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n° 00872Fiche technique8785 caractères8785
Temps de lecture estimé : 6 mn
25/08/00
corrigé 08/05/23
Résumé:  Elle a promis à Julie un rasage en bonne et due forme, alors elles vont dans la salle de bain...
Critères:  ff fépilée voir exhib rasage cunnilingu 69
Auteur : M_moi  (Couple Bordelais)            Envoi mini-message

Série : Provence toujours...

Chapitre 02 / 04
Provence toujours... (2)

De retour à la maison, Julie et moi avions savouré une boisson fraîche sur la terrasse, puis Julie me rappela ma promesse. Nous nous dirigeâmes donc ensemble vers la salle de bain. La pièce était spacieuse, entièrement carrelée, la lumière filtrée par de nombreuses plantes vertes qui masquaient partiellement la fenêtre. Sans aucune pudeur, Julie retira sa robe, sa culotte, et me fit face, nue, les bras croisés sur sa poitrine, comme une sage petite fille.



Je lui indiquai de s’installer dans la baignoire. Sa toison était vraiment très fournie, à l’aide d’une paire de ciseaux, je la désépaissis. Je la vis frémir à chaque contact avec les lames froides.



Elle me sourit.



Je m’exécutai.


Je lui tendis la pomme de douche et elle se rinça le minou. Fouillant dans les affaires de toilette d’Olivier, je récupérai une bombe de mousse à raser et un rasoir jetable. Je tendis à Julie la mousse en lui demandant de ne négliger aucune parcelle. La pression des doigts de Julie fit jaillir la mousse. De la paume de la main, elle l’étala sur son entrejambe.



Joignant le geste à la parole, je joignis mes doigts aux siens et enduisis son bel abricot de crème, insistant dans chaque repli. Relevant ses jambes, j’enduisis largement ses lèvres. Julie pressa ma main, faisant du coup pénétrer mes doigts entre ses lèvres.



Mes doigts reprirent leur ouvrage, badigeonnant aussi son anus.



Je la sentis se crisper. Doucement, la lame glissa sur ses cuisses d’abord, puis je me rapprochai de ses lèvres, Julie ferma les yeux.



Après avoir délimité la zone où resteraient des poils, je rasai soigneusement le reste, rinçant, rajoutant de la mousse, Julie était alors totalement en confiance entre mes mains. Le contact de mes doigts, qui écartaient ses lèvres, les trituraient afin de n’oublier aucun poil superflu, ne provoquait plus de réaction chez elle. Je lui demandai d’écarter elle-même ses fesses afin de bien dégager son petit œillet. Lorsque je passai mes doigts enduits de mousse dessus, elle frémit.



Julie se rinça abondamment. Elle semblait très fière, elle aussi, de mon travail. Du bout de ses doigts fins, elle caressait la peau dénudée autour de ses lèvres.



Je lui tendis une crème apaisante.



Elle versa une bonne rasade au creux de sa main et la plaqua sur son abricot tout lisse. Elle l’étala soigneusement, peut-être avec un peu trop d’application, car je la vis frémir et je sentis sa respiration s’accélérer. Se mettant à quatre pattes dans la baignoire, elle me demanda de m’occuper de son petit trou, étant plus à mon aise. La cochonne entendait profiter immédiatement de sa « nouvelle coupe ».


Ce fut avec plaisir que je m’exécutai, lui enduisant la rondelle de crème, mes doigts glissant du coup avec facilité entre les parois ainsi lubrifiées de son cul. Elle jouit rapidement, l’action de nos mains conjuguée faisant des prouesses. Pour me remercier, aussi bien du rasage que des caresses, elle m’embrassa avec fougue, sa main plongeant entre mes cuisses et ses doigts se dirigeant sans préambules vers mon clitoris.


Nous nous retrouvâmes allongées sur le carrelage glacé du sol de la salle de bains, tête-bêche, pour un 69 langoureux. La pièce s’emplit des bruits de succion de nos bouches sur nos sexes, de nos gémissements à l’unisson. Nous vînmes ensemble, nos cuisses se crispant autour de la tête de l’autre. Julie lapa mon sexe aux lèvres distendues par ses caresses buccales comme un petit chat dans une soucoupe de lait, avide, appliquée.


Une douche glacée nous rafraîchit et nous repassâmes nos robes alors que je lui confisquai sa culotte « en souvenir » de son premier rasage. De plus, je l’assurai de l’effet que ferait cette absence de dessous sur Pierre.


À peine avions-nous rejoint la terrasse ombragée que le grondement sourd du 4x4 d’Olivier se faisait entendre dans le chemin qui montait à la maison. Pierre et Olivier en descendirent, arborant fièrement le résultat de leur pêche.



Olivier déposa sur mes lèvres un baiser furtif, sa main glissant sur le bas de mon dos de manière câline. Pierre gratifia Julie d’un langoureux baiser.



J’avais complètement oublié. Le temps d’évacuer l’odeur du poisson, nos deux hommes furent prêts et nous descendîmes au village.


Le concours battait son plein. Julie et moi étions attendues pour jouer, Pierre et Olivier avaient un peu de temps devant eux, ils vinrent donc assister à ce qui, nous n’en doutions pas, allait être une fois encore, la plus belle déroute de l’après-midi, étant donné les talents de Julie et les miens dans la pratique de la pétanque. Nous jouions contre deux copains de Pierre, Stéphane et Sébastien. Tous deux étaient mignons, dans les dix-huit, dix-neuf ans. Étant étrangère au village, j’étais un peu l’attraction chez tous les mâles, ayant un physique pas trop vilain et mes tenues légères et souvent sexy attirant souvent les regards. Stéphane et Sébastien ne dérogeaient pas à la règle et j’étais l’objet à la fois de leurs quolibets (pas méchants) sur la façon (déplorable) dont je jouais, mais aussi de leurs regards insistants vers le décolleté de ma robe dont les deux boutons du haut étaient dégrafés.


Alors que j’étais accroupie pour « pointer » (en fait, jeter lamentablement la boule), ma jupe était remontée un peu haut sur mes cuisses et je surpris le regard de Stéphane qui tentait d’apercevoir une hypothétique culotte entre mes jambes. Je resserrai mes genoux afin de ne pas lui faciliter la tâche et me concentrai sur mon lancer, je venais d’avoir une idée qui pourrait peut-être renverser le cours de la partie. Une fois de plus, ma boule se retrouva à un bon mètre cinquante du cochonnet. C’était au tour de Stéphane de jouer. Innocemment, je me plaçai en face de lui, derrière le cochonnet, dans sa ligne de mire. Je m’accroupis lentement, comme pour observer sa manière de jouer. Il se concentrait, accroupi lui aussi. Lentement, j’écartai mes cuisses. Stéphane, s’il regardait l’endroit où il devait jeter sa boule (ce dont je ne doutais pas), ne pouvait rien rater du spectacle que je lui offrais. L’effet fut immédiat, son regard se ficha entre mes cuisses, ma jupe relevée ne cachait rien de ma chatte lisse. La sueur perlait à son front et j’étais sûre que ce n’était pas dû à la chaleur.


Génial, il avait complètement raté son tir, trop occupé à mater mon entrejambe. Le reste de la partie fut une véritable déroute pour nos deux adversaires, Stéphane ayant glissé à l’oreille de Sébastien ce qu’il avait vu et que malicieusement, je me fis un devoir de lui montrer. Julie aussi avait vu mon manège et s’en amusait. Ils ne cherchèrent même pas à faire de même avec Julie, étant copains avec Pierre… Ils eurent tort.


Nous remportâmes la partie. Julie, toute fière, courut annoncer la nouvelle à Pierre, alors que Stéphane et Sébastien m’entraînaient à la buvette pour m’offrir le verre du perdant. Je fis l’innocente, les raillant sur leur manière de jouer. Ils étaient malgré tout un peu vexés de s’être fait avoir ainsi. Je les pris par le cou, chacun sous un bras et, rapprochant leurs têtes, leur glissai à l’oreille :



Ils n’osèrent pas comprendre ma proposition. Je déposai un baiser sur la joue de chacun d’eux, les relâchai et m’éloignai en prenant soin de bien onduler du bassin. Je passai voir Olivier qui jouait sa partie, lui racontai la mésaventure des deux garçons. Il passa sa main au creux de mes reins comme pour constater par lui-même l’absence de ma culotte.



Olivier m’embrassa langoureusement. En me collant contre lui, je pus constater que cette petite histoire ne l’avait pas laissé insensible. Je l’aimais vraiment, nous avions vraiment une confiance illimitée l’un en l’autre.



@ suivre