n° 01329 | Fiche technique | 8269 caractères | 8269Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/11/00 corrigé 19/05/23 |
Résumé: Je me suis levé de bonne heure pour aller chercher des champignons. | ||||
Critères: fh fépilée bain voir exhib intermast fellation cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Victor Envoi mini-message |
Épisode précédent | Série : La Bastide Chapitre 04 / 06 | Épisode suivant |
Le lendemain matin, je m’étais levé à l’aube pour aller à la cueillette des champignons. Je me souvenais d’un coin secret au fond des bois, près d’une colline. La rosée baignait encore l’herbe d’une odeur fraîche et s’évaporait en un voile rose. J’avançais vivement dans un air incroyablement pur. Je me sentais littéralement revivre !
J’arrivai bientôt à la rivière que je devais longer pendant un ou deux kilomètres avant de voir la colline.
J’avais laissé un mot à Arielle sur la table de la cuisine pour lui annoncer une bonne poêlée de champignons pour midi. Anna devait venir aussi apporter un peu de ravitaillement.
La rivière coulait mollement et s’étirait en des criques de sable fin faisant la joie des enfants de la région. Des saules pleureurs rendaient quelques criques très discrètes pour les amoureux. Le soleil commençait à se mirer dans l’onde et j’avançais toujours comme sorti du monde. Mon oreille brusquement entendit une éclaboussure. Intrigué (et aussi à l’affût d’un joli spectacle), je me cachai dans de hautes herbes en me rapprochant de l’origine du bruit.
J’étais légèrement à contre-jour et tout ce que je voyais était comme irisé et par la même magique. Enfin, entre deux herbes folles, je vis une silhouette féminine qui faisait sa toilette. La femme me tournait le dos et me montrait un bassin pourvu de deux globes extrêmement attirants.
Oubliant la féerie, la magie et autres rêves, je retenais mon souffle de peur de voir s’évanouir ce mirage dans une grande gerbe d’eau. Les jambes élancées de cette naïade m’hypnotisaient autant que les fesses les surplombant. La jeune femme avait juste ce qu’il fallait de cambrure pour réveiller l’intérêt de tout mâle passant dans le coin. Je détaillais donc le côté pile et attendais avec impatience que cette apparition veuille bien se tourner vers moi. Elle se baissa pour prendre de l’eau dans ses mains jointes et me montra alors un abricot fort appétissant.
Enfin, elle amorça un début de demi-tour me permettant d’apprécier la courbure d’un sein. La fraîcheur de l’eau avait érigé le mamelon en une petite pointe surmontant une poire de bonne taille. Enfin, je la voyais de face et restai bouche bée, je venais de reconnaître Anna qui faisait ainsi ses ablutions. Elle s’était complètement épilée depuis notre dernière rencontre et montrait ainsi deux belles lèvres charnues. Elle jetait l’eau au-dessus d’elle et la laissait retomber en gouttes de lumière. J’avais envie de me rapprocher pour mieux apprécier la plastique de la jeune fermière, mais je craignais ainsi de la faire fuir avant qu’elle ne me reconnaisse.
J’eus alors une idée pour aborder Anna. Je me défis rapidement de mes vêtements et, lentement, en retenant mon souffle, je me glissai dans l’eau (pour ne pas faire de bruit et parce qu’elle était froide). En me laissant dériver, j’approchais lentement de la crique et Anna releva la tête pour observer ce corps en mouvement. D’un geste pudique, elle cacha ses seins et son pubis. Je me laissais dériver presque à la dépasser, et alors seulement, comme dans un souffle, je dis :
Anna, surprise, se montra cependant obéissante, et levant légèrement les bras, fit un tour complet, me laissant détailler les courbes d’un corps à faire damner un saint.
Son jeune corps musclé était un vrai plaisir pour mes yeux et pendant quelques minutes, mes yeux parcouraient tous les détails de son anatomie, réveillant en moi une belle vigueur néanmoins tempérée par la froideur de l’onde. Ma virilité commença à s’élever comme un mât en miniature. Anna ne le quittait pas des yeux… J’étais toujours allongé sur le dos, véritablement subjugué quand Anna se reprocha de moi et, me prenant par la main, me remorqua vers la rive. Elle avait étendu au soleil une serviette et s’allongea dessus, les deux jambes écartées. Elle m’ouvrait ainsi les portes de son intimité sans timidité. Je voyais la bosse du clitoris entre ses lèvres et cette vision compléta mon érection. Je m’allongeai à côté d’elle, ma main se posant sur son sexe et mes lèvres sur les siennes comme une caresse. Par de petits coups de langue, je lui chatouillais sa bouche. Nos lèvres s’unirent en un baiser passionné. Ma main se serrait sur ses lèvres intimes. Un doigt posé sur son petit bouton le flattait doucement, un autre s’égarait lentement dans son antre. Mes lèvres descendirent alors vers ses seins aux mamelons toujours érigés et commencèrent à les téter. Cette caresse fit gémir Anna et son bassin se mit lentement à repter. Ma bouche avide parcourut ses seins, les mordillant, les léchant, amusant les pointes, puis elle poursuivit sa route vers le pubis, attirée par la douceur laissée par l’épilation. Ma langue s’insinua dans sa fente et rencontra immédiatement le capuchon de son clitoris. Je le pris lentement entre mes dents sans serrer juste pour jouer avec. Mes narines captèrent alors une odeur excitante provenant de cet antre d’amour. Je glissai ma langue plus bas et la plongeai dans son antre. J’y rencontrai la liqueur à l’origine de l’odeur. Tout le sexe en était inondé. Je me couchai sur le dos offrant à ma compagne mon sexe en érection. Elle me présenta son clitoris devant mes lèvres et prit en bouche mon pieu. Lentement, elle le fit pénétrer dans sa bouche jusqu’au bout, le décalottant au passage. Elle aspira alors comme pour l’allonger encore et en prendre encore plus en bouche. Elle revint en arrière en léchant toute la hampe jusqu’au gland. Elle serra alors les lèvres et refit rentrer toute la verge dans sa bouche comme en forçant. Je sentis mon sexe buter au fond de sa gorge.
Elle se retira et donna de petits coups de langue jusque sur le frein me provoquant un frisson. Je ne restais pas inactif sur son petit bouton, le léchant, le mordillant et l’aspirant. J’avalais en permanence sa liqueur qui m’enivrait et me rendait encore plus attentif à lui faire du bien. Sa bouche accéléra alors et fit des aspirations qui me transportèrent au septième ciel. Je malmenais son petit bouton, provoquant des mouvements spasmodiques du bassin. Je sentis venir le moment de l’extase et aspirai de plus en plus son clitoris. Elle se laissa aller complètement sur ma bouche quand je lui envoyai de longs jets de sperme. Elle diminua sa pression et la vitesse pour avaler toute ma liqueur. Le goût de sa mouille changea, devenant plus âcre et plus doux à la fois. Je la recouchai contre moi et nous nous embrassâmes à nouveau. Un reste d’érection me permit de la pénétrer. Quand mon membre sentit le chaud, il se regonfla doucement et, en bougeant lentement en elle, nous eûmes un deuxième orgasme plus puissant que le précédent. Je restai sur elle, comme pour la pénétrer de tout mon être.
Le soleil commençait à chauffer sérieusement notre épiderme et nous nous relevâmes. Anna souriait, comme une aube au fond d’une vallée embrumée, un sourire de Madone illuminée de douceur. Je pouvais presque palper la sérénité qui l’habitait. Elle se releva, plongea dans l’eau pour se débarrasser de toute sa sueur (entre autres). Je la rejoignis dans le courant pour me rafraîchir également.
Je lui racontai alors le but de ma promenade matinale tout en me rhabillant. Elle remit sa jupe et une chemise, sans se soucier des sous-vêtements. Elle me montra alors à environ un kilomètre de distance une champignonnière naturelle et m’aida à remplir mon panier. Je l’invitai alors pour le déjeuner. Elle accepta immédiatement avec un sourire indéfinissable sur les lèvres.
Je revins donc en sifflotant vers la Bastide, mon panier plein de champignons et ma tête d’images délicieuses. En entrant dans la maison, je me rendis compte qu’Arielle était encore au lit et lui préparai une tasse de café. Je montai dans la chambre pour la lui apporter. Je poussai doucement la porte. La pièce était orientée à l’est et le soleil du matin y entrait par une raie entre les deux volets.
Ce trait de lumière tombait sur le lit et éclairait la nudité d’Arielle. Sa poitrine somptueuse et son minou épilé étaient en pleine lumière. L’odeur du café chatouilla ses narines et la belle bougea alors ses membres et se réveilla. Je lui offris le café sans lui raconter mes aventures matinales.