Revebebe - Fiche technique

n° 03530	Lire ce texte	13249 caractères 2319 mots Temps de lecture estimé : 10 mn	30/01/02 corrigé 06/11/23
Résumé: Ce soir de janvier, j'attends près de la cathédrale. Le ciel est gris, chargé de menaces, mais il ne pleut pas et la froidure de l'hiver s'en est allée, peut-être morte pour ce début d'année...
critères: fhh couplus caférestau toilettes noculotte hmast intermast fellation pénétratio
Auteur : Rune33

Dîner à Metz

Note générale = 12.54 / 20
(33 notations)

Note des inscrits = 12.26 / 20
(8 notations)

Note des non-inscrits = 15.33 / 20
(25 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 09/10/22 au 20/05/25

372 Lectures partielles

115 Lectures entières

31 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
038 (71 notations)	31/01/02	Bon - 14	Agréable à lire. On va jusqu'au bout sans se poser de question.
032 (342 notations)	31/01/02	Assez bon - 12	C'est un peu mécanique comme narration. C'est curieux, mais à mon avis, il manque ce petit quelque chose qui fait les très bonnes histoire ... Bonne idée générale cependant.
023 (760 notations)	01/02/02	Assez bon - 12	Un recit auquel il manque quelque chose: Des dialogues ? On n'y entre pas.
benoblack (1752 notations)	01/02/02	Assez bon - 12	"en beuglant en silence comme un porc que l'on égorge" : la métaphore est pour le moins hardie. J'ai retrouvé au début ce plaisir de l'attente et cette montée de l'excitation du premier épisode. Malheureusement la fin est bien moins bonne.
Niko (1509 notations)	01/02/02	Bon - 14	Le retour d'un auteur très inégal avec un texte que j'ai aimé lire
017 (846 notations)	02/02/02	Bon - 14	Belle ardeur et grande intensité dans cette histoire excitante.
crinoline (4532 notations)	30/10/10	Bon - 14	Texte sensuel, mais dommage de faire l'impasse sur le récit de la nuit elle-même.
l'artiste (1856 notations)	05/11/23	Moyen - 10	Mouais, j’ai quand même du mal avec le style. Le dernier texte que j’ai lu de cet auteur, je doutais entre second et premier degré, je m’interroge encore plus. Au second degré, certains passages sont hilarants… au second degré. Quoi qu’il en soit, dans un cas comme dans l’autre, si je m’interroge, c’est que pour moi un truc cloche…