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n° 00555Fiche technique31435 caractères31435
Temps de lecture estimé : 17 mn
19/06/00
corrigé 12/11/10
Résumé:  Comment un entretien d'affaire avec notre couple désormais bien connu tourne inévitablement à la partie carrée.
Critères:  2couples fbi hbi couplus lunettes travail jalousie noculotte fellation cunnilingu légumes pénétratio fsodo hsodo échange -totalsexe -entrecoup
Auteur : Chris            Envoi mini-message

Série : Evelyne, experte comptable

Chapitre 04 / 04
Evelyne, expert-comptable (4)

(Voir les précédentes aventures d’Évelyne 1, 2 et 3).


Dans le cadre du développement de mon entreprise, j’étais à l’affût de certains brevets ingénieux mis au point par des inventeurs privés, souvent dans l’impossibilité d’exploiter eux-mêmes leurs inventions ou de les valoriser dans un processus industriel.


L’occasion se présentait de rencontrer Michel. F. qui avait contacté ma société pour proposer son projet. Je lui indiquais pouvoir me rendre à son domicile, profitant d’un voyage dans sa région et la visite d’une filiale pour qu’il me présente son dossier.


C’est ainsi que nous partîmes de bon matin, Évelyne et moi-même, en voiture.


J’ai eu l’occasion de vous présenter Évelyne, ma nouvelle expert-comptable, belle femme BCBG de 40 ans, divorcée, brune aux cheveux mi-longs sur son visage ovale, yeux noisette et de fines lunettes sans monture. De taille moyenne, elle a de très jolis seins ronds aux mamelons formés (95 C), des hanches accueillantes. Elle porte pratiquement toujours de stricts tailleurs, mais également des dessous de lingerie sexy.


Compte tenu de notre programme, sa présence était indispensable. Naturellement, forts de nos précédentes aventures, nous savions que nous aurions l’opportunité de marier nos réunions professionnelles avec d’autres occupations plus intimes et probablement très excitantes, Évelyne s’étant récemment très engagée dans les choses du sexe, après un mariage monotone de ce point de vue, n’hésitant pas à tenter des expériences particulièrement polissonnes et au-delà de ce que je pouvais imaginer faire avec une telle complice, à qui aucun tabou ou presque ne faisait peur.


Nous commençâmes d’ailleurs sans tarder puisque, le régulateur de vitesse enclenché sur l’autoroute déserte, je ne tardai pas à poser ma main sur la cuisse de ma délicieuse expert-comptable, remontant la jupe de son tailleur Chanel, découvrant ses bas gris fumés, retenus par un porte-jarretelles mauve. Elle me darda un sourire coquin, satisfaite de l’attention que je lui témoignais, juste récompense du soin qu’elle avait mis à revêtir cette affriolante lingerie.


Nonchalamment, ma main caressait sa cuisse, au fil des kilomètres parcourus dans cette aube naissante, mes doigts caressant la lisière du bas, frôlant sa peau nue, jouant avec la jarretelle. Je me rendais compte qu’elle écartait progressivement ses jambes, pour laisser à ma main une liberté croissante, lui permettant de remonter vers la dentelle de son string, que mes doigts caressaient, mes ongles griffaient.



Sourire et gémissement d’Évelyne, qui commençait à apprécier le passage de deux doigts à plat sur sa fente, et de temps à autre, une caresse coquine, sous l’élastique de la culotte arachnéenne, mon doigt glissant sur la peau épilée et lisse de ses lèvres intimes.



Il est vrai qu’il n’était que 7.00 heures, tant notre départ avait été matinal. La coquine s’exécuta néanmoins promptement, son bassin venant au-devant de ma main, impatiente de sentir enfin mes doigts sur son bouton excité. Précisément, je la faisais languir, écartant ses nymphes humides, enfonçant légèrement mon doigt, caressant la peau infiniment douce du haut de ses cuisses, revenant jouer avec le bas, glissant un doigt dedans.



Elle retira alors son string qu’elle posa sur le levier de vitesse, offrant ses cuisses ouvertes et sa chatte disponible à ma main caressante…


Ne voulant plus la faire attendre davantage, je commençai alors une savante masturbation de son clitoris, le sentant rouler sous mes doigts poissés de cyprine. Heureusement que le siège est en cuir et supporte ce genre d’écoulement…


Je la branlais alors de mieux en mieux. Elle avait envie, son bassin tendu ondulait. Elle avait envie, de plus en plus…


Je pensais à notre petit jeu habituel, car nous avions déjà pratiqué cet exercice (nombre de kilomètres nécessaires pour l’orgasme).



Nos propos l’excitaient encore plus. Soudain, je la sentis se tendre et elle laissa échapper un long feulement puis un cri, jouissant sur mes doigts…


Je ne bougeais plus. Elle serrait ses cuisses sur ma main prisonnière de sa chatte.



Elle prit un mouchoir de papier pour essuyer sa jolie fente, rabaissa sa jupe mais se dispensa de remettre son string rouge qui restait ainsi à entourer le levier de vitesse.


Nous poursuivîmes notre route. Évelyne somnolait un peu…Bientôt elle se réveilla, je sentais son regard sur moi. Sa main bougea pour prendre le levier de vitesse. Je voyais ses doigts caresser la boule de bois précieux, sa main serrer le levier. Bref, elle mimait parfaitement l’action…



J’avisai le panneau indicateur de la prochaine aire de repos, à 10 km…



J’avais aussi terriblement envie de sa bouche chaude et moelleuse et je stoppai à côté d’une borne orange de téléphone. Aussitôt, Évelyne se baissa et extirpa ma queue raide de mon pantalon pour l’engouffrer dans sa bouche gourmande.



La coquine, experte dans l’art de la pipe, alternait aspiration et excitation. Quelques voitures passaient sur l’autoroute, probablement trop vite pour voir les cheveux bruns d’Évelyne, monter et descendre sur mon gros crayon dur.


Elle me prenait profond dans sa gorge, salivant sur la hampe de chair.



Qu’elle m’excitait, la vicieuse, avec ses yeux polissons derrière ses fines lunettes qui lui donnaient cet air d’intellectuelle sexy et salope que j’aimais particulièrement.


La garce pompait, aspirait, ses lèvres serrant mon pieu. Elle avait peu de place pour caresser mes boules, mais elle parvint à glisser deux doigts dessous pour caresser le périnée et la raie…


Affamée, elle me faisait une excellente pipe matinale…



Elle me disait ainsi quelques cochonneries avant de replonger gober la bite, suçant de plus en plus vite pour extraire le sperme qu’elle trouvait toujours délicieux.


Très rapidement, je sentis ma sève monter. Elle s’en rendit compte bien sûr instantanément et accéléra encore pour me faire juter au fond de sa gorge. Elle voulait manifestement tout avaler et je dois dire qu’elle ne laissa pas s’échapper une goutte de foutre lorsque j’explosai dans sa bouche.


Elle aspira bien mon gland, le lécha et, après quelques minutes, le remit dans mon slip…



Nous reprîmes ainsi notre chemin, après ces deux premiers intermèdes. Les kilomètres défilaient. Bientôt nous quittâmes l’autoroute pour emprunter une ou deux nationales, puis des routes de moins en moins larges. Nous n’étions guère en avance et nous fîmes une courte halte technique pour nous restaurer d’un simple sandwich et pour Évelyne d’une salade, nous promettant pour le soir un dîner plus fin.


Notre vendeur de brevet habitait la campagne et, encore une fois, mon GPS me permit de suivre le meilleur itinéraire pour arriver en tout début d’après-midi, quasiment à l’heure convenue, dans le bourg où celui-ci habitait.


Nous entrâmes ainsi dans une propriété rurale, constituée d’une jolie maison d’habitation, en pierres apparentes, avec d’autres bâtiments anciens qui auraient mérité une rénovation. Il y avait, semble-t-il, du terrain ; j’arrêtai la voiture près d’une autre, garée devant une grange ouverte.


Évelyne et moi sortîmes alors tandis que je m’apercevais, en fermant la voiture, que le string d’Évelyne était resté sur le levier de vitesse. Un couple sortit de la maison et vint aussitôt à notre rencontre.


Michel F., 35 ans environ, châtain avec un début de calvitie, vêtu d’un jean et d’une chemise de toile, nous salua et nous présenta sa femme, Sylvie, une jolie blonde de 30 ans environ, assez grande, aux cheveux longs bouclés, bien faite, habillée d’une robe de laine bleue et blanche.


De mon côté, je fis les présentations, et remarquai le coup d’œil appréciateur de Michel sur les formes d’Évelyne, manifestement content de voir qu’elle était là à titre professionnel. Quant à Sylvie, elle me fit une singulière impression, gracieuse, et au regard qui me sembla prometteur, apparemment très contente de recevoir une visite. Je présumai qu’elle devait s’ennuyer dans ce coin perdu avec son inventeur de mari, qui peut-être n’était pas à la hauteur.



Nous pénétrâmes dans une grand pièce fort agréable, aux poutres anciennes apparentes, avec une cheminée et une bûche qui flambait.



Parlant de choses et d’autres, le café arriva et nous nous assîmes autour de la table de salon, Michel et sa femme d’un côté et moi-même avec Évelyne de l’autre tandis que Michel sortait ses dossiers, ses plans, et moi-même un questionnaire et un projet de contrat préparé par mon juriste.


La discussion devint assez technique et je pris quelques minutes de vraie concentration pour me rendre compte que l’invention de Michel était utile et qu’il fallait l’acheter. Toute la discussion serait en réalité de savoir combien.


Naturellement, le jeu de Michel était de survaloriser son brevet et moi-même de faire semblant d’un intérêt très moyen, pour faire baisser le prix.


Bien sûr, Évelyne avait parfaitement compris la manœuvre et commença rapidement un travail qui se révèlerait sûrement utile, à savoir, qu’elle croisait bien haut sa jupe, laissant à Michel le soin de regarder ses cuisses et la lisière de ses bas, de plus en plus souvent.


Le visage un peu crispé, Sylvie suivait la conversation, regardant aussi les jolies jambes de cette femme impudique qui menaçait de troubler son mari.


Je me disais qu’à force de faire ainsi remonter sa jupe Évelyne allait révéler qu’elle ne portait aucune culotte.


Après quinze à vingt minutes de discussion technique qui confirmait mon analyse et celles de mon ingénieur-conseil, il ne restait plus qu’à parler des conditions juridiques et financières.


Évelyne entama alors la discussion, tandis que mon regard se portait vers Sylvie, qui sirotait encore son café, fumant une cigarette de manière assez nerveuse.


Multipliant les sourires charmeurs et ouvrant un bouton de son chemisier en disant que le feu de cheminée lui donnait un peu chaud, Évelyne poursuivait les négociations.


Je me levai soudain pour admirer le feu de cheminée, justement, et disant à Sylvie qu’ils avaient une charmante propriété.


Prenant immédiatement ce propos en compte, et prétextant que nous étions trop nombreux pour discuter sérieusement chiffres, Michel alors suggéra à sa femme de m’accompagner faire une petite promenade dans les environs tandis qu’il restait avec Évelyne.



Sylvie éteignit sa cigarette, se leva, lissant sa jupe, et me dit :



Tandis que nous laissions Michel avec Évelyne, dont le décolleté s’ouvrait un peu plus et la jupe remontait encore un peu, à la lisière des bas, Michel roulant des yeux en lorgnant sur ce spectacle, Sylvie m’entraîna visiter leur propriété.


Ils habitaient dans un petit village rural et disposaient de beaucoup de terrain, avec des bâtiments de ferme dont l’un servait d’atelier à son mari, un autre, une ancienne grange, de garage.


Nous marchions côte à côte, fort près l’un de l’autre.


J’eus rapidement la confirmation que le couple avait besoin d’argent et qu’il envisageait probablement de ne nous laisser partir qu’après avoir obtenu un chèque.


La jolie Sylvie en effet me charmait, me faisait du gringue. Je ne savais pas encore si elle avait décidé cela toute seule ou si elle le faisait à l’incitation de son mari.



Elle ne savait formuler sa question mais je devinais ce qu’elle voulait dire… Finalement, elle me demanda si je couchais avec elle.



Soudain, alors que nous étions dans la grange, devisant en marchant, elle s’arrêta, vint contre moi, et plaquant une main sur ma braguette, me demanda si je pensais que l’affaire se ferait. Elle me faisait comprendre on ne peut plus clairement qu’elle était prête à faire ce qui était nécessaire pour parvenir à cet objectif.


Sa main serrait mon sexe à travers mon pantalon. Je posai de mon côté ma main sur sa hanche…



Ma main caressait ses fesses, relevant la robe de laine, découvrant ses cuisses gainées de bas jarretières couleur chair. Nos bouches se joignirent pour un baiser rapidement très humide, nos langues se mêlaient et nos dents s’entrechoquèrent. Manifestement, elle aimait cela et en avait envie, vu la décision et la motivation qu’elle mettait dans ce baiser fripon.


Pendant ce temps, sa main s’activait sur ma braguette, et elle ne tardait pas à sortir mon sexe, prenant sa turgescence en main et commençant une très honnête masturbation.


De mon côté, je ne restai pas inactif et ma main prenait la mesure de son entrejambe, caressant sa chatte au travers de la culotte de dentelle. Mes doigts entrèrent à l’intérieur et je commençai à mon tour à branler cette jeune dame bien chaude et plus que réceptive, sentant l’humidité de sa grotte…


Elle s’arracha à cette position, qu’elle semblait pourtant apprécier, pour s’accroupir, cuisses écartées et prendre ma queue en bouche. Elle entreprit une fellation certes moins experte que celle d’Évelyne le matin, mais fort agréable néanmoins.


La gredine se touchait d’une main glissée à l’intérieur de son slip tout en me tenant la bite de l’autre.



Nous fîmes le chemin du retour et regagnâmes les abords de la maison principale.


Alors que nous passions devant la fenêtre, nous aperçûmes une paire de fesses mouvantes bouger entre deux cuisses gainées de gris.



Je souriais quant à moi, me demandant si cet intermède, qui ne m’étonnait guère d’Évelyne, était une récompense pour un accord scellé ou un argument à le conclure rapidement…



Savoureuse situation quand je pensais qu’il y avait encore cinq minutes, cette hypocrite avait ma queue dans sa bouche.


Nous entrâmes sans bruit dans la maison.


Le spectacle était très intéressant puisque nous vîmes Michel, son jean et son slip aux chevilles, en train de baiser Évelyne sur la table de la salle à manger, cuisses écartées, ses bas fumés tenus par les jarretelles mauves lui donnant une allure éminemment impudique.



Manifestement la somme était en dessous de celle espérée, mais le fait de récupérer aujourd’hui même une telle somme n’était pas pour déplaire à Sylvie, encline peut-être à ne pas trop tenir rigueur à son époux d’avoir succombé aux charmes, et je dois dire qu’ils sont parfois irrésistibles, d’Évelyne, qui avait dû l’allumer sans vergogne, pour l’amener à accepter une telle somme, bien en dessous de la limite que nous nous étions fixée mais apparemment suffisante pour ceux-ci.


Ainsi chacun faisait une bonne affaire.


Le fait d’être traitée de pétasse ou de salope ne dérangeait pas du tout Évelyne qui attrapa la queue de Michel pour se la remettre dans la chatte et se reprit à onduler du bassin pour bien prendre la bite de Michel dans toute sa puissance.



Elle se précipita alors vers les deux protagonistes et commença à frapper les fesses de son mari, lui claquant son derrière à s’en faire mal aux mains.


Michel recevait les coups de sa femme tout en continuant d’enfiler Évelyne et la scène avait pris soudain une dimension très érotique, et cela d’autant que je me rapprochai de Sylvie, la queue bandée sortie de mon pantalon, engin qu’elle prit d’une main tandis qu’elle continuait de fesser son mari qui n’en bandait que plus fort dans le con de mon expert-comptable.


Le feu aux mains et aux joues, excitée par une telle séance, Sylvie fit passer sa robe par-dessus sa tête et se retrouva avec ses dim-up chair, en slip et soutien-gorge, en train de me sucer de nouveau, tandis que son mari fourrait Évelyne, toujours sur la table de la salle.


Quelques minutes plus tard, Sylvie retirait sa culotte et son soutien-gorge, laissant voir deux jolis seins durs et excités.


Elle vint s’allonger sur son canapé, cuisses ouvertes et se masturba en matant le cul rougi de son mari aller et venir entre les cuisses d’Évelyne, qui se pétrissait ses gros seins en même temps.


Je vins de mon côté replonger ma bite quelques instants dans la bouche de sa femme, puis, m’agenouillant entre ses cuisses, je présentai mon gland à l’entrée de sa belle chatte blonde pour l’enfiler.


Elle avançait son bassin à la rencontre de ma queue, tellement elle avait envie de se faire baiser. Elle était folle de sexe et s’agitait pour bien prendre ma queue au fond de son con.



Sylvie l’emboucha sans barguigner et entreprit une fellation bien cochonne à son mari.



Allongée sur la table, matant notre trio, Évelyne se touchait en s’enfonçant un doigt dans le minou.


Nous partousâmes ainsi près d’une heure, échangeant les positions. Évelyne fut aussi prise par nous deux, sa femme observant la double pénétration subie avec délices par Évelyne, qui s’était assise sur moi, sodomisée, alors qu’elle s’ouvrait face à Michel pour prendre sa queue dans sa chatte.


Je pris Sylvie en levrette, alors qu’Évelyne s’était glissée en 69 sous Sylvie et lui dévorait le clitoris. Sylvie râlait, gémissait de plaisir, et n’hésita pas à lécher Évelyne, sans faire de façon.



Il venait de nouveau baiser la chatte d’Évelyne alors que la bouche de sa femme lui léchait la hampe tandis qu’il fourrait Évelyne, dont la douce pression sur mes couilles tandis que je besognais Sylvie m’excitait hautement.


Mais il sera dit que ce couple découvrit quasiment tout en même temps, car Sylvie s’arrangea pour amener ma queue à proximité de la bouche de son mari, lequel était assis sur le canapé.



Ayant quelque expérience bisexuelle, je ne fus nullement gêné par cette sollicitation et c’est bien volontiers que j’offris mon chibre à la bouche de Michel, qui, après une très brève hésitation, l’enfourna entre ses lèvres et commença une fellation de plus en plus vigoureuse, sous l’œil coquin de sa femme qui se branlait, appréciant le spectacle excitant de son mari suçant une autre bite.


Évelyne, à genoux sur le tapis de peau, se penchait pour sucer Michel, qui découvrait ainsi le savoureux plaisir pour un homme de sucer et d’être sucé en même temps.


Sylvie matait son mari ainsi traité et, ayant pris une courgette sur le plateau, se l’enfonçait dans la chatte en s’astiquant le bouton, soupirant de lubricité.



Ensuite, après cette expérience buccale, Michel voulut aussi enculer Évelyne, qui accepta naturellement un deuxième hommage culier. Nous vîmes, Sylvie et moi, Michel se positionner derrière Évelyne, à quatre pattes et la sodomiser.


Michel s’activait vigoureusement entre les fesses accueillantes d’Évelyne, le cul de celle-ci claquant contre le ventre de son sodomite.


La tête dans un coussin du canapé, mon expert-comptable appréciait visiblement cette pénétration profonde.


Sylvie me pompait de nouveau en se mettant entre les cuisses cette belle courgette brillante de son jus.


Elle matait son mari, et c’est alors qu’elle dit qu’elle avait envie de voir son mari enculé, et si je voulais bien lui mettre ma bite entre les fesses, à défaut de quoi elle lui enfilerait la courgette. Je la regardai, curieux de voir cette femme timide et réservée se métamorphoser en jouisseuse lubrique et vicieuse et proposer les figures les plus cochonnes.


Bien évidemment, j’étais partant pour cette expérience et Sylvie ordonna à son mari de se préparer. Tout comme dans le Dernier Tango, elle se munit d’une noix de beurre pour en badigeonner l’anus de son époux, bien docile, alors qu’Évelyne, toujours prête à n’importe quelle cochonnerie, suçait mon dard en salivant bien dessus.


Je me positionnai derrière le cul tendu et lubrifié de Michel, et l’enculai alors, assisté de la main experte d’Évelyne, sous le regard libidineux de Sylvie.


Bientôt les deux femmes se roulaient des pelles en matant ma bite aller et venir dans le cul de Michel, alors qu’elles le branlaient et lui malaxaient les couilles, de telle sorte que Michel ne tarda pas à lâcher tout son jus entre les doigts des deux cochonnes, qui s’en délectaient, le goûtaient, en mettaient sur leurs seins et se suçaient les doigts poissés de foutre.


Je me retirai des fesses de Michel, la bite bien tendue. Sylvie me la prit à pleine main pour me branler, tournant ses seins vers moi.


Évelyne, de son côté s’était approchée ; d’une main elle me pelotait les fesses, excitant mon anus, de l’autre, elle tripotait mes couilles pleines et prêtes à décharger…


Sylvie se penchait, approchant son visage de ma queue, continuant de me branler, tout en sortant la langue pour m’exciter le gland..


Je ne résistai pas longtemps à un tel traitement et bientôt j’explosai en plusieurs jets puissants, le premier allant droit dans la gorge de Sylvie, le second sur sa joue, les suivants sur ses seins.


J’eus l’impression que Sylvie eut encore un énième orgasme rien qu’en recevant cette bonne purée dans la bouche et sur sa poitrine.


C’est précisément la bouche remplie de mon foutre qu’elle alla rouler une pelle à son mari, repu et rassasié, qui goûta ainsi à mon sperme généreusement trait par sa femme.


Après quelques repos et un nouveau café sans crème, Évelyne et moi quittâmes cette agréable maison, ayant une nouvelle fois joint l’utile à l’agréable.


Évelyne se permit d’ailleurs cette réflexion dès entrée dans la voiture :



Elle sourit et me dit, pensive :



Après quelques dizaines de kilomètres, nous atteignîmes l’excellente maison où nous attendait deux chambres (naturellement nous n’en utilisâmes qu’une) et un excellent dîner.


Nous y passâmes une excellente nuit, quelque peu interrompue par d’autres exploits intimes, que je ne pus refuser à cette insatiable cochonne d’Évelyne, regrettant que la jolie soubrette, entrée de manière impromptue dans la chambre, et m’ayant surpris en train de brouter la chatte de mon expert-comptable, se soit aussitôt échappée et ne soit point restée partager avec nous quelques délices amoureuses.


Chris


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