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Temps de lecture estimé : 10 mn
07/07/25
Résumé:  Actrice renommée et d’âge mûr, Helen doit tourner une scène de lit avec un jeune premier. Mais ce ne sera pas le soft prévu par le scénario.
Critères:  #humour #délire #adultère #différencedâge fh fplusag grosseins cinéma exhib nudisme photofilm pénétratio fsodo coprolalie
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message
C'est pas du cinéma !

Helen est une actrice anglaise renommée, d’âge mûr, qui joue au théâtre comme au cinéma, où sa présence à l’affiche assure presque toujours de confortables recettes. C’est pourquoi un metteur en scène, français celui-là, non moins renommé, lui a fait parvenir un scénario en espérant qu’elle répondra positivement à sa demande pour une production internationale.

Helen a lu. C’est l’histoire d’une femme mûre qui tombe amoureuse d’un jeune homme, au scandale de sa famille et à commencer par son mari. Histoire classique qui se terminera par une rupture, ce qui permettra à la morale d’être sauve. Pas de quoi faire un malheur à Cannes mais Helen a besoin d’un cachet pour renflouer ses finances car elle n’a pas tourné depuis trop longtemps.


Le scénario comporte deux scènes de lit très chaudes, ce qui réjouit plutôt Helen car elle adore choquer le bourgeois. Se montrer nue à son âge ne lui pose pas de problèmes. Son corps pulpeux sans excès et toujours harmonieux lui plaît et elle ne sera pas mécontente d’en remontrer à la concurrence féminine, qui n’ose pas se dévoiler de peur de révéler ses défauts dus au temps qui passe. D’ailleurs, Helen pratique le naturisme et a déjà été ciblée par des paparazzi en mini bikini et même en tenue d’Ève, ce qui n’a pas peu contribué à sa notoriété auprès de la gent masculine, épatée qu’une quinquagénaire puisse encore être aussi bien gaulée. Et le savoir.


Helen a donc accepté le tournage. Elle a fait la connaissance de l’acteur masculin vedette, un Italo-américain encore peu connu, ce qui équilibre le budget du film, bien pompé par l’actrice. Le courant est de suite passé entre les deux. Ronald, c’est son prénom, a toujours admiré Helen. Et celle-ci le trouve « craquant » en beau brun de peau et de poil. Ce ne sera pas du tout désagréable d’être nue avec lui dans un lit, elle a connu bien pire quand elle débutait.


Les premières scènes sont assez convenues. Le jeune homme est le fils d’une amie jouée par une comédienne du même âge qu’Helen mais moins sexy. Un parfait révélateur à l’écran, se dit-elle. Dans ce scénario, elle tombe illico sous le charme viril du personnage masculin, parvient à le séduire et à le mettre dans son lit en trompant son mari, qui voyage à l’étranger.


Les deux acteurs ont préparé cette scène délicate en discutant ensemble. Il est convenu dans le scénario des caresses et des embrassades bouche contre bouche aboutissant à un coït, évidemment simulé. « Si tu bandes, pense à ta mère », plaisante Helen. Ronald reste circonspect. La splendide maturité d’Helen l’inquiète un peu. Il n’a pas baisé depuis pas mal de temps car sa compagne, une jeune actrice, l’a plaqué pour un confrère. Cette chasteté a bien convenu à son ressentiment pendant plusieurs semaines mais tout a une fin. Cependant, la présence autour du lit d’une caméra, d’un preneur de son, d’un éclairagiste et du metteur en scène n’ont rien pour stimuler la libido, malgré l’équipe réduite pour ne pas troubler les acteurs. L’ennui, c’est que Ronald n’a jamais été confronté à cette situation. C’est encore un comédien inexpérimenté.


Arrive le jour J. La chambre a été bien décorée. Une vraie bonbonnière de bourgeoise. Une fois l’équipe de tournage installée, Helen avance nue vers le lit, en toute décontraction. Ses seins lourds et bien accrochés, ses hanches en amphore, son pubis non rasé mais taillé en triangle, ses cuisses solides, tout en elle appelle le sexe et une certaine émotion s’empare de l’équipe de tournage. « Putain qu’elle est belle », lâche l’éclairagiste, sous le charme de cette « mature ».


Quant à Ronald, qui s’avance nu lui aussi avec sa plastique impeccable, ses pectoraux saillants sous son léger duvet brun, ses abdos en damier et sa belle gueule de latin lover, il doit se concentrer pour ne pas triquer d’emblée. Il a senti les yeux d’Helen se poser sur sa queue longue et fine et il y a vu une lueur qui n’annonce rien de bon pour sa maîtrise. Pourvu qu’elle ne le colle pas trop…


« Action ! ». La scène commence. Un drap léger couvre les parties intimes des deux acteurs. Helen, légèrement penchée vers Ronald, lui murmure des mots doux au-dessous du micro-perche du preneur de son en caressant son torse d’un doigt léger et l’embrasse. Le cameraman cadre le couple et le metteur en scène, légèrement en retrait, observe, attendant la simulation du coït qui doit s’enchaîner rapidement. Mais Helen a glissé sa main sous le drap, ce qui n’était pas exactement prévu dans le scénario. Elle s’y attarde et il est clair qu’elle masturbe Ronald, dont le visage s’est soudain crispé. Elle lèche en même temps ses pectoraux et son damier avec un plaisir visible jusqu’au moment où elle tire le drap, dévoile la queue rigide de l’acteur et vient s’empaler sur lui. Ce n’est plus de la simulation. C’est un coït on ne peut plus concret. Les belles fesses d’Helen aplatissent les couilles bien pleines de Ronald tandis qu’elle ondule sur lui en gémissant tout en caressant ses seins gorgés de sève, aux pointes éloquemment dressées. Visiblement, elle ne simule pas. Elle baise. Le metteur en scène est stupéfait. Le cameraman se tourne vers lui et murmure :



Et elle en rajoute en disant dans sa langue : « fuck ! fuck me hard ! I love your cock. I love your body ! »

À ce stade, Ronald a oublié la caméra. Il ne voit plus qu’une superbe mature qui danse sur sa queue et qui lui a pris les mains pour les poser sur ses nibards, qu’il pétrit sans se faire prier, appréciant leur densité. Il se sent long et dur et il voit dans les yeux d’Helen qu’il lui procure énormément de plaisir. Elle ne joue pas. Elle baise comme si elle était sa maîtresse. Et il perd tout contrôle, toute conscience que c’est censé être du cinéma.


Subjugué, il la bascule sur le lit, l’allonge et se met à la pilonner. « Oh yeeesss, mooore, mooore » s’exclame-t-elle et lui talonnant les reins et en griffant ses épaules. L’équipe de tournage est tellement fascinée par cette scène de cul hautement réaliste qu’elle oublie qu’elle ne devait à l’origine ne durer qu’une minute. Le cameraman ose un gros plan sur le fessier de Ronald contracté par ses coups de boutoir et sur l’activité de son pénis couilles ballottantes dans l’antre béant d’Helen. L’éjaculation attendue n’arrive toujours pas. Le gaillard se régale du corps pulpeux de la quinquagénaire, dont les seins vibrent à chaque ruée. Et celle-ci n’a manifestement pas envie que tout s’arrête aussi. Elle s’est pris les pieds et les écarte en piaillant pour rendre la pénétration encore plus effective. L’éclairagiste se branle de sa main libre, le preneur ferait de même s’il n’avait pas besoin de ses deux mains pour tenir sa perche. Dans son casque parvient les râles, les exclamations de plaisir et quelques mots crus de l’actrice qu’il ne parvient pas toujours à traduire en dehors de « fuck », « cock » et « balls ». Il est clair qu’elle se lâche complètement.


Puis Ronald se raidit. C’est la fin de la scène ? Eh bien non. Il se retire, montre l’étendue spectaculaire de son érection, prend Helen par les hanches et la retourne. Il va l’enfiler par-derrière. Le metteur en scène a les mains moites. Il pense au producteur qui a payé très cher l’actrice pour qu’elle se fasse sauter comme une grosse pute. Pourvu que ça ne lui vienne jamais aux oreilles ! Lui aussi a une furieuse envie de se branler et d’aller sauter la script en suivant, heureusement absente de la chambre du tournage. Mais il doit rester à peu près digne. Déjà s’échafaude dans son esprit une coupure de la partie la plus chaude de la scène pour l’emmagasiner dans sa collection personnelle et d’en faire profiter quelques amis dans sa salle de projection privée. Succès assuré. Il en a vu d’autres car ce qui se passe devant lui n’est pas exactement une première. Il sait qu’une actrice française de renom, de l’âge d’Helen et aussi pulpeuse, a complètement dérapé dans une scène de lit au bénéfice d’un acteur tout aussi renommé. Mais tous les deux, une fois revenus à la raison, ont menacé le réalisateur des pires sévices s’il ne détruisait pas les parties délictueuses. Heureusement, il ne s’est pas exécuté et en a fait profiter ses amis, ravis de voir cette Française s’affichant si souvent avec mari et enfants en train de tressauter en bramant sur le chibre de son partenaire.


En attendant, Helen est à quatre pattes et Ronald la prend en levrette. Ses gros nichons balancent au rythme des coups de bite. Puis elle tourne son visage vers lui et lui souffle : « fuck my ass ».

Le metteur en scène croit avoir mal entendu. Son anglais est pourtant suffisant pour qu’il comprenne l’impensable : Helen veut que Ronald l’encule. D’ailleurs, elle lui prend la queue et la dirige vers son anus bien ouvert entre ses globes charnus. L’autre ne se fait évidemment pas prier. Sodomiser une dame récemment anoblie par la reine d’Angleterre au nom de son talent multiforme, voilà qui vaut médaille. Il entre en trois coups, signe qu’il est loin d’être le premier en visite, et la peau de son ventre claque sur les fesses de la star anglaise, laquelle couine en agitant son croupion. « Nom de dieu, Helen est anale », se dit le metteur en scène, tellement sidéré qu’il a totalement oublié son film.

Elle est même tellement anale, la grande Helen, qu’elle jouit bruyamment et crie à son partenaire « cum ! cum now into my ass ! » et l’autre s’exécute en giclant dans son rectum, s’aplatissant sur son dos au moment où elle s’effondre sur le drap, les cuisses en V et la bave aux lèvres.



Cette fois, le metteur en scène a réagi. Il est en nage, pâle comme un mort. Il se demande comment il va sortir de ce guêpier une fois que sa vedette sera revenue à la raison. Ses assistants, tout aussi déboussolés, remballent leur matériel et pas seulement celui du cinéma.


Puis Helen se relève, arrange coquettement sa coiffure un peu malmenée, dit qu’elle va prendre une douche et s’éclipse ses sous-vêtements et vêtements à la main, en dandinant de la croupe, le visage reposé, serein, une petite moue satisfaite aux lèvres. Passant devant le metteur en scène, elle lui glisse, l’air mutin : « cut all ». Autrement dit, j’ai bien baisé et ta scène, tu peux te la mettre au cul. Sonné, vidé, Ronald reprend peu à peu conscience qu’il s’est comporté comme Rocco Sifredi. Et que c’est probablement la fin de sa carrière comme acteur classique. En fait, la scène ne sera pas annulée, seulement édulcorée par un savant jeu d’éclairages et de trucages techniques. On verra bien Helen chevaucher Ronald mais le drap cachera opportunément ses fesses et le coït sera très court. La morale ne sera pas exactement sauve, ce n’est pas le but du film, mais ce ne sera pas pour autant du porno hard comme l’ont vu les quatre membres de l’équipe technique.


Trois mois plus tard, Helen et Ronald se retrouvent côte à côte en conférence de presse pour la sortie du film. Elle s’est présentée au bras de son mari, un Anglais distingué en nœud papillon, très fier de s’exhiber avec sa célébrité d’épouse à la féminité épanouie. Elle porte une robe décolletée en carré mettant son buste splendide en valeur. Elle semble s’amuser de la situation en pensant au tournage. La partie sulfureuse de la scène de sexe a été enregistrée dans un dvd sous haute surveillance du metteur en scène, qui en a donné copie aux deux acteurs, à leur demande. Helen l’a revisionnée avec son mari, nullement choqué car il est large d’esprit. Sa femme a baisé, et alors ? C’est juste un caprice d’actrice.

Les critiques ont cependant noté que la grande Helen n’a pas hésité à se montrer nue en situation équivoque dans ce film, ce qui a fort contribué au succès bien que les mêmes critiques aient descendu en flammes le scénario.

Ils interrogent les deux acteurs de la manière la plus convenue et les deux répondent de manière tout aussi convenue :



Lequel reçoit au même moment sous la table une pression de la cuisse de la quinquagénaire.

Une critique femme se sent obligée d’intervenir et demande à Helen :



La réflexion d’Helen sera largement diffusée dans la promotion du film mais personne ne se doutera qu’elle a exprimé crûment un acte non simulé mais très concret. Sauf les rares témoins, cela va sans dire. Et elle ajoute pour être bien comprise :



Le metteur en scène, présent à la table, réprime difficilement une petite toux. Il sait qu’Helen joue encore un rôle devant la presse. Actrice jusqu’au bout.


Quelques semaines plus tard, le même producteur sollicite à nouveau l’Anglaise pour un film à costumes, où elle jouera le rôle d’une courtisane. Elle accepte, à une condition : que Ronald soit dans le casting. Même s’il n’y a pas de scène de lit avec lui. Cette scène, elle la jouera cette fois en privé.