n° 00990 | Fiche technique | 20844 caractères | 20844Temps de lecture estimé : 15 mn | 11/09/00 corrigé 08/05/23 |
Résumé: C’est la rentrée et l’occasion des retrouvailles avec les anciennes copines... | ||||
Critères: ffh fbi jeunes copains intermast fellation cunnilingu fgode préservati pénétratio fdanus fsodo | ||||
Auteur : Cyber Syr Envoi mini-message |
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La suite de mes vacances a été une succession de promenades avec mes parents les matins, et les après-midi avec Kathy. La veille de la rentrée, après un dernier après-midi de vacances consacré à notre seul plaisir, allongés nus sur le lit de Kathy, nos corps encore couverts de sueur et de jouissance, on discute de l’avenir et du contenu de notre relation. D’un commun accord, on ne souhaite pas s’engager dans une relation trop durable (qui de toute façon se terminerait sûrement rapidement, nos études nous appelant à voyager beaucoup les années à venir) de peur de rompre notre bonne entente de camarades. L’amitié tient-elle à l’amour ? Bref, on décide, toutefois avec un peu de regrets et de tristesse, de se contenter de quelques passades sexuelles quand le ventre nous le réclame, quitte à les partager avec Jérôme et Claire… ou d’autres.
Kathy, d’une petite voix, me fait une confession supplémentaire.
Malgré ses fantasmes et son appétit sexuel, elle reste sage dans ses propos… Je lui promets d’essayer plein de nouveaux trucs bien que je n’aime guère m’aventurer dans des domaines que je maîtrise mal, mais l’heure tournant, je dois l’abandonner pour cet après-midi, seule, nue sur son lit. En attendant de la revoir le lendemain à la reprise des cours, je rêve un peu et m’inquiète de savoir comment faire pour répondre à ses fantasmes.
Nous voilà devant l’entrée de l’école. Kathy est déjà là quand j’arrive, vêtue d’un jean clair et d’un chemisier fuchsia. Très élégante pour ce premier jour. Pourtant, on ne va pas faire grande chose, quelques formalités ce matin, et l’après-midi libre… Je me dirige vers elle et l’embrasse comme deux copains le feraient, même si je n’hésite pas à me rapprocher plus près. On discute un peu, et voilà qu’arrive Véro, une fille d’une autre filière avec qui j’étais sortie un soir de bringue il y a un an… Véro : châtain ; les cheveux au carré ; mignonne, mais sans plus ; un joli corps. Lors de notre brève liaison, on n’était guère allé loin, sinon quelques caresses masturbatoires sur l’un ou l’autre. Je l’avais regretté à l’époque, mais depuis cette soirée nos filières se croisant que peu souvent je ne l’avais guère revue, sinon « bonjour, ça va » dans la cour en se croisant. Je ne m’attends à guère plus de discours, même en cette rentrée. Effectivement, on se fait la bise et :
Mais alors que je m’attends (et Kathy aussi, assez impatiemment) à ce qu’elle parte, elle hésite puis me demande :
Notre amitié et le fait qu’on traînait souvent ensemble l’an passé ont toujours surpris les gens, dont certains pensaient même qu’on sortait franchement ensemble. Véro semble plus observatrice. Elle a dû remarquer que notre comportement est différent, plus complice, depuis quelques minutes. Kathy, assez nerveuse :
Et elle amorce un demi-tour. Je la retiens, un peu surpris et gêné par le ton de Kathy.
J’ajoute, commençant à entrevoir quelques projets malhonnêtes.
En effet, j’avais trouvé Véro très chaude et très vicieuse lors de notre soirée, n’hésitant pas à se livrer sans complexe. Même si la rencontre Kathy-Véro a été plutôt tendue d’entrée, je ne désespère pas d’arriver à quelque chose… vous voyez, non ?
Je regarde partir Véro dans sa robe d’été un peu décolletée, mais très sage. Kathy me lance des regards foudroyants.
J’ajoute avec un petit sourire en coin :
Et je commence à prendre la direction de la salle de cours, coupant ainsi toute réponse. J’ai une matinée pour préparer mon truc… heureusement que les formalités ressemblent à celles de l’année dernière, parce que mon esprit est plus occupé par le contenu de mon après-midi que par les discours qui se succèdent. Vraiment, je crois que c’est le bon plan : je suis sûr que Véro est prête à faire beaucoup de choses pour son plaisir et celui de son partenaire et je pense que je vais pouvoir pousser Kathy un peu plus loin. Je jette fréquemment un coup d’œil vers Kathy, elle me paraît très tendue. Elle s’est assise, quelques rangs devant, car on ne mélange pas sexe et boulot… Tiens, un petit mot qui vient de devant.
Qu’est ce que tu as derrière la tête ? Je t’avertis, je la trouve nulle et je pense que tu te trompes.
Kathy
Toujours tendue, la « petite ». Je sors mon stylo :
Détends-toi. Je ne te forcerais à rien et je suis sûr que tu auras une bonne surprise. Si tu savais comment je bande en pensant à ça.
Sylvain.
Le message repart par la même direction, et à peine Kathy l’a lu qu’elle se retourne l’air un peu furax. J’en souris… je commence à être content de ma mise en condition. Bref (vous commencez à trouver le temps long, non ? Moi aussi, ce jour-là…), la matinée se poursuit, puis direction la cafèt’ où on retrouve Véro qui nous attend.
Quelques amabilités entre les deux filles plus loin, on trouve une table un peu à l’écart. La discussion reste tranquille sur les vacances, il faut que je brusque les choses. Tentons de mettre la main sur la cuisse de Véro. Parfait, aucune réaction. Je suis juste à la lisière de la robe. Kathy ne peut pas ne pas se douter de ce que je fais, mais elle n’en laisse rien paraître. Je remonte la main un peu plus haut. Pas de réaction de Véro qui continue à nous raconter ses vacances en Corse. Je commence même à sentir la chaleur de l’entrejambe, quand enfin Véro bouge, mais c’est pour écarter plus les jambes et me permettre d’accéder entre ses cuisses jusqu’à sa culotte… juste un petit aller-retour. Je veux simplement la mettre en condition et l’exciter un peu, mais passons à Kathy à présent, qui en a bien besoin vu la moue qu’elle tire. Elle est en face de moi, pas pratique pour la main. Allons-y au pied. Le mocassin quitté (pratique ces chaussures sans lacets, quand même), je relève la jambe en direction de ses genoux. Réception acceptée. Écartement léger des jambes. Je force un peu pour avoir un plein accès et finalement, après quelques efforts, mon pied touche son entrejambe à travers le jean. Petit geste de surprise (elle pensait peut-être que je n’irais pas jusque-là) qui n’échappe à personne à table, mais j’insiste un peu, Kathy me laissant libre accès. Je joue un peu avec un bouton (sans arriver à le défaire, je ne suis pas un singe) puis je repars, la laissant sur sa faim. Voilà, mes deux demoiselles sont dans un état plus avancé. Véro semble même impatiente, car elle a déjà fini son dessert et est prête à partir. Kathy voyant son retard accélère le rythme, et dix minutes plus tard on est sur le chemin vers l’appart de Véro… moi comme un pacha, entouré par mes deux amies.
L’appart est petit, mais proche de l’école. Mis à part la pièce principale, il y a une petite kitchenette et juste une douche et un WC. Pendant que Véro nous prépare le café, j’en profite pour pousser un peu plus Kathy en la serrant contre moi et en l’embrassant tendrement. Mes mains ne peuvent s’empêcher de mouler ses fesses à travers le jean. Je lui glisse quelques propos doux, puis plus sexes, et je la laisse plantée devant le lit de Véro qui occupe la moitié de la pièce. Je vais rejoindre mon autre créature dans la cuisine que je serre par-derrière en lui demandant de verser un peu d’alcool dans les cafés pour détendre l’atmosphère… Juste un peu. J’en profite pour lui peloter les seins vigoureusement sans qu’elle me le refuse.
Je lui demande ça pour faire remonter à la surface des souvenirs érotiques, mais je pense que c’était déjà fait vu son état d’excitation évident.
Le café est prêt et on se retrouve donc dans la pièce principale. Je suis assis sur le lit avec Kathy pendant que Véro est sur une chaise face à nous. Kathy que je sens toujours en colère contre Véro commence un peu à se détendre. Pour accélérer les choses, je lui dis :
À ces mots, je me lève, invite Véro à se lever aussi en lui tendant la main et la presse contre moi, comme nous étions dans la boîte ce soir-là. Mes mains parcourent son corps.
Ce disant, je glisse ma main sous la jupe de Véro, puis directement dans sa culotte. Son sexe est toujours peu poilu et sa toison, coupée très rase. Je le sens déjà bien vivant et ouvert. Comprenant la reconstitution, Véro me relaye.
Et, ouvrant mon jean, elle le baisse un peu, juste pour permettre à mon sexe de sortir.
Joignant le geste à la parole, elle s’agenouille devant moi et baisse plus loin mon pantalon pour mieux dégager mon sexe qu’elle léchouille doucement. Kathy intervient alors :
Sans me démonter, le scénario se passant encore mieux que prévu, je lui réponds de se déshabiller et de venir se joindre à Véro pour me lécher. Après un temps d’hésitation, je la vois qui commence à défaire ses boutons, glisser son jean, puis enlever son haut fuchsia. Elle porte des sous-vêtements assez simples, mais qui m’excitent toujours beaucoup, surtout quand, bien moulants, ils laissent entrevoir les poils de son sexe ou la grosseur de ses seins. Elle se dirige vers Véro et s’agenouille à ses côtés. De bonne grâce… Véro lui laisse l’accès à mon sexe et descend s’occuper de mes boules. Elle sait y faire, croyez-moi ! Ça permet à Kathy de se consacrer complètement à mon sexe et de l’emboucher entièrement. Leurs mains ne restent pas inactives non plus et je sens quatre mains se partager mes cuisses, mes fesses. Des petits doigts que je reconnais comme étant ceux de Véro (par défaut… ceux de Kathy sont longs et fins) s’insinuent même dans ma raie et caressent mon anus. Tout ça me fait un effet terrible, mais je ne dois pas partir trop vite si je veux que mon scénario évolue bien.
En disant cela, j’espère surtout que Véro quittera sa robe et, secrètement, je souhaite qu’elles tiennent beaucoup à leur culotte pour tout quitter…
Pas manqué, Kathy, bien échauffée et enfin rassurée sur mes dispositions et celles de Véro, commence à dégrafer son soutien-gorge. Avant même qu’elle ait le temps de quitter sa culotte, Véro l’a rejointe, sa robe volant dans la pièce suivie du petit soutien-gorge. Pourtant plus habillée, Véro retrouve donc la première sa position et embouche mon sexe. Kathy finit de se dévêtir plus lentement (à mon plus grand plaisir, frustré par la précipitation de Véro qui ne m’a même rien montré de son corps ou presque) et, en se dirigeant vers mon sexe, remarque :
Et elle se met à s’occuper de mes boules et surtout de mes fesses. Le déshabillage m’avait permis de faire retomber un peu la pression, mais ces mains et ces langues expertes vont rapidement avoir raison de moi, et en peu de temps, je me retrouve proche du point de non-retour. Ce qui m’électrise le plus, c’est incontestablement la langue de Kathy sous mes couilles alors que ses doigts s’aventurent de plus en plus loin dans ma raie. Impossible de résister à un tel traitement… même avec toute la volonté du monde. Pas manqué, ça n’a pas traîné, et rapidement Véro s’est retrouvée avec la bouche, puis le cou et les seins pleins de sperme. Kathy n’en a pas eu une seule goutte, mais ça m’arrange bien pour mon plan. En effet, alors que Véro se relève, le sperme dégoulinant sur le ventre, je lui demande de se coucher sur le dos et d’offrir une dose de ma jouissance à la langue de Kathy. Elle m’obéit enchantée, et Kathy comprenant rapidement la situation se met tête-bêche au-dessus de Véro. D’abord avec la tête au niveau du cou, puis sa langue parcourant le reste du corps, la tête au niveau des seins, puis du ventre. L’excitation et la curiosité de Kathy lui font rapidement descendre la langue dans des zones que le sperme n’a pas atteintes, mais où la chaleur de Véro se répand.
Voilà, enfin l’un de mes fantasmes se réalise : devant moi, Kathy parcourt de sa langue les poils courts du minou de Véro qui écarte largement ses jambes, m’offrant une vue parfaite sur son sexe. Les réactions de Kathy ne me laissent aucun doute : la langue de Véro a pris la même direction et je me déplace pour mieux profiter du spectacle. Assis sur le lit, je peux donc admirer mes deux amazones, enlacées sur le sol, Véro tenant fermement les hanches de Kathy pour plaquer le minou de la brune contre sa bouche avide. Superbe vue qui ne peut que m’inciter à me branler pour me redonner de la vigueur. Je vais pouvoir passer à l’étape suivante de mon plan : hier après-midi, Kathy voulait se faire prendre par-derrière…
Je me dirige vers la tête de Véro. Vue encore plus belle sur le sexe de Kathy, car la proximité rajoute l’odeur. Je murmure à Véro de préparer le petit trou de sa partenaire avec ses doigts, mais discrètement pour que Kathy ne se doute de rien. Sournoisement, avec un petit sourire, elle glisse entre deux coups de langue et deux soupirs :
Je me relève doucement. Kathy occupée à son plaisir et à celui de sa partenaire n’a sûrement rien entendu. Je ne suis même pas sûr qu’elle ait remarqué que j’ai parlé à Véro. Je vais voir la table de nuit, me demandant un peu ce que je vais pouvoir y trouver. Kathy ne se doute toujours de rien, parce qu’elle me tourne toujours le dos. En plus, entre coups de langue et soupirs, il n’y a pas de place pour le monde extérieur. Je m’attends à chaque instant à la voir partir en un superbe orgasme, mais Véro semble bien savoir doser ses caresses. Une vraie experte…
Tiens, que vois-je dans le tiroir de la table de nuit ? En plus du pyjama de Véro, un joli petit vibro en inox. Pas très gros. Oh la coquine, je commence à entrevoir les idées de ma partenaire du jour. Je lui apporte et, posant le vibro à côté d’elle, elle prend ma bite et la passe doucement sur le sexe de Kathy. Hum, il est chaud, humide. Kathy pousse un petit cri de surprise, mais se reprend tout de suite et me supplie.
Un clin d’œil complice à Véro et je relève ma bite vers l’anus de Kathy. Je pose juste le gland et :
Kathy réagit bien, je commence à l’enfoncer dans le conduit très étroit et vierge. C’est très serré et j’ai du mal à rentrer. Kathy se tend fréquemment et Véro se plaint ouvertement de l’arrêt de ses caresses sur son sexe, mais petit à petit, le mien disparaît entre les fesses charnues de Kathy.
Quel pied ! Et dire que je n’aime pas trop ça, mais là, avec l’excitation de ce qui a précédé, c’est réellement divin. Je sens Kathy remuer sous mes légers coups, et je m’aperçois que Véro n’est pas restée inactive et qu’elle a trouvé une utilisation à l’objet que j’ai ramené de la table de nuit. Le vibro au métal froid parcourt les lèvres de Kathy, et doucement s’enfonce dans le vagin, offrant à ma partenaire une initiation à la double pénétration. Mais le plus beau reste à venir quand Véro appuie sur le petit bouton et met en route le vibro : immédiatement, je sens moi aussi vibrer l’engin à travers la mince paroi et Kathy gémit plus fort. Elle explose dans un orgasme assez dévastateur, se contractant de partout. J’ai l’impression que ma bite va être écrasée à l’intérieur de ses fesses et je m’offre pour la deuxième fois de l’après-midi une vidange complète, remplissant l’anus de Kathy d’un liquide chaud et liquoreux. Je me retire avec un charmant petit bruit qui fait rire Véro. Kathy ne peut plus bouger et reste couchée sur Véro, les fesses à hauteur de sa figure qui ne peut s’empêcher de tendre la langue quand un peu de sperme coule le long du périnée. Quand enfin Kathy se relève et que Véro ôte le vibro de son sexe, cette dernière ne peut s’empêcher de lécher son ami du soir. J’embrasse tendrement Kathy en lui demandant ce qu’elle en a pensé.
Fier de ce retournement de situation, je lui tète un peu les seins pour mon propre et unique plaisir. Véro s’approche de nous et va pour embrasser Kathy qui, après un peu d’hésitation, lui rend son baiser.
Ainsi, elle est encore plus vicieuse que je ne le croyais… Kathy, rougissant, ne sait que répondre, et un bref regard vers le réveil lui permet de sauter du coq à l’âne.
Se dirigeant vers la salle de bains, Véro en profite pour quelques caresses supplémentaires sur les fesses de Kathy. Ces deux filles nues, de dos, côte à côte, sont un spectacle à la hauteur de ce que je viens de vivre, et avec un peu d’efforts je devrais pouvoir faire un troisième numéro…
La douche prise, culotte et soutien-gorge réajustés, derniers baisers échangés, et voilà Kathy qui descend en courant l’escalier. Seul, nu, avec Véro qui n’avait pas joui de l’après-midi, je ne peux m’empêcher de l’attraper et de la serrer fort dans mes bras en lui présentant mes lèvres. Elle répond à mes attentes en enroulant sa langue autour de la mienne et en me tirant vers son lit. Le baiser langoureux s’achève quand j’essaie de pénétrer entre ses cuisses ouvertes. Elle murmure :
Et, tendant le bras vers la table de nuit, elle sort du tiroir un préservatif.
Je lui présente mon sexe pour qu’elle l’habille et, revêtu de sa tenue de sortie (ou d’entrée…), il se dirige à nouveau vers l’écrin et entre dans la grotte chaude. Pas très étroite, Véro n’en demeure pas moins experte, et ses muscles, ses doigts, ses baisers, tout contribue à rendre très agréable le moment présent. Je la pistonne un peu vigoureusement, accélérant avec sa respiration. J’ai envie qu’elle prenne bien son pied pour la remercier de cette après-midi si particulière. Je contrôle à merveille mon plaisir et la miss prend un pied terrible assez rapidement, m’offrant un cri magnifique de plaisir et serrant mon sexe dans son vagin. Le temps de lui laisser reprendre ses esprits, je continue mon travail jusqu’à ce qu’elle atteigne un deuxième orgasme, me libérant par l’occasion et me permettant sans scrupule de jouir dans mon étui. Quelques instants, et avant de reprendre une forme correcte, je me retire prudemment, épuisé. Avant que je puisse réagir, elle me retire la capote et la pose sur la table de nuit, puis m’embrasse longuement et me propose une douche réparatrice. Comment refuser un tel présent offert par une si charmante partenaire par un chaud après-midi ?
La partie érotique de ma journée de rentrée s’achève donc sous le jet frais de la douche de Véro, heureux de mon propre plaisir, et fier de celui de Kathy. Si l’année ressemble à la rentrée, je vais arriver vanné aux examens de fin d’année…