n° 01424 | Fiche technique | 14532 caractères | 14532 2286 Temps de lecture estimé : 8 mn |
04/12/00 corrigé 14/11/22 |
Résumé: Episode 7 des premières vacances (initiatiques) d'Elodie. | ||||
Critères: ff magasin essayage voir exhib lingerie fmast intermast cunnilingu anulingus fdanus | ||||
Auteur : Soliste (Homme 40 ans) |
Épisode précédent | Série : Les vacances d'Elodie Chapitre 07 / 07 | FIN de la série |
Préambule :
Merci de vouloir bien m’excuser pour la longue interruption entre le sixième et ce septième épisode.
À notre réveil, le soleil était déjà haut. Céline nous avait gentiment préparé le petit déjeuner.
Aucun doute, à son réveil, elle nous avait vues, enlacées sur la même couchette. Elle nous accueillit avec un super sourire :
Nous ne pûmes nous empêcher de rire. Le petit déjeuner fut très jovial.
Nous avions décidé de traîner en ville pour faire les boutiques. Autant profiter du fait d’être inconnues dans une ville balnéaire pour entrer dans les endroits que nous n’osions visiter dans notre propre ville… Une petite boutique, au fond d’une impasse, nous attira. Une modeste vitrine exposait quelques modèles de robes, jupes, hauts et pièces de lingerie encore sages, mais surtout, quelques affichettes manuscrites nous invitaient à venir découvrir une collection complète à l’intérieur.
Collection complète de quoi ? Nous avions bien une petite idée et nous n’allions pas tarder à savoir si elle était exacte.
Le magasin était désert, pas une âme qui vive. Les rayons étaient à la hauteur de la vitrine. De petites fringues sympa, sexy en diable. Nous prenions plaisir à partager bruyamment les découvertes que nous pouvions faire à chaque instant.
Ce raffut attira très certainement la vendeuse qui sortit de l’arrière-boutique en souriant. Une mignonne petite blonde, mince, d’environ 25 ans, en mini-jupe rose et chemisier blanc qui nous offrit de suite son aide, nous proposant de passer à notre guise les vêtements qui nous tentaient. Comment résister à une telle invitation ? Un choix rapide, et hop, en cabine !
La vendeuse prenait le temps de nous conseiller, donnait son avis qui semblait sincère, sans jamais perdre patience. Elle parut néanmoins un peu ennuyée lorsque nous demandâmes la permission d’essayer la lingerie.
Elle se dirigea vers le comptoir, parla un petit moment au téléphone et revint en souriant.
Elle nous entraîna dans l’arrière-boutique avec un sourire complice. J’eus l’impression que tout venait de basculer, et la suite prouva que je ne me trompais pas.
À peine la porte refermée, la vendeuse nous indiqua un portant sur lequel se trouvait ce qu’elle nous présenta comme étant une collection plus osée, difficilement présentable au grand jour dans un magasin d’une petite ville de province, mais très appréciée par une clientèle fidèle. Il est vrai que pour être osé, c’était osé… En fait, parties comme nous l’étions, c’est tout ce qu’il nous fallait. Des robes hyper moulantes, des jupes si courtes… des dessous affriolants noirs, rouges… une caverne d’Ali-Baba pour jeunes filles délurées ou désirant le paraître. Delphine (la vendeuse) nous invita à laisser nos envies s’exprimer, ce que nous fîmes.
Chacune de nous trois choisit une tenue fort sexy avant de se diriger vers quelques cabines.
Une fois habillées, nous nous retrouvâmes devant les cabines. La situation semblait déraisonnablement glisser sans qu’aucune d’entre nous ne cherche à l’empêcher. Tout devenait irréel. Delphine nous proposa de porter un regard critique sur nos choix.
Elle commença par Gaëlle, qui avait choisi une robe entièrement blanche, dos nu presque jusqu’au haut des fesses, deux fines bretelles nouées dans le dos retenant le haut, cintrée à la taille et s’évasant dessous, arrivant à peine à mi-cuisses. Portée sans soutien-gorge, ses mamelons tendus pointaient sous le tissu un peu transparent, laissant aussi deviner ses aréoles. Delphine s’approcha de Gaëlle, la fit se retourner, et sous prétexte d’ajuster la robe, posa ses mains sur ses hanches. Un peu surprise, mais surtout très excitée, Gaëlle se cambra, offrant ses fesses. Delphine ne pouvait résister à un tel appel.
Elle laissa ses doigts descendre à travers la robe, sur les deux globes fermes, puis entama un massage insistant. Gaëlle se pencha vers l’avant, prenant appui des deux mains sur un portant. Delphine porta sa caresse vers le bas des fesses, et s’agenouillant, descendit le long des cuisses de Gaëlle. Elle y posa ses lèvres tout en continuant à la caresser. Les mains disparurent sous la robe, s’activèrent. Je les voyais distinctement bouger sous le tissu, dans une série de gestes explicites. Gaëlle l’aida un peu en écartant les jambes. Sa position était tout à fait indécente, mais si excitante.
Delphine semblait particulièrement rodée à ces « essayages particuliers ». Elle réservait à Gaëlle une surprise que je trouvai bien agréable. Tout se passa sous la robe, en suggestion pour nous.
Habilement, elle fit glisser la culotte que Gaëlle avait choisie : en fait, nous découvrîmes un superbe string en dentelle blanche, dont elle nous montra le fond. Une généreuse tache de liqueur l’avait déjà largement maculée. Delphine, sans mot dire, se remit à embrasser le bas des cuisses de Gaëlle, remonta lentement, et contrairement à mon attente, ne releva pas la robe. Elle laissa sa tête se glisser dessous jusqu’à atteindre son intimité. Au soupir que poussa Gaëlle, je me doutai qu’elle appréciait la caresse, et que celle-ci lui était administrée par une langue experte. Je sentais mon entre-jambes se mouiller à la vue de ce spectacle, une furieuse envie de me caresser monta en moi.
Je n’eus pas le temps d’esquisser le moindre mouvement. Céline, qui s’était glissée derrière moi, passa ses bras sous les miens et posa ses mains sur mes seins aux pointes dardées. J’avais choisi une mini-robe moulante en lycra que je portais sans soutien-gorge. Le contact de ses doigts à travers le tissu m’électrisa littéralement. Je reculai pour me coller à elle, poussant mes fesses contre son pubis.
Elle descendit vers mon ventre et ne s’arrêta que lorsqu’elle atteignit ma motte, pour la masser avec vigueur. Ses gestes rapides et précipités trahissaient son excitation. Elle fit remonter ma robe pour découvrir ma culotte en dentelle noire et me caressa à travers elle. J’étais trempée.
Céline me plaçait face à mes émotions, mes désirs. Je ne pouvais me dérober, et de toute manière, je ne le souhaitais pas. La seule personne à qui je devais finalement avouer que le sexe m’attirait, c’était moi-même. Je m’abandonnai. Je m’entendis lui répondre comme dans un rêve :
Je ne pouvais et ne voulais plus me contrôler. C’était la première fois que je ne me laissais pas entraîner, mais que je demandais, que j’appelais de mes vœux le plaisir du sexe, des caresses de Céline. Je voulais jouir pour le simple plaisir de jouir.
Comme si je venais de la libérer elle aussi, Céline s’enhardit encore. Ses mains se firent plus pressantes sur mon pubis. Sa caresse se mua en une franche masturbation à travers la dentelle. Le fond de la culotte s’imbibait inexorablement de mon miel.
Soudain, elle fit glisser la fermeture éclair qui fermait la robe, partant d’entre mes omoplates pour arriver au creux de mes reins. Je me cambrai, parcourue par un frisson qui me fit chanceler.
J’accompagnai son mouvement lorsqu’elle fit glisser tout d’abord la robe, puis la culotte à mes pieds.
J’étais nue, offerte, j’en éprouvais une grande émotion teintée de fierté.
Elle m’entraîna à quelques pas d’où nous nous trouvions et m’allongea sur un matelas qui n’était sûrement pas là par hasard… les essayages devaient être souvent sulfureux… Elle s’agenouilla et écarta mes cuisses, prenant le temps de poser un regard insistant sur mon intimité offerte. Penchée en avant comme elle l’était, son débardeur bâillait largement, dévoilant sa poitrine emprisonnée dans un superbe soutien-gorge à balconnet en dentelle blanche.
J’avais une de ces envies de peloter ses seins, de les embrasser… J’allais avancer mes mains vers ces joyaux lorsqu’elle plongea sa tête entre mes cuisses, commençant un long baiser sur mon pubis. Comme pour l’encourager, j’appuyai sur sa tête, caressant ses cheveux. Sa langue ne tarda pas à venir se faire coquine. Céline léchait habilement mes lèvres. Elle s’insinua entre elles, se frayant un passage entre les replis juteux pour venir s’enfouir à l’entrée de mon vagin. Je sentais cette langue, vivante, se débattre en moi, petite pucelle en abandon total.
J’aurais à ce moment tout accepté d’elle.
Lorsque sa langue quitta ma grotte détrempée, je ne compris pas de suite, déroutée que j’étais par ce retrait entrepris avant ma jouissance. Mais Céline allait bien vite me surprendre en se dirigeant vers un endroit que je considérais encore comme tabou, ne m’imaginant pas qu’il pouvait procurer autant de plaisir. Elle s’empara de mes jambes, les passa sur ses épaules. Je me laissai guider, totalement emportée. Elle revint lécher mes lèvres, descendit lentement vers le bas de ma fentine, puis plus bas, plus bas… Je fus prise d’un début de panique.
Elle se dirigeait vers mon œillet. Le temps d’à peine réaliser ce qu’elle faisait, elle le titillait de sa langue frétillante. Je me sentis me contracter instinctivement, n’étant pas cérébralement préparée à cette caresse. Mais Céline était douce, mon excitation et mon envie firent le reste. Je ne fus pas longue à me détendre. Sa langue virevoltait sur les plis de ma rosette. Je ne pensais plus qu’à offrir mon intimité à sa bouche. Elle se dégagea pour mieux reprendre l’initiative, me guidant lentement pour me positionner à quatre pattes, telle une petite quadrupède attendant l’assaut. Placée comme je l’étais, je pouvais voir Gaëlle allongée sur le dos, cuisses ouvertes, se faisant dévorer par la vendeuse.
La bouche de Delphine n’était plus qu’une ventouse collée sur la chatte de Gaëlle qui se tortillait, subjuguée par le plaisir. La jupe de Delphine était relevée, découvrant une superbe culotte blanche, fendue, chose que je voyais pour la première fois.
Par la fente, elle se masturbait, son index et son majeur en proie à un va-et-vient effréné entre ses lèvres. Mon excitation redoubla, et ce fut comme une délivrance lorsque Céline caressa ma raie culière de ses doigts. Je sentis une fraîcheur au moment où elle toucha mon trou plissé. Je me retournai pour apercevoir, juste à côté de moi, un tube de gel lubrifiant intime. Je ne pouvais en douter. Elle en enduisait son doigt et mon anus : j’allais y passer, et malgré l’anxiété bien compréhensible de toute première fois, je le désirais plus que tout.
J’écartai mes genoux pour lui ouvrir le passage.
Enhardie par ce geste, Céline enduisit largement mon petit trou, et y posa son auriculaire. Caressant mon pubis de la main gauche, elle pressa doucement sur ma rosette qui me sembla l’accepter sans aucune difficulté. Son petit doigt écartait mes plis chaque fois un peu plus sous l’effet d’allers-retours rapides très peu amples, m’ouvrant ainsi avec la plus extrême lenteur.
Ce fut le choc. Poursuivant son mouvement d’intromission, elle força mon intimité arrière lentement, dépucelant mon sphincter. Chavirée par l’émotion tout autant que par la sensation de plaisir, je poussai un cri de bonheur accompagné d’un geste sans équivoque. Je reculai mon bassin vers son doigt, m’empalant dessus. Céline poussa son avantage et vint totalement en moi. Je sentais son doigt vivre en moi. La caresse conjuguée sur ma vulve et ce doigt inquisiteur déclenchèrent mon premier orgasme. Dans un râle intense, mes bras fléchirent, exposant mes fesses comme jamais. Je haletais, le nez dans le matelas. Le doigt sortit de mon fondement, lentement, sans m’infliger aucune douleur. Céline posa sa main droite en conque sur mon pubis, son pouce venant naturellement se glisser entre mes fesses. Sans doute très excitée elle aussi, elle me força plus vite, dilatant un peu plus mon sphincter. Une légère douleur me fit me contracter, l’emprisonnant. Sa main gauche vint caresser mes seins, me détendant lentement. Son pouce entama alors le va-et-vient qui m’avait procuré tant de plaisir quelques minutes auparavant. L’action conjuguée de toutes ces caresses ne se fit pas attendre. Mon deuxième orgasme me faucha littéralement. Je ne pus résister, m’effondrant sur le ventre. J’étais en nage, haletante, totalement dépassée par tant de jouissance, ne pouvant me relever.
Je reprenais lentement mon souffle, aidée en cela par les tendres caresses de Céline. Mon anus me brûlait bien un peu, mais qu’était cette douleur par rapport au plaisir que je venais de vivre ? Le matelas pouvait en témoigner. Il était maculé par mon miel qui y avait laissé une large auréole. À côté de nous, Delphine et Gaëlle, enlacées, se câlinaient doucement. Je ne sais combien de temps durèrent ces instants. Delphine, la première, prit l’initiative de nous signifier « la fin des hostilités ». Sa patronne n’allait pas tarder.
Nous quittâmes le magasin à regret après nous être rhabillées en nous échangeant encore quelques tendres caresses. Il était temps d’aller déjeuner.