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Temps de lecture estimé : 13 mn
05/12/00
Résumé:  Le dénouement des aventures de Sophie à la découverte de plaisirs insoupçonnés.
Critères:  #fantastique ff ffh couleurs couplus caférestau douche voir fmast hmast intermast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo
Auteur : Wilco  (Jeune homme, 25 ans, rêveur dans l'âme)      

Série : Les Bonheurs de Sophie

Chapitre 04 / 04
Les Bonheurs de Sophie (4)



Les bonheurs de Sophie 4


Résumé des épisodes précédents : Sophie, étudiante en droit, 23 ans, s’est découvert une muse sexuelle qui n’apparaît qu’à elle et lui fait découvrir des plaisirs insoupçonnés.


La dernière leçon m’avait littéralement épuisée ! J’avais mis un bon quart d’heure avant de trouver la force de me lever pour aller offrir un baiser empreint de ma mouille à Léa.

Elle s’était installée en peignoir sur la terrasse de mon studio, volant avec gourmandise les derniers rayons du jour.

"Les muses peuvent bronzer ?"

"Bien sûr que non, mais le plaisir c’est avant tout dans la tête !"

Elle défit la ceinture du peignoir qui s’échoua au creux de ses hanches, dévoilant son corps de déesse. J’étais irrésistiblement attirée par cette peau que je savais sucrée. J’étais toujours nue, mais mon studio faisait face à une voie rapide six étages plus bas, il y avait donc peu de risque d’attirer les regards, tout au plus de provoquer quelque accident.

Léa me prit par les cuisses et me fit m’agenouiller.

"Maintenant, travaux pratiques mademoiselle Sophie!" exulta-t-elle .

J’enfouissais ma tête entre ses cuisses et humais son odeur. Un savant mélange de bois exotiques et d’agrumes me montait aux sens. Pour quelqu’un qui n’existait pas, elle était drôlement tangible cette Léa !

Alors que j’entreprenais de lécher son clitoris, elle me retint la tête.

"Comme je t’ai appris, allons."

Je libérais mes mains sur son ventre et jouais d’arabesques rituelles entre ses seins, tout en embrassant son pubis et ses jambes.

Léa ferma les yeux et sa respiration se fit aussi lente que sourde.

Elle ouvrit son intimité, me donnant le signal du début des réjouissances.

Je ne me fis pas prier pour gober son bouton en érection et aspirer les premiers sucs de plaisir.

Ses seins étaient devenus incroyablement durs, fermes comme je n’en avais jamais vu (il faut dire que n’étant pas lesbienne, je n’en avais pas non plus eu souvent l’occasion !)

Son goût était divin, surprenant, le premier sexe autre que le mien dont je me délectais.

"Maintenant sers toi de tes doigts."

Je ne me fis pas prier pour glisser un doigt dans son sexe brûlant et un dans son anus qui l’aspira vicieusement.

Je la fouillais avec énergie et lui arrachait des cris de plus en plus soutenus.

Mes coups de langue contribuaient à la faire dégouliner sur mon menton en mes mains.

Soudain, elle referma ses cuisses d’un geste brusque et m’adressa un de ses sourires d’ange.

"Je suis très fière de toi, fit-elle, j’étais sûre que tu serais hors pair avec un peu d’entraînement!"

"Mais, . on ne continue pas ? J’étais mauvaise ?"

"Noooon ! Justement, je ne voudrais pas garder ça pour moi seule, ne soyons pas égoïste ! Allez, va prendre une douche et habille toi, on sort !"


Frustrée d’avoir été coupée dans mon élan, mais terriblement excitée par la suite du programme, j’allais m’exécuter.

Je ressortais de la salle de bains, non sans m’être copieusement branlée sous la douche, et je piochais dans ma garde robe: une minijupe et un haut moulant.

"Tu m’as fait mouiller comme une folle sous la douche tu sais ?"

"Garce ! Tu m’espionnes maintenant ?"

"Je suis sensée veiller sur toi, souviens toi. Et si j’en ai envie, tu ne me vois pas, pas plus que tout le monde."

"Je suis séquestrée, oh oui! Encore! A l’aide, c’est bon!"

Nous éclatâmes de rire en tombant dans les bras l’une de l’autre.

"Dis moi, fit Léa."

"Oui?"

"Ne te vexe pas, mais ça ne vas pas du tout."

"Quoi donc?"

"Tes fringues! Regardes toi, on dirait une quelconque midinette de 15 ans, sois une femme bon dieu!"

Elle claqua des doigts, et je me retrouvais vêtue d’une robe certes longue, mais fendue jusqu’à la taille, d’une soie bleue nuit.

"C’est quand même mieux comme ça non? On en mangerait!"

"Ouaw, tu peux faire ça en claquant des doigts?"

"Sans même claquer quoi que ce soit, mais c’est pour donner un petit effet de style, je suis très tradition mine de rien" répondit Léa en riant.

"On va où?"

"Ca c’est la surprise!."


La nuit tombait quand nous sommes arrivés au Bar. Un bar-boîte en fait, tout en sous sol, qui était réputé pour être plutôt chaud.

"Tu sais Léa, je ne suis pas trop habituée de ce genre d’endroit. Je ne sais pas si je serais à la hauteur."

"Allons allons, pas de fausse modestie jeune fille! Tu va être parfaite j’en suis sûre!"

Le videur me regardait de travers, je réalisais que je devais être en train de parler toute seule. Il me laissa rentrer néanmoins, après m’avoir dépouillée du regard comme il se doit. Ses yeux disaient qu’il aurait bien aimé pouvoir se servir de ses mains!

Je descendais l’escalier en colimaçon qui menait à la salle du bar, déjà bien rempli pour l’heure. L’éclairage était faible, la décoration sobre. La salle était toute en longueur, assez étroite, sans chaises ni tabourets. Juste un long comptoir en fait, et quelques renfoncements ici et là.

"Qu’est-ce que tu prends? Demanda Léa, c’est moi qui offre!"

"Comment tu vas faire? Enfin,. je veux bien une vodka glace."

"Voilà un excellent choix, à la hauteur de ta réputation grandissante."

Léa disparut, et subitement un des barmen se rua pour m’offrir un verre.

"Economique!"

"Une belle fille comme toi, ça serait dommage de devoir payer tes consommations non?"

"Tout à fait d’accord! Qu’est-ce qu’on fait maintenant?"

"Patience, on attend le moment propice."

Nous sommes restées là à bavarder mentalement (Léa pouvant lire dans mes pensées, c’était plus discret et j’avais moins de chances de faire fuir tout le monde!) en buvant des verres que les barmen m’offrait avec toujours autant d’empressement.


Je commençais à être sévèrement imbibée. Le bar s’était rempli à présent, la salle était comble et enfumée. Une moiteur certaine s’installait peu à peu dans l’air ambiant. Ici et là, j’apercevais des couples, d’hommes, de femmes, mixtes, qui étaient de moins en moins inhibés à mesure que le temps et le degré d’alcool progressaient.

Les mains se glissaient dans les intimités, et je crus même entrevoir des seins nus à l’autre bout du comptoir.

Ma chatte se mit à couler sans que je ne puisse rien faire. J’aurais baisé avec n’importe qui.

"Non, pas n’importe qui Sophie, c’est là tout l’intérêt, canalise tes envies de manière intelligente. Ce couple là bas par exemple."

Je ne la voyais plus, mais c’était bien Léa qui m’avait soufflé.

Le couple qu’elle m’avait indiqué était à l’extrémité du comptoir, sous un petit escalier.

Visiblement il ne se connaissaient pas beaucoup, mais ça ne les empêchait nullement de se dévorer mutuellement. La fille était une splendide métisse aux lèvres aussi pulpeuses que la poitrine, et son "cavalier" un garçon d’une vingtaine d’années plutôt mignon bien qu’apparemment assez maladroit.

Je me frayais un passage au milieu du maelström des corps, récoltant quantités de caresses sur mon trajet. Mes seins me faisaient souffrir, mon sexe me suppliait.

J’arrivais enfin près de ma cible. Je leur offrais deux verres pour engager la conversation (merci Léa!)

"Merci, je m’appelle Ambre" fit la fille en faisant voler sa chevelure d’ébène.

"Christophe"

"Moi c’est Sophie. Vous êtes des habitués?"

"Pas vraiment, répondit Ambre, on s’est rencontrés tout à l’heure dans un autre bar et on a atterri ici au hasard."

"Vous savez que c’est un bar. enfin, c’est plutôt chaud ici à ce qu’il paraît."

"On croyait avoir remarqué! Mais ça n’est pas pour me déplaire personnellement, dit Christophe, heureux d’être aussi bien entouré."


Une petite demi heure après, nous avions fait connaissance et avalé plusieurs verres. Nous étions tous les trois fort gais, et les choses commencèrent à prendre une tournure intéressante.

Totalement libérés par l’alcool, nous commencions à nous embrasser, à nous caresser. D’abord timidement, puis voyant que nous étions tous partant, plus franchement. Je soupçonnais Ambre de n’être pas une débutante avec les filles au vu de son toucher expert.

"Tu me fais mouiller" me fit-elle à l’oreille alors que Christophe me mangeait la nuque. Je sentais une terrible érection à travers son pantalon.

Ambre prit ma main et la glissa discrètement sous sa jupe. Effectivement, je sentais son excitation au travers de sa culotte. Je jouais avec son sexe du bout des doigts, écartant le sous-vêtement. Elle gémissait de plaisir, et fourra sa langue dans ma bouche dans un baiser enivré.

Christophe qui avait remarqué notre petit manège passa une main dans la fente de ma jupe et fut surpris de ne pas y trouver de culotte. Et oui, ça devient vite une habitude!

(NDA: voir épisodes précédents)

Il ne se débrouillait pas très bien et me faisait presque mal, alors je décidais de prendre les choses en main:

"Si on allait finir la soirée chez moi? Ca vous dit?"

Visiblement ils étaient emballés car un quart d’heure plus tard nous étions rendus à mon studio.

Les choses ne traînèrent pas, nous étions déjà affalés sur mon lit, Ambre m’embrassant, et Christophe tentant de se faire une petite place.

"Félicitations! Tu n’as plus besoin de moi pour l’instant, je te laisse, je vais faire un tour. Ahhh! La vie la nuit.." Le murmure de Léa s’enfuit avant même que je puisse la capter du regard.

Mais effectivement, j’avais à faire.

Ambre avait posé une cuisse entre mes jambes et nous commencions à onduler l’une contre l’autre, pressant nos sexes.


Dans son désarroi, Christophe eut la bonne idée d’ôter nos vêtements et de se déshabiller: à défaut de se débrouiller, il prenait au moins de bonnes initiatives!

Le sexe d’Ambre m’appelait et je ne le fis pas attendre. Fort des conseils de Léa, je prit mon temps pour la caresser, stimulant soigneusement chaque centimètre carré de son corps. Elle réagissait en se s’arquant et en ouvrant encore plus ses jambes. Sa main courut s’occuper de ma chatte qui irradiait de chaleur mon entrejambes. Elle fit courir sa main le long de ma fente et étala ma mouille sur mes cuisses.

Christophe nous regardait avec intérêt en se masturbant, assis sur le bord du lit.

Je décidais alors de passer aux choses sérieuses. Je plongeais ma langue dans son sexe pour en extraire une lapée de jus. Elle avait le goût du plaisir, fougueuse et passionnée. Ses fesses étaient mouillées d’un filet de jus qui s’échappait de son sexe. J’introduisais deux doigts dans sa chatte en mordillant son clitoris, ce qui eut pour effet de lui faire pousser un cri.

"Dévore moi petite fille, baise moi bien."

"Et comment!"

J’accélérais les mouvements de mes doigts, les faisant tourner dans sa chatte, accompagnés des bruits de sucions de mes lèvres qui pompaient son clitoris. Elle tremblait de tout son corps, et, quand je fis pénétrer un doigt dans son anus, elle agrippa ma tête pour l’écraser sur sa chatte en hurlant. Elle éclaboussa mon visage de son orgasme. Avide de sa mouille, je léchais partout où ma langue pouvait aller. Elle nettoya le reste elle-même.

Haletante, nous nous reposâmes quelques secondes.

"Super spectacle les filles, mais vous m’avez un peu oublié, non?" rappela Christophe.

"Pardonne nous mon grand, mais y’avait une urgence, lui répondit ambre en l’embrassant."

Elle venait à peine de jouir et elle était déjà d’attaque! Elle prit son sexe turgescent dans ses mains et le fit rouler contre ses doigts. Christophe, heureux d’être enfin de la partie, se laissa tomber sur le lit. Ambre embrassait son gland en laissant couler un filet de salive pour lubrifier ses caresses. Elle commença à avaler le membre goulûment. Dieu! Je n’avais jamais vu quelqu’un sucer aussi bien! J’en aurais presque eu envie d’être un garçon.

"Tu veux goûter? Me fit-elle"

"Volontiers!"

"Je suis à fond pour partager les choses, dit Christophe en riant"

Sa queue était déjà brillante de la salive d’Ambre et j’eus un mélange du goût des deux sexes en le suçant. Je flattait le bout de ma langue et aspirait en imitant la technique de Léa. Je ne devais pas m’y prendre si mal en entendant les râles de Christophe!

Ambre léchait ses testicules et jouait avec.

Je ne voulais pas trop épuiser notre jeune ami, je rendis donc son bien à Ambre et me positionnait cuisses écartées au-dessus du visage de Christophe.

"Toi, tu as besoin qu’on t’apprenne à sucer une fille lui dis-je".

"Ce n’est pas de ma faute si je n’ais pas rencontré de filles comme vous avant! plaisanta-t-il"

Je baissais mon sexe pour le lover contre ses lèvres.

"Passe ta langue le long de ma fente en la mouillant bien avec ta salive."

Je le découvrais beaucoup moins maladroit que tout à l’heure, et il se mit à agir de lui même pour mon plus grand plaisir.

Me pénétrant d’un doigt, il suçait puis léchait mon petit bouton, avalait ma mouille d’un air gourmand en gémissant sous les coups de langue d’Ambre.

Ses doigts courraient entre mes fesses rebondies, effleurant au passage mon anus.


Je ne voyais pas ce qu’elle lui faisait, mais apparemment ça devait expliquer la motivation de Christophe à me dévorer. Il gardait mon clitoris prisonnier de ses lèvres et introduit deux, puis trois doigts dans mon sexe inondé. Je coulais sur son visage et un concert de râles se mit à emplir la chambre.

Christophe se mit soudain à accélérer la cadence, et je compris pourquoi en tournant la tête: Ambre le chevauchait avec ardeur, éclaboussant son pubis à chacun de ses à-coups. Je sentais que je n’allais pas tarder à jouir, alors je mis plus de pression sur son visage pour qu’il m’avale encore plus. Ses doigts étaient enfoncés jusqu’à la garde en moi, ils remuaient de manière complètement désordonnée mais très efficace. Je pris sa tête et la plongeait entre mes lèvres alors que je jouissais dans sa bouche, couvrant ses lèvres de mouille.

Christophe ne s’était pas relâché pour autant, pris au piège par Ambre qui s’était accroupi sur lui. Je me retournais pour gober ses seins qui sautillaient au rythme de ses mouvements. Mes doigts enserrèrent son clitoris et la firent accélérer.

"Pas si vite! J’en veux aussi! Protestais-je"

"Après toi, dit Ambre en me cédant sa place pour prendre la mienne."

Je profitais de l’occasion pour recueillir le nectar d’Ambre sur le sexe de Christophe. Pour quelqu’un d’inexpérimenté, il tenait le coup, c’est sûr! Je mis le sexe au bord de mes lèvres, enduisant son gland de mouille. J’avais envie de l’avoir derrière. Je n’avais jamais essayé auparavant, mais son sexe étant de taille moyenne, je décidais de tenter le coup.

Je plongeais sa queue plusieurs fois jusqu’au fond de mon sexe pour le préparer, occasionnant des vagues de chaleur dans mon ventre. De mes doigts, je recueillais mon jus en me branlant et je l’étalais sur mon petit trou, me pénétrant doucement d’un doigt.

Quand je sentis que j’étais relâché, je m’avançais un peu pour être en bonne position et j’écrasais le gland contre mon anus qui à ma grande surprise s’ouvrir d’un coup pour laisser entrer le bout. Quel délice! Et dire que j’avais ignoré ça si longtemps.

Ambre s’était retournée et me faisait face. Elle prenait le dessus (!) et bougeait d’elle même, frottant sa chatte contre la bouche de Christophe qui était maintenant inondé de jus.

"Tu permets que je te donnes un coup de main?"

"Mhhh… répondis-je, tout ce que tu veux."


J’étais devenue totalement hystérique, je m’empalais sur une queue alors que la main d’Ambre me doigtait expertement. Elle me bourrait littéralement comme un sexe sans me laisser de répit. Mon anus serrait la bite de Christophe qui commençait à être parcourue de spasmes. Je me mis à crier mon bonheur, le bonheur de Sophie qui n’a plus peur d’être une femme. Ambre m’accompagnait dans mon délire en gémissant de concert.

Christophe dans tout ça? Il n’avait qu’à se laisser faire et à en juger par ses cris étouffés par le sexe d’Ambre il ne s’en plaignait pas. Les frissons de l’orgasme me saisirent aux reins. Ma vulve se resserra autour des doigts d’Ambre qui fit pivoter sa main pour écraser mon point sensible, me projetant au delà des nues. J’ai hurlé cette fois, comme une folle, j’assouvissais mon orgasme et je le vivais pleinement. j’étais enfin libre.

Je m’enlevais de sur Christophe et mis Ambre sur le sexe au bord de l’explosion. À peine l’eut elle fit pénétrer que Christophe nous avertit qu’il allait jouir. Ambre se retira aussi tôt et nous nous ruèrent toutes deux pour profiter de l’éjaculation, léchant, suçant, aspirant et nettoyant chaque jet, chaque goutte de sperme chaud. Mes narines étaient emplies par la puissante odeur du sexe qui venait de sévir. Me rappelant qu’ambre n’avait pas jouit de nouveau, je la consolais en lui offrant mon meilleur cunnilingus, après quoi nous nous sommes endormis comme des enfants qui ont trop joué.


Le lendemain, après leur départ, je récupérais avec un bol de thé et des croissant frais, lorsque Léa apparut sur le canapé.

". fit-elle"

"Oui?"

"Je m’incline, l’élève a dépassé le maître je crois. J’ai une proposition à te faire."

"Je t’écoute ?"

"Dis moi d’abord, qu’est-ce que ça t’a fait de vivre tout ça hier?"

"Je suis une autre personne, comme si je venais de naître, de m’éveiller."

"Tu es donc capable d’assumer mes fonctions."

"Pardon?"

"Je suis venue à toi pour te guider, mais aussi dans le but de te recruter. Si tu savais à quel point les gens ont besoin d’être décoincés sexuellement!"

"Tu veux dire. je pourrais être."

"Une muse, comme moi. Mais rien ne t’y oblige. Ça t’amènerait à quitter le monde des humains, il faut bien y réfléchir."

"C’est tout réfléchi, j’ai envie d’aider les gens, et puis vu la conjoncture actuelle, c’est quand même un métier enviable non?"

Elle pouffait de rire.

"Je dois avouer que tu as un certain style en plus. bon, et bien soit, bienvenue dans la famille! Je vais te présenter David."

"Qui est-ce? Le chef des muses ou quelque chose comme ça?"

"Non, nous n’avons pas de chef, pas de dieu, pas de comptes à rendre; seulement du plaisir à offrir. David est ta première mission. Il est terriblement timide, ce qui est fort dommage car il est d’une rare gentillesse, alors il faut remédier à tout ça."

"Et je commence quand?"

"Tout de suite mon amour, tout de suite."


FIN