n° 01496 | Fiche technique | 8034 caractères | 8034Temps de lecture estimé : 6 mn | 16/12/00 corrigé 17/10/23 |
Résumé: Odile n’est jamais venue au rendez-vous fixé par Bernard. Il la cherche, mais ne la retrouvera que trois ans après ! | ||||
Critères: fh grosseins campagne amour voir exhib photofilm lingerie -extraconj -exhib | ||||
Auteur : Bernard_Photographe (Bernard - Photographe amateur) |
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J’attendis en vain, Odile ne vint jamais, j’en étais très déçu, ne sachant que penser. Je revins trois fois dans la journée en voiture, espérant encore… Une semaine s’écoula, je revins sur les lieux, attendis et repartis. Chaque fois que je revenais dans cette ville, je regardais, car je n’avais ni adresse ni téléphone.
Mes passages au lieu de rendez-vous s’espacèrent, mais me permirent de croiser une femme, mûre cette fois, qui occasionna une merveilleuse aventure dont je parlerais ultérieurement.
Le souvenir s’estompa donc, trois ans s’écoulèrent.
En passant de temps à autre dans cette avenue, un jour, je remarque une fille marchant dans mon sens sur le trottoir de gauche. La silhouette est intéressante, je me gare un peu plus loin pour venir à sa rencontre et l’aborde :
Elle s’arrête, me dévisage.
Au même moment, je la reconnais :
Je reste là, le cœur battant, à la contempler, puis :
Je n’en reviens pas, elle est superbe, la poitrine aussi pointue. Elle est plus à l’aise, bien que toujours timide. On s’assied, parle un moment, puis, je lui dis :
Elle rechigne un peu, elle doit rentrer, etc. Je ne l’écoute pas, je démarre, et sans aller très loin, au bord d’un chemin tranquille, je sors l’appareil et la prends, portière ouverte, assise, en portrait, en buste, puis, je lui dis de soulever son tricot. Elle le fait sans discuter, dévoilant un soutien-gorge noir un peu pigeonnant, une merveille. Puis, je lui dis d’enlever le soutien et elle le fait aussi ! À ma grande surprise et joie apparaissent ces superbes seins dont je rêve depuis trois ans ! Je fais quelques vues et finis la pellicule (12 poses) et lui dis que même si elle est mariée, il faut qu’on se revoie. Elle accepte, ce qui m’étonne, mais cette fois, elle me donne son adresse et on convient d’un rendez-vous pour lui montrer les photos… elle veut bien en faire d’autres.
Je l’abandonne comblé, pensant à ma chance, et déjà à ce qu’on pourrait faire ensemble.
Le jour du rendez-vous arrive enfin, nous étions au printemps, temps superbe. Je trouve son adresse, un immeuble curieux. Premier étage, où elle loge, en rond avec quatre portes qui se font face, donc peu de discrétion. Sa porte est à gauche de l’escalier… J’écoute et entends une radio, pas de bruits ailleurs. Je vois une serrure ancienne et y colle mon œil : en pleine face, je la vois assise à une table… Je vois ses cuisses sous la table, mais elle se lève, elle est en nuisette blanche au ras des fesses ! Elle disparaît et je tape discrètement. J’entends ses pas :
Un verrou et elle m’apparaît tout sourire. Elle me fait deux bises en se haussant sur la pointe des pieds, toujours aussi petite… on se regarde sans rien dire, puis d’un coup on s’embrasse à pleine bouche en s’enlaçant ! Je ne sais plus où je suis, car je ne pensais pas aussi rapidement sentir son petit corps contre le mien, ses seins pointus, et ses fesses dans mes mains ! Incroyable ! Elle me demande les photos, je les montre, on s’assied à la table, elle les trouve très bien. Je vois ses aréoles à travers le fin tissu… Je passe derrière elle, caresse son dos, son cou, que j’embrasse en prenant ses seins dans mes paumes… Elle semble beaucoup apprécier, tourne le visage, et on s’embrasse, mais soudain, on tape à la porte ! Panique ! Elle se lève, me fait partir vers la pièce à côté, la chambre où sans savoir comment je me retrouve dans un placard ! Elle ne répond pas, les coups redoublent :
Voix de femme ! Je suis rassuré un peu, mais quand même ! Et la radio qui marche ! On essaie d’ouvrir, mais elle a dû remettre le verrou. Les coups s’arrêtent, je vois par la porte du placard une robe de mariée accrochée à un porte-manteau. Elle vient m’ouvrir, elle tremble :
Je la prends dans mes bras.
Je n’en mène pas large non plus. On décide de se voir dans l’après-midi dans une rue à côté, je l’attendrais, c’est plus prudent. Décidément, rien n’est simple, mais cela pimente la vie de se retrouver dans un placard, non ?
À 14 h 30, je la vois enfin arriver, en pantalon, dommage, mais avec un sac où elle a mis à ma demande quelques vêtements que je désire la voir porter.
Cette fois, je sens que je touche au bonheur, car on retourne dans les collines tout en discutant de ce qu’on a fait en trois ans, de son mariage peu souhaité par elle, en fait, mais pour faire plaisir aux familles, c’est fou ! Je lui dis combien je suis heureux de la retrouver malgré l’incident du matin, vite arrangé, car elle dira à sa mère s’être endormie à cause de médicaments.
On refait le même parcours, pour mieux se souvenir, mais cette fois, je prends mon appareil, lui fais quelques photos y compris avec une perruque courte qui lui va très bien, mais toujours habillée. Puis, le petit coin tranquille est retrouvé, mais là, je lui enlève moi-même son tricot, lentement, pour bien savourer cet instant… Je lui dégrafe le soutien-gorge, le fait glisser des épaules derrière elle, puis, je la fais pivoter. Quelle merveille, cette poitrine ! Elle les cache en riant. Aussitôt, je lui prends les mains et les écarte, puis je me mets à genoux, frottant mon visage contre ses rondeurs. C’est là que je remarque qu’elle a les tétons rentrés, c’est creux en fait, je lui fais remarquer :
J’y pose ma bouche, les titille, les aspire. Le premier apparaît, puis le second… Tous les deux sont bien raides ! Je prends des photos, dont une, d'ailleurs, où il y en a un dedans et l’autre dehors, puis plusieurs vues avec le tricot sans soutien, avec le soutien seul et parmi les vêtements, il y a une jupe très courte que je lui fais mettre et je la découvre en culotte, mais moi aussi j’ai quelque chose à lui faire mettre : j’ai apporté des bas résille fins et un porte-jarretelles. Elle les enfile bien qu’il fasse bien chaud. Je l’aide en la caressant partout, mes mains s’activent, car elle m’excite au plus haut point. C’est une petite poupée que j’habille selon mes rêves et la voilà accroupie montrant cuisses et culotte, penchée en avant ! Elle n’a jamais mis ce genre de tenue et trouve ça marrant. À ce moment de ma vie, je n’ai jamais vécu chose aussi excitante ! Elle prend les poses, très lentement. Elle est gênée, mais me laisse la toucher pour la placer au mieux tout en lui faisant de petits bisous. Elle me repousse, je recommence et je lui fais mettre autre chose. Pas question de voir sa minette, je devine ses poils sous le tissu tendu de la culotte quand elle écarte ses belles cuisses, mais c’est tout, j’apprécie quand même beaucoup !
Plusieurs tenues défilent ainsi, elle prend goût à se montrer. Il fait chaud, je me déshabille et reste en slip, cachant mal mon érection. Elle n’y prête pas attention, mais je me frotte de plus en plus à sa peau de velours, mon torse contre son dos, je prends ses seins dans chaque main… je l’embrasse dans le cou, sur les oreilles et le visage, puis sur la bouche, enfin, pour un vrai baiser, long et sensuel…
Je me penche, lui suce un téton et elle plaque mon visage contre elle. Je caresse ses cuisses, elle est à ce moment-là dans la nuisette du matin, un sein dehors, sans culotte. Je touche ses poils… elle tressaille, mais me laisse faire. Je sens enfin sa fente, chaude, humide, que je parcours d’un doigt… Elle tremble et soudain murmure :
Quelle idée ? Je dis oui, évidemment, et elle se dégage, s’allonge, écarte les cuisses et me dit simplement.