Comme tout étudiant, ma vie est surtout rythmée par les épreuves officielles et autres partiels. Cette année-là, comme les autres, n’a pas dérogé à la règle, et donc plus les partiels avançaient et plus mon activité sexuelle diminuait. En fait, pour être tout à fait honnête, elle a décru assez rapidement après la rentrée, le rythme de travail m’interdisant de me disperser. Bon, OK, ne le répétez pas, mais il y a bien eu quelques soirées chez Kathy où, censés bosser les cours, on bossait plutôt une autre matière.

La première de ces soirées est d’ailleurs l’occasion d’un bilan… celui de la première journée de cours, enfin, de l’après-midi. Kathy est étendue sur son lit, en petite culotte seulement, la tête sur mon buste. Je suis nu comme un ver, et le fait de penser aux événements de ce jour-là, mon sexe a du mal à rester au repos. Kathy est vraiment enchantée par ce qu’elle a vécu cet après-midi-là : la douceur des caresses de Véro, sa préparation à la sodomie et le moment où elle s’est sentie prise par mon sexe, tout cela lui reste en mémoire. Elle m’avoue même tendrement se caresser fréquemment en repensant à cela qu’elle a eu raison de me faire confiance et qu’on peut recommencer quand je veux, de la même façon ou… « en faisant des choses plus coquines », ajoute-t-elle avec son grand sourire coquin.

• — Promis, j’y penserais.

Et voilà donc arrivé le jour où on va recommencer… enfin, différemment. Le dernier partiel vient de s’achever et les vacances de Noël vont offrir une pause bien méritée. En attendant, ce soir, on va faire un peu la fête. Mes parents sont partis en vacances et j’ai donc l’appart pour moi tout seul. J’ai donc invité Kathy, mais aussi Jérôme et Claire à venir manger à la maison avant de sortir si on en a encore l’envie. J’ai aussi prévu autre chose, mais chut, c’est une surprise pour Kathy… seuls Jérôme et Claire sont au courant. Kathy sait juste qu’elle vient manger à la maison, et avant de se séparer pour aller se préparer, je lui ai demandé de s’habiller sexy pour cette soirée. Je suis curieux de savoir ce que cela va donner.

19 heures, le repas est fin prêt. Claire et Jérôme sont venus me donner un petit coup de main. Il y a les quatre couverts mis sur la table. Claire a un jean serré et un col roulé assez moulant, Jérôme et moi sommes en tenue très classique, pull et jean.

Dringgg.

Ce doit être Kathy, ponctuelle comme toujours. J’ouvre la porte, et la première vue est sans équivoque. Mon sexe comprend lui aussi tout de suite la situation. Kathy est devant moi. Elle a des collants (ou bas, je ne sais pas) noir brillant, une jupe beige assez courte, mais très élégante et son manteau est ouvert sur un haut très… chaud : il est noir, très moulant, avec un losange découvert au niveau du nombril. Ses seins sont très moulés et paraissent libres là-dessous (de toute façon, un soutif se verrait tellement le haut est moulant). Je l’attire vers moi pour l’embrasser et la complimenter. Elle rougit presque de mes compliments. Jérôme et Claire ne sont pas en reste et j’imagine bien comment va se passer la soirée : encore mieux que ce que j’avais préparé. Je guide Kathy vers la chambre de mes parents où on entrepose les manteaux. Pendant qu’elle ôte le sien, je ne peux m’empêcher de passer derrière elle et de lui prendre les hanches en la plaquant vigoureusement contre mon bassin… et mon sexe tout dur. Elle se laisse faire en riant et je lui murmure dans l’oreille en lui massant les seins (qui sont bel et bien libres sous le tissu) :

• — Tu vas pouvoir te caresser pendant toutes les vacances en repensant à cette soirée, mon Ange. J’ai une superbe surprise pour toi !

Mes doigts pincent un peu ses tétons érigés à travers le petit polo noir en entendant ces mots.

• — Moi aussi, j’ai une surprise pour toi.

Et elle prend ma main et la passe sous sa jupe. Ce sont bien des collants, mais il n’y a pas de culotte. Je peux très bien sentir les poils à travers la fine épaisseur du collant. La coquine s’est souvenue de ce jour où je lui avais dit que je fantasmais pas mal sur les filles nues dans leurs collants. Quand on revient dans la cuisine, on a le droit aux commentaires jaloux et salaces des deux autres. La soirée s’annonce chaude, chaude, chaude.

Le repas en lui-même se passe bien. Je regarde peut-être un peu trop l’heure, alors qu’on est parfaitement dans le timing. Le vin est allégrement (mais raisonnablement) servi. Le dessert, fait maison, arrive et est dévoré comme si on avait encore faim, à moins que l’on soit pressé d’en finir. Pile-poil, 21 heures. L’interphone sonne. Jérôme se dirige vers lui et y dit :

• — OK, on est prêt.

Je regarde Kathy et Claire. Cette dernière, au courant, a un petit sourire coquin. Kathy est plus interloquée.

• — Je crois que c’est ta surprise qui arrive, Kathy, mais pour la recevoir correctement, il faudrait que tu ailles dans ma chambre là-bas, qu’on se prépare un peu.

Sans plus se poser de questions et impatiente de connaître ce qu’on lui a préparé, elle se dirige rapidement vers ma chambre dont j’entends la porte se fermer. Un coup d’œil pour vérifier que la belle ne triche pas. OK, Jérôme ouvre la porte… Deux gars, plutôt mignons, je dois reconnaître, copains de Jérôme, entrent.

• — Bonjour, Salut.

On va pouvoir préparer notre surprise. On se dirige au salon.

• — Allez, il faut s’y mettre !

Et les quatre hommes quittent pantalon, caleçon, slip et pull pour se mettre nus autour de la table basse. Claire regarde avec curiosité nos deux nouveaux arrivants. Je ne sais pas si c’est le programme ou quoi, mais ils n’ont pas l’air complètement au repos. J’avoue que moi-même, j’ai du mal à tenir. Jérôme, ça a l’air d’aller mieux. Je propose à chacun de s’astiquer un peu en attendant que Claire aille chercher Kathy. Voilà la surprise : quand Claire reviendra avec Kathy, elle lui enlèvera son haut et sa jupe, ne lui laissant que son collant, et lui retirera le bandeau qu’elle lui aura mis dans la chambre… elle aura alors en face d’elle quatre bites au garde-à-vous, toutes prêtes à servir et à lui donner tout le plaisir qu’elle voudra pour cette « sacrée soirée ».

Voilà Kathy. Comme prévu, les yeux bandés, elle se laisse ôter son haut par Claire et nous dévoile ses gros seins ronds bien bandés. Le piquant de l’affaire, c’est qu’elle ne sait pas qui est là en plus… Homme ? Femme ? Combien ?

Visiblement, cela ne la gêne guère. Elle m’a déjà souvent dit qu’elle avait complètement confiance en moi et qu’elle n’imaginait pas une seconde que je puisse lui faire une crasse un jour. Claire n’a pas plus de difficulté pour lui enlever sa jupe, et la voilà presque nue, son collant noir brillant ne suffisant pas tout à fait à cacher sa chatte velue. Les quatre bites sont bel et bien au garde-à-vous comme prévu. Tout se passe bien. Claire peut enlever le bandeau de Kathy.

Petit cri ; mi-surprise, mi-contentement. Kathy semble ravie du spectacle.

• — C’est… C’est que pour moi ?
• — Oui, Kathy, les quatre bites sont pour toi et uniquement pour toi. Et en même temps si tu le souhaites…
• — Bien sûr que je le souhaite. L’expérience avec le jouet de Véro m’avait fort plu, alors avec un vrai sexe à la place d’un jouet froid, ça doit être le pied.
• — J’étais sûr que cela te plairait. Messieurs, en garde !

Je me place derrière Kathy et lui descends doucement le collant pour dévoiler enfin à nos invités ses trésors cachés (et humides).

• — Tu devrais te pencher en avant pour les mettre en condition, ma chérie.

Aussitôt dit aussitôt fait ! Kathy se penche et présente sa bouche et sa langue aux trois engins prêts à être utilisés. De mon côté, il faut que je lui prépare son petit derrière. Cette fois, ce n’est pas moi qui m’en servirai, j’ai voulu laisser ce plaisir à Jérôme auquel Claire a toujours refusé son derrière, mais je veux m’assurer que Kathy sera prête. Je lui lèche donc les fesses, puis la raie, puis l’anus, entraînant à chaque étape des ondulations de plus en plus marquées de son corps. Un coup d’œil aux trois autres pour m’assurer qu’ils sont fin prêts. Jérôme y répond en se couchant sur le dos sur le parquet, il continue à se branler doucement.

• — Humm, Jolie vue ! Tu devrais plus écarter les jambes, Kathy.

Désirs qui deviennent des ordres quand Kathy ouvre un peu ses jambes. J’imagine la vue que doit avoir Jérôme.

J’invite alors Kathy à se coucher sur le dos au-dessus de Jérôme, sans crainte de l’écraser. Une fois en place, Jérôme lui présente immédiatement son sexe à l’entrée de l’anus. Kathy le lui ouvre péniblement et le sexe entre doucement. Pendant cette lente introduction qui arrache quelques grimaces à Kathy, comme prévu, les deux autres se dirigent vers la tête de Kathy et lui présentent leur bite érigée. Deux bites pour une seule bouche et une seule langue ne font pas peur à Kathy qui s’occupe immédiatement de leur cas. Quant à moi, à peine Kathy installée, je lui écarte les jambes pour mieux pouvoir accéder à son sexe. La mienne, prête à craquer, n’a aucun mal à rentrer et je retrouve la douce chaleur de son sexe. La voilà avec nos quatre bites dans (ou presque) elle.

Un coup d’œil à l’ensemble de l’œuvre m’excite un peu plus. Claire a l’air aussi de bien en profiter. Discrètement, elle s’est mise nue aussi et se caresse doucement en regardant sa copine prise sous ses yeux. Régulièrement, je sens le sexe de Jérôme à travers la fine paroi et je n’en bats que plus vite la mesure. L’un des deux invités laisse la bouche entière à l’autre et vient glisser sa bite humide entre les gros seins de Kathy pour lui baiser la poitrine. Kathy a de plus en plus de mal à respirer. Elle gémit de moins en moins et crie de plus en plus. La connaissant un peu, je sais que la première jouissance ne va pas tarder.

Quel plaisir de lui faire autant plaisir !

Je sens rapidement son sexe s’inonder en même temps qu’un cri plus fort que les autres traverse la pièce. On s’est fixé le but de la faire jouir quatre fois, une pour chacun, avant de jouir nous-mêmes. Ça va être dur. Heureusement que cela risque de s’enchaîner maintenant. Pas manqué, voilà une deuxième, puis rapidement derrière, la troisième explosion. Visiblement, c’est celle de trop pour Alain (celui qui se faisait sucer) qui craque et qui arrose le visage de la brunette. Jérôme voyant cela au-dessus de son visage, craque à son tour, et dans un râle primal éjacule dans le cul de Kathy. Je résiste tant bien que mal, et finalement Kathy vient à son tour pour la quatrième fois en moins d’un quart d’heure. On peut se lâcher, et Séb maquille son cou, son visage et sa poitrine de son chaud jus avant que, me retirant de mon écrin trempé, je finisse d’arroser son ventre et ses seins. Elle est trempée de sueur et de sperme qu’elle essaie de lécher sur ses babines. Magnifique, comme cela !

Jérôme arrive à la faire glisser pour se relever, alors que Kathy a du mal à reprendre ses esprits et reste allongée sur le parquet. Séb et Alain commencent déjà à se rhabiller et se dirigent vers la sortie en nous remerciant et en ajoutant, dans un sourire entendu :

• — Merci, les gars, c’est vrai que parfois baiser une fille, c’est pas mal. Ça change en tout cas. Amusez-vous bien !
• — Vous aussi ! lui répond Jérôme qui, en guise d’explications, m’explique qu’ils vivent tous les deux en couple et que les filles ne sont pas leur spécialité.

Remis de ma surprise (il en fallait bien une pour moi aussi), Jérôme et moi prenons Kathy et l’aidons à rejoindre la salle de bain. Un petit coup d’œil dans le miroir pour qu’elle puisse admirer son état (très excitant) : les traces blanches dégoulinant sur ses seins pointés, son visage humide et blanc, sa chatte trempée aux poils collés. Quelques caresses bien senties sur les fesses pour la remettre doucement en état de marche n’arrivent pas à la rétablir. Elle nous demande de l’aider à se coucher dans la baignoire. Un peu inquiets de son état, on essaie de trouver des moyens de la remettre d’aplomb, mais seul un verre de vin semble avoir un effet un peu positif. Claire, qui nous a rejoints, est surprise par l’état de sa copine et se demande tout haut comment on peut se vider de cette façon-là. Le contraste est, il est vrai, saisissant entre la joie et l’excitation de Claire et l’état amorphe de Kathy. Claire se blottit contre Jérôme en regardant sa copine se remettre de ses émotions. Ses petits tétons sont tout tendus d’excitation. Elle murmure quelque chose que je ne peux entendre et Jérôme me regardant le sexe répond plus fort :

• — D’accord, mets-toi en position.

Sans attendre, elle se met à genoux, me tournant le dos, et se penche en avant pour happer le sexe de son homme. Elle me présente ensuite sa croupe et Jérôme me dit :

• — Elle veut que tu la prennes. Enfin, normalement, tu vois ce que je veux dire ?

Je sais bien que Claire ne veut absolument pas de sodomie et je présente donc mon sexe vers sa chatte que je découvre bien ouverte et humide. Aucun problème pour rentrer dans cet écrin inconnu de mon sexe. Mon sexe n’est qu’à quelques centimètres des yeux de Kathy et je peux même sentir son souffle sur mon ventre… sentir ses yeux observer avec attention ma bite pénétrer dans le sexe de Claire, puis en ressortir régulièrement humide et un peu plus gonflée. De l’autre côté, Claire avale toujours plus goulûment le sexe de Jérôme. J’avoue fièrement que la première à jouir du trio est Claire, ce qui enchante grandement Jérôme qui se retire de sa bouche en disant :

• — Kathy n’en a pas eu assez. Une petite dose en plus. Et Claire, si tu en veux, tu iras le chercher sur ta copine.

Il s’avance vers Kathy en se branlant activement et il l’arrose sur les seins et la chatte. De mon côté, ça ne va pas tarder non plus, et je me retire au dernier moment pour arroser la tête de Kathy qui se trouve à ma hauteur. Ses cheveux épargnés, ou presque, jusque-là, reçoivent eux aussi leur dose, mais Kathy semble toujours un peu amorphe, ce qui ne me rassure pas. Heureusement qu’elle sourit un peu et qu’elle invite d’une petite voix cassée Claire à venir récupérer un peu de sperme sur son corps. Le souvenir de notre première fois à quatre remonte à la surface dans la salle de bain, Claire n’avait nettoyé que le ventre de Kathy sans aller ni sur les seins ni vers le sexe. J’attends avec impatience de voir si Claire a évolué dans ses désirs. Elle entre dans la baignoire où est couchée Kathy et s’agenouille au-dessus de ma copine. Elle dirige sa langue vers le cou de son amie et commence à lui nettoyer le sperme qui s’est répandu sur son corps. Le cou propre, doucement, elle descend sans hésitation, parcourt les seins qui revivent un peu sous ces caresses, s’attarde un peu sur les tétons qui redeviennent un peu durs. Enfin, quelques sons ressortent de la bouche de Kathy, des sons de gémissements de plaisir. Ils augmentent progressivement, plus Claire se rapproche du bas de son ventre. La voilà qui atteint les poils du sexe de Kathy, sans hésitation, elle y plonge sa langue pour se délecter du sperme qui y est perdu. Mon sexe et celui de Jérôme n’hésitent plus à se raidir nettement en observant le spectacle que nous offrent nos deux amies. Un nouveau petit temps d’arrêt, un coup d’œil complice à Jérôme, et la langue de Claire descend jusqu’à la fente de Kathy pour la nettoyer. Je pensais que Claire n’avait jamais léché une femme avant ça, et le petit mot d’encouragement de Jérôme me le confirme. Kathy retrouve petit à petit tous ses moyens pour gémir de plus en plus fort. Jérôme s’astique franchement le sexe à présent, sans plus de pudeur. Pour ma part, je me retiens, je surveille surtout l’état de Kathy que je ne veux pas revoir dans le même état que tout à l’heure. Cachant bien ses intentions, Claire semble être vigilante aussi, car voyant Kathy revenir en forme sous ses caresses, elle se relève et fièrement annonce :

• — C’est fini, elle a l’air d’aller mieux, je ne vais pas la faire jouir pour qu’elle retourne à l’état de légume. C’est dommage de finir la soirée comme cela.

Et se disant, elle ressort de la baignoire, embrassant fougueusement son amant pour partager avec lui les sécrétions qu’elle a léchées. Frustrée, Kathy fait un peu la moue, ce qui la rend encore plus excitante, mais en l’embrassant, je lui murmure qu’elle n’a pas à se plaindre de sa soirée quand même, et que Claire, par exemple, en a moins profité qu’elle. Alors que j’essaie de mettre sur pied ce nouveau tableau, Jérôme et Claire, en petit conciliabule, décident de nous quitter et de rentrer chez Jérôme pour passer la suite de la nuit. Tant pis, je devrais me contenter de Kathy pour cette nuit…

Les deux autres partis, on se retrouve seuls dans le salon. Je prends tendrement Kathy dans mes bras en lui demandant ce qu’elle a pensé de sa soirée. Timidement, elle m’avoue qu’elle a beaucoup aimé l’épisode avec ses quatre amants, même si cela l’a vidée complètement, et qu’une fois de plus elle ne regrette pas de m’avoir fait confiance. Je lui confie que mon seul regret est de ne pas avoir plus profité de son collant nu. Elle sourit et me propose de passer la journée de demain à travailler chez moi, en collant et sans rien d’autre.

Le lendemain, il est déjà tard quand Kathy ouvre les yeux sur mon corps nu à côté du sien. Pendant qu’elle dormait encore, je suis allé chercher son collant pour le poser à côté d’elle et je me suis plongé dans mes cours. Je ne vois pas tout de suite qu’elle observe mon sexe au repos, mais un petit signe de la tête lui fait prendre conscience de la présence du collant à ses côtés. Elle me sourit et, en sortant de la couette, enfile la paire de collants noirs, moulant parfaitement ses fesses et son sexe poilu. Un regard d’instant suffit à me sortir complètement de mes cours et à rendre à mon sexe une forme plus en accord avec la présence d’une femme nue dans mon lit. Ces premiers instants avec Kathy en collants me promettent le plus grand des plaisirs pour la journée à venir.