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n° 01109Fiche technique6886 caractères6886
Temps de lecture estimé : 5 mn
03/10/00
corrigé 18/05/23
Résumé:  Arielle et son ami sont allés rendre visite à Anna.
Critères:  ffh fbi intermast fellation cunnilingu 69 pénétratio
Auteur : Victor            Envoi mini-message

Série : La Bastide

Chapitre 03 / 06
La Bastide III

Je retrouvai Arielle dans la cuisine le lendemain matin, préparant un café dont l’arôme m’avait réveillé en me chatouillant les narines.



Elle était vêtue d’un T-shirt long qui soulignait ses formes superbes et mon short prit de l’ampleur. Arielle sourit et me servit un bol de café. Du pain frais était posé sur la table, attention de ma voisine qui entretenait la bastide en mon absence. Je proposai à ma compagne de rendre visite à Anna dans la matinée, pour chercher du ravitaillement et visiter la ferme. Arielle accepta avec enthousiasme et se précipita dans l’escalier pour se préparer. J’entendis la douche puis le grincement du plancher. Arielle redescendit après quelques minutes et je restai bouche bée devant sa beauté et sa fraîcheur. Elle portait un pantalon de toile écru sous lequel se dessinait un string blanc. Un T-shirt moulant révélait plus qu’il cachait les seins magnifiques de ma compagne.


Après une courte promenade, la main dans la main, nous arrivâmes près de la ferme, accueillis par César, un grand chien des Pyrénées qui gardait la maison et à l’occasion les troupeaux. Il me fit la fête et tourna autour d’Arielle en la reniflant prudemment.

Anna vint nous accueillir sur le perron de la ferme. Elle portait une robe imprimée qui mettait en valeur un corps musclé, habitué aux travaux de la ferme. Elle m’embrassa et souhaita la bienvenue à Arielle tout en détaillant sa tenue. J’étais entouré de deux superbes créatures et je me sentais tout ragaillardi. Il faisait déjà chaud et Anna nous proposa un verre de vin de sa propriété. Nous bavardâmes et Anna me demanda d’aller chercher une autre bouteille de vin au cellier situé à l’arrière de la maison. En sortant, je surpris un regard entre les deux femmes qui me suggéra de prendre tout mon temps. En revenant, je passai devant la fenêtre ouverte et les bruits de la conversation me parvinrent. Anna s’étonnait des vêtements d’Arielle et lui demandait si elle pouvait toucher les tissus de ces vêtements. Elles se levèrent et s’approchèrent l’une de l’autre. Je pouvais les voir dans le reflet du carreau. La main d’Anna se posa sur le sein d’Arielle qui frissonna. Elle le caressa en descendant vers le pantalon et suivit le dessin du string pour aboutir aux fesses. Arielle, le souffle court, palpa alors également le corps fin et nerveux d’Anna. La respiration des deux femmes s’accéléra alors, elles s’unirent, se déshabillèrent et tombèrent sur le tapis en un 69 effréné. Arielle était couchée et Anna se penchait sur elle et explorait de la langue sa chatte. Le plaisir les agitait toutes les deux. Je décidai de rentrer dans la maison et de participer à la fête. En entendant la porte, elles se précipitèrent sur moi et, d’un commun accord, me déshabillèrent. Je me laissai faire et bientôt ces deux dames se partagèrent mon corps.


Arielle m’embrassait et me caressait le torse. Anna s’occupait de mon sexe et le suçait avec un bel enthousiasme en me caressant les testicules. L’action conjuguée des deux bouches et des quatre mains me précipita au septième ciel, je me tendis dans un spasme et Anna ingurgita tout le foutre que mon sexe injecta au fond de sa gorge. J’eus alors le temps d’admirer le corps d’Anna, fin, presque maigre, très nature. Elle n’était pas épilée et arborait une toison pubienne vierge dépassant sur le haut des cuisses. Sous les aisselles, dépassaient aussi des touffes folles. L’épiderme était uniformément bronzé, témoignant de l’habitude de s’exposer aux rayons solaires dans sa totalité. Cette vision était un enchantement et je ne savais qui entre Arielle, sophistiquée, soigneusement épilée et maquillée, ou Anna, totalement naturelle et brute, m’excitait le plus. Je gouttais alternativement aux deux chattes, découvrant deux sensations et deux goûts différents, agréables et envoûtants. Pendant que ma langue titillait un clitoris, mes doigts excitaient l’autre, quand ma langue pénétrait une intimité, mes doigts s’égaraient dans une grotte. Ces caresses alternatives excitaient mes compagnes qui gémissaient en se caressant les seins et en se pinçant les mamelons. Je bus l’excitation de ces deux corps et proposai à Arielle de me prendre en bouche pendant que je léchais la chatte et le cul d’Anna qui s’était accroupie sur mon visage. En peu de temps, j’explosai dans la bouche d’Arielle qui avala goulûment ma semence. Nous nous écroulâmes sur le plancher en un fouillis de membres et de troncs.


Nous vidâmes la bouteille que j’avais été chercher. Anna m’embrassa en m’avouant que depuis quelques années elle rêvait de partager mon intimité, non pas exclusivement, mais lors de mes passages. Elle n’était plus satisfaite des assauts brutaux et courts de ses ouvriers favoris qui ne faisaient que satisfaire un besoin physiologique. Elle regarda avec anxiété vers Arielle qui lui sourit en disant que le partage était une chose qu’elle approuvait et que je n’étais pas sa propriété. Par ailleurs, elle avait vraiment apprécié les caresses d’Anna et les répéterait volontiers à l’occasion.


Dans une grande complicité, nous visitâmes l’ensemble de la ferme. De temps en temps, des mains baladeuses flattaient une fesse, une fente ou mon sexe. De belles perspectives s’offraient à nous. Nous prîmes congé d’Anna pour retourner à la bastide tout en la priant de venir partager notre souper autour de la piscine.

Arielle avait oublié de mettre son string et pendant tout le chemin du retour, l’image de son bassin libre sous le tissu m’obsédait. La coquine le savait et prenait soin de marcher parfois quelques pas devant moi, me laissant admirer ses fesses moulées, puis se retournait pour me monter une fleur, un arbre, et alors sa chatte se montrait par transparence et m’attirait littéralement. J’étais donc une véritable bombe à retardement qui explosa brutalement au bord de la piscine. En approchant de celle-ci, je jetai littéralement Arielle à l’eau et la suivis. J’arrachai ses vêtements en les déchirant. Dans l’excitation, je la traitais de salope et de délurée. J’embrassais ses seins, ses fesses, sa chatte au fur et à mesure qu’elles étaient à portée de bouche. Mes mains malaxèrent de même tous les éléments de son anatomie qui passèrent à leur portée. Enfin, la bloquant contre la margelle, je la pénétrai brutalement, lui arrachant un cri. Je l’empêchai de se débattre et continuai de la labourer à grands coups de bite. Son cri se mua en râle et elle agita son bassin en mesure. J’éjaculai en la serrant contre le bord, pour mieux la pénétrer et l’empêcher de glisser. Enfin, nous sortîmes essoufflés de l’eau et, nous poursuivant, nous retournâmes dans la Bastide pour nous sécher et préparer le déjeuner.