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n° 00302Fiche technique11434 caractères11434
Temps de lecture estimé : 7 mn
17/04/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Dans ce troisième épisode, Évelyne s'amuse à allumer Patrick, le jeune stagiaire qui n'en peut plus de lorgner dans son soutien-gorge. Évelyne décide alors de jouer avec les deux hommes, et même de les faire jouer ensemble.
Critères:  fhh hbi collègues lunettes travail fellation pénétratio sandwich fsodo -totalsexe -couple+h -travail
Auteur : Chris            Envoi mini-message

Série : Evelyne, experte comptable

Chapitre 03 / 04
Evelyne, experte comptable (3)

Je ne vous raconterai pas la séance dans la chambre d’auberge avec Évelyne, mon expert-comptable, et Anita, après notre séance au restaurant, fin de soirée qui fut pour moi une expérience délicieuse avec deux coquines, surtout lorsqu’elles me sucèrent à deux… quelle volupté, deux bouches en même temps sur la queue, les couilles et même le cul. Elles découvrirent aussi qu’elles étaient bisexuelles.


Je vous ai déjà présentée Évelyne, 40 ans, divorcée, brune, des cheveux mi-longs sur son visage ovale, yeux noisette et de fines lunettes sans monture. De taille moyenne, elle a de très jolis seins ronds aux mamelons formés, (95 C), des hanches accueillantes. Sa toison brune est taillée sur son pubis mais épilée sur ses lèvres intimes. Ses fesses délicieusement souples et hospitalières à toutes sortes de plaisir, l’ensemble revêtu le plus souvent de stricts tailleurs bcbg, mais avec des dessous de lingerie sexy.


En cette fin de journée, nous terminions de boucler les comptes de mon entreprise. Évelyne avait fait faire une partie du travail par un stagiaire, Patrick, qui commentait avec elle les chiffres clés.


J’écoutais, certes, ces informations, d’autant plus que des bénéfices substantiels avaient cette année encore été réalisés, mais mon attention avait tendance à se porter de plus en plus vers Évelyne. Elle portait ce jour-là un tailleur gris avec une veste croisée.


Évelyne de son côté semblait prendre de la distance et elle me regardait, penchée en avant, faisant bâiller sa veste, de telle sorte que je vis nettement le sillon de ses seins mis en valeur par son soutien-gorge de dentelle rouge.


Des coups d’œil de plus en plus fréquents sur ce décolleté ainsi exposé me faisaient perdre le fil des explications chiffrées toujours débitées par le jeune stagiaire.


Évelyne alors ne trouva rien de mieux à faire qu’à croiser ses jambes, faisant remonter sur ses bas blancs l’étroite jupe grise de son tailleur strict.


Patrick finissait par se rendre compte que mon attention était accaparée par d’autres intérêts que mon compte de résultat.


Il hésita, risqua un œil sur le décolleté de sa patronne, rougissant un peu, mais Évelyne lui rappela aussitôt :



Mais la coquine ne fit rien pour dissimuler les deux objets du délit, bien au contraire. Je me demandais où elle voulait en venir.



Elle se tourna vers lui, dévoilant ses cuisses gainées de soie blanche, légèrement ouvertes, suffisamment pour lui permettre d’apercevoir la peau nue en haut de la lisière des bas et les jarretelles lui barrant la cuisse.


Je vis Patrick, le visage empourpré, regarder le fabuleux appel à la lubricité déclenché par cette superbe paire de cuisses aux bas blancs.



Excité par la situation, je matais aussi, posant la main sur ma braguette.


Évelyne continuait son numéro de garce exhibitionniste, relevant maintenant très haut sa jupe laissant ainsi voir ses cuisses ouvertes et son string tendu sur sa motte.


Elle nous regardait de son petit air vicieux et elle commença à écarter sa culotte nous faisant découvrir sa chatte épilée et ses lèvres intimes luisantes de désir.



Nous nous regardâmes, Patrick et moi, et celui-ci me vit défaire ma braguette et extirper ma queue déjà bandée. Après quelque hésitation, il fit de même et nous nous trouvâmes tous les trois en train d’exhiber notre sexe, une jolie chatte qu’Évelyne s’excitait de ses ongles et deux belles bites en pleine forme.



Elle enleva d’un mouvement preste sa culotte pendant ce temps et d’une main continua à se toucher entre les cuisses. Nous approchâmes d’elle.


Nous étions l’un et l’autre debout, de chaque côté de la table, queue bien dure dans la main, le gland a touché un sein sorti du soutien-gorge. Évelyne nous prit la queue et commença à nous masturber, nous exciter le gland de ses ongles vernis.


Bientôt, nous nous mîmes nus, Patrick et moi, tandis qu’Évelyne se débarrassait de sa jupe et restait en dessous affriolants, bas blancs de dentelle, porte-jarretelles blanc, soutien-gorge balconnet pigeonnant assorti au string posé sur la table. Elle était excitante au possible et littéralement bandante. Elle nous matait d’un regard vicieux derrière ses fines lunettes, admirant nos bites dressées devant elle.


Elle prit la direction des opérations et nous demanda soudain :



Patrick et moi portâmes immédiatement la main sur notre queue, commençant à nous astiquer devant une Évelyne particulièrement excitée qui se palpait les seins en faisant rouler ses tétons sous ses doigts.


Au bout de quelques instants, elle ajouta :



Regardant Patrick, j’avançai la main vers sa queue et la pris entre mes doigts, la masturbant sur le sein d’Évelyne qui regardait cette bite devant ses yeux, ce gland qui touchait son mamelon, avec ma main dessus qui coulissait.



Il prit à son tour ma queue pour la caresser tandis qu’Évelyne matait et agitait sa main entre ses cuisses.



Elle se mit sur ses coudes, se levant légèrement de la table, Patrick et moi, nus, debout devant elle à nous branler, la main autour de la pine de l’autre. Je sentais la queue de Patrick vibrer sous mes doigts et soudain je me dis pourquoi pas.


Je me penchai et posai ma bouche sur le gland, le léchant de ma langue puis embouchai cette bite devant moi. C’était ma première fellation. Patrick avait l’air d’apprécier et Évelyne ne perdait pas une miette en se masturbant.


Je continuai de sucer cette belle bite. Évelyne vint se mettre à genoux près de nous, sur la moquette, je sentis sa main qui me caressait les fesses.



J’écoutais ces commentaires excitants tout en continuant ma pipe, salivant sur ce jeune braquemart. Levant la queue, je léchai les testicules. Patrick fermait les yeux de plaisir et Évelyne lui passait une main sur les fesses.



Je me mis dans la position souhaitée et écartai les cuisses en les relevant sous le geste d’Évelyne.


Celle-ci s’assit par terre et voyant bien mon cul, commença à le lécher tout en faisant signe à Patrick de se pencher sur moi pour me sucer la queue.


Elle attrapa en même temps la bite de Patrick et la branla en me suçant la raie tandis que la bouche de Patrick coulissait sur ma pine bandée à mort.


Évelyne ne tarda pas à mettre un doigt dans mon anus tandis que sa bouche gobait mes couilles. Bientôt ils me sucèrent ensemble.


À ce traitement, je ne pus résister longtemps et j’éjaculai sur les bouches et les langues de mon suceur et de ma suceuse.


Évelyne, maintenant à quatre pattes sur la moquette de son bureau, offrait sa croupe à Patrick qui n’hésita pas et enfonça son dard turgescent dans la chatte trempée de sa patronne, baisée en levrette.


Observant quelques instants ce spectacle en me masturbant, je me glissais en 69 sous les fesses d’Évelyne, lui présentant de nouveau ma bite à lécher, ce qu’elle fit évidemment avec grand appétit. J’avais en pleine vision la queue de Patrick allant et venant dans le con d’Évelyne.


Je me mis à sucer alternativement le clitoris bandé et les couilles de Patrick.


La bouche habile d’Évelyne ne tarda pas à me faire bander de nouveau, de telle sorte que l’envie d’explorer un nouveau trou de mon expert-comptable me parut un excellent projet.


Je demandai à Patrick de s’allonger par terre et à Évelyne de venir sur lui pour de nouveau s’enfourner la grosse bite dans la chatte baveuse de plaisir.


Évelyne me darda un regard d’une extrême lubricité en comprenant la manœuvre, puisqu’elle m’offrit ses somptueuses fesses bien écartées, avec une rosette palpitante de désir.


Lubrifiant de salive cet anus doré plus qu’appétissant, je ne tardai pas à sodomiser Évelyne, doublement pénétrée.


La sensation est extraordinaire de sentir contre ma bite, de l’autre côté de la fine paroi, celle de Patrick qui pilonnait la chatte d’Évelyne. Nous accordâmes rapidement notre rythme de pilonnage tandis qu’Évelyne gémissait et criait de plaisir, parfaitement sandwichée.



Bientôt, je sentis que Patrick explosait et répandait un généreux foutre dans le con de sa patronne, ruisselante d’orgasmes magnifiques.


Je ne tardai pas à jouir de nouveau, ma bite explosant au fond du cul bien accueillant d’Évelyne, mon expert-comptable.