Revebebe - Fiche technique

n° 06925	Lire ce texte	20268 caractères 3650 mots Temps de lecture estimé : 15 mn	29/12/03
Résumé: Un homme se tape sa copine en matant de son balcon sa voisine aux gros seins.
critères: init fh couple voisins nympho grossexe grosseins groscul revede voir exhib hmast fellation cunnilingu 69 légumes pénétratio
Auteur : Mr Didi

Du monde au balcon

Note générale = 10.83 / 20
(113 notations)

Note des inscrits = 9.92 / 20
(6 notations)

Note des non-inscrits = 12.40 / 20
(107 notations)

0 Originalité

0 Ecriture

0 Humour

0 Excitation

0 Atmosphère

0 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 03/10/22 au 24/05/25

824 Lectures partielles

136 Lectures entières

17 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
Niko (1509 notations)	29/12/03	Sans plus - 08	On entre vite (et heureusement) dans le second degré. N'empêche que ce n'est pas relu, que c'est bourré de répétitions et que cette overdose de surenchère dimensionnelle finit par lasser sérieusement
070 (177 notations)	05/01/04	Assez bon - 12	Si vous avez vu le film "une journée sans fin" vous comprendrez ce que j'aime dans ce texte. Mais on a ici qu'une journée... Et le héros est vite récompensé, un peu grassement. Alors, Mr Didi (ou Mme Dada,) trouvez ce film, vous comprendrez.
036 (160 notations)	14/01/04	Moyen - 10	le propos est amusant mais parfois la répétition est troop redondante et ...gonflante
017 (846 notations)	16/01/04	Sans plus - 08	Un texte mal structuré qui gache un peu le plaisir de la chute...
Padoum (1727 notations)	09/05/06	Assez bon - 12	C'est foutraque: drôle, alerte, avec une construction sympa, et cliché, mal écrit, surtout du point de vue de la conjugaison.
crinoline (4532 notations)	15/03/14	Bon - 14	Au second degré mais amusant.
Evaluations du public (celles avec un commentaire approuvé)
impromptu_litt	02/01/04		Mort de rire du début à la fin. C'est gros, c'est vrai, mais on le pardonne à Rabelais, alors pourquoi pas à Mr Didi?
Remarques
Atchoum	30/12/03		c'est du second degré, et particulièrement tordant, et ça le serait moins sans cette obsession du volume de part et d'autre. J'ai lu ce texte avec un sourire permanent, en pouffant de rire, même, parfois.