n° 00843 | Fiche technique | 10480 caractères | 10480Temps de lecture estimé : 7 mn | 21/08/00 corrigé 02/08/07 |
Résumé: A la terrasse d'un café, il repère une jolie jeune femme qui ne semble pas farouche et tout à fait décidée à l'inviter pour prendre un dernier verre... | ||||
Critères: hh caférestau voyage travesti fellation hdanus | ||||
Auteur : Phil Cox |
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Assis à la terrasse d’un café, toujours dans le quartier de la place d’Espagne, je repère bientôt une femme entre 25 et 30 ans qui me regarde à la dérobée, se détournant aussitôt dès que je fixe les yeux sur elle. Elle est blonde (vraie ?…), joli visage aux traits fins, très légèrement maquillée. Les mains élégantes et soignées portent une bague de prix, les jambes longues et fines, les pieds chaussés d’escarpins : une bourgeoise en quête d’aventures extra-conjugales ? De toute façon, j’ai trop attendu pour laisser passer une occasion, je décide de tenter ma chance. J’essaye l’italien pour commencer.
Un charmant sourire me répond… Un peu trop facile… Je me demande si je ne suis pas tombé sur une pute de luxe…
Voilà une entrée en matière qui tombe à pic, moi qui connais Rome comme ma poche. Je décide de jouer le jeu, on verra bien où cela mène, et puis il est trop tard pour reculer…
Je lui propose une trattoria que je connais bien, à deux pas d’ici. Elle se lève… Hou là, un vrai canon ! Un port de reine dans une robe légère qui lui arrive au milieu des cuisses, une plastique plus que prometteuse… Je n’en reviens pas ! Nous bavardons facilement durant le dîner de nos occupations et de nos goûts respectifs. Elle se fait vite assez chatte, mais pas trop ; pas vraiment une pute qui en aurait déjà fait des tonnes…
Je sens un fourmillement caractéristique au creux de mes reins : l’invitation est claire… À peine arrivés chez son amie, elle me laisse visiter l’appartement (effectivement sublime) et s’éclipse quelques minutes en me demandant de nous servir à boire :
Lorsqu’elle revient, je remarque qu’elle a pris une douche, qu’elle a renouvelé le léger parfum qu’elle portait. Je lui tends un verre de champagne, qu’elle dépose sur une petite table après l’avoir goûté. Elle s’approche de moi, pose ses deux mains sur mes épaules et dépose un baiser léger sur mes lèvres avant de reculer pour voir ma réaction.
Je ne réponds rien, la prends dans mes bras et embrasse sa bouche qui s’ouvre, accueillante. Son baiser est d’une douceur… fondante : tout fond chez elle, ses lèvres, ses bras, son corps souple. On a l’impression d’être enveloppé… C’est elle qui commence à déboutonner ma chemise, à caresser ma poitrine, à descendre plus bas, à défaire ma ceinture tout en continuant à m’offrir sa langue à sucer. Je sens ma queue durcir, aussi, quand mon pantalon tombe à mes pieds, mon slip est gonflé de façon indécente par mon membre qui se sent plutôt à l’étroit… Avant de faire tomber ce dernier obstacle, elle masse la bosse faite par ma bite, serre la hampe, tâte les couilles à travers le tissu…
La voilà à genoux pour contempler de plus près "l’objet du désir", le soupeser, en apprécier la raideur, faire glisser la peau, donner des petits coups de langue sur le gland (légers, légers, heureusement, sinon je serais bien capable de partir…).
Je fais glisser le zip, la robe tombe à ses pieds. Elle ne porte qu’un string. Je reste quelques instants dans son dos, ma queue raidie calée entre les globes de ses fesses. Je lui caresse ses superbes seins, pas trop gros, fermes, aux pointes déjà durcies. Je recule un instant pour admirer sa chute de reins, ses fesses épanouies. Je me recolle à elle et continue mon exploration vers le bas pour faire glisser à son tour le string. Curieusement, je sens une résistance quand j’essaye de le faire descendre. Et quand j’avance mes mains pour caresser sa motte, qu’est-ce que je rencontre ?
UNE QUEUE !!!
Déjà bandée ! et pas un petit spaghetti, une vraie queue de mec, avec des couilles, et tout ce qu’il faut ! Un travelo !!! Elle (ou il ?) se retourne, un peu inquiète de ma réaction (ça se comprend…).
Alors là, je suis complètement scié ! Comment un homme peut avoir un corps aussi parfaitement, idéalement féminin ? Tout y est : la finesse des membres, des extrémités, la courbe des hanches. Bon, pour les seins, d’accord, n’importe qui peut se faire faire la poitrine de Laetitia Casta, mais le reste, le reste !!!
Moi, j’ai commencé à sérieusement débander, je ne sais plus où j’en suis…
Je vais m’asseoir sur le divan pendant que Sophie (appelons-la comme ça, finalement…) se tient toujours debout, maintenant un peu rassurée sur mes réactions, les mains sur les hanches et la queue toujours dressée. Une bien belle queue, par parenthèses, 18 cm au moins, bien cambrée, le gland large, rose, où perle une goutte de semence. Je me rappelle à présent la scène d’hier soir à mon hôtel : j’ai l’impression que je commence à retrouver le même genre d’excitation…
Toutes ces pensées, ajoutées à l’attitude toujours aussi effrontée de Sophie, qui me regarde en souriant, campée sur ses deux longues jambes au beau milieu de la pièce et la queue toujours au garde-à-vous, commencent à produire leur effet : je sens ma queue qui recommence à gonfler, qui s’allonge à vue d’œil. Je ne vais pas tarder à me retrouver bandant comme un âne…
Plutôt que dire quelque chose (et qu’est-ce que je pourrais bien dire, je vous le demande…), je me contente de m’installer confortablement sur le canapé, les jambes écartées, pour montrer à Sophie les progrès que je viens d’accomplir dans l’acceptation de la situation imprévue qui est la nôtre… Quand elle aperçoit ma bite, maintenant fièrement dressée, elle sourit franchement et vient s’agenouiller entre mes cuisses.
À peine ces paroles mémorables prononcées, la belle approche, sans plus attendre, sa bouche de ma queue qui palpite d’impatience. Elle commence par la lécher sur toute sa longueur, depuis les couilles jusqu’au gros gland décalotté, elle agace la tige vibrante, ses cheveux défaits ajoutent à cette caresse qui devient vite insupportable : ma bite est tellement dure qu’elle est presque douloureuse…
Elle me regarde avec un petit sourire indulgent, puis, après avoir redressé ma queue vers son visage, sa bouche se referme délicatement sur mon gland congestionné pour commencer une vraie fellation. Mais alors là, quelle fellation ! Une langue qui me masse le gland avec tellement de douceur, une bouche qui m’engloutit presque jusqu’aux couilles. Sa main droite me masse les boules, elle les fait rouler doucement, les presse comme pour en faire sortir le jus (ce qui ne va pas tarder, si elle continue…). Je sens son autre main qui cherche à se glisser sous mes fesses. Je comprends, le cœur battant, qu’elle cherche à atteindre mon anus. Pour lui faciliter la chose (c’est bien le moindre…), j’avance le plus possible mon bassin au-dessus du canapé. Un doigt se glisse dans ma raie, la parcourt d’abord tout du long, avant de s’arrêter sur ma rondelle dont il masse le pourtour avant d’appuyer doucement pour le faire pénétrer… C’est délicieux, divin, mon orgasme est imminent.
Je sens le plaisir monter, monter. L’orgasme va être complètement génial :
Au moment où je commence à gicler, elle enfonce résolument deux de ses doigts dans mon cul : j’ai l’impression que mon sperme jaillit avec une force incroyable, en tout cas, je jouis comme un dingue, longuement, jusqu’à ressentir un plaisir suraigu, vers la fin, à la pointe de ma bite qu’elle a gardée dans sa bouche pour avaler tout le jus… Génial ! Je m’écroule sur le canapé…
À suivre…