n° 00434 | Fiche technique | 18672 caractères | 18672Temps de lecture estimé : 13 mn | 27/05/00 corrigé 16/05/23 |
Résumé: Lucien est jeune embauché dans cette entreprise et ne ménage pas sa peine. Il n’hésite pas à rester le soir. C’est comme cela qu’il va rencontrer Chris, une femme de ménage extravertie et nymphomane | ||||
Critères: fh nympho grosseins travail soubrette voir exhib | ||||
Auteur : Etranges Délires Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Chris, la dragueuse Chapitre 01 / 05 | Épisode suivant |
À l’époque, je n’étais encore qu’un jeunot tout frais sorti de l’école de commerce. J’avais trouvé une place d’aide-comptable dans une petite entreprise, à deux pas du domicile familial. Je dois avouer qu’à presque vingt-trois ans je n’avais pas encore eu trop l’occasion de quitter papa et maman. Je n’étais plus puceau, mais les quelques rares expériences que j’avais eues en matière de sexualité n’avaient pas été folichonnes et m’avaient plus perturbé que rassuré sur mes capacités.
Ainsi donc, pour la première fois de ma vie, je me retrouvais dans un bureau, confronté aux dures réalités économiques. Tout de suite, je m’étais investi plus que de raison, j’avais envie d’être bien vu par la hiérarchie et de réussir dans le métier.
Le matin, j’arrivais en même temps que les autres, car je n’ai jamais été un lève-tôt. En revanche, le soir, je traînais toujours fort tard. Je ne rentrais qu’à la dernière minute, juste à temps pour arriver avant le dîner familial et me mettre bien sagement les pieds sous la table (nous habitions à deux pas)… huit heures moins dix, c’était mon heure de départ pour ne pas subir les foudres de ma mère, car l’heure du dîner était pour elle quelque chose de sacré qui devait obligatoirement coïncider avec le début du journal télévisé. Chez mes parents, je pouvais pratiquement tout me permettre, sauf déroger aux rituels…
Cela faisait environ six mois que j’avais embauché et j’avais pris mes marques dans ce premier job, mais aussi un certain nombre de mauvaises habitudes, comme celles de travailler plus que nécessaire. Lorsque l’été approcha et que le soleil commença à darder fortement ses rayons, l’atmosphère devint étouffante, ces bureaux mal exposés et mal réfrigérés par un air conditionné souffreteux étaient irrespirables. Naturellement, les quelques employés qui étaient comme moi habitués à faire des heures supplémentaires se mirent à quitter le boulot plus tôt, et je fus désormais l’un des seuls à rester si tard le soir. Sous le coup des sept heures, le bâtiment était quasiment désert, il n’y avait plus un chat, le parking était vide… même les grands patrons étaient ailleurs, au golf ou dans leurs piscines privées.
Je déambulais tel un zombie dans les couloirs vides, le temps d’aller me chercher un café ou un coca. Ensuite, je retournais tranquillement dans mon bureau pour me replonger dans mes dossiers. Aucun n’était très urgent, ni d’ailleurs très important, mais je mettais un point d’honneur à en faire toujours plus. C’était devenu le but de ma vie, sans doute parce que ma vie était elle-même terne, sans attrait, et que je n’avais rien de mieux à faire.
Vers cinq heures et demie, les derniers employés, notamment les secrétaires, s’en allaient et les femmes de ménage arrivaient. Elles investissaient peu à peu les couloirs et les zones de travail, l’on entendait ci et là le vrombissement des aspirateurs. Entêtant et perturbant, c’était parfois difficile de se concentrer dans ces conditions, même si ces dames étaient par ailleurs très correctes et qu’elles essayaient de nous déranger le moins possible.
C’était une société indépendante qui assurait l’entretien de nos locaux et, à cette époque, il n’y avait pas encore trop de turnovers dans ce genre d’activité. Tout au long de l’année, on voyait donc les mêmes têtes et on finissait par bien les connaître, comme s’il s’agissait de nos collègues. La seule exception à cette règle était l’époque des vacances où l’on voyait arriver plein de petites nouvelles (C’était d’ailleurs aussi le cas dans les bureaux).
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C’est ainsi qu’un jour je vis arriver Chris (Christine, Christiane, Christèle, je ne savais pas trop… tout le monde l’appelait Chris, car elle ne donnait jamais d’autre nom). Je pense que je l’avais remarquée dès le premier jour. On ne pouvait d’ailleurs pas ne pas la remarquer, elle était toujours en mouvement, toujours en train de discutailler à droite et à gauche, et avait une voix criarde qui portait bien. À la machine à café, tout le monde l’écoutait, ses collègues bien entendu, mais les autres également… même les cadres coincés de l’entreprise. Complètement sans gêne, elle branchait tout le monde et semblait n’avoir peur de rien. Cette fille-là, c’était une vraie tornade, toujours en train de raconter des histoires drôles, de faire rire la cantonade, et lorsque sa cheffe lui reprochait de ne pas travailler et de passer son temps à discuter, elle n’avait aucun scrupule pour lui répondre et l’envoyer chier… C’est bien simple, durant les quelques mois à faire le ménage chez nous, elle mit la boîte sens dessus dessous…
Chris était une fille plutôt bizarre. Outre son attitude, son physique lui-même était spécial et l’on y regardait à deux fois quand on la rencontrait pour la première fois. En voyant son visage, on ne pouvait déterminer ni son âge ni son sexe. Une fille bien étrange, je vous dis, pas vraiment masculine, pas franchement moche, mais encore moins belle. D’ailleurs, ce n’était pas une question de beauté, mais plutôt une question de bizarrerie, elle avait un faciès très spécial, hors du commun, et c’est ce qui faisait qu’on ne pouvait guère la classifier. Si ce n’est ses deux nichons plus que proéminents, on aurait presque dit un mec, le style de fille qui lorsqu’elle est timide passe tout à fait inaperçue et que personne n’invite à danser, mais extravertie comme elle l’était, cela changeait tout, elle avait une cour, une aura, et une tribu de mecs admiratifs qui virevoltaient autour d’elle.
Pour ma part – timide et réservé de nature – ce n’était pas du tout le genre de personnage qui m’attirait, au contraire, toute cette exubérance m’inquiétait et me faisait fuir, à tel point que je ne prenais plus de café après cinq heures, histoire de ne jamais la rencontrer.
Durant son premier mois à la boîte, Chris et moi nous étions royalement ignorés. Ensuite, il y avait eu cette plainte de la direction parce que les patrons trouvaient qu’elle faisait trop de bruit à leur étage, alors elle s’était pris une sacrée soufflante et elle avait même failli se faire lourder, ce qui n’avait d’ailleurs pas eu l’air de l’effrayer outre mesure.
À la suite de cet incident, sa cheffe de service décida de réorganiser les équipes, du coup ladite Chris se retrouva réaffectée à mon étage et c’est ainsi que je fis sa connaissance.
Elle entra un soir dans mon bureau et s’assit sans complexe sur la table face à moi :
Quel sans-gêne, quel manque d’éducation ! Nous ne nous connaissions ni d’Adam ni d’Eve et elle me faisait déjà la manche ! Je me levai presque à contrecœur et la suivis. Je m’en foutais complètement de dépenser quelques piastres pour elle dans la machine, je n’étais pas radin, mais je n’avais pas envie de perdre mon temps à blablater avec cette foutue bonne femme.
Lorsque nous arrivâmes au café, il y avait déjà une autre femme de ménage, une Portugaise que je connaissais de vue. Elles se mirent tout de suite à papoter pendant que j’alimentais le percolateur. Ensuite, Chris se retourna vers moi et éclata de rire. Pourquoi riait-elle ? Je ne savais pas trop, mais j’avais rougi jusqu’aux deux oreilles.
Et comme je ne répondais pas :
Et en se tournant vers l’autre femme qui souriait en me regardant :
L’autre continua à sourire sans trop rien dire, nous nous connaissions depuis un certain temps et elle savait parfaitement que j’étais un grand timide…
Dès que j’en eus l’occasion, je laissai les deux femmes à leurs bavardages et, ce soir-là, pour une fois, je rentrai plus tôt chez moi. Je maudissais cette conasse pour ses propos blessants. De toute façon, elle était moche comme un cul et je n’en aurais voulu pour rien au monde. Qu’elle aille se faire foutre, cette pétasse ! C’est du moins ce dont j’essayais de me convaincre. Pour autant, je pensais quand même à elle.
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Le lendemain, ce devait être son jour de repos, car je pus rester tranquille, mais dès le lundi suivant, je la vis débarquer à nouveau dans mon bureau. Il était à peine six heures, mon collègue était encore avec moi, mais ça n’avait pas l’air de la gêner outre mesure. Elle entama même une conversation avec lui et lui demanda à brûle-pourpoint si, de son côté, il parvenait à me faire parler ou si j’étais muet de naissance. Vraiment, je la maudissais, de quoi se mêlait-elle, cette conne ? Je la regardai méchamment en coin tandis que mon collègue lui répondit que quand on me connaissait un peu je devenais un peu plus loquace.
Et elle éclata de rire ironiquement tout en posant une main sur l’épaule de mon vis-à-vis en signe de complicité avant de s’en aller hilare. Je ne savais vraiment plus où me mettre.
Une heure plus tard, j’étais seul, toujours en train de ruminer quand madame sans gêne fit à nouveau irruption dans mon bureau, toujours aussi vivace. Elle était en survêtement, comme toujours, je savais que sa cheffe de service lui avait demandé plusieurs fois de se mettre en blouse, mais elle n’en avait cure… Cette fois-ci, fait nouveau, j’étais convaincu qu’elle avait enlevé son soutien-gorge, car je voyais clairement ballotter ses gros lolos sous son jogging, à tel point que mon regard était maintenant rivé à ses mamelles. Quelle cochonne en plus, et quelle allumeuse ! Malgré moi, je me mis instantanément à bander en regardant les lourds appas balancer à deux pas. J’étais persuadé qu’elle l’avait fait exprès, uniquement pour me tester, et qu’elle ne pouvait que remarquer mon trouble. Une fois de plus, elle posa une fesse sur mon bureau et entama la conversation :
J’étais mal à l’aise comme rarement je l’avais été auparavant. Elle se foutait carrément de ma gueule !
Quelle honte !
Et elle sortit du bureau en me jetant un clin d’œil complice.
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Ce soir-là, j’étais rentré chez moi la queue entre les jambes. Heureusement, les jours suivants, je n’avais pas eu de nouvelles visites de la donzelle. Elle était présente, j’en étais sûr, car je l’entendais rire dans les couloirs, mais elle n’était pas rentrée une seule fois dans la pièce et moi je n’étais pas sorti à sa rencontre.
Elle me manquait presque. Elle me manquait réellement, en fait. Un soir, dans ma chambrette, je m’étais même caressé en pensant à ses gros nichons… Une fois bien excité, je rêvais même de sa tête bizarre, j’étais désormais convaincu qu’au lit elle devait être sacrément chaude et salope, peut-être une vraie cochonne…
De mon côté, je n’avais couché avec personne depuis six mois…
Quelques jours de plus, mais toujours rien… Un soir pourtant j’étais sur le point d’aller la retrouver au café, mais, arrivé près de la salle de repos, j’avais entendu qu’il devait y avoir au moins quatre ou cinq femmes et avais pris peur ; j’avais fait demi-tour et avais laissé tomber. Je m’étais alors retrouvé comme un con dans mon bureau à attendre, à me morfondre, à imaginer cette pétasse en bandant et à rêver de glisser ma queue entre ses grosses mamelles. Oui, comme un con ! Et quand elle passait dans le couloir, rarement seule, il me semblait l’entendre glousser à mon encontre.
Un soir, n’en pouvant plus, il était presque sept heures et demie, je partis à sa recherche dans tout le bâtiment. Peut-être était-elle en train de se faire baiser dans un coin par un de mes collègues ? C’était devenu pour moi une véritable obsession d’imaginer ce qu’elle pouvait être en train de faire. Je m’en voulais aussi d’avoir ainsi laissé passer ma chance. J’inspectai tout mon étage… mais personne. Puis je pris les escaliers pour monter, et là… surprise… je tombai sur un groupe de femmes au coin d’un escalier. En me voyant débouler comme un dingue, elles se mirent à glousser comme des furies. J’avais vraiment l’air d’un hurluberlu.
J’allai droit à la photocopieuse en prétextant que celle du bas ne fonctionnait pas bien. J’éprouvai le besoin d’expliquer mon attitude étrange et de trouver une justification à ma présence en ces lieux, mais elles éclatèrent toutes de rire, je ne savais plus où me mettre…
Et là, tandis que, n’ayant rien de précis à photocopier, j’étais en train de scanner bêtement mon permis de conduire histoire de ne pas avoir l’air de… Chris fit soudain irruption dans la petite pièce et, avant que je n’aie le temps de l’en empêcher, elle s’empara de mes papiers et retourna auprès des autres filles.
Avant de les avoir rejointes afin de les récupérer, mon permis avait déjà fait le tour de l’assistance et toutes les femmes avaient pu profiter de mon air d’abruti sur la photo. Les ricanements ne faisaient que s’intensifier. Je lui arrachai mon permis des mains avec un geste de mauvaise humeur et repartis furax dans l’escalier. Une fois de plus, j’étais passé pour un con !
J’étais revenu dans mon bureau et avais rangé sommairement mes affaires, bien décidé à fuir ce cauchemar, mais au dernier moment, alors que j’allais me sauver, Chris me rejoignit. Elle rentra dans la pièce et referma la porte derrière elle en me coinçant à l’intérieur :
Elle était debout devant la porte dans son traditionnel survêtement sans forme, et moi j’étais debout près de mon bureau, les bras ballants, prêt à m’en aller, mais elle me coinçait la sortie, car il n’y avait qu’une issue.
J’étais stupéfait, complètement muet, incapable de répondre. Je n’aurais jamais imaginé qu’un jour une femme me fasse une telle proposition ! Je ne savais pas qu’il existait des femmes qui en étaient capables, je pensais benoîtement que c’était toujours aux hommes de draguer et de faire le premier pas.
Sans attendre ma réponse, joignant le geste à la parole, elle saisit son haut de jogging et le retira d’un geste, elle n’avait pas de soutien-gorge. Deux gros nichons oblongs d’un blanc laiteux immaculé apparurent devant mes yeux ébahis, provoquant chez moi, malgré le stress de la situation, une érection immédiate. J’avais les yeux rivés sur ces obus, ces seins très longs, très blancs qui se terminaient par des aréoles larges et claires et des tétons épais. J’étais réellement fasciné par ces merveilleux appas.
Sans se démonter le moins du monde, elle s’approcha de moi, poitrine en avant, pas gênée pour deux sous, tandis que, de mon côté, je restais impassible, comme pétrifié sur place. Une fois devant moi, tellement proche qu’elle m’en frôlait presque, elle m’invita à les toucher :
Et comme je ne faisais toujours aucun geste, ce fut elle qui me prit les mains et les posa sur ses mamelles.
Je commençai lentement à masser ses gros seins bien chauds. La sensation était douce et agréable et, dans mon pantalon, je ressentis une sacrée trique. Son visage ne me sembla plus désormais aussi bizarre, je lui trouvai même un certain charme.
Tout d’abord timides, mes caresses prirent peu à peu de l’assurance. Je me mis à lui titiller les tétons qui, à force d’être touchés, durcirent entre mes doigts. Elle me regardait en souriant gentiment, en m’invitant à continuer avec un minois enjôleur. Je me mis alors à soupeser ses seins lourds, à les triturer dans tous les sens. Elle sembla apprécier… Plus encore, mes attouchements, visiblement, l’excitaient… elle glissa même sa langue sur ses lèvres en guise de contentement.
Ensuite, je me penchai vers ses outres et me mis à les lui téter. Je les lui malaxai à pleines mains et, en même temps, j’en mordillai ses pointes. J’aspirai ses mamelles une à une, désormais complètement déchaîné sur cette poitrine généreusement offerte. Je m’agenouillai même devant elle pour mieux les lui téter, et je tétai à fond, sans ménagement, j’avais envie de boire son lait, j’avais envie de voir gicler ses gros pis.
Malheureusement, un bruit dans le couloir rompit le charme. Je la reconnus tout de suite à son pas lourd, c’était sa cheffe de service qui la cherchait. Elle l’appela. Le premier réflexe de Chris fut de me demander de continuer malgré tout, mais peu à peu, le bruit se rapprochant, elle comprit qu’il était plus sage d’arrêter là. L’instant d’après, elle remit son jogging, ses seins avaient grossi et ses bouts étaient devenus très longs et tout durs…
De mon côté, je me relevai, juste à temps, la porte s’ouvrit et sa cheffe fit irruption dans la pièce :
Ladite Chris était encore à moitié débraillée, ça se voyait qu’il ne s’agissait pas d’une situation tout à fait normale. Pourtant il lui en fallait beaucoup plus pour se démonter :
Et ce faisant, elle me lança même un clin d’œil discret.
La cheffe me regarda à peine, elle ne devait pas elle non plus avoir une haute opinion de moi.
Je regardai ma montre. Merde ! Il était presque vingt heures, j’allais me faire enguirlander. Je pris mes jambes à mon cou et rentrai chez moi en courant, déçu par ce contretemps, mais heureux malgré tout.
Ce soir-là, tandis que mon père regardait le journal télévisé, moi je pensais à tout autre chose… « Vivement demain soir… », Que je me disais en moi-même. Vivement Chris et ses gros nichons !