n° 00629 | Fiche technique | 12652 caractères | 12652Temps de lecture estimé : 9 mn | 02/07/00 corrigé 06/03/23 |
Résumé: Séparé depuis quelque temps, il s’inscrit dans une agence matrimoniale. Les ébats sexuels ne sont pas pour lui déplaire... | ||||
Critères: ffh fbi lunettes voir noculotte intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : L'agence matrimoniale Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Séparé depuis quelque temps, je multipliai aux fins d’animer ma vie sexuelle les rencontres avec des personnes plus ou moins délurées. Fort occupé par une profession dévoreuse de temps, j’avais de moins en moins l’occasion de consacrer les heures nécessaires à convaincre lesdites personnes à partager quelque chose de plus… consistant qu’une aimable conversation. Bref, je manquai de capacité d’investissement dans la drague dès lors que celle-ci s’analysait en une cour assidue avant de pouvoir glisser la main ou autre chose dans une culotte disposée.
Par ailleurs, la fréquentation épisodique de clubs de rencontres « hot », si elle permettait souvent de concrétiser quelques contacts sans cérémonie et autres fantasmes coquins, me privait d’une relation plus approfondie avec les personnes dont les désirs sans lendemains s’accouplaient aux miens. L’idée me prit donc de rechercher une relation plus durable en m’affiliant auprès d’une agence matrimoniale de renom.
Le choix ne fut pas aisé et je passai plusieurs coups de téléphone avant d’en retenir une qui me paraissait répondre à mon souhait. Des informations discrètes me laissaient entendre qu’on y pratiquait des méthodes originales et efficaces pour faire se rencontrer des personnes convenant aux souhaits recherchés. Je fus agréablement surpris de constater immédiatement que mon profil se révélait particulièrement attractif (bel homme 35 ans, profession libérale, aisé) et qu’il semblait exister une multitude de femmes adhérentes à l’agence recherchant une relation de qualité, à défaut du prince charmant ou de l’âme sœur.
Il me fut rapidement accordé un premier entretien. Tandis que je patientai dans la salle d’attente, je m’efforçai d’écouter la jolie secrétaire qui m’avait reçu. Celle-ci m’adressait des regards d’évaluation que je ne savais interpréter, du moins pas encore.
Je vis alors une porte s’ouvrir et une femme de quarante-cinq ans environ, les cheveux blonds, une poitrine manifestement avantageuse, vêtue d’un tailleur de qualité, la veste ouverte sur un chemisier de soie au décolleté échancré, de collants ou de bas et d’escarpins élégants. Elle me fit installer dans un confortable siège en face de son bureau, s’assit elle-même à sa place habituelle, chaussa de charmantes lunettes et me remit un petit dossier. Après quelques mots de bienvenue, elle prit note de mon souhait d’inscription et me remit une plaquette avec les diverses conditions.
Elle me regarda par-dessus ses lunettes.
Elle sourit en démarrant son interrogatoire. Elle cochait les réponses à mesure. Nous commençâmes par diverses questions me concernant, ma personnalité, mes qualités, mes défauts, puis continuâmes par mes goûts, mes centres d’intérêt. Elle me demanda ensuite quelle catégorie de femmes je souhaitais rencontrer, si j’avais des exigences sur le physique, l’âge, le statut social, les qualités recherchées, etc.
Je répondis aussi vaguement que possible en assurant que j’étais prêt à rencontrer celles avec qui j’aurai des affinités, sans exiger de critères éliminatoires.
Elle leva le sourcil en entendant ce dernier mot.
Elle appuya sur la touche de son interphone :
Elle me sourit.
Elle me regarda d’un air appréciateur avec un sourire aux lèvres. La porte s’ouvrit et la jolie secrétaire brune qui m’avait reçu entra, vêtue d’une robe bleue avec un décolleté carré. Elle referma la porte du bureau, s’approcha de mon siège.
La patronne de l’agence prit son bloc, un crayon, et s’apprêta à cocher des cases. Je fus tout de même surpris lorsque Mélanie s’accroupit devant moi, ce qui me permit de voir immédiatement ses cuisses, ses bas dim-up, et à ma grande stupéfaction, la touffe découpée de son pubis et les lèvres rasées de sa minette. La coquine ne portait pas de culotte.
Aussitôt, elle posa la main sur ma braguette et entreprit de la dégrafer.
Mon intention n’était nullement de résister et je réagissais rapidement à cette situation inédite en sentant mon érection progresser, surtout que Mélanie avait maintenant une main dans ma braguette et serrait mon sexe par-dessus le slip. Elle défit bientôt ma ceinture, ouvrit mon pantalon et extirpa de mon slip tendu une queue déjà bien excitée qu’elle montra à sa patronne, laquelle l’estima en la regardant plusieurs secondes et cocha une case sur sa feuille.
Baissant mon slip complètement, Mélanie commença à me caresser, me masturber. Soupesant mes bourses, elle avança son visage, et après quelques petits coups de langue sur mon gland, entreprit une fellation.
Elle suçait très bien, avec dextérité, ardeur, expertise et gourmandise. J’observai sa bouche et ses lèvres sur la hampe de ma queue maintenant énorme. Elle me prenait très loin dans sa bouche, alternant l’aspiration de la bite avec des coups de langue sur le gland et les couilles.
Je la laissai faire, naturellement, et jetant un œil à sa patronne, je vis que celle-ci avait remonté sa jupe, son tailleur, et avait glissé une main entre ses cuisses. Elle portait également des bas avec un porte-jarretelles. Je voyais les jarretelles rouges sur la peau blanche de ses cuisses. La coquine se caressait doucement d’une main, d’un doigt, frottant son ongle sur le tissu de sa culotte de dentelle.
Mélanie poursuivait sa fellation et engloutissait mon engin dans sa gorge aussi profondément qu’elle pouvait. Après quelques minutes de ce traitement, elle se releva et vint s’appuyer, la robe relevée jusqu’à ses hanches, les fesses sur le bord du bureau, m’offrant la vue de sa jolie chatte, m’invitant à y goûter. Je ne me fis pas prier, surtout que la patronne m’encouragea d’un geste. Je me penchai donc pour poser ma bouche sur l’abricot de Mélanie, laquelle, souriante, écartait au mieux ses cuisses pour me permettre de la lécher.
Je commençai ainsi un savant cunnilingus. Il faut dire que j’adore lécher une jolie chatte. Le sexe de Mélanie était très agréable ; sa mouille, douce et abondante.
Je sentais le regard de la patronne derrière moi qui observait son client lécher sa secrétaire gémissante et ondulante sous ma bouche et ma langue qui fouillait cette belle chatte humide.
Aussitôt, Mélanie se releva légèrement et se retourna ; les mains appuyées sur le bureau elle m’offrit ses fesses. Elle souleva le couvercle d’une boîte et me tendit un préservatif que j’enfilai rapidement. Elle prit de sa main ma queue pour la mettre dans sa chatte.
Tandis que j’enfilai en levrette la belle chatte épilée de Mélanie, penchée sur le bureau de sa patronne, celle-ci, assise sur son fauteuil pivotant de cuir, les jambes écartées et la jupe de son tailleur remontée, se caressait impudiquement. Je matai ses cuisses capiteuses gainées de bas gris et sa main qui bougeait de plus en plus vite dans le string déformé.
Mélanie gémissait du plaisir de sentir au fond d’elle ma queue dure qui la pistonnait vigoureusement alors que je pelotai ses fesses fermes et offertes.
Je continuai de fourrer la secrétaire qui appréciait visiblement le traitement en tendant ses fesses pour bien prendre ma queue dans tout son fourreau.
Je poursuivis mes va-et-vient entre les cuisses accueillantes de Mélanie et sentis le plaisir monter, excité par cette femme près de moi, impudique sur son siège, qui se touchait la chatte en matant son client baiser sa secrétaire. Je ne savais qui était la plus cochonne des deux.
Je sortis du sexe de Mélanie et m’avançai vers sa patronne. Elle prit ma queue d’une main, retira habilement la capote et m’attira vers elle. Elle me prit dans sa bouche.
Debout devant ces deux coquines, je me faisais sucer la queue. Elle le faisait bien la patronne, j’appréciais son doigt qui glissait sur ma raie pour m’exciter l’anus en même temps qu’elle pompait mon dard turgescent et excité.
Je sentais monter le plaisir en moi et ma suceuse aussi. Elle m’aspirait à fond maintenant, serrant ma bite de ses lèvres, massant mes couilles, excitant mon cul.
Quelques secondes plus tard, j’éjaculai dans sa bouche. Elle serra les lèvres, ne laissant rien échapper, déglutissant mon sperme à mesure des jets qu’elle recevait. Elle jouissait en même temps sous la bouche de Mélanie qui lapait sa moule.
Elle pressait ma queue de sa main pour tout faire sortir, goûtant son plaisir personnel.
Nous reprîmes nos esprits après quelques minutes. Mélanie rabattit sa robe avant de regagner son bureau comme si de rien n’était.
Je regardai ses cuisses gainées des jolis bas excitants qu’elle avait resserrés sans rabattre encore sa jupe.
Nous nous rajustâmes et je pris congé avec la promesse de pouvoir commencer des rencontres dans les prochains jours.
Je quittai cette agence un peu spéciale, non sans saluer la secrétaire en partant qui me rendit un sourire complice.
à suivre…