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n° 01348Fiche technique10827 caractères10827
Temps de lecture estimé : 8 mn
20/11/00
corrigé 16/10/23
Résumé:  Je longe le bord de mer d’une ville de la Côte, lorsque mon regard est attiré par une fille, une silhouette très déformée vers l’avant. Mon regard ne m’a pas trompé, il faut que j’aborde cette jeune fille à la poitrine exceptionnelle !
Critères:  fh grosseins campagne voir exhib -voyeur -exhib
Auteur : Bernard_Photographe  (Bernard - Photographe amateur)      

Série : Les collines d'Odile

Chapitre 01 / 06
Les collines d'Odile

Grisé par le petit succès (je suis modeste) de mes deux premières histoires, je poursuis le récit de mes souvenirs de photographe amateur, en remerciant les lecteurs précédents.

Ces souvenirs datent des années 70, je ne garantis pas les dialogues, évidemment, mais l’esprit y est.



Les collines d’Odile




Avril 1969


Depuis janvier, j’exerce mon nouveau boulot de commercial sur tout le département du Var, heureux de cette liberté – relative – mais liberté, dans les horaires et les déplacements.

Je longe le bord de mer d’une ville de la côte, lorsque mon regard est attiré par une fille, une silhouette, très déformée vers l’avant, qui marche sur le trottoir opposé, mais dans le même sens. Fasciné par les fortes poitrines, je veux vérifier si j’ai bien vu ! Je roule jusqu’à pouvoir faire demi-tour, je ralentis, et me gare pour mieux apprécier ma vision qui se rapproche, je ne me suis pas trompé, un volume mammaire impressionnant, très pointu, dans un tricot boutonné devant plus une petite veste noire sur le dos.

J’ai le souffle coupé et, passant à deux mètres de la route, je vois qu’elle est jeune, toute petite, très jolie, et de profil, je vois une bosse jaune bien devant le pan de la veste noire. Je la suis des yeux, un pantalon lui moule les fesses, et je sors de la voiture. Je me calme un peu, la rattrape et l’aborde :



Je dis ça tout en regardant discrètement sa devanture, le tricot est tendu au maximum et entre deux boutons, je vois un bout de soutien-gorge noir. Son visage est une perfection. Elle me dévisage, très gênée, hésite…



Je suis un peu maladroit, je débute à l’époque :



Quelle joie intérieure ! On convient d’un lieu de rendez-vous, de l’heure, et je suis fébrile jusqu’à ce moment, 15 h, où je la vois réapparaître comme dans un rêve !

Elle aurait pu ne pas venir, cela ne m’effleure même pas. Elle me voit, je lui ouvre la portière. Habillée comme le matin, elle monte, un petit sourire illumine son beau visage.



Chemin faisant, on fait connaissance, j’apprends qu’elle a tout juste 18 ans (j’en avais 27). Elle se prénomme Odile, a terminé ses études. Elle est timide, mais très sympa. Je parle photo, disant que je n’ai pas mon appareil avec moi, mais que cela n’empêche pas de mieux se connaître, elle approuve, je suis sous le charme de cette miniature.

On n’arrête pas d’admirer la mer dans un coin de colline, je la regarde venir vers moi, son tricot prêt à éclater.



Elle baisse les yeux.



Puis, je lui avoue que de loin, ce matin, c’est sa poitrine qui m’a fait la remarquer. Elle devient toute rouge, je profite de sa confusion :



C’est fou d’entendre ça, des conneries pareilles risquant de la complexer pour longtemps ! J’ajoute :



Toujours rouge de confusion, elle dit :



Pour ça, on remonte dans la voiture, je passe un bras sur son épaule. Elle a enlevé sa petite veste et j’ai sous les yeux cet impressionnant volume très porté vers l’avant. Je bande rien qu’à la regarder ! Elle finit par avouer qu’ils avaient flirté à la sortie, un soir d’automne, qu’il n’avait cessé de lui caresser la poitrine sur les vêtements et qu’au fil de leurs rencontres, elle avait fini par lui laisser voir ses seins qu’il avait caressés et sucés.



Elle me donne chaud, surtout qu’il fait un temps superbe. On repart vers un sommet, je trouve un joli coin.



Elle me regarde, réfléchit, hésite… je la rassure :



Comme dans un rêve, je l’entends répondre :



Trop content, j’accepte.



J’ai le cœur qui bat. Et en fait, je reste debout, dehors, elle ne voit pas mon visage, mais moi je vois ses mains sur les boutons qui cachent tout ça, un soutien-gorge noir pas très sexy, mais gonflé à bloc, laissant au-dessus des bonnets déborder un peu de chair plus blanche. Puis, le tricot enlevé, elle fait ce gracieux geste qui permet de dégrafer le dos, ce qui amplifie encore la proéminence. Les pointes des bonnets sont à quinze centimètres de son torse, incroyable ! Je la vois ranger son tricot et le soutien. Je n’en crois pas mes yeux : deux formes oblongues qui ne bougent pas, ou presque, sans être soutenues ! Je l’entends dire :



Je m’assieds, elle se cache les seins dans les mains sans y parvenir. Je la regarde, lui prends les mains et, lentement, les lui écarte sans résistance de sa part. Je reste stupéfait devant ces merveilles.



Je lui tiens toujours les mains et la pousse contre la portière en lui ouvrant les bras en grand, ce qui cambre encore plus sa poitrine et sépare les deux obus.



Elle n’ose pas me regarder en face, et baisse les yeux vers sa poitrine.



Elle le fait et ça déborde partout.



Elle le fait encore, naïvement.



Elle a de belles aréoles, mais curieusement sans téton, à la place, il y a un petit cratère. Je le lui dis :



Et elle me fait voir ça ! Je suis fou, car elle se prend le bout entre deux doigts, appuie, et hop, le téton apparaît ! J’approche un doigt curieux, elle me laisse faire, je touche ce téton de l’ongle et elle frémit.



Je n’attends pas sa réponse, pince le bout, et le deuxième apparaît, je le titille un peu, mais elle se recule et dit :



Elle se débine un peu, mais j’accepte, prends un plaid qu’on étale.



Je ne veux pas lui faire peur. Je la vois faire glisser son pantalon, dévoilant une petite culotte noire tandis que je m’allonge en slip en admirant son corps. Elle cache encore sa poitrine en s’agenouillant à côté de moi.



Elle me dit ça avec un sourire charmant. Je deviens amoureux ; je prends sa main, lui enlève.



Elle s’allonge et ses seins ne bougent presque pas ! Elle a les yeux fermés, je ne dis plus rien, mais j’approche mon visage du sien. Je lui fais un bisou sur la joue, sur l’oreille, elle ne dit rien, je frôle son épaule, ma bouche descend lentement vers son sein gauche. Elle respire fort, ma langue tourne autour du petit cratère et j’observe son visage : je la vois encore se pincer les lèvres quand j’aspire pour faire saillir son téton.

Je touche au paradis, surtout quand je sens sa main caresser mes cheveux ! J’en profite et prends l’autre sein doucement dans ma main gauche. Quel plaisir pour moi ! À l’époque, je n’en ai jamais touchés, ni sucés d’aussi beaux, ni photographiés… sauf concernant ceux d’une autre fille, mais pas de 18 ans !

Et c’est son jeune âge qui m’empêche d’aller plus loin, car elle me repousse gentiment, je n’insiste pas, surtout qu’elle est d’accord pour qu’on se revoie la semaine suivante, et on se rhabille. Sauf qu’elle accepte de ne pas remettre son soutien-gorge et que je la force à ne pas boutonner son tricot, elle me dit :



Mais elle le fait et on roule deux ou trois kilomètres dans la colline avec ses seins qui tressautent et surtout qu’elle me laisse toucher, palper, pour finir par m’avouer que ça lui plaît que je m’occupe d’eux.

Regagnant une départementale, elle veut boutonner son tricot, je l’en empêche :



Ça la trouble beaucoup, mais vu sa petite taille on risque peu de la voir, et finalement j’incline son dossier, ce qui la tranquillise.

Et c’est encore mieux pour moi ! Ma main droite parcoure son buste, son pantalon taille basse laisse le nombril à l’air, ma main se glisse vers son entrecuisse, elle me repousse tout de suite, mais que je suis heureux de rouler avec une fille ayant les seins à l’air ! On traverse même un village désert sans qu’elle se cache, et d’un coup, je l’entends dire :



Je reste interloqué !



Je n’en reviens pas. On arrive en ville et, très vite, elle me demande de la déposer après avoir boutonné enfin son tricot. On se quitte trop vite, mais je vois qu’elle a oublié son soutien-gorge… Un trésor pour moi.


Une semaine plus tard, je l’attends une demi-heure, une heure, elle ne vient pas, mais si cela vous a plu, il y aura des suites beaucoup plus excitantes !