n° 00466 | Fiche technique | 17830 caractères | 17830 3140 Temps de lecture estimé : 13 mn |
03/03/23 corrigé 03/03/23 |
Résumé: La suite du précédent. Il retrouve Marie-France et ils sont prêts tous les deux à aller jusqu'au bout de leur fantasmes. | ||||
Critères: fh extracon telnet voir exhib fsodo hgode uro | ||||
Auteur : Alain3000 |
Épisode précédent | Série : Ulla Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
La vie reprit son cours : le boulot quotidien ; les enfants un dimanche de temps en temps ; et une petite baise avec ma femme une à deux fois par semaine, maximum… plutôt une à deux fois par mois. Lors de ma douche matinale, je pensais souvent à celle que j’avais prise avec Marie-France et ça me faisait bien souvent bander. Quand j’avais un peu de temps, je me masturbais en pensant à elle, une main faisant le va-et-vient sur ma verge ensavonnée et l’autre avec un doigt dans le cul. J’aimais cette sensation de cul rempli, mais je n’avais jamais été attiré par les hommes et me contentais d’un doigt ou d’un autre objet comme d’un manche arrondi de brosse enduit de vaseline. Le dimanche, ma femme et moi prenons un bain ensemble. Je me rappelle les séances, superbes, lors desquelles je la suçais dans l’eau et où, après avoir eu son plaisir, elle me masturbait et aimait recevoir le sperme en jet sur son joli visage pour ensuite se l’étaler partout… Je devais alors la lécher « pour la faire propre », disait-elle. Actuellement, c’était passé et nous vivions avec l’habitude et la fatigue quotidienne. Ma libido était bien basse, je l’avais même crue morte… ce qui m’avait donné l’envie de tenter l’expérience passée avec Marie-France. Bref, c’était reparti et plusieurs semaines passèrent, peut-être même un trimestre entier de cette façon.
Un jour, au bureau, je reçus un appel et reconnus la charmante Marie.
Je la retrouvai le lendemain. C’était la fin de l’été, il faisait encore beau et une foule bigarrée et peu vêtue, quelques hommes, même en short, se pressaient sur la grande avenue. Elle était déjà là : elle avait changé de coiffure, coupé ses cheveux qui étaient plus courts avec des mèches blondes. Elle portait un tailleur jaune paille sur un corsage en soie blanche échancré qui laissait deviner la naissance de ses beaux seins, elle avait un simple collier de métal doré avec une breloque représentant un éléphant. Nous nous embrassâmes tendrement comme de vieux amis. Nous ne nous étions vus qu’une fois, mais la rencontre avait été si intense que j’avais l’impression de l’avoir toujours connue, alors que je ne savais très peu de choses de sa vie. Elle sirotait un diabolo grenadine et lisait Libération.
Je sentis dans son regard une lueur amusée.
Je suis sûr qu’à ce moment-là mon visage devint rouge et je fus presque déstabilisé. Je réfléchis un moment et je décidai de répondre franchement.
Je décidai de tout dire :
Je regardai mon carnet :
Je sonnais donc chez elle deux jours après. Elle m’ouvrit couverte seulement d’un peignoir de sortie de bain blanc très épais, dans lequel elle était emmitouflée. Elle sentait l’OBAO et s’était faite horriblement désirable. Elle me mena dans son salon, me fit asseoir et m’offrit un bon verre de whisky, dix-huit ans d’âge. Nous parlâmes de choses et d’autres, et quand nos verres se retrouvèrent vides, elle me dit :
Elle s’approcha de moi, ôta ma veste qu’elle accrocha soigneusement au dos d’une chaise, déboutonna ma chemise qu’elle retira et mit sur la veste, puis elle s’attaqua à ma ceinture de pantalon qui résista un peu, et toujours sans un mot elle baissa la fermeture éclair de la braguette, descendit le pantalon jusqu’à parterre puis baissa mon slip. Je ne bandais pas encore, mais j’avais des frétillements dans les bourses et la verge. Je me retrouvai avec mes chaussures et mes chaussettes, torse nu, le slip et le pantalon en ressort sur mes pieds. Elle se baissa, son visage effleura ma bite qu’elle fit semblant de ne pas voir. Elle me fit asseoir les fesses nues sur le canapé, délaça mes chaussures, les enleva à tour de rôle ainsi que les chaussettes, puis enleva le slip qu’elle rejeta au loin, ainsi que le pantalon qu’elle plia sur une autre chaise. Elle me fit mettre debout.
Je m’exécutai et me retrouvai à poil… c’est le cas de le dire. Elle me regardait de tous ses beaux yeux.
J’avais l’impression d’être à la foire aux bétails, mais ce n’était pas désagréable.
Je montai sur la table basse.
J’étais décidé à tout accepter.
Elle s’absenta, revint avec un Philips Shave pour femme et, en écartant mes fesses, elle me rasa. J’espérais en moi-même que ma femme n’allait pas remarquer ce changement intime.
Et elle alla chercher dans un tiroir de la bibliothèque un superbe godemiché en bois, probablement en olivier. Cette bite était bien plus grande et grosse que la mienne, elle devait faire dans les vingt à vingt-cinq centimètres.
Je trouvais cette conversation irréaliste : moi, bandant comme un cerf, allongé sur une table comme un bébé qu’on s’apprête à langer, à poil devant une dame bien enfermée dans son peignoir qui me parlait de peinture.
Je ne la connaissais pas encore. Elle était cossue, une armoire moderne ainsi qu’un grand lit double faisaient un bel ensemble, il y avait un beau miroir au mur et, dans un coin, un autre sur pied à orientation variable.
Et hop, d’un coup, elle me l’enfonça. Je ne bandais plus, mais sentir cet énorme truc dilater mon cul me fit dresser la bite… En même temps, je poussai un cri, peut-être à la fois de douleur et de plaisir.
Pendant que je me branlais, je la voyais me regarder dans la glace qui était face à moi, et par le jeu de miroir, j’observais le gode pénétrer et sortir de mon cul dans ses doigts agiles. Cette grosse bite massait ma prostate, à chaque coup j’avais une jouissance intense et commençais à comprendre le plaisir qu’éprouvaient les homos en s’enculant.
J’étais sur elle, le gode dans le cul, debout, et elle se pencha pour voir le méat de ma bite et son gland rouge et luisant. J’explosai sur elle. Elle en eut plein le visage, les yeux et la bouche.
Et je lui léchais tout mon sperme pendant qu’elle retira le gode de mon derrière pour se l’enfourner dans le con. Son peignoir était grand ouvert, je le lui enlevai. Elle était debout et je pouvais voir le gode entrer et sortir de son con, et en même temps, ses fesses rebondies dans la glace.
Elle explosa elle aussi. Et nous voilà tous les deux nus, l’un face à l’autre, après cette séance de masturbation plutôt bien réussie.
On se retrouva dans la baignoire vide qu’elle commença à remplir, elle allongée au fond, et moi accroupi avec son corps entre mes jambes. Je dus attendre un peu avant de pouvoir pisser, car j’avais la prostate encore gonflée par ma dernière jouissance, mais cela vint et je l’arrosai. Elle prit elle-même ma pine et s’amusa à projeter la pisse partout sur elle comme avec un jet d’arrosage, ensuite, elle l’embrassa et la suça un peu comme pour dire merci, puis nous restâmes dans le bain chaud sans un mot, à récupérer. On sortit du bain et elle me dit :
Elle me fit asseoir sur son tabouret de salle de bains face à la glace et commença à entreprendre ma pine qui était devenue assez petite et rabougrie après le bain. Elle l’avala d’abord dans sa bouche, puis goba les testicules qu’elle suça abondamment. Ma bite restait quand même assez petite… elle n’eut pas l’air de s’en soucier et commença à me masturber en faisant passer mon gland entre le pouce et son index qui formait un trou. Le va-et-vient de cette friction contre le sillon du gland et de la verge me donnait de bonnes sensations et je sentais que je n’allais pas tarder à rebander. Elle continua son petit manège. Quand elle sentit l’engin durcir, elle s’écria fièrement :
Et elle continua de plus belle à masser ma verge en entrecoupant son action avec des succions du gland, des avalages de testicules, et autres… Je me laissai faire, cette masturbation dura longtemps et mon gland commença à devenir douloureux. Elle n’en perdait pas une miette, attentive à regarder les transformations qui s’opéraient, et quand elle me vit commencer à me trémousser sur le tabouret, elle prit ma pine entièrement dans sa bouche. Je sentis sa langue faire le tour du gland ainsi que du sillon, et elle but mon sperme avec délectation avant de m’embrasser fougueusement.
Je me retrouvai tout contre elle dans son grand lit. Elle était chaude, tremblante et je la sentais triste.
Et elle sanglota.
Je la pris dans mes bras et l’embrassai tendrement. Elle se retourna sur le dos, mit la tête dans ses bras comme pour pleurer, mais elle n’en fit rien. Je lui embrassai la nuque, puis ma langue parcourut son dos, s’arrêta longuement sur ses fesses, sans les écarter, mais avec une infinie tendresse, descendit encore embrasser ses cuisses, ses jambes puis enfin ses pieds si délicats. Je remontai ensuite doucement, ma langue et ma bouche refirent le chemin inverse et, arrivé à sa nuque, je la retournai et l’embrassai à nouveau longuement.
Elle m’embrassa à nouveau tendrement.
J’acquiesçai, puis nous nous séparâmes à nouveau après un tendre baiser, mais avec une grande tristesse au cœur…