n° 00491 | Fiche technique | 14311 caractères | 14311Temps de lecture estimé : 10 mn | 07/06/00 corrigé 07/05/23 |
Résumé: Sophie retourne réviser son économie chez son voisin. Ils refont l'amour à l'insu d'Annie. Mais est-elle aussi dupe que cela ? | ||||
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Auteur : Bubu.53 Envoi mini-message |
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Le lendemain, en rentrant du lycée, je me sentais toute chose. Paul m’avait interdit le port de la culotte chez eux, et j’étais troublée à l’idée de me promener « cul nu » dans leur maison.
Horriblement mal à l’aise, mais aussi extraordinairement excitée : sitôt franchi le seuil, je gagnai les toilettes pour enlever le vêtement tabou dont l’état témoignait de mon envie quelque peu inavouée de connaître à nouveau les plaisirs découverts la veille.
Quand Paul rentra et s’installa à table pour dîner, il profita de mon premier passage près de lui (Annie, sa femme, s’affairant avec les légumes prévus pour le repas) pour vérifier que j’avais bien obéi à sa demande. Il esquissa un sourire qui me fit littéralement fondre de plaisir, imaginant déjà ma deuxième séance. Le repas me parut interminable et je vis Annie gagner son fauteuil télé avec un profond soulagement… il n’aurait plus manqué que ce soir-là elle eut sacrifié son rituel télévisuel.
Je sortis mon classeur d’économie, comme si nous allions travailler ensemble, Paul et moi, puis je pris place sur sa cuisse gauche. Le contact de ma peau sur son pantalon me fit frissonner. Que dire quand je le vis sortir de son pull une revue dont la couverture était sans équivoque : une femme, évidemment fort belle, chevauchait un homme, suçait un deuxième larron tout en en branlant un troisième. Cette chaleur que j’avais sentie gagner l’ensemble de mon corps, hier, refaisait surface. Alors que je commençais à découvrir cette revue, Paul en profita pour sortir un tube de crème. Je le vis le déboucher, déposer une bonne dose du produit sur son index et glisser sa main sous ma jupe.
Sans hésitation, son doigt atteignit l’endroit de mon premier plaisir connu la veille : mon petit « cul ». Il me massa longuement les abords de l’orifice ; quelle douceur, quelle caresse, quelle volupté ! Il retira sa main, redéposa une autre dose de crème, replaça sa main sous ma jupe, et cette fois, pénétra mon petit trou, lentement, sans heurt. Il reprit son manège plusieurs fois pour mon plus grand plaisir.
Le cochon ! dès qu’il sentait mon plaisir monter, il enlevait son doigt, attendait un peu, puis le replongeait à nouveau. La lecture de la revue n’arrangeait rien à mon émoi et je finis par lui dire :
Pour toute réponse, il me montra une des photos du livre où l’on voyait cette femme se faire enculer. Ce n’était pas possible ; il ne pensait tout de même pas que je sois capable d’une pareille chose. Me voyant hésitante (pour le moins), il me fit lever, ouvrit la braguette de son pantalon, en sortit sa queue. Il me mit le tube dans la main. Comme je devais être rouge ; j’ai le souvenir d’un sentiment de honte mélangé avec celui du péché, interdit, mais qu’on recherche avidement. Je me mis en devoir d’enduire sa queue de crème. Faire glisser mes doigts sur ce bâton de chair qui me semblait continuer de grossir m’émoustillait au plus haut point.
Il me fit signe de m’asseoir sur ses genoux. Je lui montrai Annie du regard ; pour réponse, j’eus droit au sourire de Paul. C’est vrai qu’elle ne quittait jamais son fauteuil avant 20 h 30, mais quand même (plus tard, j’en connaîtrais les vraies raisons). Je crois même, si à l’époque je ne le savais pas, que cette présence apportait un plaisir supplémentaire à mon trouble.
Je ne m’empalai pas sur sa queue, oh ! non. Il me fit pencher un peu en avant, suffisamment pour que, prenant d’une main sa pine, il me la fasse glisser entre mes fesses. Quel moment ! J’en mouille encore, rien qu’à l’évocation de cet instant de suprême délice. Il partait du haut des fesses, s’insinuait entre mes rondeurs, suffisamment pour qu’au passage son gland frôle mon petit trou, puis descende sur les lèvres de mon sexe qui réclamaient son intromission, mais à aucun moment (il me réservait cela pour une autre circonstance), il ne poussa à la porte de mon con. J’avais beaucoup de mal à rester silencieuse, j’aurais voulu crier mon plaisir qui croissait à chaque passage, mais la présence d’Annie m’obligeait à la plus grande prudence : je ne voulais pas voir s’arrêter ce moment de bonheur.
Quand il vit que son plaisir devenait imminent, il pointa le bout de sa queue à l’entrée de mon cul. Il posa ses mains sur mes hanches et, lentement, millimètre par millimètre, serais-je tentée de dire, il me fit asseoir sur sa queue. Quand son gland se trouva bien engagé, il me pressa davantage les hanches pour peser plus fortement sur sa bite ; ce fut le seul moment de douleur quand son sexe dépassa l’anneau de mon petit trou. Ensuite, il resta sans bouger, attendant que je récupère. Ce ne fut pas long ; j’avais, pour être grossière, le « feu au cul ». Je voulais jouir.
Il commença à m’imposer un rythme de montées et de descentes. Je regardais les photos de cette femme sur laquelle jouissaient plusieurs hommes. Ces images m’emportèrent. Comme comble de délice, au moment où l’orgasme s’abattit avec une violence folle sur moi, je sentis mon antre se remplir de son sperme. Nous restâmes ainsi un moment sans bouger, puis son sexe se ramollissant, il me fit lever.
Je me précipitai dans le cabinet des toilettes. Je pris une douche, et je dois l’avouer, je me masturbai à deux mains, l’une devant et l’autre derrière, et jouis insolemment une seconde fois.
Après les avoir embrassés (très chastement), j’allai me coucher.
En deux jours, j’avais découvert le plaisir avec sa montée délicieuse, sa violence presque douloureuse, mais aussi sa plénitude, ce moment de bonheur éternel qui ne dure que… trop peu de temps.
Je ne pouvais imaginer que dès le lendemain mon initiation allait se poursuivre… et de quelle façon !
Mercredi ; je n’avais pas cours l’après-midi. Mes parents partis une nouvelle fois sur les routes françaises pour leur travail, je me dirigeai vers la maison de mon initiateur. Comme un rituel, j’ôtai ma culotte dans les toilettes de leur domicile. Annie était assise à la table de la salle à manger et corrigeait les copies de ses élèves. J’allai l’embrasser.
En moins de cinq minutes, nous étions dans sa voiture filant vers le centre-ville. Je n’avais pu trouver (ou voulu, qui sait ?) le temps de remettre un slip.
Nous fîmes une première galerie marchande, sans rien trouver à notre goût. Pourtant, l’humeur était joyeuse : nous plaisantions sur les tenues de certaines passantes, critiquions les étalages des devantures. Bref, nous flânions, sans but, mais heureuses.
Annie me proposa une seconde galerie, et au troisième magasin, elle s’arrêta net devant une robe rouge adorable.
Avant même que je n’aie pu exprimer mon opinion, elle entra et sauta sur la vendeuse pour réclamer l’essayage de la perle rare.
La cabine était suffisamment grande pour deux et je la vis ôter ses vêtements. Elle s’était placée bien face à moi pour voir ma réaction quand elle ferait glisser sa jupe.
L’effet attendu fut sûrement aussi fort qu’elle l’espérait. J’étais rouge, sans voix. Elle ne portait pas de culotte, elle non plus. Comme si ça ne suffisait pas à me troubler, elle ajouta :
Comment pouvait-elle savoir pour moi ? Le tissu de ma jupe n’était ni fin, ni suffisamment transparent pour laisser entrevoir mes fesses nues.
Par la même occasion, je vis que son minou était entièrement épilé, ce qui me troubla et fit réapparaître cette chaleur connue les jours précédents. Ce con lisse que renforçait la vision de grandes lèvres me troublait ; c’était ma première vision d’un autre sexe féminin et les circonstances amplifiaient mes émotions.
Elle se rendit compte de mon regard appuyé sur son entrecuisse, et elle se justifia :
Je ne savais plus où me mettre. Il aurait suffi d’un seul geste de sa part pour que je lui ouvre les portes de mon sexe.
La robe lui allait à ravir. Annie n’était pas à proprement parler une femme belle, mais elle avait un charme indéniable et surtout un sourire qui témoignait d’une grande douceur. Elle acheta la robe, décida de la garder sur elle, et nous prîmes le chemin du retour.
Pour ajouter à mon trouble, en montant dans la voiture, alors que je m’asseyais, elle sortit de son sac le même tube de crème que celui employé par Paul et me dit :
Je ne pouvais répondre. Je n’osais la regarder. C’était sûr, maintenant, plus de doute, elle savait pour Paul et moi. Nous n’échangeâmes pas un seul mot durant le voyage de retour. De temps à autre, je devinais qu’elle tournait la tête vers moi, attendant un regard, un signe de ma part, mais j’étais comme tétanisée. Je pensais et repensais à ce que je venais de vivre. Et puis, Annie, si elle savait, comment était-ce possible qu’elle accepte ce qui m’arrivait ? Je ne trouvais pas de réponse.
En entrant à la maison, Annie aperçut le petit mot laissé par Paul qui disait qu’il avait accepté la proposition de copains pour une soirée tarot, et qu’il ne rentrerait pas de bonne heure. Annie n’en fut pas surprise ; ce genre de petites escapades arrivait de temps en temps.
Annie, se dirigeant vers sa chambre, me fit signe de la suivre :
Elle l’enleva d’un tour de main, me la tendit. Elle était nue, face à moi, et pas décidée à cacher cette nudité.
Sans réfléchir, presque comme un automate, je me déshabillai à mon tour et saisis la robe pour dissimuler au plus vite mon corps nu. C’était vrai qu’elle m’allait bien, cette robe ! J’eus droit à toutes sortes de compliments de la part d’Annie qui effleurait un bout de peau par ci, une bribe de tissu par là.
Je lui souris et me précipitai pour l’embrasser (sur les joues). Puis j’enlevai la robe.
Annie me regardait. Sa voix était bizarre, moins assurée, quand elle me proposa :
Une nouvelle fois, je fus pétrifiée. Ce jeu, cette mise en scène que je devinais aurait pu, aurait dû me fâcher, mais le démon du sexe était déjà en moi.
Elle en profita pour aller chercher le matériel nécessaire dans la salle d’eau. Elle plaça une grande serviette sur le lit, me demanda de m’allonger dessus. Elle enduisit mon sexe de mousse à raser. Aucune femme n’avait encore posé ses doigts sur moi. Je fermai les yeux, était-ce par honte ou pour mieux sentir la douceur de sa peau se frottant à la mienne ?
Quand je les rouvris, mon minou était lisse comme un œuf, et pour parachever son œuvre, elle prit une pommade qu’elle étala sur la chair irritée par le rasoir. Je ne pus rester de marbre ; je sentis une liqueur s’échapper de mon sexe.
Elle s’allongea à côté de moi, se mit sur le côté et me murmura au creux de l’oreille :
Puis elle se pencha sur moi, me fixa longuement dans les yeux comme pour obtenir l’accord pour ce qu’elle allait faire. Elle me souriait, avec cette douceur que je lui connaissais, mais qui jusqu’à présent ne m’avait pas troublée comme aujourd’hui.
Lentement, je vis son visage s’approcher du mien, ses lèvres frôler les miennes, attendant mon acquiescement ; elle n’eut pas longtemps à attendre… j’ouvris mes lèvres et accueillis sa langue qui, comme une fée d’amour, me transporta dans un orgasme d’une douceur infinie.
Je venais de jouir, et pourtant je voulais recommencer.
De tels mots dans sa bouche n’avaient rien de vulgaire, mais au contraire apportaient un trouble supplémentaire. Elle promena ses mains sur mon corps, m’ouvrant les cuisses, glissant ses doigts vers mon bouton. Je ressentis cette caresse beaucoup plus fortement que quand je me masturbais.
Elle se pencha à nouveau pour m’embrasser. Quand nos langues se séparèrent, je vis mon cadeau. Il était là, au bord du lit, le sceptre tendu vers nos corps enlacés.
Paul monta sur le lit, se mit à me lécher les pieds puis à remonter le long de mon corps tandis qu’Annie effectuait le chemin inverse. Ils se rencontrèrent au niveau de mon sexe, et pendant qu’une langue me fouillait le con, l’autre me titillait le bouton. Annie remonta vers mon visage.
J’avais pourtant un peu peur de ce pieu ; Paul se plaça sur moi, entre mes cuisses. Annie se pencha sur sa bite ; elle le suça tout en me regardant. Elle s’écarta légèrement, prit le sexe de Paul dans une main, s’en servit pour titiller mon bouton, puis doucement le descendit vers mes lèvres qu’elle écarta.
Paul attendit qu’elle soit bien en place, ses mains me caressant le visage, et poussa.
Au cri de surprise plus que de douleur qu’il provoqua, succéda un nouveau moment d’une intensité extrême pour moi que j’ai bien du mal à décrire maintenant. Je ne fus pas longue avant de pousser un cri de jouissance auquel succéda celui de Paul, lâchant son foutre dans mes entrailles. J’étais morte, morte de plaisir, et c’est sans réagir que je vis Annie reprendre en bouche le sexe de son mari jusqu’à ce qu’il atteigne une vigueur suffisante pour la baiser.
Je les vis tout près de moi, s’unir dans un moment de plaisir dont je n’étais pas participante physiquement, mais dont ma présence était évidente.
J’étais dans un état d’apesanteur et je m’endormis ainsi dans leur lit. Qu’allaient me réserver les jours suivants ?