n° 01131 | Fiche technique | 9359 caractères | 9359 1536 Temps de lecture estimé : 6 mn |
08/10/00 corrigé 14/11/22 |
Résumé: Episode 6 des premières vacances (initiatiques) d'Elodie... Une première nuit à deux ! | ||||
Critères: ff jeunes copains noculotte fmast intermast cunnilingu 69 | ||||
Auteur : Soliste (Homme 40 ans) |
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Préambule :
Les récits de ces vacances sont totalement imaginaires.
Après l’après-midi mouvementé que nous venions de vivre avec Fabienne et Luc, aucune de nous trois n’avait une grande fraîcheur physique. Une seule envie : grignoter un petit quelque chose, puis dodo. La bouteille de champagne, celle que nous avions emportée pour fêter nos vacances, fut vite ouverte en guise d’apéritif. Quelques chips, quelques fruits, des yoghourts, cela suffirait bien à calmer notre petite fringale.
L’alcool aidant, nous retrouvions un certain entrain, et comme il fallait s’y attendre, le sujet de conversation se porta sur nos « exploits » de l’après-midi, ce qui eut pour effet de nous échauffer à nouveau. Gaëlle, si nature, si cool, avait été séduite par le tailleur blanc et la lingerie de Fabienne. Elle ne tarissait pas d’éloges sur cette tenue qu’elle trouvait si sexy. Comme moi, elle avait aussi été très impressionnée par la taille du sexe de Luc, et surtout par l’aisance avec laquelle Céline l’avait englouti. Céline essaya de nous transcrire le plaisir qu’elle pouvait ressentir lorsqu’elle était pourfendue par ces pieux charnels. Elle prétendait avoir été vraiment gourde de s’être si longtemps laissée abuser par tous ces vieux principes que lui avaient inculqués ses parents, entre autres la préservation de sa virginité jusqu’au mariage. Gaëlle et moi écoutions religieusement ses confidences. Ses mots avaient sur moi un effet double. Le premier était de m’imaginer parfois être à sa place pour profiter de tous ces plaisirs, le second, conséquence directe du premier, était de penser que mon comportement d’oie blanche m’avait privée de bien des jouissances, et qu’il était grand temps d’y remédier. J’en étais à ce point de mes réflexions lorsque Gaëlle nous proposa de rentrer dans la caravane, prétextant qu’il faisait frais et que, la fatigue aidant, elle avait froid.
La caravane baignait dans une douce pénombre. Sous l’impulsion de Gaëlle, nous avions décidé de nous changer et de nous vêtir en vue de goûter à un sommeil réparateur. Nous nous préparâmes à l’abri du regard des autres, non pas par pudeur, cette notion venait de s’effacer entre nous, mais surtout pour ménager le suspense à la découverte de nos tenues de nuit. J’arrivai la dernière dans ce que nous appelions le séjour, y retrouvant mes amies affalées sur les banquettes-lits déjà dépliées. Gaëlle portait un long tee-shirt de fin coton blanc lui arrivant à mi-cuisses. Il était facile de se rendre compte qu’elle ne portait pas de soutien-gorge (comme il se doit pour toute tenue de nuit), tant ses mamelons marquaient le tissu. Céline avait opté pour une nuisette qui me parut plus que coquine, en voile noir sous la poitrine, ses seins étant emprisonnés par une dentelle noire fort ajourée, du plus bel effet. Deux fines bretelles maintenaient ce petit bijou. À travers le voile, il était impossible de ne pas voir le superbe string en dentelle noire. Une certaine excitation remplaça vite la surprise première que j’éprouvai à la vue de Céline. Pour ma part, étant donné le manque cruel de lingerie de nuit coquine dans ma garde-robe, mon choix s’était porté sur un simple haut de pyjama que je portais sans le bas, entièrement nue dessous. La veste m’arrivait à peine en dessous des fesses. À défaut de posséder une nuisette sexy, j’avais essayé, maladroitement certes, de me rendre attirante par un autre artifice. Ma crainte était d’être vulgaire et non sexy. Heureusement, nous ne fîmes pas d’autre commentaire sur nos tenues que de féliciter Céline. Nous étions les composantes d’un trio assez inattendu et disparate, mais nos envies se confondaient : profiter au maximum de ces quelques jours de liberté pour nous laisser aller là où notre corps et notre esprit nous entraînaient, vers le plaisir.
Nous nous installâmes, bien sages, chacune sur notre couchette. Il faisait effectivement un peu frais, et le drap qui nous recouvrait était le bienvenu. Céline parla encore un peu, avant de tomber dans les bras de Morphée. La pénombre avait envahi notre « chambre ». Je percevais distinctement le souffle régulier de Céline. Gaëlle ne dormait pas, c’était sûr. J’entendais le bruissement de son drap, régulier, trop régulier… Sa respiration ne pouvait que la trahir. Elle devait sans aucun doute se caresser, j’en étais persuadée. Je ne savais comment réagir. Mes idées se bousculaient. N’osait-elle pas m’approcher pour joindre nos plaisirs ? Par pudeur ? Par peur d’un refus ? Préférait-elle sa caresse solitaire à celles que j’aurais pu lui procurer ? Cette dernière idée me vexa terriblement, et sans réponse, je bouillais.
Je vais lui montrer, tiens ! Poussée irrésistiblement par cette vexation que je m’étais montée de toute pièce, je décidai d’en avoir le cœur net. En me déplaçant légèrement et discrètement, je pourrais avoir accès à son corps…
J’avançai ma main sous le drap, jusqu’à sa peau. Du bout des doigts, j’effleurai sa cuisse. Elle ne cessa pas son mouvement, ce qui me plongea dans le doute. Était-il possible qu’elle n’ait pas remarqué mon approche, tant elle était à ses caresses ? J’hésitai un instant, mais je n’osais croire à cette hypothèse, pas plus que je ne voulais croire à un refus de sa part. Mes doigts montèrent le long de sa cuisse, découvrant au passage qu’elle ne portait pas de culotte. M’arrêtant sur l’aine. Je me fis plus insistante, j’aimais la douceur de la peau à cet endroit précis. Gaëlle stoppa ses caresses. Elle devait être dans un état d’excitation déjà très avancé, car elle posa de suite sa main sur la mienne, et sans autre forme de procès, me guida vers son pubis, m’encouragea en caressant ma main, ce qui, par la pression, la masturbait. Elle resta peu de temps à cet endroit, m’emmenant vers l’entrée de son abricot déjà juteux. Elle mouillait fort, la coquine. Je la laissai me guider encore. Ma propre excitation augmentait, impossible de rester aussi passive encore bien longtemps. Je commençai à agiter mes doigts, à les mouvoir le long de ses lèvres maculées de cyprine. Je prenais un immense plaisir à faire glisser mon index entre ses lèvres luisantes, ma phalange extrême enserrée par ses deux bourrelets intimes. Partie à la rencontre de son clitoris, je le découvris gonflé de désir. Je le caressai de la pointe de mon index enduit de sa mouille. Gaëlle ne tenait plus en place, ondulant, le souffle court. Je ne pouvais pas, je ne voulais pas m’arrêter. Je me dirigeai vers sa couchette.
Je me délectais à présent de son fruit juteux. Gaëlle était allongée sur le dos, jambes relevées et largement ouvertes, m’offrant son sexe. Ma bouche posée sur son abricot, je dégustais son miel, ma langue s’insinuant entre ses lèvres, venant par moments taquiner son bouton d’amour. Mes mains couraient sur son corps, avides de pouvoir en toucher toutes les parties accessibles. J’étais aux anges, j’aimais son odeur, son goût. Je la sentais vibrer sous mes caresses, réagissant à leurs variations. Je jouai un moment à étudier ses réactions, la voir se cambrer, l’entendre haleter, gémir doucement, parfois. Je finis par me rendre compte que j’étais dure avec elle sans le vouloir. En interrompant la montée de son plaisir trop souvent, je la privais d’orgasme. Je gobai son pistil entre mes lèvres, le léchant du bout de la langue, sans plus m’arrêter. Gaëlle ondula de plus belle, m’offrant des gémissements qui me comblaient. Elle se cambra soudainement, se raidit et poussa un long râle. Elle jouissait sous ma langue qui lapait la liqueur de son plaisir. Toute à son plaisir, les secondes que dura sa jouissance me parurent durer une éternité.
Elle retomba, essoufflée. Je me levai pour partager avec elle un long baiser d’amour. C’est bien le sentiment que je ressentais à ce moment : de l’amour. Aujourd’hui, je sais bien que je me trompais, mais quel bonheur c’était ? Elle glissa sa main sur mes hanches, venant vite sur mon minou qu’elle massa sans hésiter. J’étais trempée.
Je ne me fis pas prier. Outrepassant tout ce qui quelques minutes plus tôt aurait représenté un interdit, je vins sur elle en 69. Sa bouche se jeta littéralement sur mon sexe. Sa langue se glissa entre mes lèvres, me fouilla. Jamais personne n’avait encore passé la porte de mes lèvres. Cela m’électrisa, je vibrais sous sa langue, sentant mon ventre couler dans sa bouche. Je ne pus même pas poser ma bouche sur sa chatte, elle me fit jouir bien avant, dans un flash. Gaëlle me dit plus tard que j’avais crié et sans doute réveillé Céline qui s’était retournée, mais nous avait laissées seules.
Nous prîmes un deuxième orgasme en profitant largement de l’opportunité que cette position de 69 nous procurait. Fourbues, nous nous endormîmes enlacées.