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n° 00243Fiche technique15562 caractères15562
Temps de lecture estimé : 10 mn
23/03/00
corrigé 03/08/07
Résumé:  Dans cette nouvelle aventure, Patricia raconte à Phil son aventure avec la vendeuse du marchand de chaussure. L'excitation du récit et un repas bien arrosé leur donnent envie d'essayer d'autres plaisirs !
Critères:  fh ff couple magasin douche exhib chaussures intermast cunnilingu fdanus uro glaçon
Auteur : Sliver  (Paty & Phil)      

Série : Paty & Phil

Chapitre 03 / 06
Paty & Phil (Chapitre 3: De surprise en surprise)


Paty et Phil



Chapitre 3 : De surprise en surprise



Je venais de rentrer de mission et nous avions décidé de nous faire un petit resto grec sympa, situé à quelques minutes de chez nous. Rien de tel en effet, pour fêter la Saint Valentin, qu’un bon repas en tête-à-tête, copieusement arrosé d’un apéro, d’une bouteille de vin rouge Néméa et de deux pousse-café. De retour dans notre nid douillet, et confortablement installés sur le divan du salon, nous sirotions un verre en cherchant désespérément un programme TV digne d’intérêt. Patricia, pelotonnée au creux de mes bras, les jambes allongées sur le fauteuil, me dit :




* * * * *



J’ai cassé le talon de ma chaussure au boulot, heureusement c’était en fin de journée, et comme le shopping center était ouvert jusqu’à 20 heures, j’y suis allée après le travail. Voyant une belle paire dans une vitrine, je rentre pour l’essayer. Le magasin est désert car il reste à peine dix minutes avant la fermeture. Seule la gérante était encore là, une jolie femme brune avec un chemisier en dentelle saumon et une jupe marron, assez courte d’ailleurs. Malgré l’heure tardive, elle accepte de s’occuper de moi mais, vu l’heure, elle préfère fermer la porte pour être certaine de ne plus voir entrer d’autres clientes.


Pendant qu’elle me passe les chaussures aux pieds, mon regard se pose sur l’ouverture de son chemisier qui laisse entrevoir deux globes charnus à souhait. Depuis mon expérience avec Sylvie, il est vrai que les femmes ne me laissent plus indifférente et je la trouvais décidément très appétissante. Tout en discutant et en essayant différentes paires qu’elle me propose, je remarque que sa jupe est remontée petit à petit sur ses cuisses. Je peux maintenant apercevoir entre ses cuisses un joli slip rose. Ma chatte commence à mouiller tant elle me fait envie.


Hésitante, je demande à essayer une autre paire. Pendant qu’elle est partie dans l’arrière-boutique, j’en profite pour ôter ma culotte et la mettre dans mon sac. Revenue, elle s’agenouille à mes pieds et j’en profite pour écarter légèrement les cuisses pendant qu’elle me passe les chaussures aux pieds. Tout à coup, son regard se trouble et elle lève les yeux vers moi. Rien ne trouble le silence mais nos yeux se parlent. Pendant que je lui souris, sa main quitte mon pied et remonte lentement le long de ma jambe pour s’insinuer délicatement entre mes cuisses. Son doigt atteint mon buisson et se glisse entre mes lèvres trempées. De son doigt, elle agace mon clitoris, ce qui déclenche en moi des ondes de plaisir. Sa jupe est remontée haut sur ses cuisses et je peux voir une tache sombre qui humidifie son slip. Elle se lève et m’entraîne par la main dans l’arrière-boutique.


Sans attendre, elle me plaque contre le mur et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues tournent l’une sur l’autre et nos dents s’entrechoquent. Tandis que nos salives se mêlent, elle glisse sa main sous ma jupe et enfonce deux doigts dans ma chatte inondée. Mes mains malaxent ses seins et pincent ses tétons durcis. Ses mains s’attaquent maintenant à mon chemisier qui tombe rapidement sur le sol, rejoint presque immédiatement par ma jupe. Mes seins sont durs d’envie et c’est avec soulagement que je la sens défaire mon soutien-gorge. Je suis maintenant nue devant elle et à mon tour je la déshabille fébrilement. Sans lui enlever son slip, qui est maintenant trempé, je l’allonge sur la moquette tout en l’embrassant tendrement. Mes doigts se promènent sur sa chatte et je sens son jus qui coule sur ma main au travers de sa culotte.


Contournant l’élastique, mes doigts s’insinuent sous le slip et pénètrent dans sa chatte. Sa grotte est chaude et onctueuse et mes doigts s’agitent, tournent et s’enfoncent plus profondément. Elle crie de plaisir et tandis que nos regards sont fixés l’un à l’autre, je retire mes doigts inondés de son jus et les porte à ma bouche. Lentement, je les suce en savourant la liqueur qui les recouvre. Me laissant glisser au sol, ma bouche s’approche de son buisson et mes mains font glisser son slip détrempé que je lui enfonce doucement dans la bouche en lui disant :



Sans plus attendre, ma tête s’insinue entre ses jambes et ma bouche se colle à sa source. Ses jambes s’écartent et elle s’offre à moi tout en attirant mes jambes vers sa tête.


Étendues l’une sur l’autre, tête-bêche, ma langue glisse de son clitoris à sa chatte détrempée qu’elle lape pour y recueillir la liqueur qui s’en écoule tandis que mon index s’égare entre ses fesses pour s’enfoncer dans son œillet brun. Elle pousse un cri de plaisir et enfonce sa langue au fond de moi à la recherche de mon jus. Sa langue tourne dans ma grotte et je sens le plaisir qui monte dans mes reins. Mon doigt s’agite de plus en plus vite dans son cul et je pince son clito entre mes lèvres jusqu’à ce que nous explosions ensemble dans un même cri.



* * * * *



Le récit de Patricia s’achève, ma main a discrètement remonté sa jupe et s’est égarée entre ses cuisses.



Ses yeux se fixent aux miens et elle me murmure à l’oreille :



Tout en sirotant notre verre, nous commençons à nous caresser, à nous bisouter tendrement. Mes mains glissent son chemisier et viennent taquiner ses bourgeons, puis s’égarent de nouveau sous sa jupe, la caressant au travers de son slip qui s’humidifie de plus en plus.



Comment résister à une telle invitation ! Tandis que nos lèvres s’unissent, je glisse deux doigts sous l’élastique de son slip et les enfonce dans sa grotte gorgée de plaisir. De mon autre main, j’enlève un des glaçons qui flottent dans mon verre et, avant qu’elle ne s’en aperçoive, je le glisse dans sa chatte. Ses cuisses se serrent sur ma main et elle se mord les lèvres.



Je me laisse glisser le long du divan et mes mains courent sur ses cuisses soyeuses et remontent la jupe, découvrant un slip de dentelle, ravissant mais quelque peu détrempé. Lentement, je le fais glisser, aidé en cela par Patricia, qui se soulève légèrement, et je m’arrête stupéfait devant un superbe papillon aux couleurs chatoyantes qui semble prêt à s’envoler. Je regarde Patricia, qui me sourit.



Sans attendre, je colle ma bouche à ses pétales humides et ma langue récolte le nectar qui s’écoule de sa corolle. Mon doigt s’est déplacé et se pose sur son œillet brun puis le force lentement. Alors que ses fesses se desserrent pour l’accueillir, j’attrape à tâtons un second glaçon et, retirant mon doigt, lui enfonce dans le cul. L’effet est immédiat, et une onde de plaisir la secoue toute entière pendant qu’elle s’affaisse sur le divan. M’agenouillant à ses pieds, je fais glisser son slip détrempé par son jus mêlé à l’eau provenant des glaçons. Le portant à mes lèvres, je le suce avidement pour en extraire tout le jus. Reprenant ses esprits, Patricia se lève et, me prenant par la main, m’entraîne vers l’escalier qui mène à l’étage.



Arrivé dans la salle de bain, je colle dans son dos et, un à un, je défais les boutons de son chemisier sous lequel ses seins dansent librement. Une main monte s’enrouler autour d’un de ses globes et mes doigts se resserrent autour du bourgeon dur et tendu. L’autre main descend se perdre sous sa jupe, dans son buisson détrempé.



Effectivement, je sens son jus qui coule le long de mes doigts et glisse sur ses cuisses. Ses mains s’insinuent entre nous et pétrissent mon membre au travers de mon pantalon.



Le reste de nos vêtements s’envole et nous nous retrouvons, nous caressant, sous l’eau chaude. Tout en me forçant à m’agenouiller, Patricia stoppe l’eau et pose un pied sur le rebord de la baignoire, exposant son sexe ruisselant à mes yeux :



Sans se faire prier plus longtemps, ma langue s’enroule autour de son clito et le titille avant de glisser entre ses lèvres pour s’enfoncer dans sa grotte. Une douce chaleur m’y accueille et c’est avec délectation que je sens son miel s’écouler sur ma langue pour se perdre dans ma gorge. Insatiablement, je m’active faisant monter en elle le plaisir tandis que ma main glisse sur ma queue.



De ses deux mains, elle m’arrache à elle et me tient à distance à ses pieds. Ses yeux, brillants d’excitation, se fixent aux miens :



Ses yeux brillent d’excitation et, dans son regard, je sens une sorte de défi devant ses tabous. Mes yeux sont fixés sur son entrecuisse écartelé par ses doigts. Quelques gouttes commencent à perler discrètement.



Gagnée par l’excitation elle aussi, ses inhibitions s’envolent et, ne se retenant plus, un long jet fuse d’entre ses cuisses. Le jet est plus intense qu’elle ne le pensait, probablement, la pluie dorée et chaude s’abat sur mon ventre et ma queue.



Sa source s’est tarie et, attrapant ma tête, elle me la fourre entre ses cuisses humides.



Ma langue la fouille au plus profond de sa grotte et il ne faut pas longtemps avant que je sente que sa jouissance est proche.



S’appuyant dos contre le carrelage, elle s’abaisse en écartant les cuisses largement, si bien que c’est sans la moindre difficulté que je m’enfonce dans sa chatte tiède et inondée de miel. Quelques secondes plus tard, l’orgasme la secoue alors que je me répands en elle.


Après une dernière douche bien nécessaire, c’est dans les bras de Morphée que nous nous enfonçons, non sans un dernier baiser, pour un repos bien nécessaire et sans surprise.