n° 00465 | Fiche technique | 15817 caractères | 15817Temps de lecture estimé : 11 mn | 02/06/00 corrigé 03/03/23 |
Résumé: Ils se sont rencontré sur Minitel. Après leur 3e rencontre, elle l'emmène chez lui et entame un strip-tease torride, ce sera le prélude à de biens chauds moments | ||||
Critères: fh extracon telnet voir exhib fsodo uro | ||||
Auteur : Alain3000 |
DEBUT de la série | Série : Ulla Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Connaissez-vous Ulla ? Non ? « 3615 code ULLA » ! Il s’agit d’une messagerie Minitel permettant des conversations coquines et comportant une rubrique rencontre. Un soir, m’ennuyant, seul à la maison, je rentrais dans cet univers et je commençais à visionner les demandes de rencontre de femmes, esseulées ou en couple, désirant des rencontres plus ou moins variées. Une annonce attira mon attention :
Je suis une femme seule en ce moment ; j’ai un bon niveau intellectuel, j’ai quarante ans, je suis mariée, j’ai un métier intéressant et j’ai un fantasme que j’aimerais assouvir avant d’être vieille : celui de m’exhiber complètement, le plus possible, sous tous les angles et dans toutes les positions devant un homme. Celui-ci devra être sage et se contenter de regarder. Bon niveau souhaité ; il serait bon que l’âge soit en rapport.
Je pris mon courage à deux mains et lui laissai un message sur sa boîte aux lettres :
j’ai bientôt cinquante ans ; je suis cadre d’entreprise ; j’ai deux grands enfants mariés. Moi aussi, j’ai depuis quelques années un fantasme : celui de voir une femme se faire plaisir en dévoilant toute son intimité et même en se masturbant devant moi. Je suis sage, très bien élevé et de confiance. Peut-être aurons-nous la chance de pouvoir assouvir ce fantasme ensemble et nous faire plaisir ? À bientôt, j’espère, et j’ose une bise complice de bienvenue.
Le lendemain, je reçus dans ma boîte le message suivant :
Je suis intéressée par ton message qui m’a donné confiance. Téléphone-moi au… pour prendre rendez-vous dans un café afin de faire plus ample connaissance.
Aussitôt lu, aussitôt fait, et le rendez-vous fut pris sur les Champs-Élysées. C’était le printemps, les femmes commençaient à sortir leurs petites tenues de beau temps, les arbres retrouvaient leurs feuilles, mes yeux ne trouvaient que de belles choses à regarder, bref, il faisait bon. Je la retrouvai à la terrasse du Colisée qu’elle avait choisie comme lieu de rencontre. Je la reconnus de suite tel qu’elle s’était décrite au téléphone : la quarantaine, châtain clair, un petit nez retroussé, des yeux marron clair. Elle avait une jupe longue noire, détonnant avec les jupes courtes de saison que j’avais rencontrées tout au long de ma promenade, un chemisier clair en soie laissait deviner de plantureux seins tenus par un joli soutien-gorge. Elle avait dans ses mains « La mort du petit cheval » d’Hervé Bazin qui était notre signe de rencontre. Elle n’était pas ce que l’on pouvait appeler une femme belle, mais il se dégageait de sa personne une sensualité indéniable. Je m’approchai :
Elle acquiesça et je m’assis en face d’elle. Sa première phrase fut après un temps de silence pendant lequel elle me regarda intensément :
Elle en convint et nous nous rencontrâmes encore deux ou trois fois. Elle me raconta un peu sa vie et moi un peu la mienne. Elle était pharmacienne, mariée à un ingénieur de haut niveau, souvent parti à l’étranger. Il était à l’heure actuelle sur une plate-forme offshore en mer du Nord, au large de l’Écosse ; elle n’avait pas pu avoir d’enfants. Elle me dit qu’elle appréciait mes yeux verts et mes cheveux blonds commençant à grisonner, que j’avais l’air sincère et qu’elle commençait à avoir confiance. Je lui répondis qu’elle était très désirable, intelligente, ce qui était pour moi important et que j’avais hâte de la connaître plus intimement. Comme j’étais marié et que ma femme était à la maison, nous convînmes que nous nous rencontrerions chez elle, ce qui était plus sympathique qu’à l’hôtel.
C’est après notre troisième rencontre qu’elle se décida, et elle m’emmena chez elle. C’était un immeuble cossu du huitième arrondissement. L’appartement était meublé simplement, mais avec goût : dans le salon, il y avait un grand canapé trois places, en cuir, avec deux fauteuils, au centre une belle table ronde mi-basse en chêne ciré et une très belle cheminée moderne enserrée dans le mur et cerclée de métal, une bibliothèque bien fournie, des peintures – huiles et aquarelles – marines au mur, quelques bibelots. Elle servit à boire et, très rapidement, demanda :
J’acquiesçai de la tête. Aussitôt, elle enleva le col roulé beige qu’elle portait ce jour-là, dégrafa son soutien-gorge et se trouva devant moi, torse nu avec en dessous sa jupe longue noire tombant sur ses escarpins noirs. Ces deux seins étaient beaux, même s’ils tombaient un peu, laiteux avec les aréoles brunes et les tétons qui commençaient à durcir. Elle les tenait à pleines mains par-dessous en les caressant et en remontant ses mains du ventre vers les seins et en s’arrêtant sur ses petits bouts roses qu’elle pinssouillait et faisait bander. Elle les mettait jusque sous mon nez et je commençais à sentir des frissons dans mon slip. Malgré l’envie pressante que j’avais, je ne la touchai pas, mais peut-être ma respiration se fit-elle plus rapide. Elle continua à se caresser les seins et le ventre pendant plusieurs minutes et semblait y prendre un plaisir intense ; quelquefois, elle prenait sa tête dans ses deux mains, faisait monter ses cheveux en l’air et laissait voir ses aisselles bien rasées. J’avais une folle envie de la prendre dans mes bras et je sentais l’usine que j’avais entre les cuisses démarrer sa production avec une intense énergie. Je savais qu’à un moment ou à un autre je ne pourrais plus tenir et que je devrais me déboutonner et me masturber, mais je voulais durer le plus longtemps possible. Tout d’un coup, elle dégrafa sa jupe qui tomba à ses pieds et se retrouva quasi nue avec juste un petit slip transparent. Elle le garda et se retourna pour me montrer ses fesses qui étaient plus que généreuses. Elle se pencha en avant et se baissa pour exposer sa grande raie visible au travers de son slip, juste en face de mon visage. J’étais aux anges et en enfer… Elle se retourna brusquement, se releva, enjamba sa robe et baissa son slip qu’elle enjamba aussitôt et se montra de face ; je vis alors qu’elle était entièrement épilée.
J’avais la gorge sèche :
Elle était complètement nue, juste avec ses escarpins qu’elle enleva en les jetant l’un après l’autre au bout de la pièce d’un grand coup de jambes. Elle grimpa sur la table basse, se mit accroupie, les fesses en l’air, devant mon visage. Je voyais ses deux grosses belles choses lisses, rebondies, avec en dessous les lèvres qui dépassaient. Je me mis à bander suffisamment fort pour avoir mal et ma bite ne trouva plus de place dans mon slip trop serré pour cet effort. Elle écarta ses fesses et je vis son petit trou marron, adorable, bien serré avec quelques petits poils autour. Je vis aussi sa vulve qui suintait abondamment. Elle se retourna et s’assit, pieds et fesses sur la table, elle écarta ses jambes :
Sa voix à elle aussi chevrotait, et avant que je ne lui réponde, elle commença à se masturber en dégageant bien ses lèvres et en titillant son clitoris qui, lui aussi, bandait abondamment sous mes yeux. C’était la première fois que je voyais cet endroit de plaisir travailler ainsi d’aussi prêt. Elle mettait souvent deux doigts au fond de son vagin et une liqueur commençait abondamment à couler devant mon nez et ma bouche. J’avais envie de lécher, de sucer, de goûter, de gober.
Je baissai mon pantalon et mon slip, et ma bite en profita pour s’étendre au maximum : elle était énorme, comme rarement elle avait été, dure, le gland était rouge et luisant et la grosse veine bleue sur le côté était turgescente à souhait. Elle la vit et se frotta encore plus vite et plus fort, puis elle se retourna, écarta ses fesses, mis un doigt dans son cul et me cria :
Sans réfléchir – on ne réfléchit pas à une telle invitation, surtout dans l’état où j’étais –, je présentais ma bite devant cette admirable petite ouverture qui se présentait à moi, elle était déjà toute lubrifiée par des sécrétions abondantes. D’un grand coup, je vainquis la petite résistance. Mon gland, en la pénétrant, ressentit une jouissance immense et, avec ma verge massée comme elle l’était par son sphincter qu’elle resserrait au maximum, j’allais éjaculer dans les secondes suivantes. Elle remuait son cul comme une dingue et je déchargeai pendant ce qui me sembla être une éternité, heureusement, elle aussi avait son orgasme et cria très fort son plaisir. Elle dégagea son cul de ma bite, descendit de la table, prit ma bite encore un peu raidie et la mit dans son con, puis elle me poussa sur le canapé, enleva mon slip, mon pantalon que j’avais encore aux pieds, et elle s’allongea, me demanda de venir sur elle tête-bêche, et commença à aspirer ma bite. J’avais encore mal, car je venais de décharger, mais sa façon de sucer faisait passer ma douleur. J’avais face à moi son con et son cul que je me mis à sucer avec frénésie, je bus mon sperme coulant de son cul avec un plaisir dont je ne me serais pas cru capable, j’avalai ses sécrétions vaginales, enfonçai mes doigts au fond de son vagin pendant qu’elle continuait sa succion et je sentis que je rebandais. À cinquante ans, une deuxième bandaison, même pas dix minutes après la première, était fantastique. Je me mis à adorer son cul, son con rasé, ses petites et grandes lèvres que j’aspirai tour à tour dans ma bouche, je fis avec ma langue un ménage fantastique et si rien ne coulait plus de son cul, une inondation se préparait de l’autre côté. J’eus un moment de lucidité et pensai au canapé en cuir… mais je perdis à nouveau la tête, car j’allais éjaculer dans sa bouche. Elle sembla avaler avec délectation, lécha pour ne rien perdre. Je sentis qu’elle était prête elle aussi à l’orgasme, aussi je mis un doigt au fond de son cul pendant que mes dents, tout doucement, mordillaient son clito. Au bout de quelques secondes, elle poussa un grand cri et de grands jets de liquide arrosèrent mon visage… elle aussi avait éjaculé de toutes ses glandes.
Pendant un moment, nous ne nous dîmes rien, puis je me retournai et, pour la première fois, goûtai à ses lèvres encore pleines de moi, alors qu’elle devait sentir son jus que j’avais encore sur mon visage et autour de ma bouche. Enfin, elle me dit :
Je la rassurais et lui dis que c’était la première fois que j’avais une expérience extraconjugale et que je n’avais jamais eu de maladie vénérienne. Cette expérience avait été pour moi merveilleuse, j’avais baisé comme à vingt ans et avais eu un plaisir intense et prolongé, elle avait réussi à me faire bander deux fois de suite ce qui ne m’était pas arrivé depuis des décennies.
La salle de bains était très moderne et bien agencée, avec une belle baignoire rose pâle encastrée, deux lavabos contigus ainsi qu’une douche indépendante. Nous nous retrouvâmes sous l’eau chaude, l’un contre l’autre, ses seins tout contre moi et son ventre contre le mien. Je la serrai comme dans un spasme et l’embrassai fougueusement. Mes mains prirent ses cheveux mouillés, descendirent sur sa nuque ; elle ne disait rien et semblait prendre un plaisir silencieux intense. Elle était détendue, béate, sa bouche était souriante et elle courba sa tête en arrière quand elle me sentit lui caresser la nuque. Je lui caressais le dos puis ses fesses que j’écartai pour retrouver son petit trou qui m’avait donné tant de plaisir. Ma langue était toujours dans sa bouche et travaillait abondamment la sienne. Nos visages se décolèrent et je commençai à embrasser son cou, puis je m’attardai sur ses seins, son ventre rebondi, son pubis sans poils, et sa vulve mouillée à la fois par la douche et par son plaisir qui renaissait. Elle me dit :
Et je reçus sur moi en plus de la douche chaude un jet tiède qui m’inonda le visage, les cheveux, la bouche même. Oui, je crois que j’en bus, et voir ce jet sortir par saccade de ce petit trou sous le clito me refit bander une troisième fois. Ensuite, je la léchai abondamment, aspirai son clito, ses lèvres. Je m’attardai sur son trou du cul que j’aimais décidément de plus en plus, j’enfonçai ma langue le plus à l’intérieur, puis, n’en pouvant plus, je la retournai dans la douche et lui demandai de se baisser en chevrette pour la prendre par derrière, mais dans sa vulve et non dans son cul. Cette étreinte fut longue. J’avais mal, mais mon plaisir était grand. J’avais de quoi faire durer. Mes mains la soutenaient par-dessous ses seins et j’enfonçais ma pine et la retirais lentement, mais avec ardeur comme un archet de violoncelle dans le mouvement lent d’une pièce pour violoncelle seul de Bach… Enfin, elle me dit :
J’accélérai le mouvement, elle cria avant que je décharge et ce fut encore l’extase.
Je l’embrassai tendrement, la lava, la rinça, la sécha, l’embrassa encore. Nous nous habillâmes tous les deux sans un mot, mon dernier baiser fut pour ses pieds que je trouvais des plus mignons. Nous savions que nous allions devoir nous quitter.
Je l’embrassai de nouveau et partis.
À suivre…