Revebebe - Fiche technique

n° 22135	Lire ce texte	15262 caractères 2834 mots Temps de lecture estimé : 12 mn	24/11/23
Résumé: J’ai toujours autant envie de lui, il est en moi et je brûle de lui appartenir encore… Ce n’est pas une suite, mais la même aventure qui continue avec Emmanuel.
critères: #confession #adultère fh revede fmast fellation pénétratio
Auteur : Lilou83var

Au fil de l'eau

Note générale = 13.10 / 20
(15 notations)

Note des inscrits = 13.29 / 20
(3 notations)

Note des non-inscrits = 11.67 / 20
(12 notations)

1 Originalité

2 Ecriture

0 Humour

1 Excitation

1 Atmosphère

1 Sentiments

Période de recueil des lectures = du 24/11/23 au 12/06/25

9103 Lectures partielles

1488 Lectures entières

16 %

Intervenant	Date	Note	Appréciations
Evaluations des inscrits
Wedreca (18 notations)	25/11/23		Jolie ode à la passion, ce texte est particulier. Ni vraiment une histoire, un souvenir ou un fantasme... plutôt une lettre que l'on écrit à l'objet du désir dévorant qui nous consume. (Sinon, sais-tu qu'il existe des synonymes à "baiser" ;-) (Ecriture, Sentiments)
charlie67♥♥ Évaluateur prolifique (3424 notations)	26/11/23	Bon - 14	C'est presque l'éloge de l'adultère :-). Un texte intimiste où l'on ressent bien les émois de la narratrice. Malgré un récit assez court, la lecture semble un peu longuette. La présentation y est pour beaucoup, mais la structure même du texte, aussi. C'est un peu comme une page de journal intime et non pas une narration vivante. C'est un parti prit de l'auteur...!
Vopicek (358 notations)	26/11/23	Bon - 14	C'est ce qui s'appelle avoir un mec dans la peau
athanagor (1030 notations)	29/11/23	Assez bon - 12	La passion amoureuse peut renaître, en voici un exemple. Et c’est beau… mais c’est aussi un peu flippant d’assister à cette perte de moyens, balancée par des tentatives désespérées d’auto-persuasion : « je suis forte », « j’ai la tête sur les épaules », « je fais ce que je veux ». C’est touchant aussi, par moments, lorsque la relation apparaît asymétrique par exemple. Et un peu triste le retour à la réalité conjugale… J’ai bien aimé, au début, le style « écriture libre », le débit chaotique des pensées… mais j’ai fini par moi aussi me perdre dans des pensées qui n’avaient plus rien à voir avec ce que je lisais. Et puis quand, par-ci par-là, quelques réflexions apparaissent comme autant de fausses notes dans la symphonie guimauve de la passion, j’en viens à avoir des craintes pour la narratrice.