n° 00448 | Fiche technique | 6967 caractères | 6967Temps de lecture estimé : 5 mn | 31/05/00 corrigé 07/05/23 |
Résumé: Bubu nous raconte comment Sophie s'est fait sodomiser quelques jours après ses 18 ans ! | ||||
Critères: fh hplusag voisins fellation fdanus init | ||||
Auteur : Bubu.53 Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Les 18 ans de Sophie Chapitre 01 / 03 | Épisode suivant |
Il n’est pas fréquent de rencontrer, du moins pour moi, des femmes avides du plaisir anal.
Ayant eu la chance d’en connaître une, j’ai voulu savoir comment lui était venue cette passion. Après avoir longuement hésité, elle a fini par me raconter son histoire que j’ai enregistrée et que je me fais un plaisir de vous rapporter.
Mes parents étaient tous les deux représentants de commerce, et dès mon plus jeune âge, j’ai été habituée à passer mes semaines chez des voisins qui m’hébergeaient et m’adoraient. C’était un couple (Paul et Annie) sans enfants que ma présence semblait ravir… Les années se sont écoulées ainsi, avec des rituels bien établis. L’un d’eux allait entraîner bien des conséquences…
Chaque soir, après le repas, pendant qu’Annie regardait et ses jeux et son journal télévisé que pour rien au monde elle n’aurait manqués, Paul me prenait sur ses genoux pour me lire des histoires, puis, quand j’ai grandi, m’aider à faire mes devoirs. Mais, attention, jamais le moindre geste déplacé ! Jusqu’au jour où…
Je venais de fêter le week-end dernier mes 18 ans ; si mon corps avait pris des formes, mon éveil sexuel était au niveau zéro si on exceptait quelques baisers volés lors de slows dansés au cours des bals que j’avais pu fréquenter.
Ce soir-là, comme les autres soirs d’ailleurs, Annie était assise dans son fauteuil, absorbée par sa télé. De la table où nous étions, nous n’apercevions que le sommet de sa chevelure dorée et elle ne pouvait nous voir. J’étais assise à côté de Paul ; il me proposa de m’aider à revoir mon cours d’anglais. Rougissant quelque peu, il m’invita à m’asseoir sur ses genoux comme je l’avais fait pendant tant d’années. Sur sa cuisse gauche, devrais-je dire pour être exacte ; sans méfiance, j’acceptais…
Il me taquinait sur ma prononciation trop nasillarde et m’imitait d’une façon si comique que, pris d’un grand fou rire, je partis à la renverse. Pour m’empêcher de tomber, Paul me rattrapa comme il put, c’est-à-dire : sa main gauche empoigna mon bras droit (à me faire mal) pendant que sa main droite se plaquait sur ma cuisse droite. Il me redressa vivement et sa main gauche lâcha immédiatement mon bras, en revanche, il ne bougea pas l’autre main.
Et nous reprîmes notre occupation, enfin, pas vraiment. Si nous regardions tous les deux le manuel posé devant nous, nous ne parlions pas, nous ne bougions pas. Sa main posée sur ma cuisse, sous ma jupe, à quelques millimètres du bord de ma culotte, non seulement me chauffait cette partie de mon corps, mais faisait aussi naître en moi une sensation nouvelle : une douce chaleur qui, nichée entre mes cuisses, irradiait tout mon être.
L’un de nous deux finit par reprendre la parole et nous nous replongeâmes dans la leçon d’anglais. Sa main était toujours là ; je sentis mes joues rougir à me faire mal, mon cœur battre à un rythme inhabituel ; j’aurais pu me lever ou chasser sa main, mais ce moment était si extraordinaire que… j’attendais la suite !
Et pour combler le tout, son index se mit à bouger, d’abord presque imperceptiblement, puis de façon plus marquée. Je crus défaillir quand son doigt se glissa entre chair et coton.
À nouveau, un silence non pas pesant, mais au contraire très doux, s’installa. Son doigt glissa le long de l’élastique. Je vivais un moment merveilleux. Rien que d’y songer à nouveau, ma culotte est toute trempée, comme ce jour-là d’ailleurs ; c’était une sensation nouvelle, troublante et je souhaitais qu’il continue. Ce qu’il fit.
Au lieu de se frayer un chemin vers mon con, il attendit que j’écarte un peu plus les cuisses pour descendre vers mon cul. Son calme et son apparente indifférence m’impressionnaient aussi. J’étais plongée dans un trouble qui me clouait sur place (je ne pouvais imaginer que cet endroit puisse être source de plaisir, je pensais que cela devait être mal, mais en même temps c’était si bon que je souhaitais voir son doigt se rapprocher encore plus de mon œillet).
Patiemment, à en devenir cruel, il avança son doigt et se mit à me caresser les abords de mon petit trou. Quand, à un moment, il remonta son index et l’introduisit dans mon sexe trempé, ce ne fut que pour mieux redescendre humidifier ce petit trou. Plusieurs fois, il entreprit cet aller et retour, et quand il jugea que cela devait être suffisant, je sentis son doigt s’immiscer dans mon cul, lentement, mais inexorablement, sans le moindre à-coup, mais sans s’arrêter.
Paul tourna ses yeux vers moi avec un regard que je ne lui connaissais pas. Il décida alors d’amplifier ses gestes par un va-et-vient progressif, lent et peu profond au départ, puis de plus en plus soutenu, essayant par la même d’enfoncer son doigt le plus loin possible. Il dut sentir que ma jouissance était proche, et craignant que j’aille crier ou gémir, il colla ses lèvres sur ma bouche et mêla sa langue à la mienne pour mon premier vrai baiser, ce qui eut pour effet de me faire jouir immédiatement. J’étais aux anges, j’aurais voulu que ce moment s’éternise. Je planais, j’étais heureuse…
Ayant repris mes esprits, Paul me glissa à l’oreille :
Évidemment, je rougis à nouveau, mais acquiesçai de la tête.
Je voulus me lever, mais il me retint. Ses mains étaient à nouveau sur la table et après avoir tourné la tête en direction de sa femme qui regardait Roger Gicquel présenter le « 20 heures », il prit ma main droite qu’il porta à sa braguette. Ignorante de tout (des illustrations de dictionnaire ne sont guère comparables à un toucher), je ne bougeais pas. Je sentais une masse dure sous le tissu ; il ouvrit lui-même son pantalon. À ma plus grande surprise, il ne portait pas de slip (plus tard, il m’expliquera qu’il attendait ce moment depuis si longtemps qu’il s’était décidé à ne plus porter, le soir, de sous-vêtement, au cas où), sa bite dressée pointait son dard.
Je commençai à le caresser, fascinée par ce gland violacé qui me regardait et qui semblait m’appeler. Paul me glissa à l’oreille :
D’un geste de la tête, je lui montrai Annie.
Malgré la crainte de voir Annie débarquer, je me mis à genoux face à cette grosse sucette que je léchai d’abord du bout de la langue. Paul, posant ses mains sur ma tête, me fit comprendre que je devais modifier ma technique. Il poussa jusqu’à ce que sa queue disparaisse dans ma bouche ; il ne fallut que quelques va-et-vient pour que je sente un liquide m’inonder la gorge. Ses mains m’empêchant tout repli, je dus avaler jusqu’à la dernière goutte de sperme. Le goût ne me déplut pas, surtout qu’après m’être relevée, il m’embrassa fougueusement pour partager les restes de son foutre…
Ce soir-là, j’eus beaucoup de mal à trouver le sommeil, repensant à la dernière phrase murmurée par Paul :
D’où je déduisis que d’autres leçons devraient suivre…