n° 00890 | Fiche technique | 12797 caractères | 12797Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/08/00 corrigé 08/05/23 |
Résumé: Les deux jeunes perdants de la partie de boule la suivent, alors elle s'arrête et les attend dans la grange. | ||||
Critères: fhh intermast entreseins fellation cunnilingu pénétratio sandwich fsodo | ||||
Auteur : M_moi (Couple Bordelais) Envoi mini-message |
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Au milieu de la foule, je retrouvai mes deux jeunes perdants. Sans leur adresser la parole, je passai près d’eux et me dirigeai au travers des ruelles faiblement éclairées vers la sortie du village. Jetant de discrets coups d’œil en arrière, je pus constater qu’ils m’avaient suivie. À la sortie du village se trouvait une remise abandonnée, j’ouvris la porte de bois et pénétrai dans l’unique pièce sombre. Julie m’avait raconté que les jeunes amoureux du village s’y retrouvaient, à l’abri des regards indiscrets. Dans le fond, un vieux matelas gisait, le clair de lune filtrait au travers des tuiles cassées.
Je n’eus pas longtemps à attendre, les pas des deux garçons crissèrent sur le gravier du chemin. La carrure ossue de Stéphane se découpa bientôt dans l’embrasure de la porte. J’avais pris soin de m’asseoir dans la lumière. Relevant le bas de ma robe jusqu’à ma taille, je lui demandai si c’est cela qu’il cherchait à apercevoir tout à l’heure. Le silence qui suivit me renseigna sur le peu d’expérience sexuelle des deux jeunes gens.
Stéphane s’agenouilla face à moi, les mains sagement posées sur ses genoux. Sébastien se tenait en retrait, debout.
Je saisis la main de Stéphane. Elle était douce, sa respiration était saccadée, je l’approchai de mes cuisses. Au contact de ma peau, il frémit, puis s’enhardit, ses doigts glissèrent sur ma peau, se dirigeant directement vers mon sexe.
Obéissant, il contourna ma chatte, redescendant sur mon autre cuisse.
Il s’agenouilla aussi et lorsqu’il fut près de moi je pris sa main et la posai sur les boutons du haut de ma robe. Maladroitement, il les défit un à un, libérant ma poitrine.
Stéphane caressa mes cuisses à pleines mains, les écartant comme pour mieux contempler ma chatte. Lorsque ma robe fut à terre, les mains de Sébastien vinrent se poser sur mes seins. Il les malaxa doucement, comme s’il avait peur de me faire mal, je posai mes mains sur les siennes et guidai ses mouvements, je lui montrai comment caresser mes mamelons, comment jouer avec mes pointes qui durcissaient sous l’effet de leurs caresses. Je passai alors à Stéphane et lui indiquai à son tour comment s’occuper de ma chatte et de mon petit bouton.
Leurs caresses commencèrent à m’exciter. Je m’allongeai sur le dos et, attirant à moi Sébastien, entrepris de défaire la ceinture et de déboutonner son jean. Il bandait déjà, sa queue jaillit hors de son caleçon. Ne voulant pas être en reste, Stéphane se déshabilla à son tour, il possédait un sexe aux dimensions hors du commun, sa queue était épaisse, longue, son gland circoncis était violacé. Tout en continuant leurs caresses, ils vinrent se placer de part et d’autre de ma tête, leurs sexes venant caresser mes joues. Je commençai par caresser ses deux belles bites tendues de désir, mes ongles venant griffer doucement tour à tour leurs bourses et remontant le long des hampes de chair. Tous deux poussaient de sourds gémissements, leurs doigts s’activaient. Stéphane fouillait ma chatte détrempée, d’une main il écartait mes lèvres, de l’autre, deux doigts plongeaient dans ma vulve et, en ressortant, venaient humidifier mon clitoris. Sébastien serrait mes tétons entre ses doigts, les faisait rouler, les étirait.
J’avais empoigné la verge de Stéphane, mes doigts en faisaient à peine le tour, la serrant fermement, je faisais coulisser sa peau, venant couvrir le gland, puis redescendant. À chaque va-et-vient, elle semblait encore grossir. N’y tenant plus, je posai mes lèvres sur le gland turgescent. À ce contact, Stéphane se raidit, ses doigts restèrent fichés en moi. Lentement, je fis glisser son gland entre mes lèvres que je gardai serrées afin d’en apprécier toute la dimension. Stéphane ferma les yeux, savourant l’instant. Une fois le gland absorbé, je marquai un temps d’arrêt avant de poursuivre ma progression, faisant coulisser le pieu de chair entre mes lèvres. Je réussis presque à l’enfourner tout entier dans ma bouche, son gland venant buter au fond de ma gorge. Ma langue avait du mal à tourner autour de sa queue, je salivais abondamment, humidifiant du mieux que je pouvais le sexe de Stéphane.
Sébastien essaya de caresser de sa queue le bout de mes seins, pour lui faciliter la tâche, je l’aidai à venir se placer à califourchon au-dessus de moi. Sa queue vint naturellement se placer dans le sillon entre mes seins. Pressant des deux mains mes seins l’un contre l’autre, je fis un fourreau dans lequel il fit aller et venir sa queue. De la langue, j’expulsai la queue de Stéphane qui ressortit luisante de salive, avant de la reprendre en bouche, l’aspirant violemment. Je crus que Stéphane allait jouir immédiatement tant son corps était secoué de soubresauts. Je décidai de l’abandonner quelques instants pour me consacrer un peu à son copain. Sébastien s’activait entre mes seins, une main maintenait sa queue entre mes globes, l’autre s’enfonçait dans ma chatte. À chaque poussée de son bassin, sa queue parvenait jusqu’à mes lèvres, je donnais de petits coups de langue. Les doigts agiles de Sébastien faisaient des miracles, j’étais toute trempée.
Sébastien se dégagea de l’emprise de mes seins, il glissa doucement, sa queue caressant mon ventre et venant se présenter à l’entrée de ma chatte. Stéphane observait la scène, caressant lentement sa queue. Après quelques caresses du gland le long de mes lèvres, Sébastien, avançant doucement son bassin, fit glisser son gland entre elles. Sa queue glissa aisément tant j’étais mouillée, il s’enfonça entièrement, les yeux clos. Une douce chaleur m’envahit, je retins ma respiration lorsqu’il ressortit avant de replonger plus violemment. Il ne put se contenir, le rythme de ses allées et venues s’accéléra et, sans que je puisse l’en empêcher, il déchargea très rapidement. Trop rapidement. Son sperme chaud gicla en moi en de brèves décharges, il haletait. Stéphane m’avait représenté sa queue que je suçais frénétiquement. Par instants, il la ressortait et s’avançait afin que je lèche ses couilles. J’en aspirai une, la faisant rouler sous ma langue, allant jusqu’à la mordiller, ce qui provoqua des mouvements fébriles de son sexe.
La queue de Sébastien ramollissait rapidement alors qu’il continuait vainement ses mouvements. Un peu déçu de la brièveté de sa prestation, il se retira, cédant sa place à son copain. Stéphane semblait plus expérimenté, il prit mes jambes, les releva et, sans précautions, me pénétra brutalement. La différence entre la taille des queues de mes deux jeunes amants était saisissante. Malgré la lubrification de ma chatte par mes sécrétions et le sperme de Sébastien, j’eus l’impression que Stéphane allait me déchirer tant sa bite était grosse. Je poussai un cri lorsque son gland vint buter au fond de mon ventre. Il resta fiché en moi, le temps de placer mes pieds sur ses épaules. Il ressortit alors sa queue, lentement afin de me faire profiter de toute sa longueur, son gland émettant un bruit cocasse lorsqu’il sortit. Puis, saisissant mes hanches à pleines mains, il m’attira à lui violemment et commença une longue série de pénétrations plus puissantes à chaque fois. Je gémissais, agitant la tête en tous sens, et Sébastien qui à force de caresses avait retrouvé sa vigueur eut beaucoup de peine à me faire comprendre qu’il voulait que je le suce.
Stéphane s’arrêta soudain, aussi subitement qu’il avait commencé. Je fus frustrée et me vengeai comme je le pus sur la queue de Sébastien, aspirant, suçant, mordillant. Stéphane reprit ses mouvements, plus lentement cette fois, mais avec autant de force. Je jouis une première fois, mes doigts se crispant autour de la queue de Sébastien. Stéphane me dit qu’il allait jouir aussi, je l’invectivai, l’incitant à se vider en moi, à aller plus profond, plus fort. Il libéra son flot en de puissantes giclées, d’abord en moi, puis sur mon clitoris. De mes doigts, j’étalai le jus blanchâtre en me masturbant.
Stéphane bandait encore, le jeune garçon avait une sacrée résistance. Je repliai mes jambes sur ma poitrine et, recueillant du bout des doigts le sperme qui s’écoulait de ma chatte, je m’enduisis l’anus, mon majeur glissant bientôt à l’intérieur.
Bien que je n’aimais pas ce terme, je n’étais pas du tout contre sa proposition, mais je voulais plus, je les voulais tous les deux en moi en même temps. Stéphane, allongé à mes côtés, continuait à se masturber d’une main, l’autre jouant avec mon sein droit. Je me relevai et, l’enjambant, je descendis lentement, m’empalant sur son sexe qu’il maintenait dressé. Il s’empara de mes deux seins qu’il maltraita. Je montais et descendais sur le sexe de Stéphane, l’engloutissant tout entier. Sébastien, se plaçant derrière moi, m’embrassa dans le cou et lentement, sa langue descendit le long de ma colonne vertébrale. Je frissonnais de plaisir. Il atteignit la naissance de ma raie et s’apprêtait à remonter, mais je me penchai en avant, m’allongeant sur Stéphane, tout heureux de se retrouver avec mes tétons tendus à portée de ses lèvres qu’il mordilla, suçota.
Sébastien eut ainsi accès à mon petit trou, j’écartai mes fesses de mes deux mains, n’ayant plus d’appui, ma poitrine s’écrasa sur le visage de Stéphane. Sébastien plaqua sa bouche sur mon anus, immédiatement je sentis sa langue tendue s’insinuer dans mon œillet. J’écartai encore plus mes fesses afin de lui permettre d’aller encore plus loin. Le membre de Stéphane était toujours fiché en moi, immobile. Lorsqu’il eut bien lubrifié l’entrée de mon cul, Sébastien, se crachant dans la main comme il avait dû le voir faire dans un film porno, lubrifia son gland et le présenta. La position était inconfortable et il dut s’y reprendre à plusieurs fois, sa queue ayant tendance à rejoindre celle de Stéphane dans ma chatte. Enfin, je sentis son gland presser l’entrée de l’étroit conduit. J’abandonnai mes fesses pour m’agripper aux siennes et l’inciter à s’introduire.
Heureusement qu’ils n’avaient pas inversé les rôles ! Le sexe de Sébastien suffisait à mon bonheur anal. Il parvint enfin à enfiler son sexe tout entier entre mes fesses. Stéphane, avec mille précautions, essaya de reprendre les mouvements de sa queue dans ma chatte, mais il ne réussit qu’à laisser échapper son sexe de ma grotte humide. Je pouffai de rire, leur inexpérience était attendrissante. Je l’aidai à retrouver sa place entre mes cuisses, cela lui avait servi de leçon, abandonnant l’envie de bouger, il s’employa à dévorer mes seins. Sébastien, lui, fut plus libre de ses mouvements et commença à me labourer les reins de plus en plus vite. Stéphane trouva très agréable de sentir la queue de Sébastien qui me pilonnait au travers de la mince paroi de chair qui les séparait. Je leur demandai de ne pas jouir à nouveau en moi, et de réserver leur sperme pour mes seins et ma bouche.
Tous deux me traitèrent de salope, mais, obéissants, promirent de bien m’asperger. Il faut dire que je les avais gâtés, ils n’avaient pas dû en connaître beaucoup comme moi. Certes, ils n’étaient pas puceaux, mais leur maladresse trahissait une inexpérience certaine.
Sébastien le premier se retira, et contrôla son éjaculation, attendant que Stéphane, libéré, atteigne lui aussi le dernier stade en me baisant avec fougue. Il s’arrêta, me fit me dégager et, debout à côté de son copain, chacun s’astiqua vigoureusement, ils éjaculèrent sur ma poitrine, s’appliquant à viser mes tétons. J’en reçus aussi dans le cou, le sperme ruissela sur mes seins. Je m’emparai de leurs sexes et, les branlant, en extirpai les dernières gouttes de sperme que je recueillis sur ma langue. Je mélangeai leurs semences, étalant le tout sur mes seins. Je me relevai et les embrassai longuement chacun à leur tour. Ils partagèrent ainsi leur sperme, leurs mains sur mon corps étalèrent le précieux liquide, sur mon ventre, ma chatte. Sébastien, le premier, lécha mon sein droit, bientôt imité par Stéphane. C’était délicieux de sentir ces deux bouches aspirer mes mamelons.
En cœur :
Madame ! C’était touchant !
Je récupérai ma robe, la reboutonnai, et nous nous séparâmes. Ils étaient tellement émus qu’ils ne pensèrent même pas à me demander si l’on se reverrait… Je l’espérais secrètement.
Je retournai rapidement jusqu’à la maison, pour prendre une douche rapide avant de retourner retrouver Olivier qui devait commencer à trouver le temps long. De retour au village, Olivier m’accueillit avec un large sourire, il avait vu les deux jeunes gens revenir et, à leur mine réjouie, il avait compris que tout s’était bien passé. Je lui promis de lui raconter en détail, mais Julie et Pierre nous avaient rejoints et nous dûmes parler d’autre chose.
@ suivre…