n° 00236 | Fiche technique | 15349 caractères | 15349 2667 Temps de lecture estimé : 11 mn |
21/03/00 corrigé 11/08/07 |
Résumé: La suite de la 233 - Patricia a décidé de se faire tatouer un papillon sur les fesses ! Préférant la tatoueuse eurasienne au tatoueur, elle évoque quelques souvenirs saphiques avant de s'abandonner à des choses plus concrètes... | ||||
Critères: #érotisme #initiation #confession #couplea3 #magasin #lesbienne #domination ffh fbi asie couplus freresoeur toilettes intermast uro sm fouetfesse piquepince | ||||
Auteur : Sliver (Paty & Phil) |
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Février, un des mois les plus froids, en général. Pourtant, en ce début d’année, comme l’année précédente d’ailleurs, la température est plus que clémente pour la saison et les quelques journées ensoleillées dont nous bénéficions me font déjà penser aux futures vacances. Après des mois d’hésitation, je me suis enfin décidée à me faire tatouer. Philippe vient de partir pour quinze jours en mission et je dispose donc de tout le temps nécessaire pour concrétiser mon envie et lui faire une surprise à son retour. Après quelques recherches, j’ai trouvé un tatoueur qui a bonne réputation, et me voilà pénétrant dans sa boutique
L’homme a la trentaine, cheveux brun noués en queue de cheval, l’air sympa, il me fait bonne impression. Il me demande ce que je désire et me montre des livres contenant différents motifs et je peux ainsi lui désigner celui que j’ai choisi. Je lui explique que je souhaite le faire tatouer sur le bas-ventre, juste au-dessus du mont de vénus. De cette façon, il restera intime, puisqu’il ne sera visible que si j’enlève mon slip. L’endroit étant assez délicat puisque très intime, il me demande si je ne préfèrerais pas que ce soit sa femme qui s’en occupe. Effectivement, cela m’enlève un peu de mon appréhension et c’est avec un certain soulagement que j’accepte sa proposition.
Il appelle son épouse et me fait entrer dans le petit salon particulier baigné d’une lumière douce et tamisée. Au centre, un fauteuil en cuir, inclinable et moelleux à souhait, au pied duquel une petite table en osier expose tout le matériel nécessaire. La porte s’ouvre sur une jeune femme souriante, d’environ 25 - 30 ans, cheveux châtain mi-longs, vêtue d’une tunique chinoise. Très sympathique, la jeune femme prend le temps de parler avec moi, et me prodigue ses conseils. Elle s’appelle Alysson et est d’origine thaïlandaise, bien que née en Belgique. Pendant que nous discutons du motif choisi et de son emplacement exact, elle allume une baguette d’encens qui, rapidement, répand une odeur agréable et rend l’atmosphère plus intime.
Elle me demande d’ôter ma jupe afin de ne pas la froisser, me fait allonger sur le fauteuil et baisse légèrement mon slip pour dégager l’emplacement choisi. Elle m’avertit qu’il faudra environ deux heures de travail et que cela pourra être légèrement douloureux à certains moments. Ses mains sont douces mais au bout d’une heure, le tatouage est en effet un peu douloureux et pour ne plus y penser je m’enfonce dans mes pensées. C’est ainsi que sans le vouloir, je me remémore l’histoire que m’avait racontée Sylvie mon amie, et amante masseuse, que je dois par ailleurs recontacter prochainement. Son histoire m’avait, lorsqu’elle s’était confiée à moi, alors que nous étions encore enlacées après avoir fait l’amour, choquée dans un premier temps mais aussi excitée comme peut souvent le faire ce qui est interdit.
* * * * *
« J’avais 19 ans à l’époque et depuis quelques temps j’avais le sentiment d’être épiée, principalement lorsque je me rendais dans la salle de bain pour ma toilette. J’avais eu l’impression plus d’une fois d’entendre du bruit derrière la porte et, comme par hasard, chaque fois que j’ouvrais la porte, je trouvais mon frère dans sa chambre dont la porte donnait sur le même palier. Je me suis doutée qu’il m’observait par le trou de la serrure. Au lieu de me fâcher, cela m’a quelque peu excitée. Je n’étais pas une sainte et le sexe, comme toute bonne chose, occupait déjà une place importante dans ma vie. Un matin, entrant dans la salle de bain pour faire ma toilette, je me déshabillais lorsque des craquements ont attiré mon attention.
Il était là et il m’observait, j’en étais sûre. Dans la glace, j’ai commencé à caresser mes seins, pinçant les bouts entre mes doigts, puis descendant lentement, j’ai enfoui une main dans ma toison. Je l’imaginais derrière la porte, l’œil collé au trou, sentant sa queue gonfler dans son pantalon. Cela m’excitait, je sentais mes doigts se napper de mon jus et cela m’a donné une idée. Je me suis dirigée vers le WC et, relevant la planche, m’y suis accroupie sans m’y asseoir vraiment. J’étais si excitée que je n’arrivais pas à faire pipi. Finalement, me concentrant, quelques gouttes se sont échappées de ma chatte suivies peu après par un long jet. Pendant que l’urine s’échappait de mon trou, je l’imaginais, les yeux exorbités derrière la porte. Je crois qu’il s’est rendu compte que je savais qu’il était là car mes yeux fixaient le trou de la serrure. De mon doigt, je l’ai appelé tout en lui disant d’entrer. La porte s’est ouverte alors que le flot entre mes cuisses se tarissait.
Ses mains, hésitantes, se sont posées sur mes seins et mes tétons se sont durcis d’un coup. C’était excitant de sentir ses mains sur mes nichons.
Ma main s’est posée sur sa braguette, j’ai tiré la fermeture vers le bas et, introduisant mes doits par l’ouverture, j’ai dégagé sa bite. Pour un jeune garçon, il était bien monté et l’organe qui palpitait dans ma main me promettait de bons moments. J’ai commencé à le branler doucement tout en lui tout en lui conseillant de mettre une main entre mes cuisses.
Son doigt s’enfonçait dans ma chatte et je sentais mon jus qui coulait sur ses doigts. Ma main coulissait sur sa queue de plus en plus vite. La situation m’excitait au plus haut point. Tout à coup, alors qu’une onde de plaisir envahissait mon ventre, j’ai senti son sperme gicler sur ma main. Il ne savait pas trop quoi faire, alors j’ai porté ma main à mes lèvres et en le regardant dans les yeux, j’ai léché sa semence encore chaude… »
* * * * *
Sans m’en rendre compte, ces souvenirs m’ont excitée et mon miel suinte de ma chatte, formant une auréole humide sur mon slip. La jeune femme, dont j’avais complètement oublié la présence, l’a probablement remarqué car ses yeux brillent et un sourire se dessine sur ses lèvres. Soudain, sans que ses yeux quittent les miens, je sens l’ongle d’un doigt qui caresse mon sexe au travers du tissu, juste à l’endroit où il est mouillé. Prenant conscience de ce qui se passe, je reste cependant sans réaction et je m’abandonne à la caresse de cette main féminine. Encouragée, son doigt se faufile sous l’élastique de ma culotte et se fraye un passage au travers de mes poils trempés, pour atteindre mon clitoris. Le plaisir me tourne la tête, à moins que l’encens n’y soit pour quelque chose, et une plainte s’échappe de mes lèvres. Une main écarte mon slip, dégage mon sexe, et sa bouche vient se coller à mes lèvres intimes. La langue de la jeune femme agace mon clitoris quelques instants puis glisse jusqu’au bas de mes lèvres pour remonter aussitôt, léchant tout le miel qu’elle rencontre.
Ses lèvres saisissent mes lèvres intimes et les aspirent dans sa bouche, les suçant comme s’il s’agissait d’une langue. Des frissons me parcourent alors que sa langue repart à l’assaut de mon clitoris et que deux doigts s’enfoncent dans ma chatte, entreprenant un va-et-vient effréné. Le plaisir monte dans mes reins et mon jus coule inondant sa main et sa bouche. Elle s’interrompt quelques instants, le temps de m’ôter mon slip, puis replonge entre mes cuisses pour y laper le miel qui s’écoule de ma chatte. Une onde de chaleur envahit mon ventre lorsque je sens un fin doigt qui atteint mon œillet brun, l’agaçant quelques instants de son ongle avant de s’enfoncer dans mon cul. C’est le signal de la jouissance et le plaisir explose dans mon ventre alors que mon corps se tend comme un arc avant de retomber secoué de soubresauts sur le fauteuil. La jeune femme relève la tête et s’approche. Ses lèvres sont barbouillées de ma liqueur et, lui souriant, reconnaissante, je l’attire vers moi pour joindre mes lèvres aux siennes. Le goût de mon suc sur ses lèvres m’enivre et ma langue part à la recherche de la sienne. Sa salive, toute imprégnée de mon jus, se mêle à la mienne et s’écoule dans ma gorge. Doucement, je la repousse en lui murmurant :
Prestement, elle dégrafe son corsage et fais glisser sa tunique. Elle est nue devant moi, à part un slip jaune clair, largement plus foncé à l’entrejambe où une auréole s’est formée. Suivant mon regard, elle baisse la tête et me dit :
Elle enjambe le fauteuil et expose son buisson à mes yeux. De part sa position jambes écartées, sa chatte est entrouverte et mes yeux brillent en apercevant ses lèvres imprégnées de liqueur. Lentement, elle abaisse sa croupe. Son parfum envahit mes narines tandis que ma langue glisse dans les moindres recoins pour y récolter son suc. Elle n’en est d’ailleurs pas avare et sa liqueur coule en abondance au fond de ma gorge, apaisant ma soif. Son goût est plus suret que le mien et plus odorant. Ses mains, ouvrant mon chemisier, font jaillir mes globes et les malaxent, pinçant mes tétons, les faisant rouler entre ses doigts, les tordant comme si elle voulait me les arracher. La douleur irradie mes seins et, paradoxalement, augmente mon plaisir.
Délaissant sa chatte quelques instants, je lui réponds presque en suppliant :
Il n’en faut pas plus pour que ses doigts reprennent leur travail. Mes tétons sont étirés, tordus et la douleur qui irradie mes seins ne fait qu’accroître mon excitation. Je sens ma mouille qui coule sur mes cuisses alors qu’Alysson se répand, elle aussi, dans ma bouche, sans discontinuer. Cela l’excite de torturer mes seins et le jus qui s’écoule d’elle en témoigne. Tout à coup, deux mains relèvent mes jambes et les écartent. Interloquée, je m’arrête un instant de lécher la vulve d’Alysson mais le brusque pincement de mes tétons me rappelle à l’ordre. Le plaisir l’emporte sur toute autre réaction et mon seul but est de jouir encore et encore. Une claque s’abat sur mes fesses, légèrement dans un premier temps puis un peu plus fort. Les mains de la jeune femme continuent à torturer mes tétons qui sont maintenant durs et rouges comme des tisons ardents. Elle aussi jouit intensément et son jus inonde ma bouche. Les claques s’abattent sur mes fesses rougissantes, mais cette fessée imprévue, m’excite davantage et je sens mon jus s’écouler à flot de mon minou, inonder mon buisson, et mouiller plus encore l’intérieur de mes cuisses. Je sens une haleine chaude tout près de mon sexe et une langue se met à lécher consciencieusement toute la mouille qui nappe mes cuisses. La langue remonte lentement vers mon sexe béant et s’y enfonce, collectant tout le miel qui s’en écoule.
La douleur provenant de mes tétons se mêle aux ondes de plaisir qui montent de mon sexe. Je suis presque en transes et mon ventre est secoué de mouvements désordonnés. La langue, qui me fouillait, m’abandonne et la bouche s’éloigne. Je voudrais lui crier de rester mais le sexe qui m’embrasse m’empêche d’émettre le moindre son.
Soudain une queue puissante force l’entrée de ma chatte et s’enfonce dans mon ventre inondé.
Au mouvement d’Alysson, je sens que son corps se porte vers l’avant. J’imagine leurs lèvres qui se joignent et s’embrassent fougueusement par dessus moi. Désirant participer, j’embrasse sa chatte comme si c’était sa bouche que j’embrassais. Ma langue la fouille, tourne en elle, comme cherchant désespérément une langue qu’elle ne peut trouver. Je sens ses cuisses se resserrer autour de ma tête tandis qu’elle explose dans ma bouche. C’est presque une éjaculation qui s’écoule de sa grotte tant son plaisir est intense. Avidement, je bois tout ce jus parfumé pendant que les contractions qui agitent son ventre s’apaisent. Souplement, elle descend du fauteuil et s’agenouille à côté de son mari qui me pilonne sans discontinuer. Nos regards sont rivés l’un à l’autre. Elle me tend la main et nos doigts se soudent.
Ma tête bourdonne de plaisir, et les mots crus augmentent mon désir.
Les yeux toujours rivés à ceux de la thaïlandaise, je lui serre la main à lui rompre les doigts alors que la jouissance explose dans mon ventre. Au moment où mon corps se tend, il éjacule son foutre au fond de ma grotte brûlante. Sa compagne, à genoux, lui presse les couilles de son autre main.
Alors que les ondes de plaisir se calment et que ma respiration retrouve son rythme, Alysson le repousse doucement, elle colle sa bouche à ma chatte pour y sucer le mélange de nos liqueurs. Entre mes jambes écartées, je peux la voir boire, à ma source, une eau unique. Ses yeux sont fixés aux miens et brillent d’un plaisir qu’elle ne peut cacher. Rassasiée, elle s’approche de moi, joignant ses lèvres aux miennes. Sa langue agile, encore chargée de nos sucs, darde entre mes lèvres et s’enroule autour de la mienne dans un ballet langoureux.
* * * * *
Une petite heure plus tard, le tatouage étant finalement achevé et après avoir fais mes adieux à ce couple charmant, je quitte la boutique tatouée d’un superbe papillon, qui de plus, m’a été offert gracieusement.