n° 00623 | Fiche technique | 10196 caractères | 10196 1818 Temps de lecture estimé : 8 mn |
07/05/23 corrigé 07/05/23 |
Résumé: Annie et Sophie vont à la piscine. | ||||
Critères: ffh fbi hplusag voisins piscine intermast fellation cunnilingu fsodo | ||||
Auteur : Bubu.53 Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : Les 18 ans de Sophie Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Contrairement à ce que j’avais imaginé, les jours suivants furent bien calmes : mes parents et mes règles étaient de retour (sans commentaires).
Paul et Annie, mes initiateurs étaient partis précipitamment dans leur famille (histoire d’héritage, d’après mes parents). Ce n’est que la semaine suivante qu’ils revinrent ; j’étais impatiente et, je dois le dire, tout émoustillée de les retrouver. Comme mes parents eurent la bonne idée de reprendre leur périple professionnel sur les routes de France, dès le lundi soir, je me retrouvai chez Paul et Annie.
C’est Annie qui m’accueillit. Dès qu’elle me vit, elle leva le nez de ses copies et me tendit les bras. Je me précipitai vers son bureau et me penchai sur elle. J’ai encore en mémoire le goût suave et parfumé de nos baisers… chaque fois, elle me plaçait une main derrière ma tête, au-dessus de ma nuque, comme pour me retenir, enfonçait sa langue au plus profond de ma bouche, mais sans la moindre brutalité, puis l’enroulait autour de la mienne, avant de la rentrer dans sa bouche, attendant que je lui rende cette caresse buccale.
Elle me prit sur ses genoux et m’avoua :
Je rougis, mais ne pus répondre. Elle sembla réfléchir quelques secondes puis me proposa :
Ses yeux avaient pris une expression bizarre, comme celle que j’avais lue avant nos ébats amoureux. Qu’avait-elle en tête ? C’est mon corps qui s’exprima par ma bouche :
N’attendant pas ma réponse, elle m’emmena dans sa chambre choisir celui qui me conviendrait. Je crois me souvenir que c’était un deux pièces d’un rouge très vif. Elle profita du fait que j’étais penchée sur le lit pour examiner les vêtements, pour soulever ma jupe.
J’espérais tant qu’elle pose ses mains sur moi, mais elle ne me toucha pas. Elle constata mon sexe fraîchement rasé et mon absence de culotte, et c’est tout.
Une demi-heure plus tard, nous étions dans l’eau. Manifestement, nager ne semblait pas être sa préoccupation. Alors que j’avais accompli un aller et retour dans le bassin, elle n’avait pas quitté le bord. Elle regardait dans toutes les directions. Quand je m’approchai d’elle, elle me glissa :
Comme je faisais l’étonnée, elle ajouta :
Et comme pour vérifier son affirmation, elle glissa sa main dans mon slip de bain.
Je la vis quitter le bassin, récupérer nos serviettes et se diriger vers le coin opposé où était assis, sur un banc, un garçon apparemment guère plus âgé que moi. Elle s’assit à côté de lui. Ils conversèrent quelques minutes ; de temps en temps, je les voyais rire. Il me sembla qu’à un moment elle le fit rougir, mais je me dis que je devais me tromper. C’est alors qu’elle me fit signe. Je sortis de l’eau pour les retrouver. À mon approche, ils se levèrent et, sans un mot, je les suivis. Qu’avait-elle pu lui dire ?
Tandis que nous regagnions les vestiaires, Annie tourna sur sa droite et nous ouvrit la porte d’un lieu dans lequel je n’avais jamais mis les pieds. Elle nous laissa entrer puis referma à clé la porte derrière elle. C’était un vestiaire, sûrement peu utilisé à voir le tas de matériel qui y était entreposé.
Elle dut deviner mon étonnement de la voir en possession de cette clé, car elle précisa, en nous la montrant :
Elle le laissa planté au milieu de la pièce et me tendit l’une des serviettes :
J’obéis à son ordre. J’essuyai Luc, en passant un peu plus lentement sur la bosse que faisait son slip de bain. Annie ne me laissa pas continuer le jeu longtemps.
Je ne me faisais pas au fait qu’Annie puisse prononcer de tels mots, et je crois que ce vocabulaire entre ses lèvres décuplait mon plaisir, faisait-elle exprès ?
Inutile de dire que Luc et moi étions rouges comme des pivoines. Il avait l’air quelque peu godiche comme ça, devant nous, mais la suite que je savais imaginée par Annie ne me poussait pas à rire.
Luc baissa les yeux, mit sa main dans son slip, en sortit son sexe, raide comme le bois, mais qui, ma foi, était loin d’être de la taille de celui de Paul.
Le garçon ne se fit pas prier et commença un manège qu’il avait sûrement l’habitude de pratiquer.
Et elle se leva. Elle alla se placer derrière lui, se déshabilla, et vint se coller contre lui. Elle se mit à l’embrasser dans le cou et je vis l’une de ses mains glisser le long de son corps pour atteindre le membre qu’elle décalotta avec la lenteur d’une supplicière. Son autre main partit vers la bouche du garçon, elle y introduisit un doigt qu’elle fit aller et venir comme un sexe, le retira, et sa main disparut entre les fesses de Luc. Elle me fit signe d’approcher, de m’agenouiller devant Luc.
À son tour, elle s’agenouilla, mais derrière Luc, et nous nous mîmes en devoir de le sucer ; malheureusement, le jeu tourna court, car il lâcha très vite son foutre, foutre dont je ne perdis pas la moindre goutte. J’aurais tant aimé retrouver la chaleur d’une bite (qui n’était pas très grosse, il est vrai) dans mon cul.
Comme Annie voyait mon désappointement, elle me dit :
Elle me mit carrément dans les bras de Luc qui ne se fit pas prier pour m’embrasser.
Annie s’était à nouveau collée contre Luc :
La bouche pleine, je ne pouvais répondre et c’était aussi bien comme ça. Par contre, je sentais tout contre moi se dresser la bite de Luc.
Annie, voyant que Luc avait retrouvé toute sa virilité, alla s’asseoir, non sans avoir disposé sur le sol l’un des tapis de bain présents.
Ainsi fut fait. Annie et moi, nous nous regardions dans les yeux pendant que Luc prenait un plaisir évident à me tripoter cul et con. Annie ouvrit ses cuisses, tout en me souriant. Elle n’eut rien à dire ; ce sourire fut comme un signal pour que je glisse ma tête dans cette brèche. Je me retrouvai entre les cuisses d’Annie, lapant le jus qu’elle m’offrait (encore un parfum que ma mémoire a conservé).
Elle poussait par instants ma tête pour que ma langue descende plus bas vers son œillet, ou, au contraire, la tirait pour que mes lèvres s’occupent de son bouton. Luc ne restait pas inactif : le manège imposé par Annie était exécuté avec conviction, c’est le moins que je puisse dire. Je sentais son doigt s’introduire le plus loin possible en moi, et je sentis la jouissance approcher quand Annie lui intima l’ordre de le faire avec encore plus de lenteur. Un délice !
Et je l’entendis lui dire :
Et c’est ce qu’il fit ; sa liqueur explosa en moi bien après que j’eusse explosé à plusieurs reprises.
Je repris réellement conscience qu’une fois installée dans la voiture qui nous ramena vers la maison.
Ma façon de la regarder suffit à la convaincre que oui.
Et les mois qui suivirent me permirent de parfaire cette pratique « culière » que j’avais découverte et que depuis j’adore plus que tout !