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n° 00244Fiche technique11646 caractères11646
2031
Temps de lecture estimé : 9 mn
23/03/00
corrigé 03/08/07
Résumé:  Patricia et Phil font quelques courses en sex-shop. Patricia y croise le regard d'une inconnue. Un peu plus tard, alors que le couple est allé au cinéma voir un film X, l'inconnue viendra s'asseoir à côté de Patricia...
Critères:  #couplea3 ffh fbi couplus magasin sexshop cinéma intermast fellation cunnilingu
Auteur : Sliver  (Paty & Phil)      

Série : Paty & Phil

Chapitre 04 / 06
Paty & Phil (Chapitre 4: Promenade à Sluis)


Paty et Phil



Chapitre 4 : Promenade à Sluis



Le printemps a enfin succédé à l’hiver et la journée s’annonçait superbe, ce qui nous a incité à prendre congé tous les deux pour aller visiter Sluis, petit village hollandais situé près de la frontière belge, bien connu pour ses sex-shops. Afin d’éviter la circulation trop intense, nous sommes partis de bonne heure. Patricia porte un T-shirt moulant qui met ses seins en valeur et une jupe courte qui dévoile ses jambes jusqu’à mi-cuisses. Le soleil brille et, vu l’heure matinale, la route est dégagée comme nous l’espérions.


Cela fait près d’une heure que nous roulons sur l’autoroute, et notre conversation s’oriente sur les objets que Patricia espère trouver à Sluis : un godemiché pour remplacer celui qui accompagne parfois nos ébats mais qui ne vibre plus, ainsi qu’un plus fin qu’elle me destine tout particulièrement.


Sa main qui, comme d’habitude lorsque nous roulons en voiture, est posée sur ma cuisse, remonte lentement pour finalement atteindre son but et y débuter un savant massage. Je jette un coup d’œil à Patricia qui fait mine de rien, à part une esquisse de sourire sur ses lèvres. Rapidement, je sens ma queue durcir, ne laissant aucun doute sur l’efficacité de sa caresse. Les yeux fixés sur la route, je sens la fermeture de mon jean descendre. Sa main s’attaque alors au bouton qui le ferme et qui ne résiste pas bien longtemps à cet assaut. La main s’insinue dans l’ouverture et s’arrête, surprise par le contact subit avec mon membre. Prévoyance ou pressentiment ? J’avais préféré ne pas mettre de slip ce matin, trouvant cela plus excitant et plus pratique, vu notre destination. Les quelques secondes de surprise passées, sa main reprend sa progression et dégage ma queue facilement. Ses doigts se referment autour de la hampe et entament un lent mouvement de va-et-vient. Des voitures nous doublent sans savoir comme il peut-être bon, parfois, de ne pas être pressé.


Patricia tourne la tête vers moi et, sans dire un mot, détache sa ceinture de sécurité avant de se pencher pour m’engloutir. Lentement, ses lèvres vont et viennent le long de ma bite, s’arrêtant de temps en temps au sommet pour exciter l’ouverture de mon gland du bout de la langue. Tout en me suçant, sa main enserre ma queue et me branle au rythme de sa bouche jusqu’à ce que, n’y tenant plus, j’éclate entre ses lèvres. Elle serre les lèvres autour de la hampe pour ne rien perdre et se régale de ma liqueur, léchant jusqu’à la dernière goutte. Lentement, elle se redresse et, rompant enfin le silence qui régnait depuis le début de son insidieuse attaque, elle me souffle, légèrement haletante :



Du coin de l’œil, je me rends compte que son autre main est nichée entre ses cuisses et qu’elle n’était pas restée inactive pendant qu’elle me suçait. Lâchant le volant d’une main, je la glisse sous sa jupe pour y remplacer la sienne. Écartant l’élastique du slip, je découvre sa chatte inondée. Pour me faciliter la tâche, elle se soulève légèrement et fait glisser sa culotte le long de ses jambes jusqu’au sol, puis elle s’avance sur son siège, écartant les cuisses pour mieux s’offrir à ma main. Sa respiration s’accélère au fur et à mesure que je la fouille de mes doigts et sa mouille inonde ma main d’un miel dont je connais si bien l’onctuosité et le délicat parfum. C’est la première fois que cela nous arrive en voiture et l’excitation se voit sur son visage. Les pieds écartés sur le tableau de bord, elle pousse de petits cris de plaisir, agitant sa chatte contre mes doigts. Soudain, son corps se tend et le plaisir éclate dans son ventre en feu.


Mais déjà nous arrivons à la bifurcation vers Zeebrugge et le trafic se fait plus intense. Patricia se rajuste sans remettre son slip mouillé, qu’elle fourre dans le vide-poche.



Une demi-heure plus tard, nous arrivons à Sluis et, après avoir parqué la voiture à l’entrée du village, nous allons nous asseoir à une terrasse située face au canal bordé d’arbres qui serpente au milieu du village. Nous prenons place et, contrairement à son habitude, Patricia s’installe face à moi. Il est tôt et il y a encore peu de gens. Nous commandons deux cafés qui nous sont rapidement servis.



Je me rends compte que sa jupe est remontée assez haut et que ses cuisses légèrement écartées ne cachent rien de sa brousse noire dans laquelle tranchent deux lèvres roses.



Après avoir réglé notre addition, nous déambulons dans les rues de ce charmant village, visitant les magasins et les sex-shops qui se trouvent sur notre route. Dans le second sex-shop que nous explorons, je m’aperçois au bout d’une dizaine de minutes que ses yeux qui brillent d’excitation.



Après avoir parcouru les rues pendant plus d’une heure, nous entrons dans un dernier sex-shop afin d’y terminer nos achats. Après nous être mis d’accord sur le vibromasseur que nous désirons, je propose à Patricia d’aller voir une séance de ciné, ce qu’elle accepte, aussi excitée que moi par tout ce que nous avons vu au cours de notre promenade. Après m’être acquitté de mon entrée, vu que c’est gratuit pour les dames, nous pénétrons dans une salle obscure où, sur l’écran, une blonde se fait enculer par un énorme noir tout en léchant avidement une rouquine flamboyante. Il n’y a pas grand monde et nous trouvons deux places en retrait qui conviennent à nos projets.


Quelques minutes plus tard, alors que nous sommes absorbés par les images qui défilent sous nos yeux, quelqu’un s’assied sur le siège, juste à côté de Patricia. Tournant la tête, c’est avec étonnement qu’elle reconnaît la jeune femme de tout à l’heure. Elle fixe l’écran également, sans un mot, tout naturellement, comme si elle était seule, sans un regard pour nous. Patricia se penche vers moi et me souffle à l’oreille :



Quelques instants plus tard, je sens Patricia qui sursaute.



Tournant le tête vers elle, je l’embrasse doucement en lui conseillant de ne rien faire et de laisser faire. Encouragée par le manque de réaction, j’aperçois dans la pénombre, la main l’inconnue remonter délicatement le long de la cuisse de Patricia et j’entends sa respiration s’accélérer. Très lentement, elle caresse ses cuisses en dessinant des cercles de ses doigts.



Sa main atteint son buisson et le découvre imbibé de jus. Son doigt s’insinue facilement entre ses lèvres humides pour caresser son petit bouton. La respiration de Patricia est saccadée et je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier. Souplement et sans un mot, la femme se laisse glisser au sol, écarte les genoux de mon épouse sans rencontrer la moindre résistance, soulève sa jupe sans m’accorder le moindre regard et enfouit son visage entre ses cuisses. Sa langue fouille ses lèvres et lape la liqueur qui s’en écoule.



De sa main, Patricia déboutonne mon jean et sort ma queue qui, vu le spectacle, a pris des proportions plus qu’honnêtes. De sa main, elle me branle fébrilement mais, son plaisir étant trop intense, elle me lâche pour se mordre la main afin de ne pas hurler son plaisir dans la salle. Sa liqueur coule de plus en plus fort, me souffle-t-elle à l’oreille et, tandis que la langue s’enfonce et fouille sa chatte, l’inconnue attrape ma bite de sa main droite et se met à la branler. N’y tenant plus, Patricia place ses deux mains dans les cheveux de la femme et appuie la tête de l’inconnue sur sa chatte, alors que dans un dernier spasme, son plaisir inonde la bouche qui la fouille. De mon côté, je me sens au bord de l’éclatement et je m’apprête à sortir un kleenex, mais Patricia se penche sur moi et sa bouche vient coiffer ma queue alors que l’inconnue continue à l’agiter de plus en plus vite. Je jouis en longs jets dans sa bouche chaude et veloutée.



Patricia se tourne alors vers l’inconnue à genoux devant elle, prend son visage tendrement entre ses deux mains et joint ses lèvres aux siennes, partageant ma semence dans un baiser langoureux. Alors que nous nous réajustons, l’inconnue reprend sa place à ses côtés et lui glisse à l’oreille :



Patricia comprend au quart de tour et, quelques secondes plus tard, sa tête s’insinue entre ses cuisses déjà bien humides par le jus odorant qui trempe son buisson. Sa langue agile lèche et s’enfonce entre ses lèvres pour y laper tout le jus qui s’en échappe. Déjà fort excitée, elle ne résiste pas longtemps à la langue qui s’enroule autour de son clitoris. Tressautant de plaisir, elle laisse s’écouler un flot de liqueur que Patricia lape avidement. Une de ses mains se crispe sur l’accoudoir et l’autre sur la nuque nichée entre ses cuisses, comme si elle voulait l’enfoncer au plus profond de son ventre. Le plaisir éclate en elle et je vois ses yeux qui chavirent. Quelques secondes plus tard, Patricia reprend souplement sa place à mes côtés et se tourne alors vers moi, me tendant ses lèvres encore humides et parfumées de la liqueur de la brune inconnue. Je lèche ses lèvres puis l’embrasse doucement, savourant le goût qui emplit sa bouche. Lorsque nos lèvres se séparent, nous ne pouvons que constater que la belle inconnue s’est volatilisée.


Nous sommes retournés plusieurs fois dans ce charmant village hollandais mais nous ne l’avons plus jamais rencontrée, pas plus que nous n’avons eu une autre aventure. Aujourd’hui, d’ailleurs, il ne reste que quatre ou cinq sex-shops, car la libéralisation des mœurs a permis d’en trouver un peu partout.