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n° 00870Fiche technique11665 caractères11665
Temps de lecture estimé : 8 mn
25/08/00
corrigé 20/04/09
Résumé:  Maintenant qu'ils ont fait connaissance, lui et Sophie, ils vont peut-être pouvoir passer aux choses sérieuses...
Critères:  hh travesti intermast facial fellation 69 hsodo -travesti
Auteur : Phil Cox

Série : Nuit romaine

Chapitre 03 / 03
Nuit romaine - 3° épisode

Sophie se relève pour nous resservir à boire - j’en ai bien besoin - et j’en profite pour lui poser les questions qui me brûlent les lèvres depuis un moment.



Nous sommes là, vautrés sur le grand canapé, devant la baie vitrée d’où l’on peut découvrir tout Rome à nos pieds. Sophie s’est installée contre moi et, tout en sirotant le verre de champagne, je détaille une nouvelle fois, sans m’en lasser, son corps incroyable. Sa queue, maintenant débandée, repose comme un coquillage sur sa cuisse. Elle a quitté ses escarpins et j’admire la finesse de ses jolis pieds, aux ongles du même rouge que les ongles de ses mains.



Pendant que je lui raconte, avec tous les détails, la séance d’enculage de mes voisins de chambre, je vois la queue de Sophie qui recommence à gonfler, qui s’allonge tout d’abord le long de sa cuisse, puis qui change de direction pour pointer vers son nombril et finit par rester complètement bandée, tendue comme un arc, à un centimètre de la peau de son ventre… J’achève mon récit, comme si de rien n’était, en insistant sur les détails les plus excitants de l’histoire… Elle se met à soupirer, à se tortiller. Elle s’étire, met ses bras derrière sa tête, offre son beau corps, appelle mes caresses et finalement me regarde d’un œil humide :



Ma bite est redevenue dure. J’ai le cœur qui bat la chamade. Je me penche vers sa queue qui palpite au rythme de son cœur. Comment faire ? J’avance la main… Dès que je l’effleure, tout son corps se tend, vient au-devant de ma main. Je retarde le moment d’une caresse franche, je commence par toucher ses cuisses, en remontant mais sans aller jusqu’au sexe, je fais des tours et des détours… Sa bite a encore grossi… Elle écarte complètement les cuisses et commence à haleter :



Je caresse à présent les couilles, toutes gonflées, et fais rouler doucement les boules sous mes doigts. Puis je remonte, empoigne le membre pour en apprécier la dureté, fais glisser la peau. Sophie recommence à gémir :



L’instant est magique : j’approche ma bouche du membre, donne des coups de langue sur le gland. Enfin, je n’y tiens plus moi non plus, je me l’enfonce avec avidité dans la bouche, aussi loin que je peux tout d’abord, puis je reviens plus calmement sur le gland que je masse de ma langue en l’enduisant le plus possible de salive… Je tète cette bite avec un plaisir que je ne cherche pas à dissimuler, poussant des gémissements :



Que répondre ? Évidemment, elle a raison, je ne pense qu’à ça depuis hier !

Avec son petit sourire habituel de celle à qui on ne la fait pas, elle se penche vers ma bite et nous voilà, couchés sur le côté, dans le plus classique des 69, chacun pompant la queue de l’autre avec un bel ensemble. Je sens maintenant ses doigts, enduits de sa salive, qui me massent la rondelle et qui me pénètrent progressivement.



Elle s’enfuit en riant dans sa salle de bains et revient en brandissant son tube de crème pour le corps.



Je prends donc la même position que celle qu’avait pris la fille, hier soir, les fesses bien relevées, les jambes écartées, l’anus offert… Je sens le gel froid sur mes muqueuses, puis, un, deux, trois doigts m’envahir progressivement.



Au contact du gland, j’ai l’impression que mon trou s’ouvre avant même qu’il ait été pénétré… Et alors, je sens ma rondelle s’élargir, s’élargir sous la poussée irrésistible du membre. J’avais entendu dire que le début de la pénétration est souvent douloureux et qu’il faut un temps pour s’habituer… Mais là, presque rien, je sens tout simplement ma bague anale complètement distendue, et la queue qui glisse par à-coups vers le fond de mon rectum. Quelle sensation puissante ! Une fois tout au fond, je resserre mes sphincters à la base de la bite pour mieux la sentir, pour la retenir aussi, et je la laisse se retirer partiellement en les desserrant.



Elle sort sa bite, se place sur le dos et en redressant avec sa main sa queue à la verticale :



Je m’assieds sur la queue qui rentre évidemment sans aucun effort dans mon anus resté complètement ouvert. Je bande plus que jamais. Ma queue bandée ballotte lourdement à chacun des mouvements de va-et-vient que je fais sur le membre. La position est vraiment géniale. Sophie me masturbe doucement en même temps et elle m’enduit la bite de sa crème… Qu’est-ce qu’elle a encore dans la tête ?



Elle relève ses jambes pour présenter son anus, lui aussi déjà entrouvert. J’appuie et rentre bien moins facilement qu’elle… Je pousse et peine pendant quelques instants avant de sentir la rondelle céder brusquement.



Je commence à glisser lentement tout en masturbant lentement sa queue gluante de crème.



C’est moi qui prends l’initiative de déculer pour me remettre sa bite dans le rectum.



On change trois ou quatre fois la position, mais je commence à avoir des doutes sur ma capacité à me retenir plus longtemps, que ce soit dans son cul ou dans sa main, j’en ai plus pour bien longtemps… Eh bien non, pas du tout, alors que c’est à mon tour d’avoir sa bite dans le cul, c’est elle qui part :



Comme je sens sa queue glisser plus facilement, je ressors presque entièrement pour la voir enduite de son propre sperme, abondant, crémeux… Mélangé à sa crème, ça fait une vraie mousse ! Ça me met dans un état d’excitation dément, je m’assieds d’un coup brutalement sur la bite que je fais rentrer jusqu’à ses couilles. Et c’est avec sa grosse queue abutée au fond de mes entrailles que je gicle à mon tour, envoyant sur son visage toute la purée qui n’était pas sortie au tour précédent…



On s’écroule tous les deux, dans les bras l’un de l’autre, épuisés, vidés… Quelle « Nuit Romaine »!!!


FIN