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n° 00865Fiche technique7630 caractères7630
Temps de lecture estimé : 6 mn
24/08/00
corrigé 08/05/23
Résumé:  Récit de nos dernières vacances : Elle part faire une ballade avec Julie dans la nature...
Critères:  ff vacances bain intermast
Auteur : M_moi  (Couple Bordelais)            Envoi mini-message

Série : Provence toujours...

Chapitre 01 / 04
Provence Toujours...

Comme tous les ans, mon mari et moi nous nous étions rendus dans un petit village provençal, dans l’arrière-pays, loin de l’agitation estivale de la Côte d’Azur. Depuis plusieurs années, nous louions une charmante petite maison un peu à l’écart du centre du village, tout à fait typique, une abondante vigne vierge recouvrait les murs et s’étalait sur des treilles dispensant une ombre bienfaisante. Nous passions nos journées au calme, alternant de longues promenades dans la campagne et les forêts environnantes et des bains rafraîchissants dans la petite piscine. Une bonne partie de nos après-midi était consacrée à la sieste, rarement chaste…


Comme chaque année, un concours de pétanque était organisé, auquel Olivier et moi participions. Je fis équipe avec Julie, la jeune fille de nos plus proches voisins, alors que mon mari bien plus doué que moi joua avec le copain de Julie. Julie était une charmante petite brune qui venait de fêter ses dix-neuf ans, Pierre, son copain, un beau jeune homme blond solidement bâti, bien que plus petit que moi. Tous deux étaient attendrissants. Bien que très jeunes, ils sortaient ensemble depuis bientôt quatre ans, date à laquelle nous avions passé nos premières vacances dans le village. Nous les avions vus grandir et avions vu leurs relations évoluer. Julie, n’hésitant pas à se confier, voyait en moi comme une grande sœur. Olivier avait aussi beaucoup d’affection pour Pierre et ce dernier était très fier d’avoir un copain plus âgé que lui.


Dès notre arrivée au village, Julie était venue nous voir et, au cours d’une ballade dans les vignes, m’avait avec fierté raconté sa « première fois » avec Pierre. Amusée, j’écoutai religieusement le récit de son dépucelage par le beau Pierre. Il était vrai que Julie était alors une charmante jeune femme, épanouie, aussi bien mentalement que physiquement. Sa poitrine était généreuse et, alors qu’elle me détaillait leurs ébats, je surpris les pointes de ses seins dressées sous le tissu léger de sa robe d’été qu’elle portait à même la peau. Moi-même commençais à ressentir une douce chaleur envahir le haut de mes cuisses. Nous atteignîmes un méandre du chemin qui serpentait dans les coteaux, Julie me proposa de bifurquer pour rejoindre une source non loin de là. Nous nous enfonçâmes dans le sous-bois. Après quelques centaines de mètres, nous pénétrâmes dans une clairière au milieu de laquelle quelques gros rochers formaient un large bassin dans lequel se déversait la fameuse source. Si le paradis existait, il devait ressembler à cela…


Nous nous désaltérâmes, recueillant l’eau au creux de nos mains. Comme j’aurais dû m’y attendre, Julie m’éclaboussa copieusement. Une véritable bataille d’eau s’en suivit. Nous étions toutes deux trempées, le tissu mouillé de nos robes se plaquait à nos corps. Sans aucune pudeur, Julie retira la sienne, fit glisser rapidement sa culotte de coton sur ses chevilles et, avec précaution, se glissa dans le bassin formé par les roches. J’eus à peine le temps d’apercevoir sa poitrine ainsi que la toison fournie et très brune de son pubis.



J’observai les alentours, pas très à l’aise.



Relevant ma robe par-dessus ma tête, je me retrouvai nue, ne portant pour ainsi dire jamais de culotte lorsque j’étais ici. Le regard de Julie se figea à la vue de ma chatte dont je maintenais le rasage soigné, ne conservant qu’un triangle de poils au-dessus de mon pubis. Son expression avait changé, elle déglutissait lentement, ses yeux scrutaient mon corps, le détaillaient. Elle me tendit la main que je saisis et m’aida à escalader le rocher. Les parois du bassin creusé par l’eau étaient étonnamment lisses et douces. Je manquai de glisser, mais Julie me retint, ses mains se plaquant de part et d’autre de mes hanches. Mon ventre était à quelques centimètres de son visage. L’atmosphère était plus que tendue, je m’assis avec précautions. Nous ne disposions malgré tout que de peu de place et je dus placer mes jambes de part et d’autre de celles de Julie. Elle guida l’eau qui coulait de la source à l’aide de ses mains et la dirigea vers sa poitrine. L’eau glacée éclaboussa ses seins blancs qui contrastaient avec le reste de son torse bruni par le soleil. Ses tétons roses jaillirent de ses petites aréoles.


Je plaçai moi aussi mes mains sous le jet, contre les siennes et, irrésistiblement, suivant la courbe de ses avant-bras, je la caressai, remontant lentement vers ses épaules. Elle me regardait faire, ses yeux m’invitant à continuer. Mes doigts redescendirent autour de son cou. Fermant les yeux, Julie posa à son tour ses mains sur mes épaules et, lentement, m’attira contre elle. La position n’était pas des plus confortables, je parvins malgré tout à poser ma tête dans son cou. Je sentis sa respiration rapide, saccadée, ses ongles se plantèrent dans mon dos alors que mes seins frôlèrent les siens. Ses lèvres couvrirent mon visage de baisers, mes mains glissèrent dans son dos, descendirent sur ses fesses. Nos bouches se rejoignirent, nos lèvres s’écartèrent, nos langues se mêlèrent en un baiser fougueux. Les ongles toujours plantés dans mon dos, Julie pressait sa poitrine contre la mienne. Je la saisis par les hanches, la relevai. Elle s’assit sur le rebord de pierre, comme la petite fille qu’elle n’était plus depuis peu, ses genoux se serrèrent, dissimulant à ma vue son entrejambe.


Mes mains descendirent lentement le long de ses cuisses. J’écartai délicatement ses genoux, elle n’opposa pas de résistance. Je découvris sa magnifique petite chatte, les poils luisaient, ruisselants d’eau. Alors que j’approchai ma tête de son trésor, Julie plaça ses mains derrière la mienne, ses doigts dans mes cheveux, comme pour s’assurer que je ne reculerais pas. Ma bouche se plaqua contre son sexe. Je m’abreuvai de l’eau qui en ruisselait, ma langue partit à la découverte de ses lèvres au milieu de ses poils. Je remontai le long, et tombai sur son bouton, lui arrachant un gémissement plus fort. Ma langue tourna autour, mes lèvres l’enserrèrent, je l’aspirai, le pinçai délicatement. Par moments, je l’abandonnais, laissant l’eau de la source qui ruisselait sur son corps descendre de ses seins le long de son ventre et se perdre dans les méandres de sa toison. Le contraste de la fraîcheur de l’eau et de la chaleur de ma bouche l’électrisait. Julie haletait, gémissait, criait par instants. Je glissai deux doigts entre ses lèvres, fouillai soigneusement sa chatte détrempée avant de les retirer et, malicieusement, venir caresser son œillet qui s’ouvrit délicatement sous la pression.


Ce fut ainsi qu’elle jouit en une longue plainte, un doigt à l’entrée de son anus, ma bouche plaquée contre son clitoris que je fis rouler entre mes dents, une main malaxant ses seins, l’autre plaquant ma tête contre son ventre. La laissant reprendre ses esprits, mes mains caressèrent ses cuisses, descendirent le long de ses mollets, caressèrent ses chevilles. Ma bouche s’empara de ses orteils alors qu’elle profitait de l’eau glacée qu’elle guidait vers sa chatte.


Alors qu’elle ouvrit la bouche pour parler, je posai un doigt sur ses lèvres, lui intimant le silence. Elle ferma les yeux pour m’indiquer qu’elle avait compris et, alors que je me relevai, elle enfouit son visage contre ma poitrine. Nous restâmes ainsi longuement enlacées, nos mains parcourant nos corps. Lorsque nous fûmes calmées, elle me dit qu’elle aimerait avoir le sexe rasé comme le mien, mais m’avoua avoir peur de se couper. Je lui proposai de rentrer à la maison, Olivier étant avec Pierre à la pêche, je m’occuperais de cela.



@ suivre