n° 00674 | Fiche technique | 13192 caractères | 13192 2141 Temps de lecture estimé : 9 mn |
06/03/23 corrigé 06/03/23 |
Résumé: Il est désormais inscrit à l’agence matrimoniale. Une certaine Agnès pourrait bien correspondre à sa recherche. Rendez-vous est donc pris dans un restaurant... | ||||
Critères: fh lunettes caférestau cinéma intermast fellation | ||||
Auteur : Chris Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : L'agence matrimoniale Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Il se passa une petite semaine après que mon inscription et mon test aient été régularisés. Je reçus un courrier électronique m’annonçant qu’une femme de trente-quatre ans prénommée Agnès pouvait peut-être correspondre à ma recherche. Celle-ci, m’écrivait-on, avait agréé ma fiche de présentation et souhaitait cette rencontre. Il m’était spécifié que cette fiche ne faisait nullement mention du « test X » pratiqué et je ne savais pas non plus si Agnès l’avait de son côté passé.
Il m’était donné ses coordonnées téléphoniques de telle sorte que je me permis de l’appeler. Elle répondit directement, d’une voix assez agréable, mais un peu hésitante. Après quelques mots, nous convînmes de nous retrouver dans un restaurant chic de notre ville, le samedi soir suivant.
J’arrivai le premier et l’attendis dans le petit salon servant de réception. Elle me rejoignit peu après et je découvris une femme de taille assez petite, un mètre soixante environ, brune aux cheveux mi-longs coupés en dégradé, portant de fines lunettes. Elle était vêtue d’un manteau de laine vert bouteille que la réceptionniste lui retira pour laisser apparaître un tailleur gris foncé, élégant, mais sobre, et elle était chaussée de fines chaussures à mi-talons.
Nous nous regardâmes, et d’un sourire je lui indiquai que je l’attendais depuis seulement quelques minutes. La serveuse nous précéda à notre table, ronde, avec une longue nappe, dans un recoin discret du restaurant. Le décor était charmant, une chandelle créait une atmosphère douce, ce qui ne pouvait que favoriser mes projets.
Déjà, je spéculai sur sa personnalité, conduit dans mes réflexions par mes premières impressions sur son look. Le genre « intellectuelle provinciale coincée » était ma première analyse. Je décidai d’attaquer très fort, je n’avais pas de temps à perdre avec une mijaurée ou une frigide.
Nous échangeâmes, dégustant une coupe de champagne, les premières considérations habituelles permettant de nous situer l’un et l’autre. J’appris qu’elle était secrétaire dans un laboratoire d’analyses médicales. Elle me sembla cligner des yeux de satisfaction lorsque je lui dis que j’exerçais la profession d’avocat.
Nous partîmes ensuite avec quelques digressions sur les qualités respectives que nous souhaitions trouver l’un chez l’autre. Nous évoquâmes l’amour, ciment de toute union, le partage de goûts communs ou tout au moins compatibles, etc.
Je décidai soudain d’entrer dans le sujet que nous avions pris soin d’éviter jusque-là, à savoir : le sexe. Je me demandai si Agnès allait m’y accompagner ou si elle resterait sur le quai de la gare.
Je me fis la réflexion qu’elle était peut-être moins coincée qu’elle n’en avait l’apparence. Cela valait la peine de pousser l’avantage un peu plus loin.
Je restai silencieux. Ce fut elle qui relança la conversation.
Elle me regarda, ses yeux recherchant le fond des miens.
Elle ne savait que répondre. Je sentais que sous le couvert de sa respectabilité, le vernis qu’elle affichait était fragile.
Je lui souris.
Notre repas tirait à sa fin, je réglai l’addition et nous quittâmes cet excellent restaurant. Il était environ vingt-deux heures trente. Je souhaitai naturellement pousser l’avantage au mieux, mais jugeai qu’il était prématuré de l’inviter chez moi. Elle n’était pas encore mûre.
Sur la place où nous débouchions, j’avisais le cinéma de quartier où allait débuter la dernière séance avec un vieux film charmant « Un été 42 ». À quelques minutes près, nous pourrions voir le film qui débutait.
J’achetai rapidement deux billets alors que la caissière m’indiquait que l’orchestre était pratiquement complet, mais que l’on pouvait monter au balcon. Nous le rejoignîmes, il était quasiment désert à part quelques spectateurs au premier rang.
Avisant cela, après quelque moment dans la pénombre, je pris la main d’Agnès…
Nous nous assîmes au dernier rang, au milieu de la rangée, Agnès à ma gauche…
Je posai mon vêtement sur le siège à côté, mais Agnès laissa le sien sur ses genoux. J’avais l’impression de redevenir un collégien emmenant sa copine au ciné. Je pris la main d’Agnès qui ne la refusa pas… Je tournai la tête vers elle et lui posai un baiser sur la joue, tout près de l’oreille, en lui susurrant :
Je pris sa main dans la mienne, posée sur sa cuisse, et durant quelques minutes, nous fîmes semblant de nous concentrer sur le film, puis je commençai à bouger légèrement sur sa cuisse, par-dessus sa jupe de tailleur. Elle ne me repoussa pas. Je continuai de l’embrasser. Elle semblait apprécier et ne tarda pas à tourner son visage vers le mien pour poser ses lèvres sur les miennes. Je poursuivis pendant ce temps ma caresse, mes doigts se faufilèrent sous sa jupe, je sentis bientôt la lisière de ses bas et ma main toucha la peau douce de sa cuisse.
Nous poursuivîmes nos baisers de plus en plus humides tandis que je sentais ses cuisses s’écarter légèrement pour laisser le passage à la caresse de ma main. Je continuai mon exploration et le bout de mes doigts atteignit sa culotte de dentelle, que je touchai, frôlai, agaçai de plus en plus. Bientôt, je pus mettre deux doigts le long de sa chatte et la caressai ainsi.
De son côté, elle posa sa main sur ma cuisse tandis que nos langues se joignirent. Je glissai alors un doigt sous l’élastique de sa culotte et commençai à la caresser ainsi, doucement. Je sentis son bassin s’avancer vers ma main, son désir s’exacerbait, elle atteignait le point de non-retour et son excitation croissait maintenant, comme je le sentais dans la fougue de ses baisers.
De sa propre initiative elle se souleva légèrement, mon manteau plié sur ses genoux tombant à terre, pour retirer sa culotte. Ma main prit alors l’entière possession de sa chatte qu’elle offrait à mes caresses. Elle mouillait vraiment beaucoup, je me mis alors à la branler sérieusement. J’excitai tantôt son clitoris tout dur qui roulait sous mes doigts, je lui massai tantôt de trois doigts ses lèvres intimes par des mouvements tournants rythmés. Elle gémissait doucement. Je sentais que son plaisir montait progressivement et qu’elle appréciait cette masturbation.
Je pris sa main posée sur ma cuisse pour la mettre sur la bosse de ma braguette tout en continuant à la branler. Sa main demeura inerte quelques minutes, mais elle ne la retira pas. Après quelque temps, je sentis qu’elle pressait sur ma braguette… Puis sa main se mit à bouger pour me caresser par-dessus mon pantalon, serrant ma queue à travers le tissu, la serrant par diverses étreintes excitantes.
Nous continuions à nous embrasser, nos langues mêlées, mon bras gauche passé sur son épaule et ma main retombant dans son décolleté, où je caressais ses seins. Bientôt, mes doigts glissèrent dans les bonnets du soutien-gorge, mon index et mon majeur se refermèrent sur les tétons durs d’excitation, bandés, excités. Elle poussa un bref gémissement, bougeant davantage sa main sur ma braguette.
Mes doigts accélérèrent entre ses cuisses. J’abandonnai les agaceries, les excitations, un savant doigtage, pour la branler bien à plat et la faire jouir. Son souffle traduisit la montée de son orgasme et elle ne tarda pas à exploser de plaisir, ma bouche recueillant son cri de jouissance. Je sentis ses cuisses se refermer, se tendre, emprisonnant ma main, mesurant les spasmes de son orgasme.
Nous ne bougeâmes plus durant quelques minutes qui lui permirent de reprendre ses esprits.
Sa main sur ma braguette s’activa alors pour l’ouvrir. Je l’aidai un peu pour extirper ma queue tendue de mon slip, elle jaillit de mon pantalon et Agnès l’empoigna aussitôt pour la caresser.
Elle continua de me branler ainsi, régulièrement, jetant parfois des regards autour d’elle, mais nous étions seuls sur notre rang. Elle gardait ses cuisses écartées et je matais sa chatte nue devant moi alors que ses seins aux mamelons durs étaient sortis de son soutien-gorge. Bref, elle était totalement impudique dans ce cinéma. Quelle progression en quelques heures ! pensais-je, me remémorant la gentille bourgeoise qui s’était présentée au restaurant.
Rassurée par l’absence de voisins, la coquine se pencha alors pour me sucer et je sentis sa bouche chaude, moelleuse, autour de mon gland. Elle continuait de me caresser la base de la queue tout en aspirant. Je lui caressais les cheveux alors qu’elle activait sa fellation. Elle y prenait manifestement goût et sa main soupesait mes couilles et agaçait mon périnée. Elle devait sentir que l’explosion était proche, mais ne faisait pas mine de vouloir se retirer. Au contraire, elle accentuait son aspiration.
Bientôt, je ne pus retenir plus longtemps mon plaisir et j’expédiai dans sa gorge des jets de sperme qu’elle avala avec délectation et gourmandise, sembla-t-il, car elle n’en rejeta pas la moindre goutte. Une fois qu’elle eut tout avalé et nettoyé ma queue de sa bouche, nous nous rajustâmes alors que le film se terminait.
Un baiser ou deux scellait notre première rencontre, encore inachevée, mais encourageante, car au bas des marches du cinéma, après avoir échangé nos coordonnées complètes, Agnès m’indiqua :