Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 01270Fiche technique19321 caractères19321
Temps de lecture estimé : 14 mn
04/11/00
corrigé 28/11/23
Résumé:  Dans ce récit, nous allons vivre le tout premier épisode des aventures de Chanette, celui de sa très chaude rencontre avec Clara une après-midi d'été, près d'une boîte aux lettres, à Saint-Tropez
Critères:  ff fépilée vacances autostop voir exhib intermast cunnilingu anulingus uro fouetfesse
Auteur : Chanette  (Chanette vous raconte le début de ses aventures)            Envoi mini-message

Série : Chanette à St Tropez

Chapitre 01 / 02
Clara

Avant de commencer, un grand merci à tous ceux qui m’ont encouragée suite à la publication de mes aventures avec Anna-Gaëlle. Non, il n’y aura pas de troisième épisode ! Mais vous retrouverez malgré tout ce personnage hors du commun bientôt dans d’autres aventures. Bisous à toutes et à tous.



Première partie – Clara



Qui a dit que la vie ne devait rien au hasard ?

Je n’aurais pas eu de timbres-poste ce jour-là, ou bien, je n’aurais pas eu envie d’en dépanner cette fille, ma vie aurait-elle été ce qu’elle est ?


Mais commençons par le commencement, j’ai écrit trois de mes aventures, un peu dans le désordre, je me suis dit qu’il faudrait à présent commencer par le début (mais, je ne raconterais pas tout).


Et si je commençais par me présenter. On m’a toujours (ou presque) appelé Chanette. Mon vrai prénom, celui que mes parents ont eu la délicatesse de m’attribuer, est Jeanne-Christine, mes copines d’écoles n’en retinrent que la première partie qui se transforma très tôt en Jeannette. À l’époque, une pauvre fille, me collait aux basques, cette nana peu gâtée par la nature, était de plus affublée d’un défaut de prononciation qui rendait certains de ses propos proprement incompréhensibles. Elle était périodiquement victime des agaceries de nos petites camarades. Je trouvais cela profondément injuste et si j’étais incapable de la défendre, j’étais par contre capable de la réconforter. Infoutue de prononcer Jeannette correctement, elle lançait comme un défi à ceux qui venaient lui chercher querelle !



Ce diminutif qui n’en est pas un, je l’ai traîné comme un boulet, ma scolarité durant. Je n’aurais dû jamais le faire revenir, pourtant le jour où Clara m’a demandé mon prénom, un neurone facétieux m’a fait dire « Chanette ». C’est la vie !


Je ne me suis pas décrite dans mes précédents récits ! On me l’a reprochée ! Pas très grande, fine, le visage très ovale, des seins qui à l’époque de ce récit ne faisaient que 95 C (je fais maintenant du D et j’ai deux petits piercings en forme de boucles d’or sur chaque téton). Je n’ai pas de piercings ailleurs, je n’ai pas de tatouage. Je suis légèrement mate de peau et je bronze très vite, mes cheveux sont châtain foncé, mais ils en ont vu de toutes les couleurs, et à l’époque de cette histoire, une copine antillaise m’avait fait d’adorables tresses blondes ! On me trouve mignonne, mais ce n’est pas mon avis !


J’étais cet été à Juan les Pins avec un copain. Je n’aime pas cette station qui pue le fric et l’arrivisme. Ces vacances étaient une expérience. Nous avions convenu avec Paul (appelons-le comme ça) que si tout se passait bien, nous nous mettrions en ménage au retour.


Ah ! Ça ! La première semaine impeccable, la deuxième, les premiers accrochages commencèrent, puis les engueulades. Petit à petit, le naturel reprenait le dessus chez Paul qui, las de faire des efforts pour apparaître sous ses meilleurs jours, se révélait grossier, fainéant, coléreux, et jaloux. Inutile de rêver et d’espérer que l’animal se corrige, un type qui a un tel comportement au bout de dix jours de vie commune ne pourra que me rendre l’existence impossible, et n’ayant aucune confiance dans ses promesses d’améliorations, je rassemblais mes affaires personnelles dans un sac à dos et adieux Popol !


Quand je pense que de nos jours encore, dans certains milieux, d’aucuns se marient sans se connaître vraiment et sans avoir vécu ensemble. Mais bon !


J’avais attendu d’être loin de Paul pour ouvrir les vannes et pour chialer comme une madeleine. Je ne m’aimais pas dans ces moments-là, je ne penserais pas que je craquerais. J’aurais donné cher pour être alors dans de doux bras qui m’aurait consolée, et l’image furtive de quelques adolescentes galipettes avec des personnes du même sexe me traversa l’esprit comme un éclair.


Je me fis prendre en stop par un type qui eut la correction de ne point me draguer (si ! Si ! Ça arrive !). Mais étais-je draguable ? Et je devais avoir triste tête ! Me demandant ma destination, je balançai « St Tropez » un peu au hasard, je ne connaissais pas.


Je ne pensais pas m’attarder dans cette ville, mais je souhaitais la connaître, l’après-midi touchait à sa fin, je me fixais une heure de ballade et ensuite je referais du stop vers une ville qui me permettrait de prendre un train pour Paris !


Finalement, Saint-Trop, on en a vite fait le tour, j’envisageai après deux heures de ballade de sortir de la ville. Les bretelles de mon sac à dos commençaient à me mordre cruellement la chair et je m’arrêtai quelques instants à proximité d’une boîte aux lettres afin de les régler, quand une apparition surgit dans mon champ de vision. Une grande jeune femme belle et bronzée, avec un visage aguichant et pétillant de malice, elle était vêtue d’un short blanc, d’un haut de maillot de bain de la même teinte, d’un incroyable chapeau et portait de grosses lunettes noires ! Une fille superbe ! Et pourtant la ville n’en manquait pas de canons de toutes sortes. Mais celle-ci avait un je ne sais quoi d’indéfinissable. Elle se tenait là, une enveloppe à la main, et pestait contre je ne sais quoi ! Et voici qu’elle m’adressa la parole :



Si ! J’en avais ! Mais je ne vous dis pas le cirque ! Enlever le sac à dos, rechercher le portefeuille, trouver les timbres. À n’importe qui d’autre, j’aurais probablement refusé, mais là j’acceptai. Elle s’amusa de mon embarras.



En me disant cela, elle me regarda mieux.



Ce passage impromptu au tutoiement fut le début de ma très longue complicité avec Clara !


Si Clara n’avait pas que des qualités (loin de là !), elle en avait néanmoins une fort rare et très forte : elle savait écouter les gens, sans chercher dans le discours de l’autre des prétextes pour introduire ses propres anecdotes.


Elle n’était pas du genre non plus à prodiguer des conseils genre « courrier du cœur », elle approuvait tout simplement mon attitude et comprenait très bien l’ampleur de la déception et de la désillusion que je ressentais !



Je lui expliquai tandis que la serveuse nous apportait deux gigantesques compositions glacées ornées d’étincelants bâtons d’artifice.



Clara séjournait pour les vacances dans le studio d’une vieille tante qui n’y habitait pas, et me proposa de m’héberger quelques jours. C’était très gentil de sa part, mais je ne compris pas cet accès soudain de bonté gratuite et m’en étonnai.



La réponse était débile, volontairement débile ! Par manque d’expérience, je la pris au premier degré, alors que j’aurais dû ne pas insister…



Je ne répondis pas ! Quelque chose clochait ! Elle s’aperçut alors de mon trouble et décida de jouer cartes sur table !



Je lui fis signe que « oui », avec une certaine inquiétude.



Elle marqua un court silence, la chair de poule commençait à m’envahir, elle reprit :



Je n’étais pas née de la dernière pluie et me doutais de ce que sous-entendaient les propos de Clara, mais d’une part cela ne me gênait pas trop et d’autre part j’étais si contente que dans ces moments de désarroi quelqu’un s’intéresse à ma modeste personne que je ne pus me retenir, l’émotion me fit craquer et me fit pleurer comme un robinet de salle de bain. Elle ne dit rien, me prit la main, je me laissai faire et attendis quelques instants !



Je parvins à lui dire « oui » entre deux sanglots, et me calmai, je la dévisageai alors, contemplant sa frimousse où s’éclatait la satisfaction de sa victoire, et prise d’une pulsion irrésistible, je me levai de mon siège et me précipitai dans ses bras.


Elle me consola ! En fait, elle n’attendait que cela, mais elle le fit très bien, me caressant d’abord le visage du bout des doigts, puis m’embrassant les joues, me parlant doucement, puis rapprochant insensiblement sa bouche de la mienne. Dans un réflexe, je refusai de me laisser complètement dominer. J’échappai à son étreinte. Mais j’avais compris ce qui allait maintenant se passer. Je ne souhaitais pas non plus passer pour une conne.



Elle me répondit d’un sourire éclatant, un sourire de vainqueur, ses yeux pétillaient de malices.



Je lui avais raconté ma vie, j’estimais normal qu’elle me raconte la sienne, mais elle en restait aux généralités. Mademoiselle était professeur de dessin, les vacances n’étaient donc pas finies. Elle était descendue sur la côte avec d’autres personnes qui étaient ensuite reparties, elle s’emmerdait !


Le magnifique studio de sa tante donnait sur le port.



Elle supposait très bien !



Ce n’était même plus une question, une invitation plutôt, presque un ordre, mais l’idée ne me déplaisait pas. Devant moi, dans le séjour du studio, Clara dégrafa son soutien-gorge. Des seins magnifiques, plus poires que pommes, aux bouts proéminents. Le soleil les avait caressés, leur donnant une magnifique teinte ambrée. Mon excitation montait, et j’en étais à me demander de quelle façon j’allais lui sauter dessus tout en respectant une certaine forme.


Comme si la vue de ses globes enchanteurs ne me suffisait pas, elle les prit à pleines mains, les fit bouger, les soupesa…



Et la voilà qui enleva le bas. Sa chatte était entièrement rasée. À cette époque, je trouvais cela bizarre, ça me gênait même un peu. J’ai eu l’espace d’un instant l’impression que Clara était déçue que je ne sois pas aussi enthousiasme envers sa chatte que je l’avais été avec ses seins. Alors, l’air de rien, elle se mit à quatre pattes sur le lit, le cul tourné vers mon regard, en ayant pris soin de bien relever ce dernier et d’écarter un tout petit peu les jambes. Elle tournait la tête, guettant mes réactions. Le trouble me reprit ! Quel spectacle magnifique que ces deux jolies petites fesses toutes rondes emprisonnant son petit abricot dénudé ! Mon entre-jambes devenait humide. L’invitation était claire, je ne pouvais ni avais envie de reculer, mais en même temps je voulais encore quelques secondes jouir de ce spectacle rare. C’était la première fois (il y a toujours une première fois !) que je voyais ainsi un cul de femme ainsi exposé. Je me souviens m’être dit à ce moment-là que même un trou du cul pouvait être beau ! Vers l’endroit où ses fesses se rejoignaient, sa peau se hérissait de minuscules protubérances, je crus qu’elle avait la chair de poule, en m’étonnant que le phénomène ne se localise qu’ici. Non, cet aspect chair de poule assez incongru était permanent et rajoutait un je ne sais quoi de quasi-insolite à cette vision paradisiaque ! j’étais paralysée, subjuguée, je parvins à murmurer :



À présent, Clara se caressait les fesses. C’en était trop, je décidai de me déshabiller plus tard et fonçai comme une dingue sur cette cible offerte, mes mains chassèrent les siennes et parcoururent la peau de son cul douce comme du satin, mais vite, les mains ne me suffirent plus, et je posai mes lèvres, lui faisant des tendres baisers sur ses globes fessiers, cela dura assez peu, mon objectif était bien sûr au centre, j’approchai mon visage de sa chatte, la humai, elle sentait la mouille, l’excitation, la femelle, j’aimais cette odeur de plaisir qui lui coulait sur les cuisses. Alors je mis à la laper tel un chat saisi de fringale qui dégusterait une assiette de lait. Je voulais la lécher partout, la manger, l’avaler, la phagocyter.


Stop ! Je me calme ! Je réalisai en pleine fièvre qu’elle attendait probablement que j’ouvre afin de lui donner du plaisir. C’était le moins que je pouvais faire. Cessant un instant mes folies, je me débarrassai de mes vêtements. Elle se tourna et se moqua gentiment :



Je m’en foutais de déchirer, je voulais que nos corps se donnent du plaisir, je voulais vivre cet instant et oublier tout ce qui m’a emmené ici. Je revins à la charge, nue comme une grenouille. L’autre se mit à siffler d’un air approbateur (quel romantisme !).



Je revins à la charge, elle mouillait comme une gouttière. Je léchai à nouveau, puis je tentai de la faire basculer afin de la lécher dans l’autre sens, ce qui me parut quand même plus pratique pour la faire jouir. Mais c’est qu’elle est tout en nerf, Clara, la voilà qui résiste, qui maintient sa position et qui ne veut pas en changer.



Je crus comprendre qu’elle voulait que je continue à m’occuper d’elle dans ce sens. Ma langue reprit son travail, la vue de son anus me troublait et je me demandais si je devais y aller, je n’avais jamais léché un trou du cul, que ce soit d’homme ou de femme, j’avais envie de le faire, mais j’ignorais si cela allait lui plaire. Alors je m’approchai progressivement, guettant une réaction qui ne venait pas. Ma langue n’était alors qu’à moins d’un centimètre de son trou. Je n’allais pas y tourner autour pendant des heures, je fonçai. Un léger, très léger goût âcre me fit un instant hésiter, mais cela ne persista heureusement pas, je lui titillai alors l’œillet avec application. Clara ronronna comme un chat que l’on caresse, je ne compris pas ce qu’elle racontait, je m’interrompis pour le lui demander.



Évidemment que j’allais continuer, ma langue fit semblant de tenter de forcer l’ouverture, elle en était évidemment incapable, mais elle pouvait la demander, cette ouverture, la quémander, la supplier ! Non ! Clara avait donc décidé de ne pas m’aider, alors, de mes mains, je lui écartai au maximum les fesses, contribuant à tirer sur l’anus qui s’entrouvrit, ma langue y pénétra, je mouillais comme une dingue. C’était la première fois que je faisais cela, j’étais autant excitée par la nouveauté que par la situation. Je prolongeai ma caresse buccale, l’autre continuait de ronronner, un véritable moteur ! Cela dura bien cinq minutes, peut-être plus (allez compter le temps, vous, dans ces moments-là !). Je décidai d’arrêter, et pour la deuxième fois je tentai de la basculer.


Mais c’est qu’elle ne voulait pas, c’est qu’elle ne se laissait pas faire !



Je ne compris pas ce qu’elle voulait.



Je me souviens avoir bêtement demandé pourquoi. Comme s’il fallait que tout soit justifié ! Elle rigola !



Alors je tapai, j’eus peur de lui faire mal, mais elle voulut plus fort, je tapai alors plus fort, son cul vira assez vite au rouge.



Et soudain, je me demandai pourquoi les rôles étaient ainsi inversés, c’était moi qui devais recevoir la fessée, jusqu’à tant que j’en chiale et qu’elle soit obligée de me consoler.



Elle se foutit de moi, je continuai à taper, elle mouillait encore, il allait bien falloir que je m’arrête, mais me dis qu’après tout, elle ne semblait pas avoir eu sa dose. Et soudain alors que je n’attendais plus ce geste, la voici qui se retourna comme une crêpe. Elle écarta alors les jambes, ouvrit sa chatte en l’écartant d’une main tandis que l’autre, d’un doigt, excita son clitoris.



Je n’hésitai pas, depuis le temps que j’attendais ce moment, et je plongeai, ma langue fut sur son clito turgescent. Je pressentis que ce ne serait pas long. Je léchais à qui mieux mieux ce bourgeon épanoui, et voici que soudain je sentis tout le corps de Clara qui d’abord se tétanisa, puis s’arc-bouta pratiquement en arc de cercle tandis qu’elle poussa un hurlement de plaisir. Elle retomba sur le lit, pantelante !



Son visage rayonnait de bonheur !



Effectivement, un frisson me parcourut entièrement, les larmes me montèrent aux yeux, et voilà que je re-chialai… j’avais donc encore quelques larmes, mais c’était des larmes de bonheur. Nous sommes tombées dans les bras l’une de l’autre. Nos langues se mélangèrent dans un long baiser de tendresse et d’amour.


Je me sentis soudain épuisée et restai quelques instants sans bouger sur le canapé. Clara me regarda, me détailla, je lui plaisais et étais content de lui plaire. Elle me caressa alors partout, mon corps, mais s’attarda sur mes seins, elle atteignit mes tétons, les frôla, les agaça, puis les pressa entre ses pouces et ses index. Je frissonnai. J’adorais cette caresse ! Je savais qu’elle voulait maintenant me faire jouir ; j’en avais envie, et je croyais qu’après j’aurais envie de dormir, j’étais crevée ! Clara rechercha la meilleure position, et la voilà qui dégringola du canapé. Elle ne se fit aucun mal, mais attrapa un fou rire nerveux et communicatif.



On se leva, il faisait chaud. Nous voici toutes les deux à poil en train de triturer le clic-clac. Cette manœuvre banale finit de nous épuiser, on se jeta sur le lit. Cette interruption m’avait un peu calmée. Je caressai tout de même le sein de Clara qui me rendit la politesse, je n’en pouvais plus, et tandis que ma compagne jouait à nouveau avec mes tétons, j’entrepris de me masturber. Bonne fille, elle proposa de me relayer, mais je préférai me faire jouir comme ça pendant qu’elle s’occupait de mes seins.



La salle de bain était grande ouverte et les toilettes y étaient à l’intérieur, bien visibles de l’endroit où j’étais allongée. Clara ne ferma pas la porte et pissa devant moi, les jambes écartées, provocante, allant même jusqu’à écarter ses lèvres afin que nul détail n’échappe à ma vision, et tandis qu’elle me souriait tendrement, je m’endormis, bercée par le délicieux clapotis de son petit jet doré !


À suivre…


copyright Chanette (Christine d’Esde) – Nov 2000 – chanette78@hotmail.com

publication interdite sur d’autres sites sans mon autorisation.