


Il s’apaise. Serre Julie contre lui. Elle le garde en elle. Le laisse se retirer à mesure qu’il décroît. Elle réajuste alors sa position, à cheval sur sa cuisse.



Julie ondule du bassin contre Maxence, à un rythme croissant, encouragée par ses mains et ses paroles. Il revient chahuter les tétons proéminents avec toujours plus d’audace, galvanisé par les halètements de plus en plus fous de Julie.

Elle se cramponne à lui, accélère jusqu’à la frénésie. Elle se retient, se retient… et se relâche en un long cri. Se laisse aller sur lui avec un rire léger. Appuie sa tête sur sa poitrine avec un gémissement repu.



Elle l’imagine sourire, plein de fierté masculine. Ça le rend craquant.

Elle relève la cuisse pour pivoter à ses côtés. Il porte déjà la main au latex qui orne encore son sexe.



Elle se charge elle-même de l’ôter et en répand d’une main l’abondant contenu sur le sexe de Maxence. De l’autre, elle lui masse déjà les testicules. En dessous, entre eux, autour. D’abord surpris, Maxence se détend dans un soupir.

Julie enveloppe délicatement ses bourses, puis descend sur le périnée, et remonte, lentement, langoureusement, choyer ses joyaux de famille. Elle les enrobe de nouveau de sa tendresse et ponctue sa caresse d’un baiser dans le cou de Maxence qui, les yeux fermés, semble sourire à Morphée. Enfin, elle l’essuie délicatement et le recouvre d’un drap jusqu’aux épaules. Il aura émergé le temps qu’elle se rafraîchisse.


Comme d’habitude, une serviette propre et moelleuse l’attend près de la large douche PMR de Maxence. Une crème, ce garçon. Et quel amant ! Et dire que pendant des semaines elle ne s’est pas aventurée au-delà de quelques caresses…

Elle se lave en profitant du gel douche Nuxe au miel, dont l’odeur lui fait à chaque fois penser à Johanna, une cliente marquante rencontrée au tout début de sa carrière, voilà bientôt dix ans. Julie repense, attendrie, à la masseuse timide et gaffeuse qu’elle était alors.

Elle s’essuie en remarquant que Maxence a ajouté un miroir grossissant à côté du lavabo. Évidemment, elle s’y contemple. S’y sourit. À trente-deux ans, Julie ne s’est jamais trouvée aussi belle.

Elle finit son rituel post-massage et rejoint Maxence dans sa chambre, toujours intégralement nue. Il aime la regarder se rhabiller. Il s’est déjà préparé pour le spectacle, redressé dans le lit, son torse musclé bien en évidence. Et agite la main en l’air en écrasant une cigarette.



Elle l’enfile lentement, gracieusement, en une chorégraphie étudiée qui fait mouche à chaque fois. Elle n’a pas besoin de regarder Maxence pour visualiser son air un peu béat.



Elle se fige net.



Officiellement, en tout cas.



Il faut dire qu’elle ne lui a guère laissé le choix, récemment. Pas après ce qu’il a fait.

Maxence la fixe, mi-roublard mi-sceptique. Elle le rejoint sur le lit. Lui caresse la joue.



Elle se retire du lit avec un haussement d’épaules flatté. Elle sait que Maxence, lui, pense ce qu’il dit.

Il est déjà ailleurs, les yeux fixés sur ses tétons encore provocateurs. Avec un sourire complice, elle se penche bien en avant pour lui offrir une dernière vue plongeante sur ses seins. Elle les cache avec un rien de théâtralité sous sa robe d’été Chiaretta qu’elle vient de dénicher aux Archives Sézane, avec une brève pensée pour l’époque pas si lointaine où elle n’osait pas sortir sans soutien-gorge. La mode du no-bra aura vaincu ses dernières réticences.

Elle achève son strip-tease inversé en enfilant avec grâce ses sandales ultra-fines Jimmy Choo. Son obstination à porter des baskets en plein été s’est muée avec le temps en véritable tropisme pour les pieds nus.

Maxence, lui, attend toujours qu’elle soit partie pour quitter son lit. Sûrement par pudeur. Son fauteuil roulant est bien calé à portée de main.



Maxence marque un temps d’arrêt, charmé.



Il lui adresse un dernier sourire, plein de reconnaissance. C’est pour ce genre d’instant que Julie aime son métier. Entre autres.